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Branlette dans les dunes

Chapitre 2

Premier trio

Avec plusieurs hommes
Début juillet 1978, cette histoire est réelle et fait directement suite au chapitre 1 du même nom. Si vous voulez en connaître le contexte global, je vous suggère de lire les récits "1ère fois au cinéma porno" et "la jupe". Nous habitions à proximité d’une grande plage de sable fin bordée de dunes et de forêts de pins.
Un léger mouvement du drap sur ma cuisse et de petits gémissements, ajoutés à la lumière du jour filtrant à travers les persiennes, me tirèrent d’un bon sommeil. J’ouvris les yeux, cherchant à comprendre d’où venait cette sensation sur ma jambe. C’était le drap qui frottait. Et les soupirs ne pouvaient être que Bab. Tout à fait réveillé, je devinai qu’elle se branlait discrètement juste à côté de moi. Mon sexe durcit instantanément, mais je ne voulus pas la déranger dans sa recherche de plaisir, sachant pertinemment que si elle avait eu envie de moi, elle m’aurait réveillé... différemment. En me suçant, par exemple, chose qu’elle ne pratiquait pas assez souvent à mon goût.
Ses mouvements se firent plus rapides, le drap se tendit et un petit cri lui échappa, signe qu’elle venait de jouir. Je la laissai reprendre ses esprits et je me retournai doucement vers elle...
— J’aime bien être réveillé en t’entendant jouir, même si je préfère que tu me tires du sommeil... en t’occupant de moi... lui avouai-je, souriant doucement... — Je me doute petit coquin, dit-elle en m’embrassant sagement les lèvres, mais tu dormais... et j’étais perdu dans des pensées qui m’ont donné envie de me caresser...— Ah bon, tu songeais à quoi ? lui demandai-je, espérant réveiller à nouveau son désir et pouvoir en profiter cette fois-ci plus... directement.— Tssss, ça ne se dit pas ça... vilain garçon... répondit-elle, l’air faussement mutine.— Allez... dis-moi... et moi, je te raconte mon rêve cochon... lui lançai-je rentrant dans son jeu.— Pffffff... tu sais bien que je suis curieuse et tu en profites, renchérit-elle, prenant un air boudeuse puis tout sourire, elle attrapa mon sexe. — Et en plus, ça te fait déjà de l’effet alors que je n’ai encore rien dit !!
Puis en me branlant doucement, elle m’avoua :
— Hé bien, si tu veux vraiment tout savoir... je repensai à l’autre jour sur la plage et je m’imaginai des choses beaucoup plus... comment dire... plus cochonne, pour employer un de tes mots...
Je la laissai raconter son fantasme à son rythme sans l’interrompre.
— J’imaginais prendre le sexe du type dans la bouche, continua-t-elle, me fixant dans les yeux, cherchant à connaître ma réaction...
Elle sentit à ma respiration que cela me troublait, mais elle n’accéléra pas, pour autant, son mouvement sur ma queue...
— Et puis, je m’imaginai te regarder pendant qu’il me pénétrait...
— Dis donc, petit cochon, ça t’excite ce que je te raconte on dirait ! ajouta-t-elle, constatant l’abondance de mon pré-sperme sur sa paume.— Oui, ça m’excite beaucoup... tu aimerais qu’on essaye vraiment ? lui demandai-je, prêt à lâcher mon jus dans sa main.
Sans doute surprise par ma question, elle arrêta sa branlette.
— Tu es sérieux ?... Vraiment ? Tu ne serais pas... jaloux... ou... en colère ? questionna-t-elle...—... Non... enfin, je ne crois pas... L’idée m’excite tellement... Je ne sais pas pourquoi !...
Puis après un instant de réflexion, j’ajoutai :
— Du moment que c’est juste une fois... et puis, surtout, il ne faut pas qu’on connaisse le mec et... qu’on ne le revoit jamais...
Elle restait sans voix... sa main emprisonnant toujours ma queue... Bab semblait en proie à d’intenses réflexions...
— OK... moi...ça me fait un peu flipper... mais... c’est vrai, j’en ai très envie... constata-t-elle, troublée à l’extrême...— Pas cet aprèm en tout cas, on a rendez-vous pour la peinture (cf la jupe 6)... Et on fait comment ? ajouta-t-elle, songeuse...— En toute fin d’après midi, au même endroit que la dernière fois, je ne vois que là... répondis-je... ajoutant d’un ton timide :— Dis ?— Humm ? Quoi ? lança-t-elle, sortant de sa soudaine rêverie...— Tu veux bien finir ce que tu as commencé ? chuchotai-je.
Elle rit franchement puis reprit sa masturbation en me fixant intensément dans les yeux...
— Jouis... jouis pour moi... j’aime tellement te voir jouir... répéta-t-elle, me branlant énergiquement...
Je sentis le plaisir monter en moi et dans un râle, j’envoyai de longs jets de sperme sur son bras, son ventre et son pubis...
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Après une nouvelle fois s’être questionné, et s’être promis que si l’un de nous changeait d’avis, même au dernier moment, nous arrêtions tout... et tant pis pour le mec si nous avions commencé.
Nous arrivâmes après une marche d’une bonne quinzaine de minutes à la plage naturiste, mais il nous fallait continuer encore pour trouver un endroit tranquille. En fait, nous espérions que le creux de dune, où nous étions la dernière fois, n’était pas occupé. L’après-midi étant déjà bien avancé, nous croisâmes quelques couples et quelques hommes qui faisaient le chemin inverse. Il n’y avait pratiquement plus personne, mais nous continuâmes jusqu’à l’endroit prévu.
Je regardai Bab se dévêtir, enlever sa jupe légère et son tee-shirt, elle ne portait pas de SG. Elle baissa sa culotte et s’allongea sur la serviette...
A mon tour, je retirai tee-shirt, short et slip et je me plaçai à ses côtés. Nous attendîmes en discutant, essayant toujours de nous rassurer l’un l’autre sur ce que nous nous apprêtions à faire. L’envie, pour nous deux était toujours là, bien présente, mais nous ne vîmes personne. Je décidai alors de grimper sur la petite dune pour voir si j’apercevais des hommes seuls.
Personne à proximité...
Dépités, nous décidâmes d’aller nous baigner pour n’être pas venus pour rien. L’eau était bonne cette fin d’après-midi, nous barbotions dans l’eau quand nous aperçûmes une silhouette se promenant sur la crête dunaire à une bonne centaine de mètres de notre place.
— S’il marche en haut de la dune, c’est sans doute un voyeur... toujours d’accord ? demandai-je à Bab qui me prit la main et m’entraîna vers nos serviettes.
Nous remontâmes prestement, tremblant d’excitation. Le type ne pouvait pas ne pas nous voir. Nous nous allongeâmes, nous serrant l’un contre l’autre, Bab sur le dos et moi sur un côté. Je sentis sa respiration plus rapide et sa main serrait fortement la mienne. Ma main libre jouait nonchalamment avec les poils de son pubis. Je guettai le moindre bruit indiquant la présence du mec. N’entendant rien, je jetai un œil vers le haut de la dune. Mais rien, soit il n’était pas là, soit il était très discret. Je repris ma caresse et j’embrassai Bab à pleine bouche qui marmonna :
— Le type est là... j’ai vu sa tête derrière les herbes...
Mes doigts pincèrent un de ses tétons, la faisant gémir doucement... Je posai alors ma main sur sa cuisse, la tirant vers moi pour qu’elle ouvre les jambes...
— Ecarte les cuisses, chuchotai-je, ce qu’elle fit... — Plus grand... ajoutai-je...
Elle obéit, ouvrant ses jambes et exhibant ainsi, au regard du voyeur, sa fente, dont, déjà, perlait de la mouille. Ses lèvres intimes s’ouvraient. Je ne pus m’empêcher d’y poser les doigts. J’effleurai l’entrée de sa grotte remontant jusqu’au clitoris érigé. Je frôlai de mon majeur son petit bouton tout dur... Elle gémit sous ma douce caresse.
— mmmmhmmm c’est bon... mmmmhmmm, fit-elle dans un souffle.
Je regardai brusquement vers le haut de la dune, cherchant à apercevoir le type... mais je ne vis que sa tête se baisser aussi vite que j’avais levé la mienne.
— Il mate, caresse-toi... demandai-je à Bab...
Sa main descendit sur son sexe, elle glissa son majeur à l’entrée de son vagin pour l’humidifier et partit stimuler son petit clito... Je me levai alors et me mis face à elle, me branlant doucement en la regardant faire.
Pour mieux mater, le voyeur se mit à genoux, je voyais son bras s’agiter significativement... D’un geste rapide, je lui fis signe d’approcher... Il arrêta son mouvement, se demandant sans doute s’il avait bien compris mon invite que je fus obligé de réitérer. Il regarda autour de lui et se laissa glisser le long de la dune... Bab se masturbait toujours...
— Il arrive... dis-je le plus discrètement possible.
Elle cessa sa caresse, mais garda la main sur sa chatte et elle ouvrit les yeux... L’homme devait avoir entre 30 et 40 ans. Il bandait. Sa bite était, sans surprise, plus longue et plus épaisse que la mienne... Je me rappelle avoir pensé :
— Elle est belle.
Je lui fis encore signe d’approcher, car il n’osait plus avancer. Il arriva à mes côtés. Bab était maintenant assise et m’observait... Je lui fis un petit signe discret de la tête comme quoi j’étais toujours d’accord. Elle reprit sa masturbation, ses doigts jouant avec ses lèvres, une phalange pénétrant son vagin et retournant stimuler son petit bouton. Elle regardait maintenant nos sexes. Le mec se branlait, fixant l’entrejambe de Bab et moi, je me caressai juste les couilles...
Bab se mit à genoux, me tendit la main pour que j’approche. Elle remonta le long de ma cuisse jusqu’à mes fesses, puis sa bouche s’approcha de ma bite dégoulinante de présperme. Elle m’avala d’un coup jusqu’au pubis et ne bougea plus.
— hmmmmmm mmmmm c’est bon... murmurai-je, sentant sa langue jouant avec le frein de mon gland.
D’un geste lent, elle tendit son autre main vers le type qui approcha le sexe tendu comme un arc bandé. Elle posa la main sur sa jambe... Puis elle fit ressortir ma queue de sa bouche. Elle enserra entre ses doigts la bite du mec, elle leva les yeux une dernière fois vers moi, cherchant une éventuelle désapprobation de dernière minute. N’y voyant qu’un encouragement, elle tourna alors son visage vers le sexe du gars et lui donna un coup de langue sur le bout de la verge... puis un autre... puis encore un autre. D’un coup, sa langue plongea sous le prépuce, léchant le gland et l’enroulant comme si elle lui roulait une pelle....
— Mhmmmmm putain... c’est bon... suce-moi... fit l’homme... en mettant une main sur la tête de Bab.
Elisabeth lâcha mon sexe pour placer ses deux mains sur les fesses du type... puis doucement, d’un trait, elle engouffra la bite le plus profondément possible, provoquant un léger haut-le-cœur. Les mains du mec se crispèrent sur sa nuque. Bab ne bougea plus quelques secondes...
Je m’accroupis à ses côtés, passant une main sous ses fesses jusqu’à caresser sa chatte détrempée. J’essayai de la branler pour l’exciter encore davantage.
Bab, maintenant, le suçait... je voyais cette bouche que j’aimais tant avaler une autre bite que la mienne... J’étais subjugué... Elle cessa sa fellation pour plonger sur ses couilles velues, grosses et pendantes... Elle enfouissait son nez à s’y étouffer. Puis elle me regarda d’un d’air de dire :
— Tu vois... j’avale cette bite devant toi... ça t’excite que je le suce, n’est-ce pas ?
Elle reprit sensuellement sa fellation, malaxant ses couilles. A la place du gars, j’aurais déjà tout envoyé, c’était sur ! Le mec finit par la stopper... me regarda puis lui demanda :
— Tu veux que je te baise ?...
Je me souviens avoir failli jouir rien qu’en entendant cette question.
Bab tourna son regard vers moi, cherchant une nouvelle fois mon consentement... Puis, elle s’allongea sur le dos, écartant ses jambes vulgairement, les genoux repliés sur sa poitrine... Le mec la matait debout, s’astiquant le gland... puis il s’installa entre ses cuisses, prêt à s’y enfoncer...
— Attends... lui fit Bab...— Daniel... viens... viens à côté de moi... soupira-t-elle.
Je m’allongeais mon visage face à son visage, main dans la main... Elle me fixa encore et ajouta:
— Embrasse-moi... embrasse-moi...
Je l’embrassai à pleine bouche, nos langues se mélangèrent et tournoyèrent. Elle dut faire un signe au mec, car, d’un coup, je sentis son corps se crisper et sa main serrer la mienne. Le mec avait dû la pénétrer. Bab ferma les yeux quelques secondes et soupira de plaisir :
— mmmmmmhmm oooohhhhh mmmmmhhh.
Elle rouvrit les yeux puis le mec dut s’enfoncer plus profondément, car Bab me mordit la lèvre...
— mmmmmmhhhhmmmm.
Il ne bougea pas pendant quelques secondes... puis il se retira lentement et, sans doute, presque entièrement pour lui donner un violent coup de reins, enfonçant à nouveau toute sa bite.
— oohhhhh... mmmhhh... geignit-elle en serrant ma main de toutes ses forces.
Le type recommença... Cette fois, il se retira un peu plus vite et la pénétra à nouveau d’un grand coup de reins... Envoyant sa bite loin au fond de son vagin, là où la mienne, trop petite, n’avait jamais été... Puis, il la baisa puissamment arrachant des plaintes de plaisir :
— hummm oooohhh hummm... mmmmmmhhhh lui répondait Bab en écho à son pistonnage.
Elisabeth ne me lâchait pas des yeux, y cherchant, j’en suis sûr, mon humiliation... Et putain, c’était horrible comme j’aimais ça.
Le gars n’était pas comme moi, rapide à jouir. Il était endurant... et il la baisait comme un vrai mâle, il la baisait alternant les passages rapides et puissants et les moments lents et amples... finissant par dire haletant :
— Tu aimes ma bite ?... Hein, tu aimes ça...!
Bab toujours ses yeux dans les miens lui susurra :
— Oui... mmmmhhhh oui, elle est bonne... hummmm elle est bonne... hummm oui... je la sens bien... hummmm... fit-elle en calant ses mouvements de bassin vers le mec qui la pourfendait.
Ces mots étaient plus adressés à moi qu’à lui, mais il ne s’en aperçut pas, évidemment... J’entendais le bruit de son vit clapotant dans la mouille de la fille que j’aimais...
— Je peux jouir dans ta chatte ?
Bab me regarda encore...
— Oui, vas-y... hummmmm oui... vas y... donne-moi tout, lui annonça Bab qui enserra de ses talons les fesses du gars qui accélérait encore ses coups de butoirs.— Hummmmmm mmuuuuuhmmmm tiens... tiens... mhhhhhmmmmm tiens... fit le gars continuant à lui donner des grands coups de pine en se vidant de son foutre.
Il finit par s’affaler au creux de l’épaule de Bab qui le laissa reprendre un peu ses esprits avant de le repousser doucement.
— C’était très bon, vraiment très bon... lui murmura Bab... tu peux nous laisser maintenant ?— Oui... bien sûr, pas de problème, je m’en vais... c’était très bon pour moi aussi... merci...
Nous nous regardâmes, cherchant dans le regard de l’autre les sentiments qui nous habitaient. Nous nous embrassâmes, bécotâmes, réconfortâmes puis elle me dit :
— Je vais devoir aller dans l’eau... tu m’accompagnes ?
Du sperme maculait la serviette entre ses jambes et quand elle se leva, il s’en échappa encore de sa vulve. Nous allâmes à la mer, elle se rinça le sexe dans les vagues.Puis, nous finîmes par repartir le long de la plage, échangeant nos sentiments.
— Tu as joui ? lui demandai-je tout de même assez anxieux.— Non, enfin, j’ai eu beaucoup de plaisir, mais pas d’orgasme et, cérébralement, c’était intense de te voir à mes côtés pendant que je... toi non plus, tu n’as pas joui ?... je croyais que tu allais te caresser, déclama-t-elle...— Comme toi... te voir faire... c’était incroyable dans ma tête... ce que j’ai ressenti était un mélange de tellement de trucs que je ne saurais bien les décrire... un truc de fou... lui avouai-je.
Cependant, une question me tarauda l’esprit sans que je n’ose encore la poser ? Une question seulement ? Non... bien plus... mais une essentielle à mes yeux !
Maintenant que Bab avait goûté à une plus grosse queue, aurait-elle encore envie et du plaisir avec la mienne ?Et subsidiairement... recommencerions-nous ?
J’eus, à ces deux questions, la réponse le soir même !
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