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Bris de routine

Chapitre 1

Ou comment voir sa collègue sous un autre jour.

Hétéro
C’était un mercredi, je faisais route vers mon lieu de travail. Quelques kilomètres à peine sur une route que je connaissais par cœur, permettant à mon esprit de divaguer au gré de ses envies. Une pensée érotique et fuguasse m’a traversé, stimulant mon entrejambe qui a gonflé sensiblement. L’inconfort résultant de l’action conjuguée de mon boxer, de mon jean et de ma ceinture de sécurité m’a forcé à balayer rapidement cette vision pourtant fort intéressante de Luna Okko, créatrice de contenu pornographique francophone, dont je n’avais pas encore vu la dernière production en date. J’ai réalisé dans le même temps que ma dernière masturbation remontait à plus de trois jours, et ai donc compris qu’il allait falloir que je m’isole quelques minutes dans les toilettes si je ne voulais pas être dérangé toute la soirée. Fort heureusement, je travaillais presque seul.
La route s’est poursuivie dans le calme, mon esprit entraîné esquivant avec soin toute source d’excitation. Après tout, il était hors de question que le ou la collègue que j’allais relever me voit arriver avec une bosse inhabituelle et mal placée.
Enfin arrivé, je suis entré dans le bureau et y ai trouvé une collègue avec qui je travaillai depuis six années maintenant et que nous appellerons Claire, par respect pour son anonymat. En cette période de l’année, notre poste nécessitait que nous travaillions sur de larges amplitudes horaires et je m’apprêtai à effectuer la permanence d’après-midi et de soirée, relevant ainsi ma collègue qui venait de veiller toute la matinée et une partie de la nuit. Je n’étais donc pas surpris de constater qu’elle avait les traits tirés par la fatigue. Ce qui était plus surprenant, en revanche, c’était son souffle court et son décolleté extrêmement échancré.
En six ans, je ne l’avais vue dévoiler sa peau qu’une seule fois. Elle venait d’arriver, je lui expliquais les us et coutumes de notre profession et elle portait un pull noir à col en V laissant apparaître la naissance de sa poitrine généreuse dans laquelle mon regard s’était échappé l’espace d’une fraction de seconde. Elle s’en était rendu compte et avait aussitôt revêtu une veste, sans aucun commentaire. Je me souviens m’être reprochée cette micro perte de contrôle qui, pensais-je alors, risquait de lui donner une image de chien en chaleur en aucun cas représentative de la réalité. Et d’autant plus vis-à-vis de mes collègues envers qui je m’interdis toute relation autre que cordiale voire amicale. Elle n’avait plus rien porté de la sorte jusqu’à aujourd’hui.
Maître de moi, j’ai contrôlé mon regard et contraint mon esprit à ne pas divaguer. Cependant, je ne pouvais m’empêcher de percevoir des détails évidents comme, par exemple, l’énorme différence de température entre la météo typique d’un mois de mars à l’extérieur et l’étuve à l’intérieur. Elle semblait avoir du mal à respirer et fronçait périodiquement les sourcils. Depuis mon champ de vision, il me semblait apercevoir un reflet de lumière sur la courbe d’un de ses seins, me laissant penser à une perle de sueur. Je la connaissais frileuse, mais là, on avait dépassé ce stade. J’ai fait comme si de rien n’était, à ceci près que j’ai rapidement posé mon manteau avant de suffoquer.
— Salut ! Ça va ? ai-je demandé.— Salut ! Ouais ça va ! J’ai un peu chaud...— Oui, je veux bien te croire, pas de problème. T’as forcé sur les radiateurs. Tu as de la fièvre ?— Non je... (elle a marqué une pause, froncé de manière presque imperceptible les sourcils). Enfin je sais pas... J’ai cru en avoir tout à l’heure, mais en fait, non. Sûrement la fatigue.
Elle a aussitôt enchaîné sur les nouvelles, me décrivant son avancée sur les tâches du mois et ce qu’il restait à faire. Je me concentrais sur ses paroles pour faire abstraction de sa poitrine qui tressautait dans son soutien-gorge bleu et que son haut grand ouvert n’arrivait pas à camoufler. Régulièrement, l’une de ses mains tirait sur le textile dans un espoir vain de masquer ses seins, mais couvrir un côté découvrait l’autre au moindre geste. Elle était clairement gênée par la situation. Le rouge dévorait peu à peu ses joues. Son discours était chaotique, régulièrement interrompu par des pauses soudaines agrémentées de contractions de sourcils, de respirations saccadées et de coups d’œil à son téléphone qui semblait assailli de notifications.
Je ne comprenais pas ce qu’il lui arrivait. Je faisais ce que je pouvais pour ne pas sexualiser la situation. Il n’y avait d’ailleurs aucune raison qu’il y ait quoi que ce soit de la sorte dans cette scène. Nous n’avions jamais eu de discussion sur le sujet, elle était quasi mariée avec le père de ses deux enfants, j’étais persuadé qu’elle n’avait aucune attirance envers ma personne, tout comme je n’en avais aucune pour elle. Je n’ai donc rien relevé et ai continué de l’écouter en restant strictement professionnel.
À grande peine, elle est arrivée au bout de son compte rendu et m’a laissé la place. Alors qu’elle me passait à côté pour ranger ses affaires, je l’ai entendue haleter. C’était discret, mais j’étais sûr de moi. Je suis resté concentré. J’allais avoir tout le loisir de me faire des films après son départ.
Dans mon dos, je l’ai entendue s’immobiliser. Une seconde plus tard, elle soupirait et retenait brusquement sa respiration pour la relâcher doucement. “Et merde...” a-t-elle murmuré.
— Qu’est-ce que tu en penses ? m’a-t-elle demandé, d’un coup.— Ce que je pense de quoi ? ai-je répondu sans me retourner, concentré sur les dossiers éparpillés sur le bureau.
— De m- (elle a observé un silence brusque). De ça.
Naturellement, je me suis retourné pour comprendre de quoi elle me parlait. Elle me faisait désormais face, à quelques mètres de là. Ses mains tremblantes ajustaient son top à manches longues, mais semblaient hésiter entre cacher et dévoiler son torse, pour finalement se rabattre sur la seconde option. Elle a ensuite pris appui sur le placard bas derrière elle. Elle était encore plus rouge qu’à mon arrivée, son regard se faisait fuyant. Je ne l’avais jamais vue autant déstabilisée, elle qui était à l’accoutumée si sûre d’elle.
À ce moment-là, dans ma tête, c’était le bordel. Navré pour la vulgarité, mais il n’y a pas de notion plus juste.Mon pragmatisme me hurlait que quelque chose clochait. Ce genre de chose n’arrivait que dans les pornos ou aux beaux gosses transpirant le charisme et la confiance en eux. Pas à moi, donc. J’avais de plus la désagréable impression que son comportement n’était pas voulu.Ma verge et ses testicules pleins luttaient pour sauter sur l’occasion, sans chercher à comprendre ce qu’il se passait, m’obligeant à combattre férocement mon début d’érection.Ma raison, elle, essayait de se faire entendre dans tout ce fatras pour me souligner que j’étais en train d’atomiser tous mes efforts pour ne plus automatiquement sexualiser les poitrines féminines.Et enfin, ma puérilité qui ne trouvait rien de mieux à faire que remarquer que Claire ne faisait pas partie de mes “goûts habituels dans matière de femme”. Cette voix, je l’ai fait taire en priorité.
J’étais donc là, silencieux, faisant face à ma collègue et à sa poitrine partiellement exposée. J’étais moi-même rouge comme une pivoine, mais j’arrivais à garder le contrôle sur mon entrejambe. J’ai senti le vibrato au fond de ma gorge et l’ai contraint au silence en un remarquable effort de volonté. J’ai détourné le regard de sa fine brassière démunie de dentelle et maintenant serré sa large poitrine pour la regarder dans les yeux.
— C’est-à-dire ? Je ne suis pas sûr de comprendre... Ai-je articulé.
Elle a fermé les yeux et j’ai perçu une contraction abdominale à travers les pans de ses vêtements. Elle a repris sa respiration et a planté ses pupilles noires dans les miennes avec un air de défi et une détermination nouvelle.
— De mon décolleté.
Le ton était sec. J’y ai perçu comme un début d’insulte. Je n’arrivais cependant pas à savoir si c’était une provocation ou de l’énervement face à ma lenteur d’esprit. Sans trop réfléchir, j’ai répondu :
— Il te va plutôt bien. C’est surprenant et joli. Le gris de ton haut va bien avec le bleu de ta lingerie.
Elle parut surprise par ma franchise soudaine et je fus étonné d’avoir réussi à sortir tout ça d’une traite sans bégayer. Elle s’est reprise et m’a demandé, d’un ton à peine plus doux.
— Et m- (elle s’est de nouveau coupée). Mes seins ?
J’ai avalé ma salive en détaillant une nouvelle fois cette vision sortie de nulle part.
— Euh... Ils sont bien mis en valeur. C’est... harmonieux.
Il fallait bien que je finisse pas céder. Cette fois, mon trouble était palpable. En parlant, j’ai distingué une nouvelle contraction abdominale chez mon interlocutrice. Elle s’était d’ailleurs crispée sur le meuble, derrière elle.
Légère vibration de son téléphone qui résonnait sur le meuble. Elle l’a regardé. Ses épaules se sont affaissées. Elle a fermé les yeux, s’est crispée, a pris une profonde inspiration. Elle s’est redressée et a enlevé son top. J’étais pétrifié. Cette fois, il n’y avait plus de place au doute. Je me suis retourné nerveusement vers la porte d’accès au bureau, qui s’avérait être vitrée. Ma gorge était nouée.Ses seins se sont serrés un peu plus puis se sont mus selon les torsions de son corps. Une fois retiré, elle a entrepris de plier son vêtement, mais a abandonné aussitôt, le posant en vrac sur le placard. Puis ses mains ont empoigné l’élastique de la brassière... et l’ont retiré. Ses seins sont tombés, lourds. Complètement nus.
— Claire, qu’est-ce que tu fous ...?
L’hésitation était profonde chez elle. Elle se cachait les tétons, retirait ses mains, se dissimulait avec son avant-bras. Finalement, elle a de nouveau empoigné le placard, m’exposant pleinement son torse. Elle était mal à l’aise et ne tenait pas en place, mais ses yeux restaient braqués sur moi, sans quitter cet air de défi qui me paraissait pourtant bien artificiel.
Mon érection a rempli mon boxer alors que je découvrais ses seins blancs aux tétons gonflés et rougis. Je pouvais distinguer les veines sous sa peau fine et quelques vergetures, conséquences de l’allaitement de son petit dernier. Ils étaient certes gros, mais le fait qu’elle ait vingt-huit ans devait sans doute aider à les maintenir fièrement en position. Le droit était sensiblement plus volumineux que le gauche et je pouvais sans difficulté apercevoir un fort mignon grain de beauté entre ses deux attributs. Le tout magnifiait son torse un peu rond qui lui allait à ravir. Claire ne me plaisait pas. Mais là, maintenant, tout de suite, je la trouvais splendide. Et ce n’était pas mon érection qui allait me contredire. Avant de me laisser aller à me demander quel goût pouvait avoir ces gouttes de sueur recouvrant sa chair, j’ai reformulé ma question en vérifiant une nouvelle fois la porte vitrée.
— Sérieux Claire, qu’est-ce que tu fabriques ?— Je do... Je veux qu’on s’envoie en l’air.— Mais ça sort d’où, ça ? Qu’est-ce qu’il te prend ?— Un fantasme.— Un fantasme de quoi ? De baiser au boulot ? Ton mec pouvait pas s’en occuper ?
Elle a accusé le coup pendant un moment. Maintenant à l’air libre, je pouvais clairement voir ses abdominaux se contracter par intermittence sous son petit ventre et son nombril percé d’un discret symbole d’argent qui m’était inconnu. Sans le support de la brassière, ces mouvements faisaient également vibrer sa poitrine. Les articulations de ses mains blanchissaient alors qu’elle serrait le placard et qu’elle se penchait sensiblement.
— Non il peut pas... Enfin si m-hmm...!
Elle a fermé les yeux en grimaçant. Sa main droite a lâché le meuble une seconde et s’y est de nouveau accrochée, fermement, le heurtant presque. Elle a repris la parole peu après, essoufflée.
— Bon écoute, je veux le faire avec toi, là maintenant.
À mon tour d’accuser le coup. Rien ne m’avait préparé à ça lorsque je m’étais réveillé, ce jour-là.
— Écoute, balbutié-je. D’expérience, coucher avec son fantasme est une mauvaise idée. On est forcément déçu à la fin et...— Tu veux ou tu veux pas, merde ?
OK, c’était beaucoup trop sec. Cette situation était décidément beaucoup trop étrange. J’avais clairement envie d’entrer dans son intimité, mais la prudence était encore trop forte pour que je me laisse aller. Après un énième va-et-vient entre ses yeux, sa nudité partielle et la porte toujours vitrée, j’ai repris la parole.
— Ici ? Dans le bureau ? Avec tous les prestataires qui peuvent débarquer ? Ou notre chef ?— Personne ne vient à cette heure-là (elle a regardé à nouveau son téléphone. Soupir). Bon.
Elle s’est redressée et s’est dirigée avec une grande vitesse vers moi. Instinctivement, j’ai reculé. Mais il y avait le bureau derrière et j’ai trébuché dessus, m’y asseyant presque. Elle était à quelques centimètres de moi, évitant parfaitement mon regard. Ses mains tremblantes défaisaient ma ceinture et s’attaquaient à déboutonner mon jean. Je l’ai retenu, fermement.
— T’es sûre que ça va ?— Je te dis que ça va...!
Elle était agacée et visiblement pressée que ça se termine. Elle a posé son téléphone sur le bureau à côté de moi et j’ai vu un échange de SMS ainsi que, dans la barre de notification, le signe qu’une conversation téléphonique était en cours. J’ai rapidement balayé du regard les messages visibles et ai commencé à comprendre.
— C’est vraiment ce que tu veux ? ai-je demandé à voix basse.
Elle n’a pas répondu tout de suite, mais s’est dégagée les mains de mon étreinte. Ses yeux provocateurs et stressés se sont alignés aux miens. Elle m’a dit :
— Oui. Et je dois partir dans vingt minutes, alors on y va.
Sur ce, elle a arraché d’un geste les boutons de mon jean et tout baissé tout d’un coup, libérant douloureusement mon sexe qui s’était pris dans les plis de mes vêtements. Celui-ci a dansé quelques secondes puis l’érection totale l’a rattrapé et l’a rigidifié alors qu’elle se mettait à genoux. Vu l’état de mon gland, je devais avoir laissé une belle trace de lubrifiant dans mon boxer. Le visage bien en face de ma verge tendue, elle dit :
— Ah... J’espérais plus...— Grand ?— Gros (hésitation, soubresaut abdominal, gémissement contenu). Mais ça ira.
L’une de ses mains s’est approchée de mon pénis, est restée en suspens, puis l’a attrapé complètement. Sa main bouillante et douce a commencé à me masturber, d’abord vigoureusement puis plus respectueusement, à ma demande. J’ai pris sur moi pour retrouver un semblant de contenance, faisant tout pour continuer à réfléchir malgré l’adrénaline qui englobait mes sens. Elle avait laissé son smartphone sur le bureau et il continuait de recevoir des messages. Avant qu’elle ne l’attrape de sa main libre, j’ai eu le temps de confirmer ma théorie. Les SMS provenaient de son conjoint qui lui dictait quoi faire, et il écoutait tout ce qu’il se passait. Parmi les messages déjà reçus, j’ai pu lire des choses comme : “Branle-le”, “Mets-le à poil”, “Montre-lui carrément tes magnifiques seins” et, plus récemment, “Fais voir”.
Ce qu’elle a fait, sans un mot.Le flash de l’appareil photo m’a surpris avant que je ne puisse réagir, mais j’ai pris la décision de ne pas intervenir. Finalement, l’idée ne me déplaisait pas et vu l’angle, ma tête ne pouvait pas être visible. Sa main droite continuait ses va-et-vient sur le corps de ma verge entièrement raide, évitant mon gland, pendant que sa main gauche s’occupait d’expédier la photo. Quelques secondes plus tard, elle a reçu une nouvelle consigne. Je n’ai pas eu besoin de la lire pour comprendre.
Elle a inspiré une nouvelle fois et a gobé mon sexe sans prévenir. J’ai sursauté, surpris même si je m’y attendais. Ses doigts se sont entremêlés dans mes poils à la base de ma queue, mes testicules caressant sa paume, et j’ai senti ses lèvres répandre sa salive le long de mon membre, en cadence. Elle n’a pas fait intervenir sa langue, mais je sentais que mon engin venait la heurter régulièrement lorsqu’elle se faisait avoir par le glissement. Mon esprit ne cessait de se répéter “Claire me suce !” en boucle, pendant que mon fessier mis à nu froissait les dossiers en cours de traitement. Je n’en revenais pas d’avoir mon sexe, au sommet de son érection et au gland gorgé de sang dans la bouche de ma collègue, au beau milieu du bureau. C’était fou.
Alors que je trouvais sa fellation mécanique et, soyons francs, malsaine, Claire a laissé respirer mon membre, ruisselant de salive, pour le lécher de bas en haut, avec toute la largeur de sa langue. Elle était absorbée par sa tâche et lorsqu’elle a repris mon gland dans sa bouche, j’ai senti sa langue s’activer autour de lui avec une vigueur qui n’avait plus rien d’automatique. Elle a fait encore quelques va-et-vient en titillant toujours plus mon bout puis a dégainé une main gauche trempée qu’elle a appliquée sur ma verge pour l’astiquer sans pour autant arrêter de me masser avec sa langue habile. La droite, elle, a quitté mes testicules pour plonger vers son entrejambe. Dans mon trouble, je n’avais même pas remarqué qu’elle avait commencé à se toucher sous son jean noir et qu’elle faisait ce qu’elle pouvait pour masquer ses gémissements. Vu l’état de sa main, elle devait être particulièrement excitée. Cette prise de conscience dissipa les réserves qu’il me restait.
Une fois de plus, elle laissa respirer mon membre pour le lécher, mais cette fois, elle a essayé de le renverser à l’horizontale. J’ai grogné de douleur.
— Doucement. Je peux pas la baisser, y a une veine qui coince.— T’es bloqué comme ça ?— Quand je bande bien, oui.— Ah. OK.
Tout stress semblait avoir disparu de sa voix, et ses profonds yeux noirs avaient soutenu mon regard sans sourciller, alors qu’elle tenait ma bite dans sa main et que mon liquide préséminal trônait au coin de ses lèvres. Elle a repris ses léchouilles en changeant une nouvelle fois de main. Sa droite, désormais trempée, est sortie de son jean pour s’envelopper autour de mon gland. De la gauche, elle a voulu attraper son téléphone pour lire les derniers messages en date, mais un violent spasme l’a secouée de part en part. Sa langue a quitté ma verge et elle a dû se couvrir la bouche pour ne pas crier. Sa poitrine tremblait, tout comme elle. Après quelques secondes de répit qu’elle s’est accordé en étalant distraitement sa cyprine sur mon chibre, elle a aspiré une dernière fois mon gland qui avait bien failli exploser dans sa main. Elle s’est relevée, ses seins ont dansé, voluptueux, gorgés de désir. Appétissants.
Elle a de nouveau esquivé mon regard interrogateur en reniflant puis a dégrafé son jean, dévoilant un large élastique noir et un textile d’un rose pâle. Je l’ai arrêtée d’un geste.
— Pas ici, ai-je murmuré.
Cette fois, elle m’a regardé, les yeux humides. Elle a recommencé à rougir puis a acquiescé. Elle s’est retournée d’un bloc, a attrapé son haut qu’elle a plaqué contre sa poitrine sans parvenir à la masquer totalement et a pris la direction du couloir où se trouvaient les toilettes et, aussi, la salle de pause. Je lui ai emboîté le pas, remontant mon jean, mais sans couvrir mon barreau fièrement dressé et entièrement recouvert de fluides corporels.Chance ou pas, on n’a croisé personne. Heureusement.
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