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Brigitte en manque de sexe se fait saillir par le chien de ses voisins

Chapitre 1

Zoophilie
BRIGITTE EN MANQUE DE SEXE SE FAIT SAILLIRPAR LE CHIEN DE SES VOISINS

Cette histoire vous est racontée par Brigitte, belle femme blonde de quarante-six ans.Depuis deux ou trois ans notre couple battait de l’aile, mon mari si porté sur la chose ne me touchait que très rarement, je compensais en me donnant du plaisir quand j’étais seule, avec des godes achetés sur internet.Fred mon mari avait bien changé, ses tenues vestimentaires aussi, ses absences le soir et quelquefois le week-end étaient de plus en plus courantes, jusqu’au jour ou il m’a dit que ce soir il ne coucherait pas ici et qu’il me quittait.Quand mon mari m’a abandonné, j’étais vraiment très surprise et complètement déboussolée. La maison me semblait désespérément vide. Mes enfants s’étaient tous les deux envolés depuis bien longtemps, et je me retrouvais seule, à presque cinquante ans dans une maison bien trop grande pour moi à traîner mon ennui, mon moral était au plus bas, surtout que dans ce coin perdu, je n’ai que très peu d’amis Je ne manquais de rien mais sur le plan affectif et sexuel c’était le calme plat. Je n’étais pas totalement insatisfaite car je me faisais jouir souvent mais les orgasmes que je faisais venir en me masturbant ne parvenaient pas à combler le manque de présence physique que je ressentais et qui me pesais assez lourdement. Fort heureusement mes voisins un peu plus âgés étaient très sympathiques et ils se sont occupés de moi au moment du départ de Fred qui avait décidé de refaire sa vie avec sa secrétaire que je connaissais, une fille qui avait vingt ans de moins que lui ! Comprenant mon désarroi, mes voisins m’invitaient fréquemment à passer pour prendre l’apéritif ou pour venir manger le dessert lorsqu’ils étaient là. Ils étaient un peu plus âgés que moi et avaient pris pour leur tenir compagnie un très beau berger Allemand qu’ils avaient appelé Achille. C’était une bête vraiment superbe et en plus d’une gentillesse totale. Il me faisait fête et demandait des caresses quand je venais rendre visite à ses maîtres. Depuis quelques semaines pour passer le temps et pour m’aérer les idées, j’avais pris l’habitude de l’amener en promenade lorsque ses maîtres étaient absents. En général nous allions marcher une bonne heure dans une forêt près de chez moi, puis je le ramenais chez lui. Cela me distrayait et rendait moins pesante ma solitude. Lui aussi appréciait ces moments ou il pouvait courir, car sans doute la pauvre bête s’ennuyait-elle à rester presque toute la journée enfermée. Je crois que je me souviendrais toujours de ce jour-là. C’était les premiers jours de soleil vers le début avril et il faisait exceptionnellement doux. Lorsque je suis allée chercher le Achille pour notre promenade quotidienne je me sentais toute drôle. Sans doute les effets du printemps, je ressentais plus fortement que jamais mon manque de relations. J’avais mis ce jour là un jogging avec un tee-shirt. La chaleur m’avait rendu un peu transpirante. Lorsque j’ai ouvert le portail à l’animal celui-ci m’a fait la fête comme à son habitude mais sans que je comprenne pourquoi il a fiché son museau entre mes cuisses sans doute attirée par mon odeur un peu plus forte de femelle en chaleur qui venait de se masturber copieusement le minou pendant une bonne heure en regardant un film X. Ce qui m’a surprise surtout c’est ma réaction au contact de cet attouchement étrange de la part de cet animal : j’ai ressenti quelques picotements dans mon bas ventre, cela m’a rendu un peu songeuse et terriblement nerveuse. Je pensais que la solitude me pesait vraiment…et puis c’était peut-être le printemps et le retour des beaux jours qui me travaillaient ! Sur le chemin qui menait à la forêt je me sentais toute bizarre, je me mis à réfléchir et à penser à l’attitude de l’animal à mon égard. Contrairement à son habitude Achille ne courrait pas partout mais il restait près de moi se frottant contre mes jambes ou sollicitant des caresses sur sa tête. Une curieuse pensée me traversa l’esprit, ce n’est pas vrai pensais-je, je deviens folle, le manque de mâle me porte à la tête ! C’est presque inconsciemment que ce jour là j’ai écourté la promenade et que contrairement à mes habitudes je suis passée d’abord devant ma maison au lieu d’aller directement à celle de mes voisins qui est assez proche. Devant ma porte j’ai marqué un temps d’arrêt. Le chien me regardait avec des yeux bizarres, ses oreilles étaient dressées. Je l’ai regardé un moment ressentant un certain trouble. Je ne sais pas vraiment ce qui se passait mais je n’avais pas envie de chercher à comprendre et je me laissais guider par mes instincts, cet envie de sexe me tenaillait et me donnait des idées un peu folles. Je lui caressais la tête en lui parlant, il me gratifia de quelques coups de langues sur ma main puis sa truffe s’est fichée entre mes cuisses, ne faisant qu’accentuer mon malaise, j’ai ouvert ma porte avec le chien sur mes talons. En arrivant dans mon salon j’ai fermé les rideaux pour tamiser un peu la lumière trop crue du soleil, et aussi pour me sentir un peu plus protégée, à l’abri des regards indiscrets. Le berger m’observait en remuant sa queue. Il semblait ravi d’être dans ma maison. En fait c’était la première fois que je le faisais pénétrer chez moi. Je me suis assise sur mon canapé et j’ai commencé à lui parler doucement. Je le caressais sur son dos et sa queue remuait de plus belle.
Instinctivement j’ai serré mes cuisses pour mieux profiter de cette délicieuse contraction que je venais de ressentir dans le bas du ventre. Qu’est ce qui m’arrivait. Ma respiration devenait plus rapide. J’ai ôté ma veste de survêtement, j’étais en nage, et en serrant mes cuisses je sentais la mouille qui coulait de ma chatte sur mes cuisses. Tremblante, la respiration haletante j’ôtais mon tee-shirt et faisais glisser mon jogging et ma culotte, j’écartais mes jambes, ma chatte dégoulinait et tout en me faisant lécher par l’animal, je commençais à me masturber le minou. Je lui fis lécher mes doigts gluants de mouille. "Tiens mon toutou… sent comme c’est bon, sent comme tu me donnes envie". Il semblait goûter ma liqueur et moi je perdais doucement la tête pour m’adonner à des pratiques sexuelles un peu bizarres. Plus je le caressais, plus sa queue s’agitait rapidement et plus j’avais envie... Après un moment, je le renversais sur le dos et commençai à frotter et gratter son ventre, tout en me rapprochant de son fourreau. Il se laissait faire en me regardant, je ne voulais pas l’effrayer et procédais lentement sans brusquer les choses. Au moment où je me suis mis à masser franchement son fourreau, il s’est mis à geindre doucement et j’ai aperçus rapidement la pointe de son pénis qui émergeait de cette touffe de poils. Je continuais mes caresses tout en observant son membre prendre du volume. Il était très rouge et veiné, pointu et humide, d’une taille qui commençait à devenir imposante. A nouveau je portais mes doigts à ma chatte pour récupérer ma mouille et toucher sa bitte avec mes doigts gluants. Achille se raidit mais ne tenta pas de se sauver ou de se retourner, alors je commençais à aller et venir sur sa tige, délicatement au début, et le branlant franchement par la suite, l’animal me regardait, sa langue tirée, il haletait en poussant par instant des petits cris. Achille se remit sur ses pattes et se mit à renifler mon entrecuisse. Je me levai alors et posai mes fesses sur le bord du canapé, les jambes bien ouvertes, en écartant mes lèvres avec mes doigts, je dirigeais son museau vers mon pubis. Je mouillais abondamment, et l’odeur de mon sexe l’incita probablement à lécher ma chatte. Ma vulve fut rapidement détrempée de sa salive, l’animal s’affaira sur ma minette avec enthousiasme. Il appuyait son museau contre ma toison et explorait de sa langue les moindres recoins de mon minou. Respirant de plus en plus bruyamment, je basculais légèrement vers l’arrière pour lui présenter mon petit trou, qu’il couvrit également de ses caresses linguales. Malgré mes appréhensions, la sensation était nouvelle mais oh combien agréable. Je me surpris à émettre des petits cris étouffés alors que des tremblement secouaient mon corps et remontaient ma colonne vertébrale. Après quinze minutes de lèche intensive, je fus secouée par un premier orgasme. Mon canapé était trempé de mouille et de bave mais je n’en avais que faire, seule la jouissance à venir m’importait. Toujours bandé et frémissant, le chien tenta alors de se redresser pour me monter. Dans un réflexe craintif, je le repoussais et me levais brusquement. Non…arrête! Dis-je prise de peur tu ne vas quand même pas me sauter ! Il me regardait avec un air tout penaud et désemparé. Je me suis finalement allongée sur le tapis et je l’ai appelé, viens je vais te faire du bien à toi aussi. Avec mon aide, le gros chien se positionna au-dessus de moi, la bitte turgescente ballottant près de mon visage. Haletante je sentais sa tige contre ma joue. Je l’embrassais d’abord timidement heureuse de sentir la douceur de son sexe. Puis je me suis mise à le lécher doucement savourant les odeurs de son sexe, d’abord sur la pointe et ensuite sur toute sa longueur. Il appréciait visiblement et il abaissa légèrement son arrière-train en s’arque boutant pour me faciliter la tâche. Prise d’une excitation croissante je me décidais de le sucer franchement. Un liquide s’écoulait en petites quantités, mais de façon ininterrompue. Suffocante je passais ma langue sur mes lèvres pour goûter ce jus délicieux et troublant. Tremblante, je me relevais et m’épongeais un peu avec mon tee-shirt, l’animal était agité et courrait autour de moi en poussant de petits cris, la bitte toujours bien raide et dégoulinante. Je le regardais en me branlant à nouveau. J’avais déjà eu deux orgasmes d’une rare intensité mais l’excitation du moment me poussait à aller jusqu’au bout. Déterminait je m’installai à quatre pattes sur mon tapis, le cul bien relevé, la tête reposant sur le tapis. Ecartant légèrement les cuisses, ma vulve s’entrouvrit, j’étais offerte et impatiente de me faire prendre pour la première fois par un animal. Le mâle commença par sentir ma moule et entreprit de me monter. Il appuya ses pattes sur mon dos et fit buter son pénis contre mon sexe. Avec vigueur, il inséra après plusieurs essais infructueux la pointe de son sexe entre les lèvres de ma chatte trempée. Ce n’est qu’après ce premier contact que je compris réellement la portée de mon geste. Ce chien allait vraiment me mettre! S’agrippant autour de ma taille avec ses pattes de devant, il me tenait si fermement que je n’avais que peu d’espoir de me dégager. Je cédais alors à la panique, tentant de me soustraire à cette monte, mais je ne faisais pas le poids. Je tremblais de peur, regrettant amèrement mes audaces animalières. Je sanglotais de résignation, les larmes coulant sur mes joues. Malgré mon appréhension, j’eus le réflexe d’ouvrir les jambes et d’arquer le dos, m’offrant ainsi involontairement à la saillie. Je sentis ma chatte s’ouvrir. Aidé par mon attitude soumise, la bête amorça sa pénétration. Il se pencha lourdement sur mon dos, ajustant sa position pour obtenir un effet maximal. Je sentis la pointe chaude de son pénis frotter sur ma vulve, taquinant mes grandes lèvres. Encore un peu tremblante, je baissai la tête et regardai entre mes jambes. Je sursautais car dans cette position, sa bitte, raide et toujours dégoulinante de sperme, me sembla immense et démesurée pour ma petite minette. Comment allai-je encaisser l’assaut d’un tel engin dans mon vagin qui est assez étroit? Je ne sais pas comment ma chatte a pu l’avaler, mais j’étais convaincue d’être dilatée au maximum. Je me mis alors à crier, davantage de peur que de douleur, mais son membre continua d’avancer dans mon étroit conduit sous ses coups de butoirs qui manquaient à chaque assauts de me faire perdre l’équilibre. Il n’était qu’à mi-chemin et j’étais déjà remplie et ne pourrais certainement pas en absorber davantage. J’écartais mes jambes du mieux que je pus pour faciliter la pénétration, mais je ne pouvais pas faire grand-chose car le mâle me dictait son bon vouloir. Mes craintes s’étaient volatilisées, je n’étais plus qu’une chatte béante enserrant dans mon corps une verge bestiale et palpitante qui me faisait transpirer. Je voulais que ce chien me mette, me bourre, me fasse mal... L’expérience resterait insatisfaisante et incomplète tant que sa pine démesurée ne se sera pas enfoncée jusqu’à la garde. Achille en bon géniteur s’y employa si bien que je me retrouvais vite embrochée jusqu’à la garde, ses couilles ballottant sur mes grandes lèvres. Ma chatte enserra convulsivement sa bitte alors que je me laissais aller l’orgasme. Je jutais abondamment et sanglotais à la pensée de la saillie que cet animal était en train de me prodiguer. -Baise-moi ! Baise-moi comme une chienne! " Criai-je, sans me soucier d’être entendue par d’éventuels passants. J’étais sur le point de me mettre à hurler comme une femelle en chaleur. Le robuste mâle me pistonna de plus en plus frénétiquement, je soupirais en poussant des ah, des oh alors qu’il pilonnait mon petit sexe sans ménagement. Mes seins ballottaient en tout sens, et lorsque je penchai ma tête, je pus constater que mes petites lèvres s’étiraient et bavaient de sperme à chaque retrait de sa verge et l’accueillaient goulûment lorsqu’elle replongeait en moi. Ma chatte brûlait sous la friction de cette bitte qui allait et venait en accélérant sans cesse. Il me pilonna encore et encore, j’en perdais la notion du temps, ma tête tournait, ma vue était floue. Je basculais dans un orgasme au moment où mon partenaire réussit à introduire son nœud en s’enfonçant au plus profond de moi. Il s’arrêta inerte et soudé à sa femelle, les couilles écrasées contre mon clitoris. Sortant de ma torpeur, j’ai pris soudainement conscience que c’était son nœud qui gonflait. J’étais liée à ce chien! Le nœud gonflait toujours, étirant mon vagin d’une façon assez douloureuse. Je criai, et me tortillais sous lui, tentant de le déloger de mon sexe, mais sans succès. Je hurlais lorsque son nœud eut atteint son maximum, me dilatant les chairs au maximum, il devait avoir la taille d’une orange. Le chien était solidement attaché aux replis de mon intimité, et ne se retirerait qu’au moment où sa femelle serait inondée de foutre. Je me résignais à mon sort et m’appuyais contre lui. Mon amant projetait des jets puissants dans mes entrailles. Pendant tout le temps où nous fûmes liés, Achille continua à éjaculer et à me remplir ! Finalement il se retira avec le bruit baveux de succion. Toujours accroupie sur le tapis souillé, je tremblais de tous mes membres alors que s’écoulait de longues traînées de foutre de ma minette. Trop épuisée pour bouger, je m’effondrais sur le tapis, j’étais hagarde et gluante, la semence de mon amant séchant sur mes cuisses. Mon partenaire me lécha tendrement toutes les parties de mon corps maculé de son foutre, pendant que je sombrais lentement dans le sommeil. Je me dirigeai dans la salle de bain, laissant derrière moi une traînée de liquide d’origine douteuse sur le parquet. Je ne reconnus pas mon visage dans le miroir, j’avais les traits tirés, les cheveux englués de semence. Je me douchais longuement appréciant cette eau chaude sur mon corps endolori en espérant reprendre une figure plus humaine. J’ai ensuite ramené mon amant à sa maison. Je crois que maintenant mes promenades en forêt seront plus courtes mais mes après-midi me paraîtront sûrement moins longues !!!
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