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Bourgeoise qui se fait « salope »

Chapitre 3

Première prestation de Vesna

Erotique
Le week-end dernier, avec Vesna nous sommes allées prendre notre petit-déjeuner, un brunch, dans une grande brasserie du boulevard Montparnasse. Comme d’habitude, on décide ensemble de la tenue qu’on va mettre. Je propose à Vesna de se faire un look « bourgeoise stricte avec le “sexy détail” ». Non pas le mélange de la femme très « bon chic bon genre » et sexy ou provocante mais quelque chose de plus subtil, la femme bourgeoise qui a sur elle juste ce qu’il faut pour attirer l’oeil, ce qu’il faut pour suggérer la perversité, voire même un côté « salope » ou « pute » sans trop en avoir l’air, de sorte que ces qualificatifs sont plutôt une interrogation qu’une affirmation (« ne serait-ce pas une femme qui fait le « tapin » ?). On choisit pour cela des talons hauts vernis noirs, une jupe en cuir noire, ligne « trapèze », mi-cuisses, c’est-à-dire légèrement évasée tout en moulant bien les fesses, un chemisier blanc, des bas résille. Quant au « sexy détail », de quoi s’agit-il ? Au choix, un rouge à lèvres draculien, une mouche sur la joue, le chemisier avec deux ou trois boutons du haut défaits permettant une vue plongeante dans l’entreseins, la jupe mi-cuisses ligne « trapèze » donc qui remonte très facilement et très haut en s’asseyant cuisses croisées ; afficher certains détails attractifs comme mon nombril, visible aux yeux du monde, ce que permet le crop top par définition qu’on peut appeler en français « chemisier nombril dégagé », mais aussi et surtout, le soutien-gorge qui porte ma poitrine libre habituellement, aujourd’hui, point de liberté mais la pression du satin blanc bordé de dentelle noire sur la partie supérieur du balconnet. Nous entrons dans une grande brasserie très connue du boulevard. On se dirige vers le comptoir et, avant de prendre place à une table pour le brunch, on prend un café. En entrant, les talons plus la forme de la jupe accentuent un balancement de droite à gauche très coquin, nous sommes l’objet de quelques regards. En arrivant au comptoir, déjà je fais remarquer à Vesna que j’ai l’impression d’entrer dans un de ces lieux de plaisir en étant une cocotte légendaire, une insoumise, voire une courtisane, une « Fille de joie ». S’assoir sur un tabouret haut est un exercice à la fois délicat et érotique. On se présente de dos sur le siège, on s’arcboute avec le mains et les bras au dossier, en posant les pieds sur la barre transversale on se hisse pour s’assoir. Cet exercice provoque le retroussement de la jupe. Étant à mi-cuisses, elle remonte très haut et dévoile la fixation de nos bas résille au porte-jarretelles, et nos cuisses. Mais surtout il y a un moment très furtif, celui qui suit la montée de la première jambe et qui précède la montée de la deuxième jambe, le moment très bref où les cuisses sont écartées juste ce qu’il faut permettant à un œil avisé d’entrevoir la naissance de notre entrecuisses. Je remarque que deux hommes en salle, pas très loin de nous ont dû voir quelque chose. J’écris « entrevoir la naissance de notre entrecuisses » car, pour moi, il va de soi que nous sommes sans slip, sans culotte. J’en parle tout de suite à Vesna. Elle me dit qu’aujourd’hui elle n’est pas nue sous sa jupe. Pendant que nous prenons notre café, j’aperçois les deux hommes avoir de plus en plus de regards sur nous. Profitant de cette situation, je me remets en place sur le tabouret pour être plus à l’aise. En fait, je suis à l’aise mais ce petit jeu a pour but de faire bouger mon corps, en particulier recaler mes fesses, mes cuisses comme si elles étaient gênées par l’inconfort du tabouret. Ce jeu a pour but aussi de favoriser une vision plus nette de mes cuisses mais aussi de l’intérieur de mon entrecuisses et, pourquoi pas de la naissance de mon pubis. Je suis sans slip, sans string, sans culotte donc il est à nu, parfaitement visible. Le petit de l’inconfort du tabouret se poursuit : je me relève, je suis debout, je joue celle qui doit remettre en place ma jupe car elle n’est pas complètement redescendue. Le cuir permet facilement cette situation, alors je me tortille légèrement puis rageusement en remettant en place ma jupe, en la tirant vers le bas tout en remuant légèrement mon bassin. Ensuite je plaque mes mains dessus par devant puis par derrière sur mes fesses pour bien l’ajuster et la tendre. Voilà que deviens de plus en plus « appât ». D’ailleurs, depuis un bon moment les deux hommes me fixent de plus en plus et doivent bien se poser des questions surtout que je ne joue plus à celle qui ne les voit pas, je croise leur regard de plus en plus fréquemment. Des questions doivent nourrir leurs pensées en particulier « est-ce une prostituée ? ». Alors je commence à avoir des attitudes nouvelles : un regard un peu plus appuyé, la bouche qui s’ouvre et se ferme, la langue qui entre et qui sort, la salive qui dégouline, donc une attitude décidée qui se dit intraitable comme pour tenter les hardiesses, un œil franc et peut-être honnête, mon léger sourire luit dans mes prunelles, sous mes paupières à demi abaissées ; et ce sourire gagne ma bouche sensuelle et volontaire, donnant à mon visage un charme imprévu. J’ai forcément la bouche rouge sang 100% femme fatale. Puis, je me fais l’effet « bouche mordue », ça consiste à se mordre la lèvre inférieure au niveau de la commissure, la lèvre du bas est tordue, produisant un sourire de femme fatale, elle signe une allure rétro. Intense et théâtrale, elle devient gothique, c’est à la fois naturel et très sexy. Ma bouche sensuelle se retrousse au coin de la lèvre, affichant une mignonne chair toute pleine de délicatesse finement sculptée. Clairement, un homme commence à accrocher, je le vois se tortiller sur sa chaise, il est nerveux, il voudrait bien tenter quelque chose. Il finit par se lever, il vient demander quelque chose à la patronne du bar (alors qu’il aurait pu le demander au serveur). Comme par hasard, il se tient assez près de moi. Je me fais « présente » en m’avançant vers lui, tout va très vite, ma bouche est à quelques centimètres de son oreille, juste la possibilité de lui dire « une fellation, ça vous dit ? » sans que personne autour n’entende. Le jeune homme semble tétanisé, il n’ose rien dire, je vois bien la question qu’il se pose et à laquelle il réfléchit « j’ai une occasion unique à ne pas rater, que faire ? ». Timidement il dit « pourquoi pas ? », alors je lui réponds d’une façon ferme « retournez vous asseoir à votre place, je vais m’éclipser, dès que j’aurais disparu, rejoignez moi aux toilettes ! ». L’homme s’exécute, je le vois rejoindre la table, je pars aux toilettes. L’endroit est étriqué, le minimum pour un lavabo et une porte, c’est tout. Entre l’emplacement du lavabo et la porte des toilettes on ne peut même pas passer à deux. J’en profite pour exagérer l’« embouteillage », mes hanches sont bien contre lui, j’accentue la difficulté à entrer dans les toilettes, cette fois-ci mes hanches s’appuient sur lui, dans cette espèce de bouchon, j’arrive même furtivement à faire en sorte que mes fesses s’appuient sur sa braguette, j’arrive à sentir son sexe tendu. Il laisse traîner sa main sur ma jupe, j’en profite pour lui susurrer un « est-ce ma jupe, le cuir ou mes fesses que vous aimez ? ». Sans attendre de réponse qui ne viendra pas, je défais sa ceinture et en descendant sa braguette je lui demande mon cadeau. Il ne comprend pas tout de suite, ce qui fait que je suis obligée de lui expliquer qu’une passe gratuite ça n’existe pas. Il est bien obligé de sortir son portefeuille. Je lui donne les deux tarifs, celui de la fellation et celui pour faire l’amour que je lui conseille. Aussitôt, je retrousse ma jupe, cela suffit car je n’ai rien dessous, je suis donc prête, je retire le préservatif de son enveloppe, je déroule le début au bout de son sexe puis je termine d’envelopper complètement son sexe avec ma bouche, je me place dos contre la porte pour qu’il puisse me pénétrer. Quelques coups de rein suffisent, la porte craque à chaque embardée, le jeune homme finit par jouir en moi. Il se retire, je le dirige vers la cuvette pour lui enlever le préservatif. A ce moment-là je m’inquiète de savoir si ça lui a plu. Je n’oublie pas de lui donner une carte de visite sur laquelle il y a juste inscrit mon prénom et mon numéro de portable. Cette petite attention suffira pour qu’il me rappelle et donc engager une relation suivie avec lui. La fidélité du client c’est ce qui permet de bien gagner sa vie. Je n’oublie de le quitter avec un baiser « pleine bouche ». Nous quittons les lieux, en arrivant au comptoir, je vois Vesna en compagnie de l’autre homme qui a dû trouver un prétexte, ou même sans prétexte, pour engager un début de conversation. Cette fois-ci, il s’agit d’un homme mûr, la cinquantaine, plutôt que celui que j’ai eu à qui je donnais environ 18 ou 19 ans. J’ai bien l’impression que Vesna se fait carrément draguer par cet homme. En arrivant près d’eux, Vesna me donne son nom. Il donne l’impression d’un homme assez sûr de lui, un homme aussi habitué à ce genre de situation, il m’accueille par un « vous êtes la maman, je suppose ? ». Après avoir répondu par l’affirmative il dit d’un ton assez sûr « vous vous étiez absentée ». Je lui réponds par l’affirmative tout en remettant en place la fixation de mon porte-jarretelles. Ce geste a pour effet de retrousser légèrement ma jupe. En fait, la fixation n’était pas défaite, elle se tenait bien, c’est un peu une manière de voir s’il engage la conversation sur un autre terrain. Il semble avoir compris pourquoi, pour quelle raison je m’étais absentée. Il me parle de Vesna dans des termes très élogieux, elle est restée sur son tabouret haut, sa jupe bien remontée dévoile la fixation de son porte-jarretelles et le haut de ses bas. Ce doit être une sorte de cadre commercial ou directeur, il a le verbe facile. Ça va assez vite puisqu’il commence par un « vous semblez aimer le cuir ? ». Je lui explique que le cuir est l’objet de tous les désirs, elle est une pièce maîtresse du vestiaire féminin. La jupe en cuir s’est sophistiquée pour une sensualité plus suggérée. Souvent, Vesna la porte avec des maxi-cuissardes chevauchant sauvagement, comme Brigitte Bardot, sa Harley Davidson face aux caméras et ventilateurs. Elle donne envie de tout plaquer pour prendre la route. Vesna a cette faculté d’insuffler à la fois érotisme et insolence.L’homme de 50 ans qui plaît bien à Vesna, se tient à côté d’elle, tous les deux debout. Sa main est posée sur l’épaule de jeune fille. Elle se fait un rien caressante, puis descend très légèrement, très discrètement, de façon imperceptible dans son dos. Elle semble descendre mais je ne vois rien, cela se passe dans son dos. Voici que le bras de l’homme a l’air de monter et descendre de façon régulière, ce qui me fait penser à... mais voilà que je n’ose pas trop y penser, j’essaie de chasser des pensées mauvaises. Or, en pivotant sur moi-même très légèrement, voilà que j’ai une vision claire dans le dos de l’homme et de Vesna grâce à un miroir publicitaire Coca-Cola. L’homme a un geste caressant sur les fesses de Vesna, il est lent et régulier, sans forcer le geste, ce doit être une douce caresse. Je me dis qu’il est quand très culotté de faire cela devant la maman.Il entame même la discussion avec moi tout en caressant Vesna, mais voilà qu’il lui pelote les fesses maintenant à travers sa jupe. Vesna est une fille curieuse, rêveuse, toujours prête à écouter, à chercher, à surprendre des conversations. Pendant que l’homme la pelote, plus exactement explore de sa main ses petites fesses, celle-ci a la bonne réaction vis-à-vis de lui : elle se laisse faire sans broncher, sans marquer aucune attitude de refus, de retrait, de recul. Bien au contraire, elle se fait « accueillante », disponible, obéissante, voire même soumise, docile. La force de Vesna dans cette situation c’est de rester totalement immobile, rigide, statufiée. Elle se fait « poupée gonflable ». Elle adopte même la moue de la fille qui vient d’avaler quelque chose d’indigeste. De mon côté, je me fais très érotique en soignant mon attitude aguichante, provocante. Plus exactement, Vesna et moi sommes parfaitement interchangeables, totalement identiques, donc autant désirables l’une que l’autre. En cet instant, on en est au point où Vesna subit des premiers attouchements bien précis. En effet, l’homme pose une main sur la cuisse de Vesna, main qu’elle freine aussitôt pour qu’il n’aille pas plus haut. Et surtout pour qu’il n’aille pas trop vite. Entre temps, Vesna s’est relevée pour bien arranger sa jupe, disons pour lui faciliter la tâche au cas où il voudrait récidiver. Puis sa main revient et cette fois ses doigts s’insinuent sous sa jupe. Un très grand frisson parcoure les reins de Vesna et des fourmis apparaissent dans son ventre. Mais surtout, une certaine moiteur entre ses lèvres. Vesna serre les cuisses, elle bloque la main de l’homme encore une fois, mais cette fois-ci, il résiste et s’introduit dans les cuisses de Vesna. Cette fois sa culotte est trempée, alors elle le laisse faire tout en faisant semblant de s’intéresser à sa tasse de café. Il a gagné, il commence à la doigter. À sa façon de faire, je voyais qu’il n’était pas novice et qu’il donnerait bien du plaisir à Vesna. Je pensais qu’il a « fait » un doigt, puis doigts doigts, je vois Vesna qui s’est mise à trembler, je crois bien que Vesna n’a pas eu sa première jouissance. Et tandis qu’il continuait à doigter Vesna, j’ai passé discrètement ma main sur sa braguette, j’ai senti sa verge en posant mon écharpe dessus pour que personne ne se rende compte de rien et je l’ai masturbé sans pour autant qu’il éjacule dans son caleçon. Pas une parole échangée, juste des gestes et quand je me suis levée je me suis juste penchée pour lui demander si tout va bien. Et là, l’homme ose quelque chose d’incroyable. Il a la tête qui tourne, il désire Vesna sans oser lui demander puisqu’elle n’a pas eu d’orgasme. Alors cette chose incroyable c’est de me le demander à moi : « me permettrez vous d’emprunter votre fille pour faire ce que vous faites dans les toilettes ? ». Je lui réponds aussitôt par l’affirmative et je me tourne vers Vesna : « le monsieur voudrait t’accompagner aux toilettes », « tu sais, c’est pour faire ce que je fais, une fellation, tu sauras te débrouiller toute seule ma puce ? »
Devenir appât, voilà une des premières règles que Vesna doit apprendre, puis se rendre disponible, se laisser saisir par les hanches, se faire voyoute, vraie chienne, s’ouvrir en deux.
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