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La bourgeoise et ses amants.

Chapitre 6

Mes deux amants de Namur ...

Avec plusieurs hommes
Ce chapitre est dédié à judoka135, l’un de mes fidèles lecteurs qui m’a donné l’idée de ce scénario...... J’espère qu’il se reconnaîtra dans ce récit.  Un grand merci à lui !
Ce matin au travail, alors que je suis devant ordinateur à rédiger un compte-rendu d’audit, Florian mon chef de service m’appelle au téléphone - Hélène, viens s’il te plait à mon bureau. J’ai une mission pour toi. Je prends mon agenda et de quoi noter puis me dirige vers le bureau où je suis attendue. A peine suis-je assise que Florian me dit - Voilà Hélène, Maryse est en arrêt de travail pour 15 jours alors qu’elle devait se rendre en Belgique en fin de semaine pour un audit dans une succursale française. Tu es la seule qui pourrait être disponible pour la remplacer. Cela ne t’ennuie pas ? Je regarde mon agenda, réfléchit quelques secondes puis je lui réponds - Non pas de souci ! Je peux assurer l’audit. Florian me remercie pour ma disponibilité puis me donne le dossier déjà préparé par Maryse  - Tiens, prends ce dossier. Te connaissant, je suis certain que ça va bien se passer ! Je le quitte et repars dans mon bureau. Nous sommes mardi matin, j’ai donc deux jours pour me familiariser avec le dossier et préparer ma mission.   Mon assistante ayant bien préparé l’affaire, mon déplacement s’effectue sans problème avec un vol de Paris à Charleroi puis, avec une voiture de location, je rejoins Namur en moins de 40 minutes. La société dont je dois effectuer l’audit RH est une petite succursale d’une grosse société parisienne d’assurances dont nous assurons le soutien RH depuis déjà une dizaine d’années. Grâce à mon GPS, je trouve facilement l’adresse au sud de la ville de l’autre côté de la Meuse. La journée se passe normalement, il faut dire que le premier jour d’audit est essentiellement consacré au recueil de données (effectifs, …….). Ce n’est que lors de la deuxième journée que je dois enchaîner les entretiens avec les gestionnaires RH, les représentants de personnel et quelques salariés. Vers 16h00, j’ai terminé et je décide de rejoindre l’hôtel qui m’a été réservé, rue de Bruxelles dans le centre ville. Une fois installée, comme il fait beau, je décide de visiter un peu les environs de l’hôtel avant de dîner. Munie d’un plan du vieux Namur, je me lance dans les petites rues de cette charmante ville médiévale située à la confluence de la Meuse et de la Sambre. Au détour d’une rue, je tombe par hasard sur un petit atelier de menuiserie-ébénisterie qui expose quelques beaux meubles en vitrine. Une petite console d’angle très design en bois clair avec deux tiroirs attirent tout particulièrement mon attention. Elle est superbe et je me décide d’entrer pour en savoir un peu plus.   Une fois dans la boutique, c’est un jeune homme de 25 – 30 ans qui vient vers moi et me demande ce que je souhaite. Je lui montre la console qu’il me détaille : - Oui madame, c’est en effet une très belle pièce réalisée ici. Elle est en bois massif exotique, de l’hévéa. Les poignées des deux tiroirs et les contours de la console sont en inox. La finition est réalisée en cire naturelle teinte bois clair. Je lui explique que j’habite à Paris et lui demande s’il serait en mesure d’effectuer une livraison. Il me répond que oui car leur atelier livre régulièrement des pièces dans des magasins de la capitale. Avec son accord, je prends quelques photos de la console que j’envoie à François pour lui demander son avis. N’ayant pas de réponse instantanée, je demande si je peux patienter dans la boutique. Tandis que je flâne dans la boutique regardant les tables basses, fauteuils, canapés et autres meubles d’intérieur, le jeune homme se remet à ses occupations. Soudain, je suis attirée par les petits tableaux fixés aux murs. Je m’approche et je découvre qu’il s’agit de superbes dessins érotiques encadrés de manière très originale. L’un est intitulé « La dame au pantin » et représente une femme dénudée dans son boudoir tenant entre ses mains un homme qui se transforme en pantin. Un autre est titré « Le bouge à matelots » et montre l’intérieur d’une maison close où des prostituées s’offrent à des marins.    Soudain, alors que je suis en train de regarder le suivant qui porte le titre très évocateur de « Pornocratès », je sursaute lorsque le jeune homme, venu silencieusement juste derrière moi, me demande - Vous semblez apprécier ces tableaux ? Je lui réponds - Oui, beaucoup ! D’autant plus que mon mari travaille au ministère de la culture à Paris où il s’occupe des musées nationaux.
 Tandis que j’observe de plus près le tableau qui représente une grande femme nue - les yeux bandés - guidée par un cochon, on se colle à moi et deux mains m’enserrent la taille. - Ce sont des œuvres de Félicien Rops, un peintre originaire de Namur qui s’est particulièrement fait connaître pour ses œuvres érotiques.  poursuit le jeune homme avant d’ajouter - Il est mort en 1898 et il a son musée rue Fumal au centre ville. Les mains sur mes hanches se font plus pressantes et remontent avant de se plaquer sur mes seins. - Je m’appelle Georges et j’apprécie les jolies bourgeoises comme vous. me dit-il à l’oreille. Sans me retourner, les yeux toujours fixés sur le tableau, je réponds - je m’appelle Hélène et j’aime les hommes qui savent ce qu’ils veulent.   Georges m’entraîne vers une autre pièce qui lui sert d’atelier ; l’endroit sent bon le bois, le vernis et la cire. Lui s’installe sur un canapé presque terminé et il me fait mettre accroupie devant lui, les genoux posés sur un petit repose-pieds en merisier recouvert de velours grenat. Je comprends vite ce que le jeune homme attend de moi. J’ouvre sa braguette, prends son sexe en main et le branle doucement. Bien vite, sa tige grossit dans ma main et il est temps de l’emboucher. Sa queue, large et épaisse mais courte, me déforme la bouche tellement elle me remplit. Je la suce avec délectation, ma salive coule le long de la hampe puis dégouline sur ses bourses. Il bande comme un taureau. Alors que ses mains sont plaquées sur ma chevelure pour que je le prenne à fond, je sens deux autres mains qui se posent sur mes jambes et remontent jusqu’à mes cuisses en glissant sur mes bas noirs. Ma jupe légère est rapidement troussée et une langue agile s’insinue sous le tissu de mon string. Au bout de quelques minutes qui me paraissent bien trop courtes tant la caresse buccale est agréable, les deux mains font lentement coulisser mon string le long de mes jambes. Puis une voix mâle inconnu se fait entendre - Bonjour Georges. Je croyais que c’était avec moi que tu avais rendez-vous pour que l’on parle de ce chantier de rénovation sur les quais de la Sambre. Georges lui répond - Salut Greg. Je t’attendais mais Hélène, cette charmante française, s’est arrêtée à l’atelier pour un renseignement. Son copain enchaîne - Bonjour Hélène, je suis ravi de vous rencontrer. Surtout en de telles circonstances ! Sans me retourner, je lui réponds - Moi de même Greg. J’adore votre façon de dire bonjour aux femmes que vous ne connaissez pas !   Après ces présentations d’un genre un peu particulier, Greg m’aide à me relever puis retire ma jupe après avoir fini d’enlever mon string tandis que Georges ôte mon chemisier. N’ayant pas de soutien-gorge, les deux jeunes hommes peuvent aussitôt profiter de tous mes charmes car mon porte-jarretelles et mes bas noirs ne sont qu’un bien frêle rempart contre leurs assauts. Tout en m’embrassant fougueusement à pleine bouche, Georges me caresse les fesses. Bien collé dans mon dos, Greg m’embrasse dans le cou et sur la nuque tout en profitant de mes seins à pleines mains. Je commence à ruisseler de plaisir sous les étreintes fougueuses de ces deux jeunes belges. Georges dit alors à Greg - Donne lui du plaisir pendant que je me branle longuement. Cela va m’exciter ! Greg me fait alors allonger sur une méridienne vintage en bois noir et tissu coloré. Il glisse deux gros coussins sous mon ventre de manière à ce que ma croupe soit bien relevée. Il se met ensuite à genoux au dessus de mes jambes et se couche sur mon corps. Il ondule sur moi, son sexe s’infiltre doucement entre mes jambes et vient bien cogner à l’entrée de ma fente. Il me pénètre lentement et je découvre alors que sa queue, longue et fine, est tout le contraire de celle de Georges. Une fois bien arrivé au fond de ma chatte, il se met alors à me besogner. Du coin de l’œil, je vois que Georges, bien calé dans son canapé, se branle en nous matant. Il dit à son copain - Greg, c’est encore plus excitant que notre dernier trio avant le confinement. Notre copine était bien moins excitante qu’Hélène !   Après un bon quart d’heure de saillie, Greg dit à Georges - Tu devrais la préparer pour notre spécialité. Je suis certain qu’Hélène va apprécier. Georges se rapproche, m’aide à me retourner sur le dos et son visage se pose entre mes jambes que j’ouvre au maximum. Tandis que je profite d’un long et chaud cunnilingus, Greg me donne sa queue à sucer. Elle a gardé le goût parfumé de ma chatte et je prends plaisir à savourer cette longue queue qui cogne à chaque fois au fond de ma gorge. Greg fait en sorte de ne pas jouir en m’obligeant régulièrement à stopper ma fellation et à garder sa tige bien au chaud dans ma bouche. Georges quant à lui veille à ne pas précipiter mon orgasme en remontant régulièrement de ma chatte à mes seins. Jugeant très certainement ma préparation suffisante, les deux jeunes hommes me font relever et c’est Georges qui s’allonge sur la méridienne. Il me guide pour que je vienne au-dessus de lui puis son énorme gland se présente à l’entrée de ma chatte. Il me pénètre de quelques centimètres puis ressort et ainsi de suite pendant quelques minutes. Son énorme champignon me dilate la chatte et finit par bien en élargir l’entrée. C’est maintenant Greg qui vient se positionner derrière moi et colle son gland contre celui de son copain. Doucement, en me tenant fermement par les hanches, les deux jeunes mâles commencent à bouger en gardant bien la même cadence. Mes chairs s’ouvrent, je mords mes lèvres pour ne pas crier car cela s’avère un peu douloureux. Heureusement, leurs mains ne restent pas inactives et leurs caresses m’aident à me détendre. Lentement, millimètre par millimètre, les deux queues progressent dans ma chatte qui s’ouvre progressivement. Enfin, les voilà au fond de moi et je prends de grandes bouffées d’air pour mieux me concentrer sur cette vague de plaisir qui monte lentement dans mon bas-ventre. J’ai l’impression d’être saillie par une seule et énorme bite, comme si c’était un âne ou un poney qui était en train de me prendre. Après une longue chevauchée qui m’emmène directement au septième ciel, Georges dit à Greg - On lui fait notre spéciale maintenant ? Son copain lui répond - Oui, je suis sûr que cela va lui plaire.   Greg se retire de ma chatte qui doit maintenant se contenter de la grosse bite de Georges. Ce dernier me dit - Savez-vous Hélène que Félicien Rops a été particulièrement pervers et décadent dans les dernières années de sa vie. Sa série de tableaux intitulée « Les sataniques » décrivait une femme entièrement soumise à ses pulsions et qui va jusqu’à s’accoupler avec le diable. Seriez-vous prête à faire de même ? Entre deux gémissements, je lui réponds - Oh oui ! Le diable a déjà pris possession de mon âme, qu’il prenne aussi mon corps ! Aussitôt Greg commence à frotter son gland contre mon petit œillet. Je comprends rapidement qu’il va m’enculer pendant que son copain continue de me baiser. Heureusement que c’est lui qui a choisi cette voie car je pense que la grosse queue de Georges m’aurait déchiré le popotin. Mais là, c’est sans grande difficulté que la fine et longue tige de Greg me perfore l’anus jusqu’à l’intestin.  Une fois que les deux hommes sont bien calés en moi, les voici qui commencent à me besogner en cadence. Le puissant sabre de Georges coulisse facilement dans ma chatte bien détendue après cette double pénétration vaginale. Dans l’étroit fourreau de mes fesses, la fine dague de Greg est parfaitement à l’aise. Leurs mains agiles continuent à me tripoter de partout, notamment les seins et le clito tandis que leurs bouches brûlantes me dévorent sans arrêt. Je me donne entièrement, je fonds de partout, je m’abandonne à leur fougue, je gémis de plaisir. Les deux coquins jubilent, en profitent et me baisent avec ardeur. Ils sont nus et je suis prise en sandwich entre ces deux corps secs et musclés. Soudain, Georges s’écrit - Attention, je vais jouir !  En écho, Greg lance - Moi aussi ! Quel pied ! Pour bien les exciter jusqu’à la fin et jouir comme une véritable chienne, je leur dis - Oui, je veux tout votre foutre ! Que Satan me féconde, qu’il fasse de moi sa salope préférée !   Les deux hommes tentent de se retenir pour profiter le plus longtemps possible de cette belle salope parisienne qui se donne par tous ses trous. Leur jeu me plait et je fais tout ce que je peux pour les pousser à la jouissance. J’ondule de la croupe, je contracte les muscles de ma chatte et de mon cul, je leur donne mes tétons gonflés de désir et je les excite de la voix - Oh oui, encore ! Plus fort ! - Videz vous dans mes trous ! Je veux tout ! - Je suis votre petite salope ! Profitez en bien ! - Oh oui. Défoncez moi bien ! Lorsqu’ils jouissent enfin à l’unisson, une vague brûlante déferle dans mon bas-ventre et dans mes reins. Je suis prise de spasmes et tout mon corps vibre de plaisir. Quel pied !  Une fois remise de mes émotions et alors que je suis en train de me rhabiller, mon téléphone vibre. C’est la réponse de François à mon sms « Non chérie, pas de console ! Nous n’avons plus de place à la maison. » Qu’importe, je décide d’acheter l’un des tableaux de Félicien Rops en souvenir de cette débauche satanique. Mes deux amants m’embrassent longuement, je les quitte mais ma chatte et mon cul sont encore pleins de leur jouisance…..
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