Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 96 J'aime
  • 4 Commentaires

Bring me to life...

Chapitre 2

Greg

Hétéro
Greg
Mon quinquagénaire d’amour…. Cool, sans stress, rempli de sensualité... Mon dieu.... Quelles nuits nous avons eues ensemble !
** Vendredi soir, 18h3o **Je rentre chez moi après une journée de réunion opérationnelle avec le service marketing et je suis épuisée. Ce soir, je décide de prendre un peu de temps pour moi, mon fils étant chez son père pour le week-end. À peine la porte de chez moi passée, je quitte mes jolis talons, mon petit tailleur et me retrouve vite en chemisier à déambuler pieds nus dans mon salon.J’ouvre une bonne bouteille de vin rouge et me fais couler un bain… Je mets une musique douce en fond et allume mon pc. Je lance MSN…Le temps de couper l’eau de mon bain que l’écran est submergé de boites de dialogue… J’esquisse un sourire, bois une gorgée de vin et me glisse dans mon bain. Je ferme les yeux et fais le vide de ma journée. Les bips des boites de dialogues MSN s’enchainent.J’imagine tous ces hommes qui déploient des stratégies plus ou moins tordues juste pour me rencontrer et tenter de me baiser. Cela me distrait et m’amuse.Je profite de la musique, des effluves de parfum et je me mets à penser étrangement à mon Directeur Général... Un beau brun, 45 ans, très sportif, un petit goûter sur patte. Je revois ses fesses magnifiquement mises en avant dans son pantalon de costume gris. Je m’imagine défaisant les boutons de sa chemise pour enfin faire la connaissance de ses muscles… Je vois son sourire charmeur… Je soupire. De nouveaux bips de MSN me sortent de ma rêverie. Après m’être lavée, je sors de mon bain. J’enfile un petit caraco blanc en satin, je monte le long de mes jambes le short de satin assorti. Quand ma chevelure, qui a cette époque était longue, est enfin contrainte dans un chignon fou j’attrape mon peignoir de soie blanc et le glisse sur mes épaules. Un dernier regard dans le miroir… Satisfaction.Je me dirige vers le canapé où mon portable attend bien sagement que je daigne enfin alléger le nombre de fenêtres de discussion MSN. Je prends mon verre, bois une gorgée et commence à trier. Dans le lot je retrouve les glues, les impossibles à déloger, ceux qui ne veulent pas comprendre, même quand tu leur as expliqué que jamais (OH grand jamais !) tu ne les rencontrerais… Les petits nouveaux, qui cherchent comment entamer la conversation, sont vite renvoyés dans leurs pénates.Il me reste mon amie Lucie, mon meilleur ami Maxime, mon doudou et Greg. Je vous parlerais de mon doudou dans une autre ou d’autres missives...
J’ouvre la fenêtre de discussion avec Greg.
Nous nous sommes rencontrés grâce à un site de rencontre tout à fait classique. Très vite nous avons sympathisé, le courant est bien passé. Rapidement aussi il est allé à l’essentiel, ne faisant aucun mystère sur ce qui l’avait conduit sur ce site. Dans l’idée nous étions raccord, je n’étais pas plus motivée que lui pour me caser. À cette époque j’étais une jeune mère célibataire, la liberté que m’offrait ce statut me convenait très bien.Nous avons correspondu pendant des mois… Plus d’un an, en fait. Je n’ai jamais franchi le cap, malgré ses nombreuses demandes. En un an de correspondance, nous avons eu le temps de parler de nos plans cul, relations et coups d’un soir. Ma vie sexuelle n’avait pas de secrets pour lui et inversement sa vie sexuelle n’en avait pas pour moi. J’adorais parler sexe avec lui. Quoi qu’il dise, peu importe l’acte dont il parlait, ce n’était jamais vulgaire, jamais trop cru ou dégradant. Toujours riche et varié.Étant très à cheval sur les mots employés, pouvant très vite me braquer sur des propos que je pourrais juger déplacés, j’ai très vite été séduite par la subtilité de langage dont il faisait preuve.
Nous avons ainsi parlé de sodomie, de plans à trois, quatre ou plus, d’échangisme, de domination et de soumission, d’entraves et autres sujets. À aucun moment, je n’ai trouvé que sa façon d’en faire état était déplacée. Il ne m’a jamais heurté dans ses propos.
Pour vous le décrire, Greg est un jeune quinquagénaire, qui mesure un mètre quatre-vingts, ses cheveux sont bruns avec une tendance à virer au sel et poivre aux tempes, ses yeux sont noisette, un petit embonpoint discret décor sont ventre. Une élocution magnifique et un verbe utilisé à merveille. De la culture à n’en plus finir… Chez lui ça sent les huiles essentielles et le zen …
Greg démarre la conversation comme d’habitude en me saluant et en me flattant en quelques mots rapides et bien choisis. Puis finit son message par « c’est ce soir ! »
Moi : Ce soir ??Greg : oui… C’est ce soir que je m’occupe de toi !Moi : Tu es incorrigible…Greg : Je sais, mais ce soir tu vas venir me voir. Je te ferrais le massage dont je t’ai tant parlé et comme c’est toi… J’y ajouterai un petit bonus !Moi : Non, ce soir je suis en mode détente… Je sors de mon bain, je bois du bon vin, je suis zen.Greg : Hummmm tu dois sentir bon. Justement, viens ! Je vais te détendre…Moi : …Greg : Allez, fais pas ta flémarde. J’ai du gâteau au chocolat !!Moi : rires… On dirait un gros pervers !Greg : tout de suite les grands mots… Je ne suis pas gros !
Il sent que ce soir je suis moins fermée que d’habitude. Alors il insiste. Il joue la carte de l’humour et de la détente. Et effectivement, ce soir, je cède. Je m’étonne d’ailleurs d’avoir cédé aussi facilement. Je me dis que je n’aurais jamais dû… Mais c’est trop tard, j’ai dit oui.
Il m’a demandé de venir comme je suis. Je ne peux pas sortir comme ça ! Si je me fais arrêter sur la route, ou un problème quelconque… Jamais je n’oserai sortir de ma voiture.Je réfléchis. J’enfile un jeans et un tee-shirt par-dessus mon short et mon caraco. Un passage rapide dans la salle de bain, je me maquille discrètement, histoire que ça fasse naturelle, mais en mieux. J’enfile une veste en jeans, mes baskets et je pars.
Quand j’arrive dans sa rue, je l’appelle. Il me dit de m’arrêter au numéro 28 et de klaxonner. Je m’exécute. En quelques instants, je vois un mec grisonnant habillé d’un bel ensemble en lin blanc sortir du 28, un panier à la main. Il me fait un signe de la main et monte dans ma voiture. Je suis amusée.Nous nous disons bonsoir et échangeons une bise très étrange. Il me sourit et me dit « Roule, je t’emmène à la plage ! »Chemin faisant nous échangeons des banalités qui permettent de rompre la glace.
Nous arrivons sur une toute petite plage déserte. Un petit coin de paradis. Il me sourit, ouvre la porte et en sortant il me lance "on doit toujours bien traiter une femme surtout si on espère ses faveurs... Allez viens". Sa phrase me fait sourire. Je sors de la voiture.
Il extrait de son panier une grande couverture, qu’il installe en plein milieu de la petite plage. Il pose le panier et s’assoit. Je le regarde, amusée de ce pique-nique improvisé. J’enlève mes baskets, et le rejoins. Il m’offre une coupe de champagne, sort des petites babioles à grignoter. J’apprécie ces petites attentions, elles permettent de détendre l’atmosphère. Et pour une fois, même si je sais bien pourquoi nous sommes là tous les deux, je n’ai pas la sensation d’être un morceau de viande.Nous trinquons à notre rencontre. Il m’informe que je suis la seule femme qu’il a attendue aussi longtemps. Je l’en remercie.Le temps passe, nous parlons de nos précédentes confidences via MSN. On rigole de nos différentes anecdotes, nos expériences... Je suis allongée sur le dos et regarde les étoiles en écoutant le bruit de la mer… Je suis détendue. Tout à coup Greg se met à quatre pattes au-dessus de moi, son visage quasiment collé au mien, ses yeux plongés dans les miens. Il me sourit, et m’embrasse avec précaution et beaucoup de délicatesse. Je lui rends son baiser. Il reste un moment au-dessus de moi à me regarder, il me sourit et me lance « Que tu es belle… ». Je suis assez gênée. En effet j’ai beaucoup de mal avec les compliments, ils me mettent mal à l’aise. Ce sont, à mes yeux, de simples mots flatteurs qui visent à me faire baisser la garde. Les hommes en général utilisent cette phrase un peu trop facilement à mon goût. Pour moi, la beauté est tellement subjective… Je baisse les yeux dans un sourire embarrassé. Un petit malaise s’installe.
« Ce n’est pas tout ça, mais je t’ai promis un massage… hop on rentre ! » lance Greg en se relevant.
Nous voilà de retour au numéro 28. Nous entrons dans une maison de village typiquement provençale. L’entrée donne directement sur des escaliers. Quand on a grimpé la vingtaine de marches, nous arrivons dans une grande pièce qui sert a priori de salon et bureau… C’est assez moderne malgré les poutres apparentes et les tomettes en terre cuite au sol.Après m’avoir invitée à me mettre à l’aise, il s’affaire à installer une table de massage improvisée… sa table de cuisine ! Je suis surprise et amusée de la taille démesurée de cette table de cuisine.Il prépare un bol étrange qui contient un liquide visqueux dont l’odeur est très agréable. J’opterai pour de la lavande et du miel... Pendant ce temps je me suis débarrassée de mon jeans et de mon tee-shirt. Je suis donc en caraco et petit short de satin blanc dans son salon. J’aime le regard qu’il pose sur moi. Doux et gourmand.Il m’invite à me débarrasser de ce qu’il me reste comme vêtements et à m’installer sur sa table de massage. L’idée de me faire « cuisiner » entièrement nue lors d’une première rencontre me fait sourire, parfois je suis un peu trop confiante…. Bon après tout, je savais bien pourquoi je venais à la base.
Me voici donc nue, allongée à plat ventre, sur sa table de cuisine en plein milieu de son salon. La sensation de froid est assez désagréable en première approche. Mes bras sont le long de mon corps. J’essaye de me détendre… Il débute par faire couler quelques gouttes d’huile froide entre mes omoplates. Je me raidis un peu. Il ramasse de la paume de ses mains l’huile qui coule sur mon dos et l’étale de façon à remonter sur ma nuque et mes épaules. La chaleur de ses mains me réchauffe. Il masse mes bras avec douceur, avec lenteur... Jusqu’à l’extrémité de mes doigts. Chaque doigt bénéficie de son doigté si délicat. Il remonte le long de mon bras jusqu’à ma nuque, s’enfonce lentement dans mes cheveux. Je me détends doucement. Il verse à nouveau un peu d’huile sur mes reins. Le froid me fait frissonner. J’entends sa respiration, calme. Ses mains se mettent à parcourir mes reins remontent le long de ma colonne jusqu’à ma nuque.... Puis il redescend vers le creux de mes reins. Il remonte à nouveau vers ma tête, mais cette fois ses mains sont sur mes flans, il remonte en effleurant la naissance de mes seins écrasés sur la table. Puis ses mains glissent en faisant de grands cercles pour rejoindre mes fesses. Quand ses mains arrivent enfin à destination, nous avons un petit rire quand on se rend compte qu’une fesse entière tient dans la paume de sa main… Mais il ne se laisse pas distraire plus longtemps... Il reprend, me forçant à replonger dans le moment en continuant son massage. Il parcourt longuement mes fesses du bout des doigts, mes hanches, remonte sur ma taille. La pression de ses mains est si douce, je lâche l’affaire et je suis détendue sous ses doigts. Je sens tellement de douceur et de sensualité dans ses gestes. Le parcours de ses mains sur mon corps ne me laisse pas indifférente.
Il reprend un peu d’huile sur ses mains, et entreprend de démarrer une descente lente et suave sur mes cuisses. Sa respiration a légèrement changé… J’entends qu’il y prête attention, et qu’il essaye de la contrôler, comme pour me dissimuler son trouble. Il descend en premier le long de ma jambe gauche. Il descend doucement jusqu’au genou. Puis remonte en laissant ses doigts trainer sur la face interne de mes cuisses. Instinctivement je me raidis et serre les cuisses. Il fait comme s’il n’avait rien remarqué, et redescend par le même chemin jusqu’à mon genou. Il entreprend des petits cercles tout légers, tout doux sur mon genou… Ces petits cercles me détendent instantanément et je relâche mes cuisses. Il descend sur mon mollet galbé en prenant soin de l’englober de la chaleur de ses mains, jusqu’à arriver à ma cheville…Ses mains glissent de ma cheville à mon pied en passant par mon talon. Ses pouces se positionnent sous mon talon, ses paumes sont posées sur mon coup de pied. Il actionne ses pouces et les fait tourner avec application et fermeté sur mon talon. Il suit la ligne centrale et arrive à ma voute plantaire sur laquelle il s’attarde longuement. Faisant de petits vas et viens avec la phalange de son index plié. Il poursuit par des petits cercles sur la plante des pieds… mes orteils ne sont pas en reste. Chacun d’eux est malaxé en douceur entre ses doigts. Au bout d’un moment sentant que je suis totalement détendue, que j’ai lâché prise, il remonte le long de ma jambe, ses mains glissant parallèlement sur la face interne de ma jambe. Ce qui, une fois revenu à la hauteur de mes fesses, conduit ses doigts directement sur mon entrecuisse. Machinalement, mon corps répond. Ma croupe se redresse. Il remonte ses doigts entre mes fesses, je frissonne. Il refait la même manœuvre pour descendre sur ma jambe droite. Il applique scrupuleusement les mêmes délices qu’à mon autre jambe. Je m’abandonne. Quand il en a terminé avec ma jambe droite, je suis dans un état de plénitude, tel que je peux me comparer à un chaton à la naissance ou une poupée de chiffon.
Et il le sait !
Ses mains se posent chacune sur mes chevilles. Il attend. Il observe. Mon corps nu sur sa table, inerte. En toute confiance. Lentement, alors que j’ai fini par oublier la présence de ses mains sur mes chevilles, il fait glisser ses mains avec légèreté. Mon corps entier n’est qu’un frisson, mes muscles sont tous en alerte.Je sens ses pouces sur mes cuisses internes qui montent lentement. Doucement de ces mains, il écarte mes jambes. Je le laisse faire, sans aucune résistance. Mon corps est dans le ressenti. J’ai déconnecté toutes mes pensées. Je me laisse faire. Ses doigts arrivent à la naissance de mes fesses. Il écarte de ses doigts mes fesses et remonte ses pouces en frôlant mon anus. Il laisse courir ses doigts jusqu’au creux de mes reins. Je lâche un soupir.Je n’arrive plus à contrôler mes réactions et ma respiration. Je voudrais, j’essaye, mais je suis tellement détendu que mon esprit semble ne plus arriver à prendre le dessus. Seul mon corps parle.Il remonte à ma nuque et redescend à mes fesses avec lenteur. Il fait le tour de mes hanches. Mon corps commence à s’impatienter. Je sens que le désir me gagne. Est-ce dû à sa respiration que je sens plus forte ? Ses mains descendent à nouveau entre mes cuisses et il les écarte encore un peu plus. Cette fois, il voit aussi bien mes fesses que mon sexe. Il entreprend de masser mes cuisses en remontant à mes grandes lèvres. Je ne saurais expliquer ce que ses doigts font exactement, j’ai l’impression qu’il a plusieurs paires de mains, j’ai l’impression de sentir ses mains partout sur mon sexe et mes fesses… Je crois que je suis tellement à fleur de peau que je n’arrive plus à savoir quelle partie de ma peau est sollicitée avec précision.Je sens ses doigts qui massent mon entrecuisse avec douceur, il appuie légèrement autour de l’entrée de mon vagin, je respire comme si je courrais un marathon… Cette respiration m’agace… mais je n’arrive pas à la contrôler. Il glisse ses doigts entre mes lèvres et coince doucement mon clitoris entre ses doigts. Je lâche un petit cri de surprise. Mais rien ne le perturbe.Ses doigts tournent autour de l’entrée de mon vagin en y exerçant une légère pression. De ses doigts placés de chaque côté de celui-ci, il m’écarte doucement, cela me rend étrangement dingue. Mais je ne bouge pas. Il abandonne mon vagin et remonte ses doigts entre mes fesses. Il masse lentement mon anus. À cette époque personne n’a jamais visité cet endroit et je me crispe sous ses doigts. Il le sent. Avec délicatesse, il continue son massage en prenant soin de détourner mon attention avec son autre main. Je sens en effet que deux de ses doigts pénètrent à peine mon vagin. Je soupire. Il fait de tous petits cercles à l’intérieur comme pour me rendre élastique, ses doigts s’écartent. J’ai l’impression qu’on me pose des spatules pour garder mon sexe ouvert alors qu’il ne s’agit que de ses doigts. C’est étrange et terriblement excitant. J’en oublie son doigt qui s’applique à détendre mon anus crispé. Jusqu’à ce que je sente un intrus. Je me crispe, il ressort son doigt. Il relâche mon vagin de son maintien et de ses doigts y fait quelques aller-retour… Forcément je me détends, je lâche quelques râles contenus.Il recommence son manège dans mon vagin, mais cette fois avec trois doigts. Je sens ses doigts qui s’écartent et écartent mon sexe avec détermination, mais sans brusquerie. Cette sensation est étrange… c’est plaisant et gênant en même temps. Ça me donne envie de me faire pénétrer.J’ai l’impression qu’il essaye de m’ouvrir en grand, ça ne me fait pas mal, je dirais même que ça m’excite, mais mon esprit commence à se réveiller et je me demande où il veut en venir… Il a parlé d’un bonus… J’aurais peut-être dû lui demander ce que c’est… Tout à coup il abandonne mon sexe et repars à masser mon corps dans sa totalité. Cela pendant quelques minutes. Puis il revient entre mes cuisses. Mais cette fois, j’entends sa respiration, elle n’est plus du tout contenue. Son souffle me caresse.Il est excité et déterminé à en découdre avec mon sexe… ses mains m’écartent un peu plus les cuisses et il entreprend d’une main de m’écarter le sexe et de l’autre de me pénétrer de ses doigts. Je sens qu’il y entre 1 nouveau doigt à chaque aller-retour. Arrivé à 4, je commence sérieusement à sentir que le monsieur se fait plaisir à me doigter – bon OK ça ne me déplait pas. Mais je crois que c’est lorsque je sens ses doigts se solidariser et s’aligner, que je perds mon souffle. Il continue, indifférent à mes râles et contestations. Il pose une main sur mes reins et de l’autre, il enfonce encore plus loin ses doigts en moi. Je sens qu’il pousse plus avant, il est en train de m’écarteler avec sa main. Je sens son pouce entre mes fesses. Puis il ressort. Quand soudain… Une douleur ! Il a rentré sa main ! Oh mon Dieu que ça fait mal…Je ne dis rien, je me crispe, il commence des mouvements lents et appuyés, les premiers sont douloureux. Comme si on m’arrachait les entrailles… des souvenirs de mon premier accouchement me reviennent. Je voudrais lui arracher ses bourses à ce moment précis… mais fort heureusement pour lui, je ne peux les atteindre.Peu à peu… les mouvements se font moins douloureux. Cela devient presque agréable. Il s’enlève. Je me redresse, le regarde, quelque part entre agar et énervée. Je m’assois sur le bord de la table, les jambes ballantes dans le vide. À cet instant précis, je n’ai plus vraiment envie qu’il me touche.Je ne sais pas trop si je dois rester ou partir. Je ne sais pas si j’aime ce qu’il vient de me faire ou si cela me choque.
Il le voit et se rapproche. Il vient se placer debout à côté de moi. Il met ses mains sur mes cuisses. Je les repousse. Il recommence. Je les repousse encore. Il me sourit. Et me pousse les épaules en arrière de façon que je me retrouve allongée sur le dos, les jambes ballantes. Il me coince en plaçant son buste sur mon ventre, il écarte mes cuisses, se penche et sa langue vient jouer avec mon clitoris. Forcément je suis faible et je le laisse faire. Je sens cependant sa main qui se présente à l’entrée de mon vagin. Je proteste, mais sa langue me fait taire. Je m’accroche à sa chemise en lin de toutes mes forces.Il rentre à nouveau sa main entière en moi. Et sous le coup de sa langue qui cette fois se déchaine avec appétit sur mon clitoris je ne proteste plus. J’ai l’impression qu’un train complet est en train de me traverser… Et contre toute attente un orgasme somptueux et impérieux se fait ressentir. Mon corps m’échappe totalement, je suis muette, je tremble, j’ai chaud et froid, je n’ai plus la moindre force en moi. Je crois même que j’en perds connaissance… Il lâche prise. Il me soulève légèrement. Il m’emmène blotti dans ses bras sur son lit. Il me pose avec beaucoup de délicatesse, s’allonge à côté de moi et me prend dans ses bras. La chaleur de son corps est tellement douce que je me laisse partir. La violence de l’orgasme a été tellement forte que je suis scotchée. J’ai l’impression d’être dans une autre dimension. Le temps semble s’être arrêté.
Diffuse en direct !
Regarder son live