Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 3 J'aime
  • 1 Commentaire

Le braque à la Brique

Chapitre 1

Divers
Ça fait que j’étais allé à Place d’Orléans pour m’acheter des bottes en élastique, puis qui c’est que je vois pas à la cafétéria, avec une poutine extra-saucisse puis une canne de Zanzibière ? Nic la Brique ! Puis apparence que le centre d’achats l’avait engagé comme gardien, parce qu’il avait un uniforme noir sur le dos puis une radiomobile après sa ceinture. Sauf qu’il avait pas l’air content de sa nouvelle crève, Nic la Brique : il était assis tout seul à sa table en faisant la baboune, puis il piochait dans sa poutine avec sa fourchette sans rien manger. Je vous dis qu’il faisait pitié ! Juste à le voir, je me sentais mal, moi avec...Son vrai nom, à Nic la Brique, c’est Nicolas Labrecque; mais nous autres, on l’appelle « la Brique » parce qu’il est fait carré comme une brique puis qu’il a les cheveux rouge carotte - il lui manque juste le joint de ciment tout le tour ! Puis costaud en ostie, à part ça ! Je me rappelle encore du temps qu’il jouait comme quart-arrière pour la Légion : il était capable de tasser un gars de deux cent cinquante livres pour se faire un chemin. Il aurait pu se rendre jusque dans la Ligue Canadienne, Nic la Brique; mais en fin de compte, la Légion, ils l’ont câlissé dehors. Ça a l’air qu’il passait plus de temps à courir après les meneuses de claque qu’à courir avec le ballon.Ça fait que je me suis assis avec lui, puis je lui ai demandé pour qu’est-c’est faire que ça filait pas.— C’est ma blonde, qu’il me dit. C’est sa fête en fin de semaine.— Ah ! Là, je comprends : c’est dans deux jours, puis tu sais toujours pas quoi lui donner comme cadeau.— Non, c’est pas ça pantoute. Je le sais, qu’est-c’est qu’elle veut.— C’est quoi le problème, d’abord ? que je lui demande. Elle t’a demandé de lui acheter de quoi mais t’as pas les moyens ?— Non, c’est pas une question d’argent non plus. C’est juste que... l’affaire qu’elle veut pour sa fête, c’est... c’est pas quelque chose qu’ils vendent aux Escomptes Garant...Puis c’est là que la Brique m’a raconté que le mois d’avant, pour sa fête à lui, sa blonde lui avait donné tout un cadeau : une autre fille ! Ils étaient allés chez Gaston, puis en sortant du bar, ils avaient ramassé je sais pas quelle guidoune, puis ils l’avaient ramenée chez eux. Puis après ça, la Brique se les était embraquées, toutes les deux : il avait passé le reste de la nuit à leur bourrer la plotte, à sa blonde puis à l’autre morue. Apparence qu’il avait jamais bandé de même, la Brique !Moi-même, rien qu’à l’entendre me raconter tout ça, je venais raide comme le calvaire. Je l’imaginais en train de prendre sa blonde par derrière, pendant que l’autre se faisait manger la motte. Ou bien je le voyais, couché sur le dos, avec les deux filles à cheval dessus : une plantée sur sa queue, l’autre assise sur sa face. Ou bien donc j’imaginais la Brique après se faire sucer par les deux morues en même temps, une boule dans chaque main. Qu’est-c’est qu’il avait à faire la baboune de même ? Moi, à sa place, j’aurais eu le sourire fendu jusqu’aux oreilles.— Ah, mon gros crisse de mardeux ! que je lui dis. Deux plottes rien que pour toi, toute une nuit, puis après ça, tu trouves le tour de venir chialer ?— C’est pas ça le problème, qu’il me dit. L’affaire, c’est qu’à cette heure, je lui en dois une, à ma blonde...— Puis après ? T’as juste à retourner au bar puis à lui ramener une autre guidoune.— Bien non, ostie d’innocent ! C’est pas une autre fille qu’elle veut; c’est un autre gars.Moi, j’en ai pas demandé plus : si la blonde à la Brique en avait pas assez d’une queue puis voulait se faire bourrer par une deuxième en même temps, c’était pas moi qui allait la décevoir. Parce que moi, vous me connaissez : décevoir une femme, c’est pas mon genre. À part quand elles sont frigides puis qu’elles sont pas capables de jouir; là, c’est pas de ma faute. Ou bien quand elles sont nymphomanes puis qu’elles savent pas quand est-ce que c’est le temps de s’arrêter. Ou des fois, quand je suis nerveux; mais ça, c’est pas de ma faute non plus : c’est des affaires qui peuvent arriver à n’importe qui.Ça fait que j’ai dit à la Brique qu’il avait plus besoin de chercher, puis qu’il pouvait dire à sa blonde qu’en fin de semaine, pour sa fête, on allait lui donner toute une bascule. Lui, il m’a dit que je comprenais toujours pas, puis que c’était pas aussi simple que je pensais, puis un paquet d’autres affaires; mais moi, je l’écoutais même plus. La seule affaire que je voulais savoir, c’était à quelle heure je pouvais me pointer chez eux samedi soir; le reste, je m’en câlissais comme de l’an quarante.Parce qu’il faut que je vous dise que la blonde à la Brique, c’est toute une poupoune. Des beaux cheveux frisés qui lui descendent jusqu’aux épaules, des beaux yeux noirs, des grosses lèvres de suceuse... Puis elle vous a une de ces paires de boules : elle pourrait jouer aux quilles avec ! Je peux pas vous dire combien de fois je m’étais déjà crossé en pensant à cette fille-là; puis maintenant, la Brique puis moi, on allait se la partager ! Un à chaque bout, puis elle au milieu comme un mouton sur la broche !Pas besoin de vous dire que ça m’a pris tout mon petit-change pour me rendre jusqu’au samedi. À chaque fois que je pensais à la blonde à la Brique puis ses grosses boules, je venais bandé comme une arbalète. Mais je voulais pas me crosser trop souvent; parce que sans ça, j’aurais plus de mine dans le crayon rendu chez la Brique. Me voyez-vous débarquer là-bas avec la queue molle comme de la guenille ? Franchement ! C’est pas des cadeaux à faire ! C’était pas ça pantoute que je voulais lui donner pour sa fête, à l’autre poupoune; mais en attendant, c’était pas un ostie de cadeau non plus de me retenir...La Brique puis sa blonde, ils restent dans un sous-sol sur la douxième avenue, entre Bosquet puis Draguignan. En arrivant là, le samedi soir, j’ai vu qu’il y avait pas de lumière à l’étage au-dessus : leurs propriétaires devaient être partis. C’était bien tant mieux : ça voulait dire que la blonde à la Brique allait pouvoir crier aussi fort qu’elle voulait en jouissant, puis elle dérangerait pas personne. Puis je vous jure qu’on allait vous la faire crier fort en tabarnac ! Un braque dans chaque trou : c’était parti pour être extra-saucisse, comme la poutine à la Brique l’autre fois.C’est elle qui est venue répondre à la porte. Elle devait sortir de la douche, parce que ses beaux cheveux étaient tout trempes, puis qu’elle avait juste une serviette sur le dos. C’était tant mieux : ça ferait pas grand-chose à enlever tantôt !— Bonne fête, chère ! que je lui dis avec un grand sourire.— Nic ! qu’elle crie à son brave dans le salon, tu m’avais dit que t’avais trouvé quelqu’un de bien fait pour mon cadeau.— Ça te fait quel âge ? que je lui demande.— C’est qui ce crossifix de zouave-là ? C’est ça que t’appelle une belle pièce d’homme ?— J’ai fait qu’est-c’est que j’ai pu, qu’il lui répond. Si t’es pas contente, on peut laisser faire...
— Tant même, tant même. Moi, je dis plus rien. Mais elle est mieux d’être gréée comme la Grande Hermine, ta belle pièce d’homme...Ça fait qu’elle est allée dans la chambre à coucher, puis moi puis la Brique, on l’a suivie. Ils m’ont pas demandé comment c’est que j’allais, ils m’ont pas offert un café, il y a pas eu de conversation dans le salon pour mieux se connaître : on est tout de suite passés dans la chambre à coucher. Je sais pas si pour vous autres, c’est pareil, mais moi, j’aime ça, les histoires qui vont droit au but. Je suis pas du genre à tourner autour du pot. Il y en a d’autres qui auraient passé des heures à vous raconter chaque petit crisse de détail; mais avec moi, il y a pas de niaisage. Avec moi, ça s’appelle : « accouche, qu’on baptise ».La blonde à la Brique s’est installée sur leur lit, accotée sur une pile d’oreillers; moi puis la Brique, on restait debouts, à la regarder faire. Elle a écarté ses jambes, puis elle a laissé tomber sa serviette de chaque bord. Moi, quand j’ai vu ses grosses boules puis sa motte poilue, je bandais comme le chevreuil dans la chanson. Puis elle, ça devait l’exciter en tabarnac, de se faire fourrer par deux gars, parce qu’elle nous regardait en se flattant la plotte. Sauf qu’après ça, elle nous dit : « Allez-y : embrassez-vous. »Moi, je comprenais plus rien. Mais apparence que l’affaire qu’elle voulait pour sa fête, la blonde à la Brique, c’était pas de se faire mettre par deux gars : c’était d’avoir ces deux gars-là dans sa chambre à coucher, puis de les regarder fourrer. Elle voulait se crosser, assise sur son lit, pendant que son brave embrassait un autre zouave, puis qu’il lui suçait la queue, puis qu’il se la faisait mettre dans le cul. Pas besoin de vous dire que c’était pas pour ça pantoute que j’étais venu les voir ce soir-là. Puis la Brique, l’ostie d’innocent, qui m’avait rien dit !Allez surtout pas croire que je suis une tapette. Si je me suis mis à embrasser la Brique, c’est parce que ça m’excitait de voir sa blonde, du coin de l’oeil, qui se jouait après le capuchon. La face à la Brique était comme du crisse de papier sablé, puis c’était un peu dégueulasse de sentir sa grosse langue sale dans ma gueule puis de goûter la cendre de ses Roxane; mais quand je tournais la tête, je voyais que sa blonde avait l’air d’aimer qu’est-c’est qu’elle voyait. Ça fait que j’ai pas rien dit puis j’ai continué.Mais l’affaire, c’est qu’à chaque fois que je me retournais pour voir la blonde à la Brique se crosser, lui, il me poignait par les cheveux puis il me ramenait face à lui; ça fait que je voyais pas grand-chose. Puis après ça, il m’a tiré mon justau de sur le dos, ça fait que j’ai plus rien vu pendant une bonne secousse. Lui avec, je lui ai enlevé son justau; puis j’ai entendu la fille qui râlait en arrière : « Ah oui ! Tout nus, mettez-vous tout nus ! »C’est là qu’il m’est venue une idée. Je me suis dit que si la blonde à la Brique nous voyait tout nus, ça lui donnerait peut-être envie de laisser faire, pour son cadeau de fête, puis de vouloir se faire sauter à la place. Voir deux gars fourrer, dans le fond, il y a rien là; mais les mêmes deux gars qui embraquent une poupoune, c’est une autre paire de manches, vous pensez pas ? Ça fait que j’ai baissé mes culottes puis j’ai demandé à l’autre morue si ça la faisait changer d’idée...Sauf que la Brique puis sa blonde, ils ont eu une drôle de réaction quand ils m’ont vu me sortir la queue : ils se sont mis à rire. Pour moi, il avait dû se passer quelque chose de comique juste avant que j’arrive, puis là, ils venaient tous les deux de s’en rappeler en même temps. En tout cas, ça devait être drôle en sacrament, leur plume, parce qu’ils étaient crampés tous les deux; même que la fille était après s’étouffer sur sa pile d’oreillers.Mais à un moment donné, ils ont fini par s’arrêter; puis après ça, elle lui a dit : « À ton tour, Nic : montre-nous ta belle queue ! » Ça fait que la Brique a baissé ses culottes, lui avec. Le gros tabarnac : il était emmanché comme un cheval ! Même dans les films de cul, j’avais jamais vu une pissette de même. Puis le pire, dans tout ça, c’est qu’il bandait pas encore; qu’est-c’est que ça allait être tantôt ?Ça fait que la Brique a commencé à se crosser, bien lentement, en regardant sa blonde se décapuchonner sur le lit. Moi avec, je me crossais, sauf que j’étais de dos à sa poupoune; c’était pas aussi facile. Parce que la Brique, avec son autre main, il continuait à me tenir par les cheveux pour pas que je grouille; ça fait que tout qu’est-c’est que je pouvais voir, c’était sa grosse queue en avant de moi. Ça ma faisait pas bander autant, mais je vous dis que c’était quand même tout un spectacle : à chaque passe, il vous la faisait enfler puis gonfler comme s’il avait eu une pompe à bicycle dans les gosses !Une fois qu’il a eu le braque raide comme une barre de fer, il m’a poussé la tête par en bas. Il est peut-être plus aussi fort des bras que dans le temps qu’il était quart-arrière, la Brique; mais moi, par contre, je suis loin de peser deux cent cinquante livres. Ça fait que pas besoin de vous dire que j’ai câlissé le camp par terre, puis que je me suis ramassé à quatre pattes en avant de lui. Mais après ça, il m’a tiré après les cheveux puis il m’a relevé la tête juste à la hauteur de sa grosse pissette : il y avait pas six pouces entre le bout de mon nez puis le bout de sa queue. Puis j’ai entendu la voix de sa morue, en arrière, qui criait : « Suce ! Suce, mon ostie de tapette ! »Allez surtout pas penser que je suis un pousseux de crotte. Si j’ai pris la Brique par le manche puis que je me suis fourré le bout de sa grosse queue dans la gueule, c’était juste pour impressionner sa blonde. Je me suis dit que ça allait l’exciter en sacrament, de me voir sucer son brave, puis qu’après ça, elle allait vouloir se faire mettre. Apparence que la Brique avec, il voulait l’impressionner : il m’a poigné le derrière de la tête avec ses deux mains, puis il a donné un grand coup de hanches pour me pousser son braque jusque dans le fond de la gorge.Il me l’a rentré tellement profond que j’ai passé proche de dégueuler; puis quand il l’a ressorti à moitié, je toussais comme un malade. Le deuxième coup, j’ai pas été pris par surprise, mais je me suis étouffé quand même : c’était comme essayer d’avaler un jambon-beurre au complet en une seule bouchée, sans mâcher. Sauf que son braque, à la Brique, c’était un jambon-beurre gluant à un bout, avec des grosses veines tout le long de la baguette, puis une touffe de poil à l’autre bout. Mettons que c’était pas le genre de jambon-beurre qu’ils nous servent chez Beaucent...La blonde à la Brique, elle lui criait de me bourrer la gueule, puis qu’il était son gros cochon à elle, puis que ça la faisait jouir; elle lui criait un paquet d’affaires, puis entre deux phrases, je l’entendais se passer le doigt dans le minou. La Brique avec, il était pas mal excité; il avait pas l’air d’haïr ça, que je le suce de même. Puis moi, en attendant que la poupoune se déniaise, j’essayais de garder la gueule grande ouverte comme si j’avais été chez le dentiste; puis pour pas tomber sur le dos à chaque coup de hanches, je m’accrochais des deux mains après les grosses fesses poilues à la Brique.Je sais pas si c’était de me sentir les doigts dans la raie ou bien si c’était à force de regarder sa blonde se crosser, mais la Brique, il était quasiment rendu. À chaque poussée, je l’entendais sacrer entre ses dents : « Crossifix d’ostie de saint-crime d’estensoir de crisse de paraclette... » Encore deux ou trois coups, puis il allait plus savoir quoi dire, le zouave ! Mais en fin de compte, je pense qu’il voulait pas me venir dans la gueule tout de suite, parce qu’il est ressorti, toujours aussi dur puis raide, puis on a tous les deux été capables de reprendre notre respire.Sauf qu’après ça, sa blonde s’est levée du lit, puis elle nous dit :— Nic, moi avec, j’ai un cadeau pour toi.— Hein ? qu’il lui répond. C’est quoi, une surprise ?— Attends voir, qu’elle lui dit.Puis moi, j’ai entendu qu’elle était après ouvrir le tiroir de la table de nuit.— Attends voir une minute... Regarde ça, qu’est-c’est que j’ai acheté hier au Godemarché.— Oh, ma cochonne ! Mon ostie de cochonne sale !— Tu veux-tu qu’on l’essaie ? qu’elle lui demande.— C’est ta fête, qu’il lui dit. Vas-y ! Fais-toi plaisir !Moi, j’avais pas trop compris qu’est-c’est qu’ils racontaient, parce que la Brique me tenait toujours par les cheveux puis que j’avais pas la tête tournée du bon bord. Mais après ça, la poupoune est venue nous rejoindre en avant du lit, puis là j’ai vu c’était quoi, sa surprise. La blonde à la Brique était toujours toute nue, sauf que maintenant, elle était attriquée avec une drôle de patente : c’était comme des ceintures attachées autour de sa taille puis de ses cuisses; puis juste en avant de la plotte, elle avait un genre de queue en élastique.Cette queue-là était loin d’être aussi grosse que le braque à la Brique; elle devait pas faire plus que six pouces de long. Même moi, j’étais mieux gréé qu’elle ! C’est pour ça que la blonde à la Brique, elle lui avait donné un nom : elle l’appelait son « petit Nicolas ». Sauf qu’à cette heure, avec le petit Nicolas, le gros Nicolas, puis moi entre les deux, ça nous faisait trois queues en tout. C’était extra-saucisse en calvaire, notre affaire !Mais apparence que ma saucisse à moi était pas sur le menu, parce qu’après ça, la Brique a recommencé à me faire bouffer la sienne. Sauf qu’il s’était mis à genoux par terre puis qu’il m’avait pesé sur la tête jusqu’à ce que je retourne à quatre pattes. C’était moins facile à sucer, parce je pouvais plus m’accrocher à son cul comme tantôt pour garder mon équilibre. Puis pendant ce temps-là, sa morue est retournée chercher de quoi dans le tiroir de la table de nuit. Je me demandais bien qu’est-c’est qu’elle brettait là; mais en fin de compte, je suis bien content qu’elle ait fait un détour...Parce que tout à coup, j’ai senti qu’elle était juste derrière moi, puis qu’elle me beurrait je sais pas quelle sorte de morve entre les deux fesses. C’était encore plus gluant que le bout de la grosse queue à la Brique dans ma gueule !— Envoye, qu’il lui dit, déviarge-moi ça, ce petit cul-là.— Ah oui ! Puis toi, bourre-lui ta grosse queue jusque dans le ventre !— Vas-y, ma cochonne !Puis là, entre deux sucées, j’ai senti la blonde à la Brique me poigner par les hanches puis me fourrer la queue en élastique dans le cul, d’un seul coup. C’était comme si une grosse crotte avait changé d’idée à mi-chemin puis décider de remonter, à la place.— Nic ! Nic ! qu’elle nous crie. Oh Nic, regarde comment est-ce que je le bourre !— T’es la plus cochonne, ma belle.— Oh, écoute-le couiner, la petite crisse de guidoune ! Il aime ça, en plus !Allez surtout pas vous imaginer que je marche à la voile puis à la vapeur. Si je me suis mis à bander comme la bande des six quand la blonde à la Brique m’a ramoné le trou de cul, c’est parce qu’en fait, j’étais en train de penser à des femmes tout nues. Puis à part ça, je couinais pas : j’essayais juste de leur demander quand est-ce que ça allait être mon tour. Sauf que c’est dur en tabarnac de dire de quoi avec le gros braque à la Brique entre les dents...En attendant, avec la Brique d’un côté qui m’embraquait le fond de la gueule comme un câlisse de débile, puis sa blonde qui me poussait la crotte à l’autre bout, moi, j’étais pris entre les deux puis je pouvais pas grouiller. C’était moi, en fin de compte, le mouton sur la broche ! Puis apparence que ça devait pas être mon tour ce soir-là, parce qu’à un moment donné, la morue à la Brique a commencé à me donner des tapes aux fesses entre chaque bourrée de petit Nicolas, puis moi, je suis venu. J’ai bien essayé de me retenir, mais c’était comme plus fort que moi : je vous ai craché toute la baise que j’avais dans les gosses sur le tapis de leur chambre à coucher.Mais la flaque de baise sur le tapis, ça avait pas l’air de leur faire un ostie de pli sur la poche. La blonde à la Brique a continué à me taper les fesses; puis à chaque tape, elle me traiter de guidoune, ou de crisse de suceuse, ou bien de petite plotte mal bourrée. La Brique, lui, il s’est ressorti la queue de ma gueule puis il s’est levé debout. Puis après ça, il a dit à sa blonde que c’était ça, son cadeau, puis il lui a chanté bonne fête. Moi avec, j’ai chanté, mais juste le deuxième « c’est à ton tour de te laisser parler d’amour », parce que ça a pris une secousse avant que je puisse me faire aller le mâche-patates.— Bonne fête, ma belle, qu’il lui dit à la fin de la chanson.— Ah merci, Nic ! C’est le plus beau cadeau que personne m’a jamais fait !— Oui, j’ai vu que t’avais l’air d’aimer ça, ma petite cochonne.— Toi aussi, t’aimais ça, on dirait... Regarde ça : t’es raide comme la carpette.— Oh, c’est toi qui m’excites, ma poupoune.— Viens me faire un autre cadeau ! Donne-moi ta belle grosse queue, maintenant !— Oui, tout de suite ! Presque tout de suite !Ça fait qu’ils m’ont crissé dehors avec la moitié de mon linge sur le dos, puis ils ont continué.
Diffuse en direct !
Regarder son live