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Bourgeoise remplie au sperme

Chapitre 7

Où j'apprends à mieux connaître ma proprio.

Avec plusieurs hommes
Depuis combien de temps était-elle là à me lécher les couilles, je n’en sais rien. Ce qui est sûr, c’est qu’elle m’a ainsi réveillé, du plus doux des réveils.
Elle y allait très doucement, par tous petits coups de langues sur mes bourses, un peu comme un chat fait sa toilette, mais en plus doucement encore.
Je suis sorti du sommeil dans cet état vaporeux où l’on se demande si on rêve ou si c’est la réalité. J’ai bougé. Je me suis interrogé, j’ai ouvert les yeux, vu le plafond, le décor cossu de la chambre, les cheveux de la femme s’activant sur mon sexe et je me suis souvenu de tout.
Et je me suis mis à bander.
C’est à ce moment qu’elle a compris que j’étais éveillé.
-  Tu ne dors plus ? A-t-elle demandé à voix basse.
J’étais bien, détendu, elle ne m’avait jamais parlé avec autant de prévenance. Pour tout réponse, j’ai caressé ses cheveux.
Elle a continué à me léchouiller les bonbons puis la hampe, toujours avec la pointe de la langue, très lentement, puis le gland... C’était hyper bon, comme dans un rêve. J’ai croisé mes bras sous ma tête, ai fermé les yeux pour me laisser aller à cette volupté.
Elle m’a sucé, avec mille précautions comme si ma bite avait été en cristal. Puis elle s’est approchée de moi, elle m’a bouffé l’aisselle gauche, tendrement.
-  Tu es doux, tu sens bon.-  Merci.
Elle s’est blottie contre mon épaule et m’a caressé, frôlé, survolé... le sexe la poitrine, le nombril.
Je ne regrettai pas de l’avoir suivie ici.
Nous étions dans sa "maison" de campagne. En fait un petit château à moins de trente kilomètres d’Angers.
En arrivant dans la nuit, nous avons pris une douche. Elle a exigé que nous le fassions ensemble. Elle m’a savonné tout le corps et j’en ai fait de même. J’étais claqué, je n’ai eu aucune sensation.... et nous nous sommes couchés dans son lit... elle a insisté.
Quelle heure était-il ? Peu importe. Le soleil filtrait péniblement entre les persiennes et les rideaux. La pièce était dans la pénombre. Je m’en foutais j’étais bien.
-  C’était comment hier soir ?-  Comment quoi ?-  Ton expérience avec tous ces garçons ?-  ....-  Raconte... comparons... nous les avons presque tous partagés je crois...-  Ecoute...euh... t’imagine rien... c’était la première fois... je sais pas ce qu’il m’a pris...-  Tranquillise-toi. Cela m’est égal que tu sois gay... ou pas... ou bi...-  J’sais pas...j’sais plus.... là tu vois... tu me fais bander...-  Et tu bandes bien... Viens sur moi...fais-moi l’amour....-  C’était qui ?-  Qui ?-  Le jeune mec avec qui tu étais quand nous sommes partis ce matin?-  Laisse tomber.-  Non, raconte, tu avais l’air très proche...-  Je peux pas te dire... aller, prends -moi...-  OK, mais tu me racontes.-  D’accord mais tu me prends en douceur.-  En douceur, comment ça ?-  Comme si j’étais ta fiancée, sans violence, comme si tu m’aimais.-  OK, je vais essayer.
Je m’allongeais donc pour des préliminaires en lui bouffant la chatte. Quand elle me parut suffisamment chaude, je m’étendis dessus en missionnaire et je commençai à aller et venir très lentement, ma poitrine écrasant ses gros seins et ma tête collée contre la sienne.
Elle m’enserrait assez fortement comme pour me retenir captif, tout en me caressant. Elle soufflait intensément.
Je réalisai que, pour la première fois je basais à deux. Jusqu’ici cela avait toujours été en groupe.Mon expérience de la nuit m’avait un peu paumé et mon plaisir n’était pas total. En tout cas , je profitais moins de la situation.
-  Alors c’était qui le mec ?-  Tu ne le répèteras pas ?-  Non, bien sûr que non.-  C’est mon beau-frère.-  Ton beau frère... si jeune ?-  Oui, c’est compliqué.
Et, pendant que je restai, un long moment, dans sa chatte, sans bouger, elle me raconta que son beau-père, une fois veuf, s’était remarié avec une jeune nana qui l’épousait pour son fric et qui s’était fait mettre en cloques rapidement de ce bâtard, Pierre-Antoine. Puis, peu avant de mourir, il avait su qu’il était cocu, il l’avait déshéritée. Quand au bâtard, jamais son demi-frère, c’est à dire le mari de Marie-Clotilde, n’avait voulu le voir et l’avait laissé quasiment à la rue.
Elle ne l’avait plus vu depuis qu’il était adolescent et ce soir elle l’avait retrouvé. Il était arrivé après les autres. Elle avait eu peur qu’il aille tout raconter à son demi-frère mais lui, au contraire, il s’était déshabillé sans rien dire et l’avait prise en dernier, à l’aube. Il l’avait montée. Elle était terrorisée, mais comment s’y opposer. Puis il lui avait avoué qu’il la désirait depuis qu’il était devenu un homme. Il ne dirait rien à son "gros con" de demi-frère.
-  Tu comprends,me dit-elle, c’est le seul qui m’a prise comme une femme, avec tendresse, alors que les autres m’ont traitée comme un pute; pas lui, il a été délicat, prévenant, amoureux. On s’est réconcilié sur le "lit". On a promis de se revoir.-  Mais je croyais que tu aimais...-  Aimais quoi ?-  Ben ce que l’on te faisait... te prendre" comme un pute" comme, tu dis.-  Mais j’aime bien qu’on me prenne "comme une pute"...mais pas tout le temps. J’aime aussi de la douceur, de la tendresse...-  Ah d’accord. Fallait dire.... et puis en plus, il est beau...-  Parole d’expert ?-  LOL !

Alors, je lui donnai ce dont elle avait envie. Je restai en missionnaire pendant une petite demie-heure. Je fis durer le plaisir peut-être pour me prouver que je n’étais pas PD mais que la nuit n’avait été qu’un essai.... Parfois je me redressais pour lui lécher le bout des seins et je reprenais mon va-et-vient dans sa chatte, jusqu’à ce qu j’y éjacule, lentement.

Puis, je rentrai chez moi et elle chez elle.
-  Tu es doux. J’aimerais refaire l’amour rien qu’avec toi de temps en temps;-  OK... C’est tout ce que je trouvais à dire.
Le lendemain soir, alors que j’étais en train de travailler, Florian sonna. Simon lui ouvrit.
Florian rentra dans ma piaule comme un fou. Il faisait chaud, j’étais torse-nu et déjà en pantalon de pyjama.
-  Alors ? Tu sautes ma meuf ?-  Ta meuf ? Quelle meuf ?-  Marie-Clotilde ! Elle me l’a dit. T’as passé la nuit avec elle.-  Tu te calmes, c’est pas ta meuf !-  Et il parait que tu vas voir ailleurs ? Que tu t’enfiles des mecs ?-  Je fais c’que je veux.-  Viens qu’on s’explique salope !
Et nous eûmes effectivement un explication (Nos lecteurs pourrons la lire dans "petit bourgeois surdosé" 2, s’ils aiment le sexe entre hommes).
A la fin de notre "entretien", il m’avait donné rendez-vous dans quelques jours avec Marie-Clotilde, pour un plan.
Il conduisit lui-même la Jaguar jusqu’au point de rendez-vous. C’était un dimanche après-midi.
Nous entrâmes dans un chemin large et poussiéreux. Dès que nous eûmes perdu de vue la route principale, il nous fit descendre.
-  A poil, tous les deux (Je devais aussi faire partie de la fête mais je ne raconterai ici que ce qui concerne Marie-Clotilde. Le reste c’est dans mes aventures homosexuelles de "petit bourgeois surdosé").
Il n’y avait pas à discuter. Nous nous déshabillâmes. Une fois prêts, nous fîmes encore quelques centaines de mètres, toujours en voiture. Une barrière coupait le chemin. Dans la guérite, un gros homme, rougeot, torse-nu, nous laissa passer en pointant son pouce vers le haut avec un énorme sourire, un air de vice, de jouisseur qui sait que cela va bien se passer pour lui.
Encore quelques virages en descente, et nous nous retrouvâmes au milieu d’une carrière où se trouvait une bonne dizaine de véhicules. Il devait y avoir eu du covoiturage car les mecs étaient entre le double et le triple.
Le scénario était des plus simples et devait reproduire ce que Florian avait vu dans un film de cul. Il s’agissait pour Marie-Clotilde de se mettre sur le siège passager de la voiture, baisser la vitre et tendre son cul à l’extérieur pliée en deux dans l’habitacle. Les mecs défilaient pour prendre l’un des trous.
Il y avait des bites de toutes les tailles, des grosses, des petites des circoncises, des dures, des molles, des droites et des courbées, des poilues, des épilées et surtout des âgées. Les mecs avaient la quarantaine voire plus pour la majorité. Quelques-uns portaient une alliance.
Ils ne restaient que quelques instants, lui bouffant le cul ou trempant leur trique mais, même à ce compte là, ceux qui attendaient devaient être patients  avant d’y revenir.
De plus, la position assise de Marie-Clotilde, les pieds sur le siège, le cul a l’extérieur, l’obligeait à se plier en deux, ce qui faisait reposer ses nichons sur ses genoux. Ils étaient ainsi difficiles d’accès à ces mâles qui voulaient les tripoter.
De fait l’assistance trouva que le délai était trop long et l’attitude peu pratique. Un mec proposa alors d’utiliser la benne de son pick-up.
Un autre avait des tapis de sol dans son coffre pour n’être jamais pris au dépourvu.
Nous nous installâmes donc et, du coup, il y eut plus d’abattage car on pouvait y aller en double et elle pouvait travailler de la bouche et des mains en même temps.
Le gros homme rougeot qui nous avait ouvert n’était pas le dernier. Remarquablement résistant il donnait de rudes coups d’une queue très épaisse. Il pinçait les tétons et abreuvait ma proprio d’injures. Ce fut contagieux.
Quand elle était en levrette, il n’y avait évidemment pas de possibilité pour elle de branler les queues. On demandait des doubles qui permettaient ainsi aux mecs de défiler plus vite outre le plaisir de sentir son zob bien serré contre un autre manche de l’autre côté de la paroi.
Alors qu’elle chevauchait une pine, un mec vint se planter entre ses seins qu’elle comprima fermement autour de la queue. Le mec, un type très maigre à la bite étroite mais longue, cracha son sperme et j’eus un rôle à jouer ensuite (mais je le réserve à ceux qui aiment les histoires d’hommes et à le lire dans "Petit bourgeois surdosé 3").
Plus je connais Marie-Clotilde et plus je sais comment elle fonctionne. J’en devinais déjà les grands contours en la voyant agir à ce moment là.
Quand elle est seule avec un homme, enfin avec moi, elle peut se montrer très tendre, très câline, caressante, mais aussi super-chaude. Elle est maîtresse et amante.
Quand elle est en gang bang, ce qui est quand même plus souvent le cas, elle se laisse d’abord faire.Elle subit passivement. Elle laisse les hommes prendre possession d’elle, inerte, indifférente presque à ce qu’on lui fait. Puis, petit à petit elle se réveille, stimulée sans doute par les premières injures qui restent timides, surtout quand elle rencontre les hommes pour la première fois et qu’ils hésitent encore sur le comportement à tenir. Ses mains se détendent, elle va chercher les zobs, elles les appelle du geste et quand elle a eu son premier orgasme, qui tarde à venir, elle laisse toute sa place à la plus grande lubricité.
Elle bouge, elle ondule du bassin, elle prend des initiatives et elle commence à gémir, à crier, à feuler comme une chatte. Mais c’est lorsque le sperme arrive qu’elle se transforme véritablement. Est-ce l’odeur du jus, son goût, son contact sur la peau qui la change ? mais à partir de là, elle devient pute. La salope se déchaine. La dévoreuse de sexe déploie le grand jeu. Il n’y a plus de barrière à ses désirs.
Elle excite, elle encourage, elle provoque. Ses mots fusent : "Bourre-moi p’tite bite, casse-moi le cul puceau, agite ton manche gros lourdaud, baise-moi au fond, prends -moi le cul....". Et puis elle bouge, elle se remue, elle se démène. Elle va sucer les queues jusqu’aux couilles, elle lèche , suçote, chatouille l’extrémité des glands de sa langue, rince les prépuces, pompe à mort. On dirait une hardeuse insatiable. Elle avale tout, encaisse tout.
Les mecs n’y résistent pas. Ils laissent libre cours à leurs plus bas instincts; Les paroles salaces forment un torrent qui enfle jusqu’à ce que le foutre jaillisse et que le calme revienne. Les mains deviennent plus agressives. Les claques pleuvent sur les fesses ou les nichons, on pince les tétons ou le clito, on agrippe le chignon qui se défait bientôt, on se cramponne à la nuque pour pousser sa queue jusqu’à la luette.
Dois-je le dire, quand elle en est à ce point de dépravation, je la trouve sublime. Les hommes croient la dominer, mais ils ne sont que ses jouets. Elle les tient dans ses rets, elle les tient dans  sa raie... Elle leur fait perdre tout contrôle alors qu’elle, contrairement à ce que l’on pense, garde le sien. Elle jouit autant qu’elle en a envie et se fait plaisir jusqu’à la fin alors que la plupart débandent piteusement et s’en vont verge molle et couilles plates.
Et précisément, je me régalai à la voir empoigner ses seins, écraser la bite dans la chaleur de leur creux, pouvoir, quand la longueur du nœud le permettait, exciter le gland surgissant telle une comète quand le mec poussait en avant, et les masser encore après l’éjaculation pour que le sperme s’étale et vienne graisser un autre manche venu renouveler le geyser du plaisir.
Il n’est pas rare que la première éjaculation donne le signal aux gars les plus excités qui ne peuvent se retenir. On se campe debout, alors qu’un autre homme déjà se soulage entre les miches, et qu’elle continue à danser sur une queue figée en elle; On s’astique le chibre et la pluie blanche s’abat en larmes épaisses sur la femme quand l’homme arrive à contrôler son orgasme et vise juste. Le visage, le cou, les seins se couvrent de trainées épaisses qui ruissellent lentement. Elle a l’œil pour aviser les membres les plus juteux et aller recueillir à la source en les récurant bien, les ultimes gouttes du précieux nectar.
Si la plupart des garçons préfèrent ces douches de foutre, ces faciales violentes et ces ruisseaux de semence fraîche qui s’écoulent entre les seins et glissent sur la sueur en direction du nombril,  le sperme au trou garde ses adeptes. Il y en a deux catégories; ceux qui pissent dedans, et ceux qui se retirent, laissent leur bave d’escargot sur le clitoris ou la rondelle et replongent leur membre encore dur dans l’orifice qu’ils viennent de quitter.
Ils ne sont ni plus ni moins endurants que les autres mais l’obligation qui leur est faite d’attendre que la place se libère, les maintient longtemps en érection. Mais là aussi, dès qu’un d’eux a joui, les autres se précipitent. Beaucoup ramassent du bout de leur gland le sperme que leur devancier a déposé et enfoncent leur sexe sauvagement avant de se vider les couilles à leur tour.
C’est ce qui se produisit. Les uns après les autres les mecs soulagèrent leurs burnes. Quelques-uns restèrent jusqu’à la fin mais la plupart, une fois leur coup tiré, reprirent leurs fringues et leurs bagnoles et se cassèrent.
Enfin, il ne resta plus que nous deux, le propriétaire du pick-up, le mec rougeot et Florian.
Je contemplai la femme couverte de jute,  allongée, jambes ouvertes se caressant la chatte avec ses doigts poisseux en défiant du regard les types au sexe flaccide et Florian. Florian qui bandait comme une âne.
— Redresse-toi !
Elle obéit.
-  Viens aussi petite pute.
J’obtempérai à mon tour.
Le soleil nous éclairait mais la haute stature de Florian l’éclipsait. Debout, il se masturbait au dessus de nos visages près à se toucher. Nous ne fîmes pas attention à Daniel dernière nous. Son urine chaude nous surprit l’un et l’autre. Je voulus me dégager.
-  Bougez pas!
Quand il eut fini de pisser, nous dûmes sucer Florian qui enfin éjacula.
Nous étions pitoyables.
Fort heureusement, la voiture comportait désormais tout un nécessaire de première urgence qui nous redonna une allure acceptable.
-  Salut les putes, dit Florian avant de monter dans la voiture de Daniel.
Nous les précédâmes.
Daniel, dans sa nudité obscène le sexe énorme pendant et ballotant au rythme de ses pas, se dirigeait prêt à refermer la barrière après le passage de la dernière voiture. Marie-Clotilde et moi rentrâmes à Angers.
-  Je crois que tu te débrouilles désormais très bien me dit-elle.
C’était sûrement un compliment, mais je n’étais pas sûr que mon sort n’était pas en train de rejoindre le sien et de m’échapper. Je changeai de conversation.
A suivre.
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