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La bourgeoise et ses amants.

Chapitre 4

Mon amant mécanicien...

Erotique
Cela fait maintenant deux jours que je suis dans la région toulousaine pour rencontrer différents clients de notre société parisienne. Je suis descendue en avion et c’est au volant d’une petite voiture de location que je sillonne la campagne autour la ville rose afin de rencontrer les diverses PME dont j’ai la responsabilité. Je n’ai pas beaucoup de temps pour souffler car, à raison d’une société par demie journée, cela me fait deux comptes rendus à rédiger chaque soir lorsque j’arrive à l’hôtel. Arrivée mardi matin, je dois reprendre un avion jeudi soir pour regagner Paris.
Ce mercredi midi, je viens de m’arrêter dans un petit restaurant traditionnel pour me restaurer rapidement avant de repartir vers Portet-sur-Garonne. Après avoir pris un café, je remonte en voiture et je fonce vers mon deuxième rendez-vous de la journée. Alors que je ne suis plus qu’à deux kilomètres de ma destination, je suffoque dans la voiture malgré la climatisation qui est en route. Je regarde le thermomètre intérieur, il indique presque 23 degrés, il y a donc un truc qui cloche. Une fois mon rendez-vous professionnel terminé, il est déjà presque 18h00 et je me demande si je vais réussir à trouver un garage ouvert à cette heure. Je fais le tour de Portet-sur-Garonne et je finis par découvrir un petit garage « Toutes marques ». Je me gare devant la porte de l’atelier et me dirige vers les bureaux. Celui qui s’avère être le patron me dit qu’il ferme normalement dans 10 minutes car il a une obligation familiale à 18h30.
Cependant, il va demander à son apprenti si ce dernier est prêt à faire un peu de travail supplémentaire en jetant un œil à ma voiture. Par la porte entrouverte du garage, il crie
— Nicolas, viens voir !
Quelques secondes plus tard, un jeune homme arrive en courant. Il doit avoir un peu plus de vingt ans, est revêtu d’une combinaison de mécanicien et affiche un grand sourire respectueux en répondant
— Oui patron, je suis là. Qu’est-ce qu’il y a ?— Madame a des soucis avec la climatisation de sa Toyota. Tu veux bien faire un peu de rab et y jeter un œil car je dois absolument partir ?— Oui, pas de souci. On va entrer la voiture dans l’atelier.
Tandis que le patron me salue poliment puis part dans son véhicule, je remonte dans ma voiture et la gare à l’intérieur. Le jeune mécano me dit alors qu’il va boucler les portes puisque le garage est normalement fermé. Une fois que cela est fait, il revient vers ma voiture et se met à l’ouvrage.
N’ayant rien à faire qu’attendre, je reste là et regarde le jeune homme qui s’affaire. Il commence par protéger le siège de la voiture, s’installe au volant, met le moteur en route et teste les commandes de la climatisation. Puis le voici qui ouvre le capot, regarde différentes commandes et me demande de venir lui donner un petit coup de main. Il me dit
— Je vais me glisser sous la voiture pour vérifier les différents câbles et les durites. Lorsque je vous le dirai, vous actionnerez cette petite manette.
Il prend alors une sorte de petit chariot à roulettes, s’allonge dessus et se glisse sous la voiture. Je m’approche du moteur et me positionne afin d’être prête à l’aider à son signal. Pour voir où il en est dans ses travaux, je me penche sous la voiture et le regarde faire. Lorsqu’il jette un coup d’œil vers moi, je lis dans ses yeux qu’il a une vue superbe sur mes jambes et le haut de mes cuisses. Il faut dire qu’en ce mois de juin, j’ai mis une légère robe d’été à fleurs et je ne porte dessous qu’un mini-string rose. Je laisse mon jeune admirateur profiter un peu de la situation avant de lui dire en souriant
— Vous voyez quelque chose ? Dans le moteur bien évidemment !
Il me répond

— Non pas encore. Actionnez la manette s’il vous plaît !
Je me relève et actionne la manette comme il me l’avait montré. Au bout d’une dizaine de secondes, il me dit
— Gardez la position et ne bougez pas ! Je crois que j’ai trouvé où est le problème.
Je m’exécute mais je m’aperçois vite que le jeune mécanicien a déplacé discrètement son chariot sur lequel il est toujours allongé. Maintenant, il a le visage bien installé entre mes deux pieds et peut profiter de la position en levant simplement les yeux vers le haut. Ce petit coquin m’amuse et je décide de jouer le jeu. Il faut dire que je n’ai pas fait l’amour depuis déjà quelques jours et que ce jeune homme n’est pas pour me déplaire. J’écarte donc un peu plus les jambes et le laisse admirer mes jambes et mon petit string qui colle à la fente de ma chatte.
Avant que le jeune Nicolas ne se redresse, je m’accroupis comme si je voulais de nouveau regarder sous la voiture. Mais cette fois-ci, mon admirateur se retrouve sous ma robe, avec le visage juste au-dessous de ma chatte. Je sens le souffle du mécanicien sur ma fente et bien vite c’est le bout de sa langue qui joue avec le fin tissu de mon string. Il réussit à l’écarter légèrement et promène maintenant la pointe de sa langue sur mon sexe. Bien que jeune, il sait y faire et une douce chaleur irradie mon bas-ventre. Je me relève enfin pour lui permettre de se redresser. Une fois debout, il me dit
— C’est réparé Madame. Il y avait juste une durite qui avait besoin d’être revissée.
Je me colle à lui, descend légèrement la fermeture éclair de sa combinaison ; il ne porte rien dessous. Je lui caresse le torse et l’embrasse à pleine bouche. Il a encore le doux parfum de ma chatte sur la langue. Je lui dis ensuite
— C’est peut-être réparé pour la voiture mais maintenant c’est moi qui ai un coup de chaud. Vous croyez que vous pouvez y faire quelque chose ?
Nicolas se colle à moi, défait un à un les boutons de ma robe qu’il laisse glisser à mes pieds puis me fait mettre face à l’établi où sont poser les clés, burettes, tournevis et autres outils. Il se positionne derrière moi et me force à bien écarter les jambes. Une fois à genoux, il me dit
— Penchez vous légèrement vers l’avant, je vais faire quelques vérifications.
Sa langue s’insinue de nouveau dans ma chatte mais bien plus profondément cette fois-ci. J’aime la fougue de ce jeune étalon qui me dévore avec entrain tout en veillant à me maintenir les cuisses grandes ouvertes. Il se relève, j’entends le zip de sa combinaison puis son gland vient cogner contre mes jambes. Ses mains se saisissent de mes hanches, je me penche un peu plus en avant pour mieux lui tendre ma croupe. Il poursuit ses commentaires de mécanicien
— Je n’ai rien trouvé d’anormal mais je pense qu’un bon coup de lubrifiant ne peut pas faire de mal.
Il est bien monté le gaillard et son énorme gland a un peu de mal à se frayer un chemin. Mais lentement, par petits coups de bas-ventre bien appuyés, mes chairs se distendent lentement et son énorme burette arrive à me pénétrer. Une fois bien calé au fond de moi, il s’immobile un peu et se met à me pétrir les seins.
— Superbe châssis et jolie carrosserie !
me dit-il avant de reprendre ses va-et-vient en moi.Je lui réponds
— Oui mais comme toutes les voitures qui ont déjà fait un tour de compteur, il me faut une révision régulière.
Il me besogne de plus en plus fort et il ahane en soufflant sur ma nuque. J’adore son énorme queue qui me ramone et me possède entièrement.Soudain, sa respiration s’accélère, son gland me semble plus gros, ses mains m’emprisonnent de nouveau les hanches et il ressort entièrement de ma chatte pour mieux y replonger ensuite. Le voici qui s’immobilise et se raidit. Je m’appuie un peu plus fort sur l’établi pour mieux résister à la poussée de mon assaillant. Je me cambre, je bombe la poitrine, je tends ma croupe, je gémis et je jouis. Nicolas me dit que je suis une sacrée salope, une vraie petite pute et il se répand en moi. Je ne bouge pas, je le laisse déverser en moi son trop plein de testostérone et de foutre. Il bouge encore en moi, mais plus lentement, pour bien se vider. Lorsqu’il se retire, un peu de semence coule le long de mes jambes. Je remets ma robe, lui remonte et ferme son bleu de travail.
Lorsque je lui demande combien je dois payer pour la réparation de ma voiture, il me répond en souriant
— Ne vous inquiétez pas. Je dirai au patron que cela ne m’a pris que cinq minutes pour réparer.
Je le remercie bien fort en l’embrassant longuement sur la bouche et en lui permettant ainsi de me caresser une ultime fois les fesses.
Je remonte en voiture et reprends la route. La climatisation fonctionne à merveille. Moi je suis encore bien chaude et moite sous ma robe...
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