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Bris de routine

Chapitre 2

Immortalisation

Hétéro
On a fait irruption dans les toilettes destinées aux personnes à mobilité réduite et j’ai verrouillé la porte à clé. J’ai aussitôt enlevé mon pull et mon t-shirt et surpris son regard sur mon torse que j’entretenais en salle de sport plusieurs fois par semaine depuis quelques mois maintenant. Elle s’y est attardée une seconde puis s’est attelée à retirer son pantalon en même temps que moi. Le temps qu’elle se batte avec ses jambières moulantes, j’ai eu tout le loisir de remarquer que son shorty, d’un modèle très sportif, était complètement trempé. La taille de l’auréole était impressionnante et je distinguais des taches de précédentes excitations. Son compagnon devait s’amuser avec elle depuis le milieu de la nuit. Quoi qu’il en soit, elle avait l’air d’être du genre à mouiller énormément.
Mis à nu avant elle, je me suis agenouillé pour l’aider à retirer son dernier bout de vêtement, transformé en éponge. À peine ai-je atteint la bonne hauteur qu’elle a laissé échapper un gémissement sonore. Un spasme encore plus violent que le précédent l’a parcourue, l’obligeant à prendre appui sur mes épaules. Une intense vibration se faisait entendre en provenance de son entrejambe. Elle a gémi de plus belle, criant presque en plantant ses longs ongles dans ma peau, jusqu’au sang. Elle a ouvert grand la bouche, a fermé les yeux en plaquant sa main droite sur sa chatte et a haleté, hors de contrôle, alors que ses seins sautaient sur place et que ses genoux vacillaient. J’ai alors vu, émerveillé, son orgasme provoquer une nouvelle giclée de liquide venant imbiber son shorty déjà à saturation et ruisseler le long de ses jambes. Elle gémissait sous les pulsations de sa fontaine, ses jambes cédant sous l’effort. La vibration ne s’est interrompue que de longues secondes plus tard.
C’est à ce moment que j’ai retiré, doucement, sa culotte trempée.
J’ai alors découvert, de très près, une large vulve entièrement rasée à l’exception d’un trapèze entretenu, bien que gorgé d’eau, surplombant un clitoris proéminent auquel était suspendue une mince barre argentée. Ce piercing m’a surpris venant de Claire. Comme quoi...
J’ai observé en suivant ses épaisses lèvres grandes ouvertes, pendantes et échappant encore quelques gouttes de son dernier geyser. J’ai également vu une sphère de plastique violet légèrement enfoncée dans son vagin, reliée à une tige du même matériau et qui disparaissait quelque part entre ses fesses que je devinais aussi charnues que le reste. La présence de ce sex-toy télécommandé n’était plus une révélation. Par contre, je ne m’attendais pas à le trouver enfoncé dans son anus.
Son odeur intime emplit mes narines. Délicat fumet doux amer dans lequel j’ai perçu, outre une légère odeur de transpiration, une touche de menthe poivrée dont j’ai estimé provenir du lubrifiant enrobant son jouet. Aujourd’hui encore, les images de son sexe dégoulinant me reviennent en tête dès que je détecte cette odeur quelque part.
Elle a libéré une jambe puis, lors de la deuxième, une goutte s’est échappée de l’antenne du vibro pour tomber sur ma main. J’ai écarté l’éponge, placé mes mains sur ses cuisses charnues et ai approché ma bouche, dans la ferme intention de boire tout ce que je pouvais du jus que m’offrait ma collègue. Elle ne m’a pas laissé faire.
— Pas le temps (elle haletait beaucoup, respirant comme en plein marathon). Prends-moi... directement... T’as une capote ?
Je me suis redressé, profondément frustré de ne pas avoir pu glisser ma langue dans ce fruit pourtant si désirable.
— Non, pas sur moi. J’avais pas prévu d-— J’en ai dans mon sac, attends.
Elle a attrapé son jean et je l’ai aussitôt interrompue, clairement pas pressé de la voir se rhabiller et me priver de la vision de ce corps que je désirais plus que tout.
— Laisse, je vais y aller. Dis-moi où c’est.— Dans mon sac, a-t-elle répondu sans chercher à débattre. Poche intérieure.

Je suis aussitôt sorti, toujours nu et bandé comme jamais. Je suis rapidement arrivé dans le bureau, jusqu’à son sac que j’ai trouvé fermé. Sans me soucier de la porte vitrée et de mon sexe humide coincé contre son manteau entreposé sur le dossier du fauteuil, j’ai ouvert la fermeture pour y trouver beaucoup de choses, dont un autre sac de tissu mal fermé dans lequel je distinguais ce qui ressemblait à s’y méprendre à un plug anal. Mon érection est remontée aussitôt. Curieux, j’ai écarté le bord du sac. C’était effectivement un plug, translucide et surplombé d’un petit diamant blanc. Il y avait également un bidon de lubrifiant aux arômes de menthe poivrée. Le sourire aux lèvres, j’ai délaissé tout ça pour revenir à ma quête principale. La poche intérieure n’était pas difficile à trouver et j’ai donc mis la main sur sa réserve rapidement. J’en ai attrapé deux, sans détailler leurs caractéristiques et j’ai repris la direction du couloir, ma queue se secouant entre mes jambes.
Sur le court chemin, j’ai de nouveau entendu gémir au fond des toilettes dont je n’avais visiblement pas fermé la porte en sortant. En entrant, je l’ai trouvée assise sur la cuvette, occupée à essuyer ses jambes avec du papier toilette. Elle a levé les yeux vers moi, puis a descendu sur mes mains, puis sur mon sexe qui ne demandait qu’à entrer en elle.
— T’as trouvé ?— J’en ai pris deux, au cas où.
Elle s’est mise debout et je me suis délecté d’observer son corps nu pendant que je me battais avec la protection du préservatif. Elle devait mesurer pas loin d’un mètre soixante-dix et devait probablement avoir des formes généreuses par nature que ses deux grossesses étaient venues ancrer un peu plus en profondeur. Elle n’était cependant pas obèse et ses courbes demeuraient harmonieuses et, dans le cas présent, bigrement désirables. La peau de son corps était aussi blanche que celle de ses seins, à l’exception de son sexe qui lui tirait plus sur le rouge depuis le temps qu’elle se donnait du plaisir par procuration. Ses poils noirs luisaient d’humidité, tout comme ses mèches brunes et rebelles qui lui collaient parfois au visage. Outre son regard noir et profond, c’était surtout son petit piercing au clitoris qui attirait le plus mon regard. Il me donnait envie de jouer avec encore et encore. Pire, de le photographier.
Mais j’étais persuadé que lui demander l’autorisation mettrait fin à notre sauterie.
Le préservatif était trop grand. Sa réaction quant au manque d’épaisseur de mon phallus m’est alors revenue en tête, et je me suis dit que son conjoint devait sans doute avoir un sacré morceau entre les jambes. L’idée de la double pénétrer avec lui m’a effleuré, agitant ma virilité que je pris soin de maintenir en position horizontale en attendant de savoir dans quelle position on allait partir. Autre détail qui allait avoir son importance : le préservatif était perlé et enduit d’un gel chauffant. Déjà fortement excité par la situation, ce genre de matériel allait très probablement me faire jouir beaucoup trop tôt.
Bien que plus détendue, elle présentait toujours une certaine retenue quant à la suite du programme, ce que je pouvais tout à fait concevoir. Un nouveau coup d’œil à son téléphone, qui devait sans doute lui demander de s’offrir à moi, puis elle s’est levée avec raideur et m’a tourné le dos pour se pencher, m’offrant une vision de premier choix sur son anus refermé autour de l’antenne de son sex-toy et sa chatte gorgée. Je me suis approché sans un mot. Elle a plongé deux doigts en elle et a écarté sa vulve, m’indiquant clairement où je devais aller, au cas où ce n’était pas encore assez clair. Le degré de sa dilatation m’a confirmé que j’allais effectivement manquer d’épaisseur pour la satisfaire pleinement, mais j’ai tout de même approché mon sexe de cette cavité.
Joueur, j’ai d’abord voulu y aller en douceur, caressant mon gland contre les parois de sa vulve, entre ses doigts. Mais elle était toujours pressée, aussi s’est-elle empalée d’elle-même sur ma bite d’un brusque mouvement de bassin, en gémissant à bas volume. La chaleur humide de son corps a pris le pas sur celui du préservatif qui n’avait pas encore commencé à faire effet. J’ai savouré ma chance, le temps d’une seconde, d’être à ce point plongé en elle. Mes mains sont allées se placer sur ses hanches, mes doigts s’enfonçant tendrement dans sa peau. Puis, doucement, j’ai agité mon bassin pour explorer l’intérieur de son sexe extrêmement confortable et désirable. Sa respiration s’était accélérée.
Au troisième tour de mon sexe sur ses parois vaginales, elle a de nouveau bougé son corps torride pour se pénétrer elle-même, avec une certaine vigueur. Ses doigts étaient toujours en place le long de mon chibre, le guidant comme une piste d’atterrissage et permettant de combler le manque de largeur. J’ai pris le rythme, renforçant ma prise sur ses hanches que j’empoignais désormais avec force et je voyais, depuis son dos, ses seins ballotter sous mes à-coups. Le gel faisait enfin effet et j’avais clairement l’impression que ma bite entrait en ébullition, au point de ne presque pas sentir ses doigts qui entraient et sortaient de son intimité en même temps que moi.
— Plus vite, a-t-elle lâché en perdant le contrôle de sa voix. Plus vite ! Vas-y ! Plus fort !
J’ai donc accéléré le rythme, progressivement d’abord, puis franchement lorsqu’elle m’a presque crié :
— Allez ! Plus fort ! Sérieux, MAX ! BAISE-MOI !!!!!!
Je l’ai pilonnée, avec force. Jamais, je crois, je n’avais martelé une chatte avec autant de fougue. Nos corps s’entrechoquaient, leurs claquements humides raisonnant dans la pièce et sans doute dans le couloir. Mon cardio montait en flèche, mais je n’ai rien lâché, encouragé par ses gémissements sonores, sa respiration hachée, son corps bouillant, ses cheveux pleins de sueurs collés sur son dos, son sexe trempé et dégoulinant sur mes jambes, les gargouillis de ses muqueuses malmenées par les perles du préservatif et ses seins qui décrivaient une danse complexe et hypnotisante.
Poitrine qu’elle, d’ailleurs, n’eut d’autres choix que de maintenir pour éviter des douleurs. Seulement son bras droit étant déjà occupée à cramponner la main courante fixée au mur, elle dut dégager sa seconde, trempée et gluante de cyprine, rendant sa largeur à sa vulve dans laquelle mon sexe nageait presque. L’une de mes ex ayant eu un enfant et étant devenue adepte de la stimulation clitoridienne, je savais qu’elle allait perdre en sensation. C’est pourquoi j’ai décidé de ralentir mes assauts le temps de me pencher pour empoigner sa large poitrine à pleines mains. Et, aussi, parce que je venais de jouir une première fois et que je ne voulais pas qu’elle s’en rende compte tout de suite. Ce fut d’ailleurs assez compliqué de garder le silence, même je m’étais certainement trahi en serrant trop fort ses hanches.
Ses seins tenaient presque parfaitement dans mes grandes mains qu’elle a accompagnées de sa gauche. Avec moi, elle s’est pétri la chair, me guidant sur la force que je pouvais y appliquer sans la blesser. Elle m’a même mené jusqu’à son téton pour m’autoriser à jouer avec, me montrant là aussi les limites à ne pas dépasser. Ce petit accompagnement de nos mains entremêlées dura le temps nécessaire pour nous permettre de reprendre un peu de souffle. Puis sa main gauche a de nouveau rejoint son vagin dans lequel elle a inséré, non plus deux, mais bien trois doigts, emportant dans le même geste le préservatif dont quelques perles s’étaient bloquées sous ses ongles. Je me suis donc retiré pour le réajuster, entraînant un regard interrogateur par-dessus son épaule.
— La capote est trop grande, me suis-je senti obligé de préciser.— Ah, désolée...
Pendant que je tirais sur le latex, elle s’est redressée pour se mettre face à moi, essoufflée. Tout stress avait disparu, ses yeux pétillaient et je pense avoir aperçu un sourire en coin lorsque nos regards se sont croisés. Puis elle a vu le blanc dans le réservoir et autour de mon gland. Sa main gauche caressait toujours tendrement son clitoris, jouant avec son piercing.
— T’as craché ?— Euh... Oui... Mais je peux continuer.— Alors vie-HMM !
Le sex-toy s’était visiblement remis en marche. Elle a plié les genoux, les deux mains plaquées sur sa chatte qui avait encore plus viré au cramoisi depuis la deuxième phase de nos ébats. Les yeux fermés et contractés, elle ne cherchait plus à contenir son plaisir et gémissait à pleins poumons. Je me suis approché, la bite dressée vers le plafond, fièrement rhabillée de sa capote perlée recouverte de cyprine. Ma main gauche s’est posée sur son épaule et ma droite est allée rejoindre son entrejambe. Elle m’a aussitôt laissé la place pour saisir la main courante avec force, me laissant tout le loisir d’insérer quatre de mes doigts et de la stimuler avec toute la vigueur que me permettait mon bras. Ses gémissements sont devenus des cris et un filet de liquide a enveloppé ma main. Ce jet était nettement moins puissant que le précédent, mais peu importait, j’étais ravi d’avoir puis contribuer à le provoquer.
Les vibrations du jouet avaient perdu en intensité, mais n’avaient pas cessé pour autant. Je me suis accroupi et ai pris son sexe entier dans ma bouche, goulûment, n’écoutant que mes pulsions. Elle n’a pas essayé de m’arrêter, bien au contraire, car l’une de ses mains est allée se positionner à l’arrière de mon crâne pour maintenir une pression alors que je lui dévorais la chatte avec une passion presque boulimique.
Ma langue n’a pas eu besoin de chercher très longtemps le chemin jusqu’à son volcan. Je l’ai enfourné entière pour l’agiter à l’intérieur quelquefois, afin de ressentir son goût complexe. Son amertume avait une légère teinte sucrée/salée très plaisante qui sut ravir mes papilles. J’ai fini par ressortir ma langue fraîchement gluante de son jus pour lui lécher la vulve dans toute sa largeur, avec une forte pression, comme si je voulais l’essorer de son nectar. Ce que j’ai sans doute dû faire, dans une certaine mesure, car j’en avais plein la bouche. Une fois arrivé à son clitoris, j’ai resserré ma prise pour le sucer, titillant l’organe sacré et son colifichet, tout en aspirant tendrement. Je me suis amusé de la sorte un certain temps que je ne saurais quantifier, complètement absorbé par ma dégustation. La main de ma chère collègue n’ayant cessé d’empoigner mes cheveux, j’en ai donc déduit que j’avais dû plutôt bien me débrouiller pour un cunni express.
Après une dernière léchouille avide, je me suis relevé dans l’optique de la pénétrer à nouveau. Elle a écarté les jambes pour poser la droite sur le couvercle des toilettes, m’ouvrant l’accès. J’ai fait de même avec ma gauche, la passant sous sa droite pour me caler, soulevant la sienne un peu plus au passage. Sa main gauche est allée se fixer sur mon épaule et la droite a bien évidemment rejoint ses profondeurs moites alors que je plaçais ma gauche sur sa cuisse et ma droite sur son adorable fessier charnu dans lequel j’ai enfoncé mes doigts.
Elle a levé les yeux, j’ai fait de même. Puis, alors qu’on se perdait dans nos regards respectifs, je me suis inséré d’un coup, en suivant ses trois doigts. Son visage s’est déformé sous le plaisir, on a gémi ensemble, au même moment. Et nous avons de nouveau baisé, en nous regardant droit dans les yeux.
Ce moment hors du temps et d’une perfection sans borne m’a paru éternel. Mon sexe s’insérant en elle encore et encore, toujours plus fort, toujours plus vite, toujours plus passionnément alors que nos yeux brillants se noyaient ensemble. Nos visages étaient contractés sous l’effort et le plaisir cumulés, nos gémissements se joignaient en une mélopée distinctive.
Je sentais clairement les vibrations incessantes du jouet sur mon sexe, me stimulant encore un peu plus bien que je n’en avais aucunement besoin. Puis une idée m’est venue. De la main gauche, j’ai écarté l’une de ses fesses et de la droite, je suis allé chercher l’antenne. Cette recherche m’a forcé à me pencher en avant, emmenant mon visage à quelques centimètres du sien. Elle n’a pas bougé, mais j’ai discerné une certaine surprise mêlée à de la curiosité.
J’ai fortement hésité à l’embrasser, et je suis convaincu qu’elle m’aurait rendu mon baiser de bon cœur. Après tout, elle n’avait pas regardé son téléphone depuis un moment. Elle vivait le moment à fond, avec moi et personne d’autre. Mais malgré ce moment intime et torride, je restais conscient de la situation. Je suis donc resté là, déterminé à ne pas franchir cette frontière. Et elle ne l’a pas franchie non plus.
L’antenne trouvée, j’ai doucement tiré. Ses yeux se sont arrondis. Lorsque le plus gros du jouet est arrivé au seuil de son anus, elle a gémi de plus belle, sans me quitter des yeux. Un soupir lui a échappé lorsque son corps a éjecté le reste de l’appareil. Puis je l’aide, nouveau présenté, doucement, faisant pression sur son orifice et en laissant les vibrations se répandre de nouveau en elle. J’ai appuyé, le jouet est entré naturellement. Elle a fermé les yeux. Et j’ai recommencé, encore, essayant de coordonner mes mouvements pour la double pénétrer en cadence. La position était clairement inconfortable pour moi, mais j’ai fait durer autant que possible. Lors d’une de mes séquences, elle a retiré sa main droite toujours aussi trempée pour enrouler ses bras autour de mon cou, me regardant de nouveau droit dans les yeux. J’ai immobilisé mon bassin, mon sexe bien au chaud en elle, mais je n’ai pas arrêté ma masturbation annale.
Au contraire, je l’ai accéléré jusqu’à ce que les vibrations gagnent en intensité, ce qui a beaucoup trop tardé à mon sens.
Mais finalement, elles ont fait ce que j’attendais d’elles. Claire m’enlaçait toujours, ses bras autour de mon cou, nos respirations mélangées et sa chatte habitée de manière quasi sédentaire. J’ai replacé le jouet dans son logement initial sous les gémissements de sa tenancière, j’ai raffermi ma prise en m’éloignant à regret de ses si jolis yeux et ai repris mes assauts en me réglant sur la courbe de progression du sex-toy. Tant que notre accouplement restait calme, j’en ai profité pour me contorsionner afin de soulever son sein droit et le mordiller affectueusement.
L’intensité montait de plus en plus vite. J’ai donc lâché son sein lourd et je me suis appliqué à la sauter avec toute la force qu’il me restait. Étrangement, elle n’a pas plongé de main dans sa chatte, mais son visage était aussi éloquent que le mien. Du plaisir brut. La tension avait atteint un tel stade qu’il était devenu compliqué pour nous de continuer à nous dévorer des yeux. J’ai baissé la tête le premier pour remettre le préservatif en place, trouver un endroit où poser mes mains qui glissaient à cause de la transpiration et pour observer le spectacle de mon phallus ramonant l’utérus de ma collègue.
À un moment, je me souviens qu’elle a levé la tête vers le plafond pour retrouver sa respiration. Je ne pouvais peut-être pas l’embrasser, mais rien ne m’empêchait de déposer toute ma tendresse dans le creux de son cou, ce que je ne me suis pas gêné pour faire, quitte à y laisser un léger suçon. Elle m’a même rendu la politesse, mais a préféré me laisser une première marque de morsure, plus sauvage.
Ma délivrance n’était pas loin et à en juger par la puissance des vibrations résonnant dans son corps et ses cris, elle ne devait pas être loin derrière. C’est elle qui m’a enlacé la première, écrasant sa belle poitrine contre la mienne et calant sa tête sur mon épaule. L’entendre crier aussi près de mon oreille était à la fois gênant et terriblement excitant. J’ai joui avant elle, sans surprise. Cet orgasme-là m’a poussé dans mes retranchements. Pour éviter de lui broyer la cuisse, je l’ai moi aussi enlacée en essayant de ne pas trop me crisper pour ne pas l’étouffer. Un sacré défi que je n’ai peut-être pas réussi, mais je ne l’ai pas entendue se plaindre. Mon gland crachait tout ce qu’il pouvait, allant chercher sa sève jusque dans les derniers retranchements de mes bourses. C’était douloureux, en un sens, mais ça ne devait pas l’être suffisamment, car je n’ai pas cessé de la pénétrer alors que mon sexe ne pouvait pas être plus sensible.
J’ai pas mal grogné, je le reconnais, mais je n’ai pas ralenti.Quelques coups de reins plus tard, ma collègue s’est vue empreinte de mutisme. Son orgasme la saisit, paralysant ses cordes vocales alors qu’elle avait de nouveau ses dents plantées dans ma chair, tout comme ses ongles, d’ailleurs. Sa chatte a expulsé un nouveau geyser qui m’a inondé les jambes et le bas-ventre, sans retenue. Son eau a claqué au sol, éclaboussant le carrelage et nos vêtements que nous n’avions pas pris le soin d’éloigner. De son côté aussi, la torture a dû être abominable, car les vibrations n’ont ni cessé ni diminué. Elle tremblait comme une feuille, en silence.
À ce moment-là, je sais que j’ai hésité à m’immobiliser en elle pour la laisser reprendre son souffle. Sauf que ses fonctions vocales se sont remises à fonctionner d’un coup et l’entendre alterner gémissements et cris de jouissance à travers ses dents serrées sur ma peau m’a redonné du baume au cœur alors... je n’ai pas cessé de la pilonner. Même si, soyons honnête, j’étais épuisé, donc je disposais de nettement moins de vigueur qu’au commencement.
Cet “after-climax” n’a pas duré très longtemps, tout simplement parce qu’on ne pouvait plus continuer. Mon érection diminuait à vue d’œil et nous ne tenions plus sur nos jambes. J’ai donc arrêté mes assauts, ai retiré tendrement mon sexe et le jouet toujours énervé de l’anus de ma chère collègue et nous sommes tombés à genoux tous les deux, doucement, toujours enlacés. À bout de souffle.Les vingt minutes étaient écoulées depuis longtemps.
Nous sommes restés ainsi quelque temps, reprenant notre souffle, nos corps joints et nous caressant distraitement. J’avais de nouveau une furieuse envie de l’embrasser avec passion et reconnaissance, alors je me suis rabattu sur son cou. Elle a fini par m’éloigner, posant une main sur mon torse, sans animosité ni force. J’ai obéi, m’éloignant un peu. Nous nous sommes dévisagés sans un mot, puis elle s’est levée, difficilement. Son corps épuisé et luisant de fluides corporels était toujours aussi beau. Ses seins, ses hanches, son sexe aux lèvres pendantes, ses cheveux humides, sa peau blanche et ses yeux... Ses yeux, bon sang...
Alors que nous nous nettoyions et nous rhabillions dans un silence qui se faisait de plus en plus gêné, elle m’a dit, sans me regarder.
— Merci... C’était... Merci.— Merci à toi. J’ai passé un merveilleux moment aussi.— Ouais...
Elle ne savait pas quoi dire, moi non plus. Est-ce que c’était réellement indispensable, après tout ? Nous sommes sortis en direction du bureau surchauffé, moi pour travailler et elle pour rentrer chez elle, son décolleté improbable dissimulé sous une veste imperméable. Elle allait sortir après un simple “À demain” quand elle s’est retournée :
— On est d’accord que...— Oui, ai-je répondu. À personne. Jamais.— Hum (elle a hoché la tête). Merci. Salut...
Et elle est partie. Le soir même, mon téléphone a sonné. Un SMS :
— Salut. Tout ça, c’était un jeu avec mon copain. Il a apprécié, mais je voulais te dire que tout à l’heure, j’étais avec toi. Pas avec lui. Et c’était vraiment bien alors merci. Merci beaucoup d’avoir joué le jeu. Je m’en souviendrai, j’espère que toi aussi. Mais on doit pas en reparler. Jamais. Voilà. Bonne soirée !”
Les jours qui ont suivi, nous nous sommes croisés de manière aléatoire. Nous avons effectivement passé cette folie torride sous silence, mais nous étions toujours gênés lorsque nous nous retrouvions seuls dans une même pièce. Quelques mois plus tard, elle est partie travailler dans une autre agence. Et trois jours après son départ, elle m’a envoyé une photo. La fameuse photo, sur laquelle elle avait masqué son visage. Mais je savais que c’était elle, je n’en demandais pas plus. Je l’ai remercié, elle m’a répondu “de rien” avec un émoji “bisou”, puis nous ne nous sommes, à l’heure actuelle, toujours pas recroisés.
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