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Bourgeoises soldées

Chapitre 9

Avec plusieurs hommes
J’avais donné rendez-vous à ma mère dans un café afin que nous discutions toutes les deux de la décision de porter plainte contre Mohamed et ses complices. J’ai choisi un bar tranquille en dehors du centre ville, pas vraiment la grande classe mais au moins discret…Je lui racontais comment j’avais assisté à l’horrible humiliation du proviseur. Elle me raconta de son côté comment elle était devenue l’esclave de son stagiaire à la banque, qui ne perdait pas une occasion de la sauter soit dans son bureau soit dans les toilettes. Maman est habillée d’un tailleur gris sur un chemisier rose fuchsia et je porte une jupe rouge avec un chemisier blanc avec des talons aiguilles crème. Nous sommes assises à une table et je remarque plusieurs regards de consommateurs masculins qui lorgnent sur nos jambes croisées très haut. La porte s’ouvrit et j’eus l’impression que mon cœur s’arrêtait de battre ! Cela dut se voir sur mon visage car ma mère se retourna et elle blêmit à son tour. Moussa venait d’entrer dans la café !

Comment a-t-il pu savoir ? Ce n’est pas possible ! Je comprends soudain que c’est sans doute Claudine, le proviseur du lycée, qui a dû vendre la mèche. Maintenant qu’elle est devenue la nouvelle proie de Mohamed et surtout de Gérard, le gardien et de son horrible femme ! Je maudis ma naïveté d’avoir cru qu’elle garderait le secret, elle doit être totalement sous l’emprise de ce couple pervers…Moussa s’approche de nous et s’assoie à notre table. Il nous lance un regard noir.— Alors, espèce de chiennes ! Vous vouliez nous baiser ? Et bien c’est vous qui allez vous faire baiser encore une fois et cette fois votre punition va être à la hauteur de votre trahison !Maman et moi nous n’osons pas protester. Moussa avance sa main sous la table et me caresse mes cuisses faisant crisser le nylon de mes bas. Il regarde maman et lui demande de retrousser sa jupe ! — Mais...Mais, ce n’est pas possible, les clients vont…— S’en apercevoir ? mais justement ma chérie, tu vas les exciter un peu !Rouge de honte, maman s’exécute soulevant un peu sa jupe en plein café dévoilant généreusement ses cuises gainées de bas noirs, elle s’arrête juste à la lisière du bas. Mortifiée par cette exhibition forcée…Moussa se retourne et ricane. En effet, plusieurs clients du café en oublient de boire leurs verres, la bouche ouverte, ils matent les jambes de maman. Moussa se lève et va voir le patron du café, un homme bedonnant. J’observe le conciliabule, inquiète…Que nous réserve Moussa ? Je compte rapidement les clients du bar, ils sont quatre. Il y a deux jeunes, un vieillard d’au moins 70 ans et un homme genre routier. Le patron nous lance un regard égrillard. Ce qui ne me rassure pas vraiment… Moussa revient vers nous et nous empoignent par le bras. Il nous pousse vers l’arrière salle du café qui fait aussi restaurant. Il nous demande d’attendre. Apeurées, maman et moi nous nous regardons…Des pas nous font frissonner. C’est le vieillard ! Il s’approche de Moussa et sans un mot, lui donne une somme d’argent. Le vieil homme s’approche de nous et nous demande d’ouvrir nos vestes et nos chemisiers. Dociles et sous le regard autoritaire de Moussa, nous obéissons. Il salive littéralement devant nos seins. Il posa ses mains sur les miens, les malaxant sans douceur. Il baissa les balconnets du soutien-gorge et se pencha gobant la pointe de mes seins. J’eus un sursaut de dégoût en voyant ce visage ridé se pencher vers moi. Des éclats de voix retentirent de nouveau. Les autres clients étaient venus voir suivis du patron.— J’ai carrément fermé pour être tranquille lança-t-il à la cantonade.Tous payèrent Moussa. Le routier s’approcha de maman et lui souleva sa jupe. Elle tenta de se débattre.— Fais voir salope ! Tout à l’heure tu nous montrais bien plus…T’as un porte-jarretelles, putain ! Les trois hommes entourent maman et commencent à la toucher partout, les mains deviennent baladeuses. Elles s’insinuent partout. Maman se retrouve vite la jupe de son tailleur tirebouchonnée autour de la taille, le chemisier ouvert, les seins à l’air malaxés par des mains avides. On lui fouille la chatte. Le vieux me suce les tétons en salivant dessus, il me mord la pointe par moment et je pousse un petit cri. Il me repoussa soudain et sortit un sexe de bonne taille vu son âge canonique. M’agrippant violement par les cheveux, il me contraignit à m’agenouiller devant lui et il m’enfonça sa queue dans ma bouche. Il posa sa main sur ma tête et il donna des petits coups de reins pour mieux s’enfoncer entre mes lèvres.

Maman suce aussi des bites. Elle a la mâchoire déformée par les deux queues des deux plus jeunes qui veulent absolument qu’elle les suce ensemble. Campée sur ses talons aiguilles, elle est penchée en avant et derrière elle le routier et le patron lui enfoncent leurs doigts dans sa chatte et son cul, la branlant sans ménagement. Nos gémissements se mêlent aux halètements de nos clients…— La salope ! qu’est ce qu’elle mouille, une vraie fontaine. — Elle suce comme une pro, la petite…Le vieillard me poussa vers une table où je dus m’allonger, il me souleva les jambes et sa langue s’engouffra dans mon intimité. Il me lape à grand coups, léchant mes petites lèvres intimes…Il sait y faire le salaud et je ne tarde pas à mouiller comme une folle, poussant de petits jappements. Il me mordilla le clitoris et je fis un saut de carpe sur la table arquant mon corps. Un cri me fait tourner la tête. Maman courbée sur une table, les seins écrasés, se fait besogner par le routier. Sa queue rentre et sort du vagin, les fesses de maman tressautent sous les coups de boutoir de l’homme. Il la pilonne avec brutalité. Cela donna des idées au vieux qui me pénétra. J’eus un petit sursaut. Me tenant les jambes, il me donne de violents coups de reins, s’enfonçant dans ma chatte, je gémis…

On alterne les clients. Maman est maintenant prise en main par le patron qui la tenant aux hanches, la défonce comme un sauvage en l’insultant. Le routier a enfoncé sa bite entre les lèvres de Christiane qui le pompe avec frénésie. Le vieux me bourre sauvagement et se retire laissant la place aux deux jeunes. Ils manipulent mon corps me forçant à me lever. Un des jeunes s’allonge sur la table, la bite victorieusement dressée et je dois m’empaler dessus en grimaçant. Il commença à bouger tous en me suçant les seins. Derrière moi, l’autre jeune s’enfonce dans mon anus et je pousse un cri. Bien rempli par ces deux bites, j’halète…Il commence tous deux à bouger alternant les coups de queues. On entendit alors Moussa qui criait :— Eh les gars, on s’active, j’ai encore du travail pour ces deux salopes !Maman et moi nous fûmes agenouillées au milieu de la salle. Les quatre types regroupés autour de nous se masturbant comme des fous. Les premiers jets giclèrent allant s’écraser sur nos seins. Puis le vieux voulut se branler dans la bouche de maman et il éjacula l’étouffant avec son sperme. J’en reçus dans les cheveux et sur mon visage…Moussa nous releva et nous entraina dehors…

Nous nous retrouvons sur le trottoir à peine rhabillées, du sperme souillant nos visages et coulant sur nos seins. Une camionnette blanche est garée devant le café. La porte latérale s’ouvrit et nous sommes poussées à l’intérieur. Je gémis…Oh non, par Pitié…Rachid, Mohamed, Brahim, Diouf et Brice nous regardent, la bite à l’air, déjà en érection…— On vous emmène faire un tour, les bourgeoises, mais durant le trajet il va falloir s‘occuper de nous.La porte latérale claqua comme un coup de tonnerre en se refermant !
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