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Bourgeoise remplie au sperme

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Les garçons se démenaient comme de beaux diables. Ils niquaient avec une ardeur que je n’avais jamais vue, sans doute à cause de leurs périodes prolongées d’abstinence forcée.
Leurs sexes, tous très poilus, disparaissaient dans les chairs blanches de la femme qui, désormais ne cessait d’encourager ses baiseurs.
Vint le moment de la première sodomie.
-  Attends, j’vais y’éclater le trou de balle. Faut qu’ça coulisse. Quelqu’un a de la graisse ?-  Ben oui coco... bien sûr ! On est passé au super marché pour t’en acheter. Démerde-toi avec ta salive du con !-  Tu peux aussi prendre la jute qui coule entre ses nibards. Lucas il lui en a foutu une sacrée dose.-  Ouais ! T’inquiète... tu me redonnes vingt minutes et j’te la déboite pour lui refaire le plein ! Fanfaronna ledit Lucas.
Cependant le gars qui voulait l’enfiler dans le cul trouva la recommandation bonne et frotta sa pine entre le seins pour l’enduire de foutre. Puis il se remit en croupe et força l’anus en arrachant un cri de douleur à la généreuse victime.
Ce cri ne fit que surexciter les mâles. L’un d’eux se mit à la biffler abondamment pendant que les autres se montaient des scénarios pour la prendre en double.
Lucas s’approcha de moi.
-  Toi, j’aimerais voir comment que tu lui pisses dessus. Avec ta gueule de p’tit garçon bien sage on dirait un mec qui va arroser sa mère... vous trouvez pas les gars ?
Deux ou trois andouilles acquiescèrent à cette idée. Un autre renchérit même
-  Ouais, j’suis sûr que c’est sa mère ! J’trouve qu’il lui ressemble vachement le p’tit bourge.-  C’est ta mère hein ? Hein ? T’aime bien la baiser ta maman ?-  C’est pas ma mère, c’est ma proprio.
J’avais cessé de me branler. Un colosse, appelé Jacques, s’était approché de moi.
-  Tu sais qu’tes aussi bien foutu que ta mère ? J’aime bien les BG avec des culs bien rebondis comme le tien... et puis tout blanc.
Et il me mit carrément deux doigts dans la raie du cul, cherchant le trou pour les y enfoncer. Je me dégageais.
-  Et les gars, ça vous dirait quoi si on baiserait le fils après la mère ?-  Non, non... c’est pas ma mère et j’fais pas ça avec des mecs moi !
Alors, Marie-Clotilde, qui s’était gentiment tenue a l’écart absorbé qu’elle était à se faire ramoner le cul et à bouffer une grosse paire de roustons, fit ce commentaire.
-  Ce n’est pas mon fils. Je n’ai pas d"enfants. Mais ça ne m’étonnerait pas que ce soit une petite tarlouze. Je l’ai bien observé. Il se laisse prendre la bite facilement et mate les paquets des autres garçons avec une certaine concupiscence. N’est-ce pas mon petit Jean ?-  Mais vous... vous êtes folle... vous êtes dingue de dire des conneries pareilles. Hein Florian ?-  C’est vrai Florian ? T’a pas encore mis ton gros zizi dans le p’tit cul du p’tit jeune homme?-  Allez, a dit Florian; Foutez-lui la paix. Il s’est rien passé entre lui et moi.-  OK, OK, tu nous le ramènes dès que tu l’as dépucelé le marmot, D’accord ?-  Oui gamin, tu vois, nous quand on n’a pas de femme, on s’encule pour passer le temps. Une chatte d’homme dans le fond, c’est comme un trou de balle d’une putain de meuf. C’est aussi bon pour se vider les couilles reprit Lucas; Et même que c’est bon de se faire prendre, pas vrai Max que t’aime qu’on te pulvérise ta chatte à merde !-  Ouais, mais pas toi Lucas, t’es un vrai bourrin. Tu fais toujours trop mal confirma le Max en question.-  En attendant, vous avez une femme là, repris-je pour changer la conversation qui prenait un tour qui m’inquiétait.-  Te bile pas gamine, on va juste te laisser peinard et s’occuper de ta maman, mais moi j’veux te voir lui juter à la tronche.-  S’il n’y a que cela pour vous faire plaisir....

Et je m’approchais de ma propriétaire dont le cul devenu très souple et très accueillant semblait combler d’allégresse le type qui coulissait lentement et à coups très amples. Je me masturbai vigoureusement et lui crachai tout mon sperme au visage en lui disant
-  Tiens, prends ça salope, ça t’apprendra à raconter des conneries.
Quelques garçons me complimentèrent.
-  Beau tir !-  C’est vrai, en plein dans le mille !-  Et les cartouches, c’est du gros calibre ! Elle en est couverte.

Ainsi soulagé, je me retirai en m’approchant de Florian pour lui glisser tout bas à l’oreille :
-  Putain, ils sont craignos tes potes là... pour un peu ils m’auraient violé.-  Pas violé... t’exagères... mais c’est vrai que tu devrais essayer avec un mec. J’suis sûr que t’es un bon coup.
Je me tus et me suis mis à l’écart en pensant que.... mais cela est une autre histoire (d’ailleurs pour ceux qui aime les histoires d’hommes qui aiment les hommes, je les invite à lire cette digression dans la rubrique des histoires gays au titre : "petit bourgeois surdosé").
Quand je suis revenu, un autre type qui travaillait le cul finit par éjaculer en criant sa satisfaction.
Aussitôt, un gusse que je n’avais quasiment pas entendu jusque là se précipita sur la chatte mais comme un fétichiste. Il se mit juste à la travailler de ses doigts, écartant les grosses lèvres, pinçant le clitoris, léchant, aspirant goulument, insérant ses  doigts dans le vagin, rejouant avec les lèvres, les écartant au maximum, les refermant, les frottant, les caressant, leur faisant de petits bisous, s’arrêtant eux ou trois minutes juste pour regarder la raie en gros plan et le tout en murmurant sans cesse : "Putain, c’que c’est beau, c’est doux, ça sent bon... quel spectacle quelle poésie". Il s’était mis en 69 et, tout en continuant son inspection qui ressemblait de plus en plus à un examen gynécologique voire à une "dissection", il se laissait pomper le dard.
Mais, la femme n’en avait pas pour son compte.
-  Mets-moi ta queue, mets-la-moi !-  Ta gueule ! Moi ce que j’aime c’est de contempler des belles chattes. T’as la plus belle moule du monde ma salope.-  Mets ta bite dedans bordel. J’veux que tu me remplisses le con fils de pute !
Les autres mecs se marraient:
-  Putain, t’as vu comment qu’elle se lâche !-  Ouais Manu, te laisse pas parler comme ça ! Un peu de respect !
Mais elle devenait de plus en plus hystérique:
-  Bouchez -moi le trou bande de bâtards ! Servez-vous de vos bites, pas que de vos doigts !

La nuit commençait à tomber, la fraicheur de la fin avril saisissait tous les êtres. On se replia dans la petite maison. Le mec qui tripotait le con demanda qu’on installe Marie-Clotilde sur un espèce de meuble et pria quelqu’un de la prendre ainsi, elle allongée, le cul en bord de table, et le mec debout en train de la monter à la hussarde, ce qui permettait au gars surnommé Manu de continuer de jouer avec la moule et puis tout à coup, il écarta le type qui queutait pour se mettre debout devant la chatte et éjaculer dessus. Quand il eut fini, il se mit à la bouffer avec avidité. Puis l’autre gars renfila sa queue dans le vagin.
Il y avait un éclairage sommaire, avec un captage d’électricité clandestin sûrement et les mecs allumèrent des feux dans des vieux tonneaux rouillés. A la lumière blafarde, la tournante avait reprit. Les gars qui avaient encore la bite tendue, passaient un à un en bout de table, bourraient par quelques coups violents, s’allongeaient parfois pour sucer les nichons ou les malaxaient tout en baisant, puis laissaient la place au suivant.
C’est à ce moment que Lucas refit son apparition et prit son tour comme tout le monde. Il se cramponnait au bassin en passant se bras sous les jambes de la femelle qui, en fonction de la fatigue les repliait complètement vers elle même ou les croisait dans le dos du pineur.
Un garçon eut un orgasme au fond du trou. On regarda le sperme s’écouler, puis Jacques l’empala à son tour. Moins rapide dans ses mouvements mais beaucoup plus massif que les autres, ses coups de reins ébranlaient carrément la table et, surtout, la fille qui était posée dessus. Le spectacle des seins qui roulaient régulièrement sous les coups rythmés de la pine était très érotique. Les gars l’interrompaient parfois en posant leurs mains sales sur la peau blanche qui dansait pour eux la sarabande du sexe.
-  Il va être temps que j’y aille dit Florian. Je m’purge et tu m’emmènes.-  OK
Il la sauta donc pendant quelques instants et, quand le mec derrière réclama son tour, il monta sur la table pour se faire pomper jusqu’au jus. Il se retira au dernier moment. Je m’approchais très près pour voir le gros gland palpiter et le méat blanchir lors de l’expulsion du premier jet puis  le frein qui se couvrit de semence qui ruisselait dessus et qui fut bientôt captée par l’extrémité de la langue de Marie-Clotilde qui cherchait patiemment à en recueillir toutes les gouttes.
Florian salua et nous partîmes. Nous croisâmes deux mecs, dans la pièce d’à côté, queue basse puisqu’ils avaient déjà tiré leur coup qui dissertaient sur leurs exploits respectifs;
-  J’lui ai foutu tout mon jus au fond du trou. J’lai fécondée la salope. Y’a longtemps que j’avais pas juté comme ça!-  Moi, c’est entre les nichons que j’lai beurrée. C’était trop bon. Elle aime le jus la truie. On  à toute la nuit pour y retourner.
Et, nous apercevant, ils nous remercièrent en nous promettant de bien l’arroser encore et qu’il faudrait bien la laver le lendemain matin tant ils allaient la couvrir de foutre.
Florian répondit que je viendrai la chercher seul et qu’il ne pourrait donc pas profiter de la scène.
Je me demandai comment elle allait passer la nuit au milieu de cette insatiable troupeau de bêtes en rut. Quant à ma propre nuit, je commençai à en avoir une petite idée (mais cela fait partie aussi de l’autre histoire)...
Quand je la récupérai le lendemain matin vers 9 H 00, la plupart des garçons dormaient encore. Elle était allongée sur le matelas, un mec couché sur elle en missionnaire. Il était en train de la sauter avec une extrême lenteur. Il bougeait à peine. Il lui parlait bas à l’oreille et, de temps en temps, il se redressai sur ses bras, pour bouffer les seins ou lui rouler une pelle en donnant deux ou trois coups de queue un peu plus vigoureux. Elle se laissait faire avec langueur, caressant avec délicatesse le dos et les fesses très musclés du gars.
En le regardant bien, je vis qu’il n’était pas là hier au soir.
Je m’approchais. Il se retourna.
-  Tu nous laisses, là ! On a besoin d’être seuls.-  C’est qu’il est déjà tard. On doit rentrer.-  Laissez-nous un instant s’il vous plait, ajouta Marie-Clotilde avec une gentillesse dont je ne l’aurait jamais cru capable.
Je m’écartai donc et restai en embuscade une dizaine de minutes, le temps qu’ils finissent leurs étreintes comme ils les avaient commencées. Ils se mit juste à la piner plus fort jusqu’à ce que les râles de l’orgasme trahissent la fin du jeu.
Ils se relevèrent. Il enfila ses rangers... juste ses rangers.
Quant à elle... ses fringues étaient en lambeaux. La culotte et le soutif avaient disparu. Elle me demanda d’aller chercher une couverture dans le coffre de la voiture.
Lorsque je revins, elle marchait avec le type, très jeune, main dans la main. Elle était couverte de foutre séché dans ses cheveux en désordre et sur sa touffe. Elle puait l’urine et le sperme mais le gars ne semblait pas s’en apercevoir.
Quand je lui tendis la couverture, elle prit congé du mec. Ils s’embrassèrent langoureusement. Il lui fourra deux doigts dans la chatte qu’il venait de remplir et elle lui passa la main sur son pubis fourni.
Ils se dirent encore quelques mots et lorsqu’elle le quitta, je l’entendis prononcer :
-  promis !
Nous fîmes attention de ne pas nous faire voir pour remonter dans la voiture puis, comme je reprenais la route d’Angers, elle me dit
-  Non, pas par là !-  Où ?-  On va ailleurs.-  Mais ce n’est pas possible, j’ai cours moi.-  Et vous comptez y aller dans cet état ?-  Oh merde c’est vrai...comment j’vais faire ?-  Ne vous inquiétez pas.
Elle prit son téléphone et composa un numéro. Elle prononça quelques généralités genre tu vas bien etc... puis elle demanda à son interlocutrice si elle avait bien un étudiant qui correspondait à mon nom. Elle lui demanda de pouvoir me garder avec elle en prétextant un sinistre dans sa propriété.
-  Qu’est-ce que vous avez fait ?-  Je connais très bien la directrice de votre école et je viens de vous  arranger le coup... Vous êtes à moi pour la journée...prenez à gauche...
Ainsi rassuré, je fis ponctuellement ce qu’elle me demandait.
A suivre.
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