Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 126 J'aime
  • 2 Commentaires

La bourgeoise et ses amants.

Chapitre 3

Mon amant artiste...

Erotique
Ce soir, alors que nous sommes au lit, je remarque que mon mari François lit une bande dessinée alors qu’il a plutôt l’habitude de lire un roman policier avant de s’endormir. Je l’interroge sur ce changement de lecture et il me répond que c’est une série d’Erich von Götha qu’il a récemment découverte à la FNAC. Il me prête l’album, intitulé « Les malheurs de Janice », que j’ouvre au hasard. Je comprends tout de suite son intérêt pour cette série car il s’agit d’une BD érotique. Les dessins sont superbes, les femmes ont toutes de superbes formes et les hommes sont tous dotés de phallus démesurés. En parcourant rapidement quelques pages, je suis déjà trempée devant les malheurs de la pauvre Janice qui doit subir les assauts de nombreux mâles. François glisse sa main entre mes jambes et me dit :
— On dirait que ces dessins ne te laissent pas insensibles !
Avant que je ne lui réponde, il se colle à mes fesses, glisse sa queue en moi et, tandis que je continue à regarder les illustrations, il me besogne quelques minutes et se soulage en moi.Avant de s’endormir, il me confie qu’il aimerait bien avoir une superbe lithographie érotique de moi pour mettre dans la chambre.
Le lendemain soir, alors qu’il est en train de travailler sur son ordinateur dans le salon, il m’appelle. Une fois que je suis près de lui, il me montre l’écran devant lequel il est installé et me dit :
— Chérie, j’ai publié une petite annonce pour trouver un artiste qui fera la lithographie dont j’ai envie.
Je me penche par-dessus son épaule et découvre le site « Placelibertine » que je sais être son site libertin préféré pour rechercher des partenaires coquins. Je lis son annonce « Mari contemplatif chez artiste peintre pour réaliser dessin érotique de sa charmante épouse, belle bourgeoise mature ». Je dis alors à François pour le provoquer :
— Tu préfères une pose particulière ou je pourrai improviser ?
Il me répond que l’artiste décidera de ce qui est le mieux.Les jours passent sans que l’on reparle du sujet mais le vendredi soir, alors que nous sommes en train de dîner, François me tend un petit papier :
— Demain soir à 20h30, tu dois te présenter à cette adresse. Il s’agit d’un atelier collectif pour artistes mais tu seras seule avec le peintre. J’ai discuté avec lui et nous avons trouvé un accord.
Je lui demande de quel accord il s‘agit et il me répond :
— Te connaissant, cela devra te plaire ! Il s’appelle Damien et me semble très doué.
Le lendemain, je me présente à l’adresse indiquée ; il s’agit d’un grand bâtiment de type industriel construit sur deux étages. Au niveau d’une porte métallique, je trouve une sonnette que j’actionne. Quelques secondes s’écoulent avant qu’un homme d’une bonne trentaine d’année vienne m’ouvrir ; il a les yeux bleus en amande et c’est un solide gaillard d’au moins 1,80 mètre.

— Bonjour Hélène, je suis Damien. J’ai longuement discuté avec votre mari François et je suis ravi de vous accueillir dans ces locaux d’une association à laquelle j’appartiens.
Il me précède et m’entraîne vers un petit salon où nous nous asseyons. Il est charmant, sort une bouteille de champagne et nous sert deux coupes.
— Votre mari m’a précisé le genre de dessin qu’il souhaite mais il vous laisse le soin de choisir votre tenue et le décor. me dit-il avant de tremper ses lèvres dans sa coupe.
— Damien, je n’y ai pas réfléchi et je manque d’imagination pour l’instant.— Cela n’a pas d’importance. Je vais vous faire visiter les décors du premier étage et vous montrer le magasin de costumes et d’accessoires. Ainsi, vous pourrez choisir.
Tout en montant les marches de l’escalier pour accéder à l’étage supérieur, il me précise que les lieux sont surtout utilisés par des photographes, amateurs ou professionnels, qui travaillent pour des romans photos. Il ouvre une porte et nous entrons dans une immense pièce partagée en de nombreux petits salons évoquant chacun un univers différent. Il y a la cellule de prison, le cockpit d’avion, le confessionnal, l’intérieur de limousine, l’alcôve intime, la scène de cabaret,..... Une fois le tour des lieux effectué, Damien m’entraîne vers un grand dressing où les costumes et accessoires sont rangés par thème. Il me dit :
— Hélène, je vous laisse ici le temps que vous choisissiez une tenue puis vous irez vous installée dans le décor de votre choix. D’ici là, je vais préparer mon chevalet et mon matériel.
Ayant pleinement envie de jouer mon rôle, je lui dis :
— Damien, sera-t-il possible de faire deux ou trois essais différents avant de se décider définitivement ?
Il me répond que oui et m’abandonne.Quelques minutes plus tard, je le retrouve dans la zone des décors et me dirige vers le confessionnal. Je m’installe à genoux sur le prie-Dieu, le visage tourné vers la petite lucarne derrière laquelle on imagine mon confesseur d’un genre particulier. J’ai en effet choisi une tenue de carmélite un peu osée puisque, même si je porte la coiffe réglementaire et une toque bien nouée sous le menton, je n’ai pas mis de robe de bure mais un simple scapulaire noir qui ne cache rien de mon body blanc et des bas fins assortis. Damien me dit que c’est parfait, se place deux mètres derrière moi et commence l’esquisse. Je suis tournée de trois quart de sorte que ma croupe soit au premier plan du tableau. Au bout que quelques minutes, il me dit que mon visage n’exprime pas assez la débauche qui sied à une telle scène. Il entre alors derrière la séparation du confessionnal, ouvre la petite lucarne et me présente son sexe déjà bien bandé. Je comprends alors les termes de l’accord passé entre François et lui.

— Ouvrez grand la bouche, ma sœur, et goûtez enfin au fruit défendu. me dit-il d’une voie ensorcelante.
Je ferme les yeux et embouche cette queue qui se dresse devant moi comme un cierge brûlant. Je m’applique comme une jeune novice fraîchement convertie le ferait pour prouver toute sa dévotion. Au bout d’une dizaine de minutes, mon confesseur se retire, me dit que j’ai maintenant les yeux qui conviennent pour cette scène et il reprend ses pinceaux.Après m’avoir fait tenir la pose pendant une quinzaine de minutes, Damien me dit qu’il va finaliser un peu ce premier dessin pendant que je vais choisir ma seconde tenue.Quelques instants plus tard, je reviens dans la grande salle aux décors et me dirige cette fois-ci vers la cellule de prison. Pour ce second dessin, j’ai troqué la tenue de sœur Hélène contre celle de maîtresse Héléna puisque j’ai revêtu une combinaison en latex noir. Cela me fait comme une seconde peau qui épouse parfaitement mes formes, de mon cou jusqu’à mes chevilles. La combinaison est largement échancrée au niveau de l’entrejambes et deux trous ronds sont pratiqués à la hauteur de la poitrine. Mes seins sont donc dressés et accessibles ainsi que ma chatte et mes fesses. J’ai mis un petit masque noir noué derrière la nuque et je tiens une cravache à la main. Dans la cellule, j’essaye de prendre une posture très hautaine de manière à avoir les seins tenus bien haut. Je pose mon pied droit sur un tabouret de sorte que mes jambes sont bien écartées et mon sexe bien visible par Damien qui se tient à un mètre de moi à la hauteur de la porte de la cellule. Je lui laisse le temps de commencer son dessin puis je lui demande de venir se mettre à genoux devant moi, comme s’il était mon esclave sexuel, afin que je prenne une pose la plus crédible possible.
Il s’exécute et se retrouve avec le visage à la hauteur de mon entrejambes. Je le regarde alors droit dans les yeux et, après lui avoir donné un léger coup de cravache sur le dos, je lui dis
— Esclave, donne du plaisir à ta maîtresse avec ta langue.
Puis, après un nouveau coup un peu plus cinglant, j’ajoute :
— Baisse les yeux maintenant et applique toi.
La bouche de Damien se porte à mon sexe et ses mains se posent sur mes fesses pour bien plaquer mon bassin contre lui. Il commence par humer ma chatte, parfumée comme toujours avec Opium de Yves Saint Laurent, puis l’embrasse avec douceur avant d’y insinuer lentement la pointe agile de sa langue. Sans bouger son visage qui reste bien soudé à mon intimité, il me titille le clito et me pénètre de plus en plus profondément. Sous la douce chaleur qui m’envahit et m’irradie tout le corps, je commence alors à onduler du bas-ventre pour accompagner ses mouvements buccaux. Je jouis longuement, obligeant mon esclave à recueillir toute la sève de mon fruit. Puis, le repoussant du pied, je lui ordonne de retourner à ses pinceaux. Après vingt minutes de pose, mon artiste semble satisfait et je vais me changer pour un dernier dessin.
Je reviens quelques instants plus tard et me dirige vers la petite alcôve tapissée de velours grenat, avec un grand miroir mural fixé au mur et une longue table basse capitonnée de coussins. Je m’allonge sur la table après avoir mis un bandeau noir devant mes yeux. J’ai des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles et je ne suis vêtue que d’une longue robe noire largement décolletée et fendue jusqu’au nombril. Je devine Damien qui se rapproche de moi et, lorsque je me retrouve immobile les bras en croix et les jambes grandes ouvertes, je comprends qu’il m’a attachée à l’aide des bracelets – comme je le souhaitais – aux chaînes fixées aux quatre coins de l’autel aux plaisirs sur laquelle je suis offerte. Il écarte légèrement les pans de ma robe pour que mes seins et ma chatte soient bien visibles puis il me dit
— Ne bougez pas Janice, je vais vous dessiner ainsi. Je suis sûr que cela plaira beaucoup à votre maître François.
Pendant quelques minutes, je n’entends plus rien ; l’artiste est au travail. Soudain, je trésaille lorsque une main se pose sur ma cuisse et qu’une bouche commence à me mordiller les tétons.
— Ne dîtes rien, vous êtes à ma disposition ; tels sont les termes de l’accord passé avec François.
me dit-il tandis que l’un de ses doigts caresse ma fente et que sa langue joue avec la mienne.Le voici maintenant qui s’installe à califourchon sur l’autel, glisse un coussin sous ma nuque de telle sorte que je puisse prendre sans difficulté sa queue en bouche. Comme je ne peux pas vraiment bouger dans la position où je suis, c’est lui qui va-et-vient à la hauteur de mon visage, un peu comme s’il se masturbait dans ma bouche. Une fois bien excité, il s’allonge sur moi, caresse longuement ma chatte de son gland puis me prend. Je ne suis plus qu’une poupée gonflable dont on use et abuse sans modération. Tout en me besognant, sa langue va de ma bouche à mes seins, ses mains se promènent partout sur moi, il me visite, il me possède ; je suis à lui !Lorsqu’il se raidit et que sa bouche se soude à la mienne, ses mains glissées sous mes fesses pour me maintenir tout contre lui, je sais qu’il va jouir longuement en moi et je ne suis plus que le réceptacle du plaisir de mon maître.Une fois bien vidé, Damien se retire et retourne à ses pinceaux sans même me retirer le bandeau.
— Gardez bien la position Hélène, vous êtes parfaite ainsi exhibée sur l’autel, le corps repus de plaisir et le sexe encore bien ouvert. me dit-il.
Lorsque je suis de retour à la maison, François m’accueille en me disant qu’il est ravi d’avoir déjà reçu quelques photos de la muse de Damien. Quelques jours plus tard, il reçoit les trois dessins sous enveloppe très discrète. Le soir même, les œuvres sont accrochées dans notre chambre et Janice est longuement possédée par son maître...
Diffuse en direct !
Regarder son live