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brother'n sister

Chapitre 6

Hétéro
La police avait immédiatement enquêté mais elle ne semblait rien trouver. La zone avait été très rapidement interdite d’accès et tous les lycéens avaient été réunis à l’intérieur du lycée afin d’être interrogés. Les parents de chacun avaient été prévenus et la majorité d’entre eux avaient rejoint leurs enfants afin de les guider dans ce moment délicat. Notre père, à Antoine et à moi, nous avait rejoint peu de temps après la découverte. Ensemble, nous avions été invités à répondre aux questions du capitaine de police, un grand homme barbu aux cheveux bruns et bouclés.
-Vous vous appelez Salomé, c’est bien ça ?-C’est ça, répondis-je d’un ton neutre.-Je vais vous demander d’être très courageuse, mademoiselle. Pouvez-vous me dire si le visage de ce jeune garçon vous est familier.-C’est William Beauregard. Je ne le connais pas personnellement, je l’ai juste aperçu quelques fois mais je ne lui ai jamais parlé.-Si je peux me permettre, où l’avez-vous vu la dernière fois ?
Un flashback me fit alors revenir quelques heures plus tôt, devant le cadavre du jeune garçon. Je discutais avec mon frère, des relents de bile me revenant parfois dans la gorge. « La police ne va pas tarder à arriver. Tu peux être certaine qu’ils vont vouloir nous interroger pour essayer de récupérer des indices. Surtout, ne parle pas de ce qu’on a fait au gymnase. S’ils te demandent la dernière fois que tu as vu William, nous sortions du lycée et avons été cherché ton sac de sport au gymnase. Nous l’avons vu passer en vélo quelques secondes. Tu as bien compris ? »
Je me concentrais à nouveau sur l’inspecteur et lui répétait ce qu’Antoine m’avait demandé de dire.
-Je vois. Il était environ quelle heure ?-Je dirais environ six heures moins vingt.-Soit dix minutes après la fin des cours. Je vous remercie, mademoiselle.
Je sortis de la pièce du lycée réquisitionnée pour les interrogatoires. En jetant un rapide coup d’œil, je pus m’apercevoir que quatre autres agents haut-gradés se chargeaient de questionner les lycéens. Mon frère passa juste après moi et ressortit quelques minutes plus tard. Mon père demanda alors s’il était possible que l’on s’en allât et, après avoir obtenu l’autorisation, nous quittâmes la scène de crime géante.

    De retour à la maison, mon père nous demanda si tout allait bien. Antoine et moi lui répondîmes qu’il n’y avait pas de quoi s’en faire, nous avions déjà vu pire à la télévision. Il n’insista pas mais je vis, dans ses yeux, qu’il s’inquiétait. Évidemment que ce dont nous eûmes été témoins n’avait rien à voir avec ce que l’on pouvait regarder à la télévision ; un vrai cadavre est plus impressionnant de par son odeur et le sang. Toutefois, j’avais la très étrange sensation qu’Antoine allait vraiment bien. Comment pouvait-on voir un cadavre et rester aussi stoïque ? Un frisson glacial parcourut alors l’intégralité de mon corps tandis que je me remémorai mes pensées datant de la veille. J’en étais certaine, cela ne faisait plus aucun doute à mes yeux ; Antoine avait tué William. J’aimerais sincèrement croire que mon frère n’avait rien à voir la-dedans, mais je le connaissais. Il était manipulateur et mentait comme personne. Mon instinct me disait que, en ce moment-même, il usait de ses talents pour pouvoir s’en sortir. « Je dois le dénoncer », me répétais-je en boucle. Je prétendis d’aller me balader pour prendre l’air et me dirigeai vers le commissariat de la ville. Là-bas, un agent de police, installé sur une chaise derrière un bureau, m’interpella en me demandant ce qu’il pouvait faire pour moi.
-Je m’appelle Salomé Roselande et j’ai des informations à propos du tueur de William Beauregard.

    Pendant ce temps, au domicile de Salomé, le père d’Antoine repartit au travail après s’être assuré que son fils allait bien. Il prit la voiture et partit sans perdre de temps, son chef devait très certainement l’attendre. Une fois son père parti, Antoine quitta la maison et, après avoir fermé la porte à clé, se promena dans la ville à la recherche d’Alice.


-Vous dites détenir des informations, jeune fille, mais d’après ce que m’a dit mon chef au téléphone, il vous a déjà interrogé et vous avez affirmé ne rien savoir.-J’ai menti ! admis-je. J’ai menti ! Mais maintenant, je suis prête à vous dire la vérité.-Si je peux me permettre, pourquoi avez-vous menti ?-Parce que mon frère a assassiné William Beauregard et j’avais peur de ce qu’il me ferait si je révélais au capitaine ce que je savais, dis-je les larmes aux yeux. S’il vous plaît, monsieur l’agent. Si mon frère apprend que je suis ici à le dénoncer, qui sait ce qu’il me fera. Vous devez me croire, monsieur l’agent. Il faut que vous arrêtiez mon frère ou je ne sais pas s’il me laissera en vie.
L’agent se gratta le menton qu’il avait imberbe avant de me fixer de ses yeux verts.
-Je ne sais pas. Avez-vous des preuves de ce que vous avancez ?-Je le sais, croyez-moi. Je suis toutefois prête à tout expliquer, mais il faut que le capitaine soit présent également. Y a-t-il moyen pour vous de le contacter ?-Je pourrais mais, étant donné l’état d’anxiété de l’école, si le capitaine s’en allait, je pourrais avoir de sérieux problèmes. Non, désolé jeune fille, je ne prendrais pas le risque.
Ces mots résonnèrent dans mon esprit. Des larmes se formèrent au niveau de mes yeux. J’allais devoir me débrouiller seule et trouver une autre solution. Je regardais alors une ultime fois l’agent et décidai de tenter le tout pour le tout.
-Vous pouvez partir, me dit l’agent. Je parlerai de vous au capitaine à son retour mais je ne ferai rien d’autre.
Heureusement pour moi, j’avais un dernier tour dans mon sac. Après tout, j’étais certaine que mon frère est déjà à ma recherche. Je m’approchai alors de l’agent et contournai son bureau.
-Que faites-vous, jeune fille ?! Vous n’avez pas le droit de me rejoindre !
Je fis fi de sa remarque et m’agenouillai devant lui. Toujours assis sur sa chaise, il ouvrit de grands yeux ébahis lorsque mes mains se posèrent sur son entrejambe. Je baissai son uniforme et fis surgir un membre encore mou. Sans doute n’avait-il pas eu le temps de passer en état d’excitation. Je décidai de remédier à ce détail et engloutis son membre. En raison de sa mollesse et de sa faible taille, mon visage atteignit sans problème son pubis. Avec ma langue, je donnais de léger coup à son gland encore couvé par le prépuce tout en malaxant son scrotum de ma main gauche. L’agent eut une érection très vite et son membre, désormais dur et long, tapa le fond de ma gorge. Je ravalai un gémissement de surprise et décidai de cesser cette gorge profonde avant que je ne m’étouffasse. Toutefois, je n’eus pas à continuer cette fellation plus longtemps ; l’agent se retira de ma bouche et se frappa la tête du plat de sa main.
-Bon sang, qu’est-ce que vous comptiez faire ? Vous vouliez que je fasse venir le capitaine en échange d’une pipe !-Je pensais que vous céderiez.-Et bien c’est raté, ma petite. Je te ramène chez toi et pas d’histoire.-Et si je vous offre mon corps, vous promettez de contacter le capitaine ?-Je vous demande pardon ?!
Sans attendre davantage, je me déshabillais en le fixant dans les yeux. Mes vêtements tous tombés au sol, je m’allongeai sur son bureau, ou plutôt sur les dossiers qui l’encombraient, et écartai exagérément les cuisses. Je vis, dans ses yeux, qu’il hésitait férocement. Afin de le pousser à me donner ce que je voulais, je posais ma main droite sur mon pubis et usait de mes doigts pour écarter mes lèvres internes. Ses yeux ne pouvaient quitter mon intérieur débordant de cyprine. Je me devais de l’admettre, m’exposer de la sorte dans un endroit où n’importe qui pouvait me voir m’excitait bien plus que je ne l’aurais jamais imaginé.
-Et puis merde, t’as gagné, jura-t-il en attrapant son membre et en le posant face à mon orifice.
Je le regardais et, pour achever les derniers doutes qui embrumaient encore son esprit, je me léchais les lèvres (supérieures, je ne suis pas contorsionniste). Il avala sa salive et, porté par son excitation, me pénétra d’un violent coup de rein. Le choc me fit reculer tandis que la sensation de son engin s’introduisant dans mon intimité me fit pousser un cri aigu. Pendant plusieurs minutes, il multiplia les coups de bassins jusqu’à ce que, à bout de souffle, je jouisse.
-Bah alors, mistinguette, tu pensais jouir seule. Bon, pour t’apprendre les bonnes manière, je vais changer de canal pour la fin.
Il se retira alors de mon vagin et pénétra mon anus. Ce dernier avait reçu tant de cyprine que la pénétration se fit sans aucun problème. Ainsi, pendant quelques minutes, je subissais ces assauts anaux tout en jouissant bruyamment. Il ne s’écoula qu’une courte durée avant que l’agent ne se vidât en moi. Je sentais sa semence s’écouler dans mon corps et, depuis que mon frère m’avait fait découvrir les plaisirs du sexe, j’aimais beaucoup cette sensation. L’agent se retira alors de mon fondement et attrapa le téléphone sur son bureau.
-Chose promise, chose due, dit-il en me regardant.
Il commença à composer le numéro du capitaine jusqu’à ce qu’une personne bien connue fît son apparition dans le commissariat.
-Je savais bien que tu finirais pas trahir notre petit secret, Alice, dit-il en me regardant de la tête aux pieds. Je ne voulais pas te laisser partir de la maison, tout à l’heure, mais qu’aurais-je prétendu auprès de papa ?-Que voulez-vous, jeune homme ? demanda alors l’agent de police.
Antoine s’approcha alors de lui et, lorsqu’il fut à moins d’un mètre du policier, il dit :
-Tu sais que tu viens de baiser ma sœur ? Je suis le seul à avoir le droit de profaner son corps.
L’agent eut à peine le temps de réagir que mon frère sortit un couteau de la poche de sa veste et, d’un coup vif et précis, lui trancha la gorge. Je hurlai en voyant du sang s’écouler abondamment de la plaie. L’agent s’attrapa le cou tout en s’effondrant sur le sol dans un bruit d’agonie à la fois écœurant et terrifiant. Je regardais alors mon frère ; ses yeux étaient rivés sur le cadavre de l’agent. Avait-il le même regard lorsqu’il avait tué William ? Je ne le savais pas et ne voulais pas le savoir. Actuellement, je me trouvais totalement nue devant mon frère tenant un couteau à la main, il n’était pas l’heure de s’interroger là-dessus. Au contraire, à en croire par le regard de haine qu’il me lançât, j’avais vraiment intérêt de courir.
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