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Bourgeoise remplie au sperme

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Et nous sortîmes en encadrant de près notre belle compagne... de peur qu’elle ne se réfugie dans son appartement.
Elle prit le volant de la Jaguar. Nous sortîmes de la cour et prîmes à droite l’avenue Foch. Florian s’était assis à côté de la conductrice. Pendant qu’elle conduisait, il lui avait introduit les doigts dans la chatte et, de temps en temps, les ressortait pour nous faire voir : "Z’avez vu, elle mouille encore la salope" puis il les léchait et recommençait. Dès que Marie-Clothilde essayait d’ouvrir la bouche il lui disait : "Ta gueule, conduis" ! Et lui indiquais les directions : "Prends à gauche vers la Catho" !
Il nous menait donc, par la rue Paul Bert, vers le sud. On roulait lentement, fenêtre conductrice ouverte.
Après, l’itinéraire nous dirigeait, par la rue Rabelais puis l’avenue De Lattre de Tassigny, en direction des Ponts de Cé.
Je connaissais vaguement Jules. Je savais juste de lui qu’il avait 19 ans, travaillait comme couvreur et qu’à ses moments perdus il pratiquait la musculation de façon intensive. Il était petit mais très costaud, tout en masse. Les rares fois où je l’avais vu nu dans les vestiaires de la salle de sport, j’avais été impressionné par son sexe très poilu et surtout très gros, un vrai cylindre que le prépuce ne recouvrait pas entièrement, laissant apparaitre l’extrémité du gland.
Il habitait la Roseraie, un quartier populaire du sud-ouest d’Angers et c’est bien la direction que nous avions prise.
Au rond point, à l’intersection avec le boulevard Joseph Bédier, le feu passa au orange, puis au rouge. Nous étions sur la file de droite, prêts à tourner et un véhicule, une camionnette avec deux types dedans, s’arrêta sur notre gauche. Machinalement le mec le plus proche regarda vers nous.
Marie-Clothilde, on se le rappelle, ne portait plus que la veste de son tailleur sans rien en dessous. Et comme le bouton était assez bas, il n’était pas difficile de voir la quasi totalité des seins, surtout si, comme le type qui était dans la fourgonnette, on dominait un peu la scène en hauteur.
Florian doigtait toujours, sans retenue, tourné et penché vers elle, le bras gauche passé derrière l’appui-tête du siège et lui déversant un flot de saloperies à voix basse.
"Arrêtez... je crois qu’on nous regarde..."-  Ta gueule grognasse !-  S’il vous plait !-  S’il vous plaît rien du tout. T’es une vraie pute à jus. Les mecs vont se rincer l’œil, crois-moi !
Couverte de honte, ma logeuse regardait droit devant elle et se cramponnait au volant, attendant désespérément que le feu passe au vert.
Le type avait donné un coup de coude à son conducteur qui se démenait pour en voir davantage.
Florian retira ses doigts trempés du sexe de la conductrice, ouvrit les bouton du tailleur dégageant l’opulente poitrine. Puis il sortit son sexe turgescent de son pantalon dont il avait laissé la braguette ouverte, à toutes fins utiles sans doute. Le gros nœud luisant parut dans toute sa splendeur. Il le branla un peu et mit le sein gauche dans sa main, le soupesa, le caressa en épousant son galbe et se mit à léchouiller le téton. La femme protestait : "Arrêtez, arrêtez...."
Le visage bouffi des  deux vicieux avait viré au pourpre comme si l’apoplexie les guettait, les yeux exorbités, la langue pantelante et la bave au lèvres.
 Le passager baissa sa vitre : "Elle est plutôt taquine vot’ dame là ! On lui boufferait le cul comme un panier de fraise" !  L’autre ajouta, mi-sérieux mi rigolard :"Vous voulez pas un coup de main" ?-  Un coup de main, Non ! par contre un coup de bite, elle veut bien. Elle est chaude là . Vous nous suivez ?
Les deux mecs se regardèrent d’un air qui veut dire : "C’est du lard ou du cochon" ? Ils optèrent pour le cochon. Après tout, ils ne risquaient rien à nous suivre. Quand le feu vira au vert, ils laissèrent passer les deux voitures qui nous suivaient puis nous vinrent derrière nous à droite.
"Gare-toi" !Elle obéit. La camionnette se mit sur l’emplacement devant nous. Florian sortit.
Il discuta deux minutes avec les types qui descendirent à leur tour avant ouvrir l’arrière de leur véhicule et y monter.
"Viens" !-  Non, non. Je ne les connais pas... et puis ils ne sont pas très...-  Madame ne veut que des jeunes, des athlètes... patience, tu va en avoir tout à l’heure.
Il ouvrit la portière et empoigna vigoureusement sa proie qui n’eut d’autre solution que de suivre, la poitrine visible de tout le boulevard où d’ailleurs ne passait personne.

Il est vrai que les hommes n’étaient pas de la première jeunesse. On avait là deux spécimens de quinquagénaires bedonnants, en marcels tachés et jeans sales, dégoulinant de sueur, poilus du torse et des bras, mal rasés et presque chauves.
Florian s’enferma avec eux.
"Vous tracassez pas, on se donne le tour" nous dit-il.
Il ressortit au bout de quatre à cinq minutes, le temps pour nous d’apercevoir la femme pliée en deux suçant un mec devant et se faisant tringler derrière.
Gurvan se précipita... il n’avait pas oublié son appareil photo et nous vîmes les flashs crépiter à travers les vitres opaques de l’utilitaire transformé en bordel de rencontre.
Pendant que nous attendions, en commentant l’affaire, le portable de Florian sonna : "Ouais Jules... tout près de chez toi... Non, non on arrive, on a trouvé deux mecs qui sont en train de la sauter dans leur camionnette... si, si je t’assure... on te montrera les photos....Quoi ? Je sais pas.... Y’a dix minutes là.... J’en sais rien pour combien de temps ils en ont, j’les connais pas ces mecs... mais ils la remplissent et on arrive.  T’es dans ta cave... Celle de qui?  Non je sais pas, je le connais pas... ouais peut-être...  attends-nous dehors alors. Je te textote dès qu’ils l’ont terminée !"
Puis, se tournant vers moi : "Jean, vas-y. Jules s’impatiente"

J’entrais dans la camionnette, en me cognant le crane au moment où le chauffeur jouissait dans la bouche.
Cette petite promenade en voiture, avec les vitres avant à moitié ouvertes, avait réveillé mes sens, dont l’odorat, et il fallait que celui-ci fût solidement accroché. Dans la chaleur de l’habitacle, régnaient des remugles de transpiration, une odeur de slip  d’hommes, un parfum de chnèque.. bref, cela embaumait à la fois le rut et des vestiaires qu’on n’aurait pas aéré depuis trois jours. Cependant, comme les effluves de sexe dominaient, je m’y fis quasiment immédiatement.
 Je ne vis pas grand chose à cause de la faible lumière du plafonnier et de la présence de Gurvan mais les photos qu’il prit nous montrèrent bien le jus s’échappant de la bouche. Le passager bourrait comme un malade derrière.
"Oh putain c’est bon... ça glisse comme dans du beurre..."-  C’est bon Raymond, tu te régales ? Lui dit son pote qui venait de juter.-  Trop. Elle est meilleure que ma femme.-  Et pourtant elle est bonne ta femme...
Mais soit que Raymond ne prit pas attention à la remarque de son copain Didier, soit que cette confession de son pote ne le surprit pas, il continua à besogner notre hôtesse ardemment.
On commençait à être serrés là-dedans. "Gurvan, vas chercher Vladimir, sans cela, il va tout rater".-  OK, j’y vais.

Le temps que se fasse l’échange, Raymond avait fait mettre ma propriétaire à genoux et, passé devant, l’obligeait à le pomper par une vigoureuse pression des mains sur sa tête. Didier, la bite molle, s’était mis à genoux derrière la femme et lui pelotait les seins.
Je bandais à nouveau, ce qui me fit perdre la notion du temps. La porte s’ouvrit : "Qu’est-ce que vous foutez putain" ?
Plutôt que de retourner dans la bagnole, Florian et Gurvan regardèrent la fin par la portière entrouverte  en faisant attention à ne pas faire voir la scène de l’extérieur. Mais il passait peu de monde à cette heure avancée.
Le mec s’activait à fond dans la bouche. Ses couilles poilues recouvraient le menton pendant qu’il poussait son pieu le plus loin possible. Enfin, il jouit. Il sortit sa petite bite et éjacula sur les seins. Puis il prit Marie-Clothilde par le bras et la fit sortir. "Eh ! Tu vas où là"  ? demanda Florian-  T’occupe, deux minutes.. j’te la rends ta pute...
Il y avait la une petite haie séparant le trottoir d’un parking d’immeuble. Il se glissa entre la haie et une voiture en stationnement. Nous avions tous suivi. Une forte pression sur les épaules fit plier notre femelle et elle se trouva à genoux sur le goudron et le mec luis pissa sur la poitrine. Elle essaya bien de se relever mais une magistrale torgnole le lui interdit. Quand il eut fini il demanda : "Quelqu’un en profite" ? Son pote ne se fit pas prier et après sa dernière goutte, il se fit sucer.
Les deux gars nous remercièrent chaleureusement,  puis il remontèrent leur froc et se dirigèrent vers  leur camionnette. J’entendis Raymond dire à Didier : "Alors comme ça, si j’ai bien compris ce que t’as dit tout de suite, t’a baisé ma femme"?-  T’inquiète. J’disais ça pour rigoler - dit l’autre dont la voix trahissait mal l’embarras.-  Pour rigoler mon cul. Tu mériterais que je te casse la gueule.-  Attends, attends....
Je crus que nous venions de mettre fin à une belle amitié mais Raymond reprit : "Te biles pas. Le coup de ce soir ça m’a donné des idées. Plutôt que de te la baiser derrière mon dos, on pourra la fourrer ensemble. De toute façon elle me fait cocu à tour de bras cette truie".-  Ah ben, si tu le prends comme çà !-  Et pis elle est mieux que ta femme !-  Ça c’est sûr.
Je n’entendis que des éclats de rire au moment où ils fermèrent leurs portières. Puis ils repartirent à grand bruit.
Marie-Clothilde ne s’était pas relevée. Elle gisait assise, une main appuyée sur le sol, couverte de pisse.
"Allez salope, lève-toi... La soirée n’est pas terminée. Y’a encore de bonnes queues qui t’attendent".-  Non, laissez-moi maintenant... je suis sale, dégoutante, je veux rentrer...-  Te laisse pas aller... on est là... aller, lève-toi... Enlève tes affaires...Jean s’te plait, file -moi ton T-shirt !-  Mon T-shirt, pourquoi faire ?-  Fais- pas chier, donne! Vlad, ton calebut.-  Mon froc... j’ai rien en dessous, je vais me retrouver la bite à l’air !-  Genre, ça va te gêner !
Florian avait parlé d’autorité. Il n’y avait pas a discuté. Vladimir se retrouva en polo les couilles au vent pendant que moi, torse nu, je regardai Florian essuyer ma propriétaire avec mon T-shirt. Quand elle fut à peu près sèche, elle enfila le pantalon de Vladimir, trop grand pour elle, et la chemise de Florian.
Après avoir mis les fringues pleines de pisse dans la coffre, nous reprîmes la route. Il n’y avait à peine deux kilomètres encore pour nous trouver à destination. Jules nous attendait devant une barre d’immeuble, en tongs en survêt et en marcel. Nous descendîmes de la voiture à l’exception de Vladimir à que Florian promit de revenir avec des fringues. Nous fîmes les présentations à Jules.
"Voila la meuf".
Sans cérémonie Jules s’approcha, mit sa main entre les jambes de mon infortunée logeuse, lui roula une méga pelle et lui dit :" Salut-toi... C’est toi la bourge chaude ? Putain ça va être trop bon ! On y va" ?
Sa trique s’était dressée et pontait droit devant sous le survêtement tendu d’une gigantesque excroissance. Il nous précéda vers le sous-sol suivi de la femme qui avançait tête baissée comme une condamnée et que nous escortions de très près.
Nous marchâmes plusieurs dizaines de mètres dans un couloir sombre et étroit où des murs de briques et des portes de planches séparaient les lieux en de multiples cases. Après un virage, une porte était ouverte d’où se dégageait l’intense lumière d’un projecteur de chantier. Jules nous arrêta : "fous-toi à poil". Marie-Clothilde obéit immédiatement. "Oh putain, les nibards ! Entre !"
Quatre types attendaient dans cette pièce exigüe. Un vieux matelas était posé au sol et des meubles délabrés étaient entassés çà et là.
Les quatre mecs étaient torses nus. Dès qu’ils virent entrer la femme, ils poussèrent des cris de joie et l’un ordonna : "A quatre pattes salope". Et pendant qu’elle s’installa, Jules baissa son froc, libérant l’énorme bite bandée qui se détendit comme un ressort et balança harmonieusement dans l’espace à mesure qu’elle se rapprochait de la croupe offerte à son avidité.
A suivre
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