Simon reste tétanisé. Cette superbe femme qui s’offre à lui est évidemment tentante mais c’est aussi l’usurpatrice, celle qui lui a barré la route, celle avec qui il a juré de ne pas sympathiser. Il pose son plateau et dit froidement:-Je vais vous demander de vous rhabiller et de partir!Nina ne cesse pas de sourire. Elle lui jette son tee-shirt et lance d’une voix mutine:-Vous me rhabillez?En soupirant, il se laisse tomber sur le canapé. Nina poursuit:-Je vais mettre les choses au point Simon. Je sais que vous vouliez ce poste. Mais je vous jure que je ne le dois qu’à mes états de service. Si vous en doutez, je peux vous montrer mon dossier. Maintenant, si comme on me l’a dit, vous faites un bon boulot, je ferai de bons rapports sur vous et vous montrez en grade.-Mouais...Et c’est pour ça que vous me montrez vos seins?-Ca c’est autre chose. Je n’ai pas pour habitude de tergiverser. Vous me plaisez...-Ah!-Oui! Et, visiblement, je vous plais aussi à la façon que vous avez de reluquer mes nibards. Vous êtes célibataire, moi aussi. Nous ne sommes pas en service alors pourquoi se priver?Elle le regarde dans les yeux. Elle sent qu’il va céder. Elle porte l’estocade:-En tant que capitaine, je dois vérifier le calibre de mon lieutenant...Elle défait la braguette du short et sort le membre à moitié bandé de Simon. Elle le caresse d’une main et soupèse les couilles de l’autre.-Mhh, bel engin lieutenant! Et puis...vous avez des munitions!Vaincu, Simon se laisse faire. Impossible de résister à cette créature de rêve. Il regarde la langue de sa supérieure hiérarchique lécher son gland, sa hampe, ses couilles...Instantanément son sexe s’est dressé.-Mhh quelle trique mon cher!Elle engloutit la bite et le pompe superbement en lui malaxant les boules. La grosse pine prend encore du volume. La capitaine reprend son souffle, branle la queue entre ses gros seins et commente:-T’as vraiment un gros calibre lieutenant, on va voir si tu sais tirer...-Je vais te montrer ça salope!En gloussant d’aise, Nina se lève et enlève son jean et son string. Elle s’assied sur le canapé, les cuisses ouvertes. Simon s’agenouille et lui prépare la chatte avec sa langue. Il apprécie ce beau sexe féminin orné d’une toison bien entretenue.-Mhh, tu sais y faire avec les dames mon salaud! Oh oui! Tu m’excites! Mets moi ta grosse pine!Le lieutenant ne se fait pas prier et introduit son engin dans la chatte chaude et humide. Simultanément, les deux partenaires se roulent une pelle. Simon donne des grands coups de rein pour le plus grand plaisir de sa cheffe:-Oui putain c’est bon! encore! encore! oui! oui!-Tiens! tiens! tiens!Il se relève et emmène Nina dans sa chambre. Il l’invite à se mettre à quatre pattes sur le lit. La métisse, très excitée bouge son cul.
-Mhh tu vas m’enculer hein gros vicieux?-Ouais je vais défoncer ton petit trou petite pute!-Allez viens!Le gros pieu bien raide pénètre facilement la rondelle.-Dis donc, il est accueillant ton cul! T’as l’habitude!-Ouais j’adore ça! Vas-y, troue moi le fion!!-Tiens! tiens! tiens!-Oh oui salaud, tu me rends folle! Vas-y plus fort! Oh ouiiiiiii! je vais jouiiir! Quel salaud! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!! Il est un peu plus de 22h00 quand Nina regagne son hôtel, épuisée. Simon lui a procuré plusieurs orgasmes avant d’éjaculer abondamment dans sa bouche. Elle est satisfaite. Outre le plaisir sexuel, elle a conquis cet homme qui lui était si hostile. Elle s’endort rapidement... Le lendemain matin, la capitaine a bien récupéré, elle est en pleine forme. Au programme de cette matinée, retour sur le lieu du crime avec Simon. C’est une femme de chambre qui a découvert le corps en allant faire la chambre du député. Elle est interrogée par les deux policiers. C’est une belle blonde qui a l’air bien délurée.-Coraline c’est bien ça?-Oui tout à fait.-Capitaine Diagne et Lieutenant Jamel. Racontez nous comment vous avez découvert le corps.-Eh bien , comme tous les matins, j’ai toqué à la porte. Il n’y a pas eu de réponse mais je n’étais pas étonnée. Monsieur le député avait coutume de se lever tôt et je me disais qu’il était déjà parti. Alors j’ai utilisé mon passe et j’ai découvert l’épouvantable spectacle.-C’est toujours vous qui faisiez sa chambre?-Oui Monsieur le député y tenait beaucoup!Les deux flics échangent un regard entendu. Simon demande:-Vous aviez une relation avec lui?Nina remarque que son collègue louche sur le décolleté de la soubrette.-Euh oui j’avoue. Monsieur Vaudrin était très entreprenant...et très généreux! On ne gagne pas beaucoup ici vous savez...-On peut appeler ça de la prostitution Mademoiselle! reprend Nina.-Oh non Capitaine, ce n’était que des petits cadeaux. Et puis...il savait y faire!-Ouais...Mais on peut imaginer qu’il voulait rompre et que ça ne vous plaisait pas. Où étiez vous à minuit?-Chez moi...-Seule?-Non avec un homme.-Vous nous donnerez ses coordonnées.-C’est gênant, il est marié!-Nous serons discrets...Quand vous êtes arrivée, vous n’avez vu personne dans le couloir?Coraline réfléchit un peu puis répond:-Si! Un homme se dirigeait précipitamment vers l’escalier.-Vous pourriez le décrire?-Oh oui, un très bel homme, très séduisant...un peu comme vous lieutenant!Nina regarde Simon. Celui-ci sourit, flatté par le compliment. Il s’empresse de dire:-Vous passerez au commissariat pour un portrait robot?-Oh volontiers inspecteur, tout ce que vous voudrez!-Je vous donne ma carte...-Je vais la garder précieusement.Elle ponctue sa phrase d’un regard salace à Simon... Une fois dans la voiture, Nina dit:-Je t’interdis de l’interroger seul!-Oh oh jalouse?-Idiot! C’est pas parce qu’on a baisé qu’on est mariés. Mais on fait équipe, alors on fait tout à deux...
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