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Bruxelles ville du bonheur. Arrivée à midi, enculée à deux heures

Chapitre 1

Première rencontre chaude

Hétéro
Dès la montée dans le train, j’envoie vite un SMS à Rose : " Je suis dans le train et dans une heure, nous sommes ensemble".Elle me répond une heure après qu’elle se trouve à sortie de la gare.
— Non Rose, je crains, sinon que l’on se rate, que l’on se cherche trop. Va donc devant les guichets. Là on ne peut se rater.
Je descends de la voiture. Presse le pas vers la salle des pas perdus.Impossible de rater Rose. Elle porte un tee-shirt orange. Vif, presque fluo. Un legging blanc qui moule de jolies jambes bien galbées. Des bras franchement dodus, bien gros, bronzés, constellés de taches de rousseur. Sexy ses bras... Une poitrine qu’on devine opulente sur un petit ventre qui lui sied bien. Un visage harmonieux illuminé d’un sourire discret, presque timide. Des cheveux teints en acajou tirant sur le roux. Aucun bijou. Aucun maquillage. Elle me tend une fine et jolie main sans ongles faits, et s’approche "pour la bise". Pas de parfum. Pas de rouge à lèvres. Nature Rose.
J’ai vu tout ça sur un instant. Un vrai scannage. Sur une seconde. A la deuxième seconde, elle me plaisait. A la troisième, je la voulais : " Nous allons vers la Grand’Place, Rose ?" (la chambre où je veux l’emmener se trouve dans cette direction) La Grand’Place étonne toujours, la verrait-on tous les jours. Une harmonie dans la diversité. Sa construction est la réponse pertinente des Bruxellois à la destruction de la ville par Louis XIV. (Ah tu nous as détruit notre place ? On va la reconstruire encore plus belle, na ! )
— Regarde, Rose, tous ces touristes ! Des Japonais, des Chinois !
" Tends l’oreille, toutes ces langues, il y en a dont on n’attrape aucun mot, dont on ne reconnait pas la musique !(Tiens, parlant de langue, j’aimerais la fourvoyer gentiment dans les pétales secrets de cette jolie Rose... )Car elle me plaît Rose. Elle est discrète et résolue. Elle marche, marche. D’habitude les dames de son âge marchent moins vite et demandent à s’arrêter pour souffler.Pas elle. 68 ans, m’a-t-elle avoué. Pas besoin pour elle de mentir sur son âge. Car elle parait tellement moins. On pourrait lui donner 55, et même moins. Incroyable. Nous allons voir le Mannekenpis. Comme tout le monde. Nous suivons le flot des touristes.Je lui propose un café dans un lieu super où le café est extra. Malheureusement aucune place assise, sinon à côté d’un noir occupé sur son PC. Lorsque nous serons à côté de lui, il tendra l’oreille et entendra nos propos. Les propos d’un homme et d’une femme qui se rencontrent pour la première fois et qui " font les manoeuvres d’approche". Ben c’est ça... Non ! Je consulte mon "routard".
— Je te propose un salon de thé où l’on sert des glaces originales, Rose. Il y a même des glaces à la moule ! (Tiens parlant de moule... -censuré- )
Mais il va falloir un peu marcher Rose ; ça va ? "
— ça va...
Nous trouvons ce salon, un peu plus loin de la place Sainte-Catherine, le long d’un canal, et pas loin du monument aux pigeons. (en hommage aux pigeons ayant "participé à l’effort de guerre", lors de la guerre 14/18) Je prends Rose en photo. Trois quarts profil. Super. Sa poitrine bien en valeur et son petit ventre se faisant discret. Un mignon et petit sourire, presque gêné...Nous allons dans ce salon de thé où, curieusement, nous devons nous servir au bar et où les glaces semblent un peu chères. Mais l’affluence me rassure, et contredit ce premier sentiment. La qualité des glaces confirme. J’ai choisi un caramel-beurre salé. Mmmm... " Goûte, Rose". Je lui tends ma cuillère chargée de glace. Elle goûte. " C’est que c’est bon ", me dit-elle. C’est maintenant sa cuillère qu’elle me tend.
— Délicieux, Rose, tu as bien choisi...
( " Mais peut-on mal choisir, ici, hein ?" )
J’engage la conversation et l’oriente vers "les rencontres", car je sais que Rose " chasse sur internet". (Je chasse bien, moi...)Banalités que j’ai déjà entendues. (ah, ces hommes) (Ah, ces femmes) Mais aussi cette réflexion de femme : " Il y a des obsédés sur les sites. Tiens, ceux qui "parlent trop vite de sexe, je les zappe tout de suite"...(Mais je n’ai pas l’intention de te parler de sexe, Rose...) (En matière de sexe, je ne suis pas celui qui parle... hihihi...)Rose place ses mains devant elle, écartées. J’en profite pour placer les miennes, jointes, devant moi, entre les siennes.Par inadvertance... (Ben tiens...)Je la regarde dans les yeux, fixement (je ne lâcherai plus son regard)." Rose, je crois que tu as besoin de beaucoup d’écoute, d’attentions, de tendresse... (Rose a rapproché ses mains et les a posées sur les miennes). Rose est émue. Grand moment. Ses paupières battent plus vite.
(silence) - je respire profondément, j’expire-... " de caresses aussi, Rose. Tu as besoin de recevoir caresses, Rose. "" Elle serre mes mains et ses doigts se mélangent aux miens... " Et moi j’ai tellement envie de t’en donner, Rose..."Je jette un regard sur le restant de glace qui entre temps a fondu et est presque liquide. Il est temps de la terminer.Je lape ce fond lentement, presque sensuellement. Non, franchement sensuellement. Mes lèvres et ma langue sucent la cuillère qui a raclé la coupe.Rose fait de même, au même rythme...Je regarde de nouveau Rose dans les yeux. (c’est moi qui lui prends les mains maintenant).
— Rose, je suis un peu gêné de ce que je vais demander, parce que c’est la première fois que l’on se rencontre. Ce n’est pas dans mes habitudes et je ne l’ai jamais fait, et si vite.
Je respire, j’expire, et reprends. (Je ne cache pas ma gêne, voire ma timidité. J’en suis presque fier. Cela jouera pour moi, j’en suis sûr.)Je joins les mains devant ma bouche et mon nez. Puis les baisse à hauteur du menton.
— Rose, je te propose d’aller ensemble quelques heures dans un hôtel tout près d’ici. J’ai envie de te serrer dans mes bras.
Je baisse les yeux. Les ferme. Les rouvre.
— Rose... tu veux ?
Silence...
— Oui...
Nous sortons de l’établissement. Je suis déjà excité. Je sens un "petit frémissement" dans mon slip. ( "... ça va bientôt être "à toi de jouer", mon coco..." )Sur le chemin de l’hôtel, je prends Rose par l’épaule. Au coin d’une rue, je m’arrête et l’embrasse doucement.Nos lèvres s’écartent. Quel délice ! ( ça promet...)Nous nous arrêtons sous les arbres, dans un petit square, sur un banc. Nous nous échangeons un baiser plus profond. (Oh, mais ta langue devient déjà audacieuse, Rose ! )Nous entrons dans l’hôtel, et au-delà de la porte, sonnons. La patronne vient ouvrir et nous accueille avec un délicieux accent russe. Rose est gênée et avance lentement. J’avance plus vite et vais à la rencontre de la patronne. Je lui chuchote : " c’est moi qui ai réservé ce matin..."
Et plus haut : " Qu’avez-vous comme chambre à nous proposer, madame ? "Elle nous propose trois prix. Je choisis celui du milieu.Nous montons vers le lieu d’où nos corps s’offriront.Un miroir au plafond, un lit assez haut se prêtant à des levrettes longues et confortables...Je prends Rose dans mes bras (c’était pour cela que nous étions venus, n’est-ce pas ?)Rose me déshabille. Lentement. Très lentement. Je suis nu devant elle.A moi de la déshabiller...Nous passons sous la douche.C’est sous la douche chaude que nos peaux font connaissance.Nous nous savonnons mutuellement. Nous rinçons. Nous essuyons aux essuies propres mis à disposition.Nous revenons dans la chambre.Roulons sur le lit...Nous nous embrassons.Très vite Rose " descend descend descend " et se met à me sucer...Divinement. Lentement. J’ai une trique en fonte. Plusieurs fois, je sens monter le plaisir et je lui chuchote : " Arrête"... (A mon tour de te donner du plaisir, Rose... )Je la caresse partout, m’attarde sur sa poitrine et descends vers sa chatte.Lui ouvre les lèvres et la lape lentement, du haut en bas.Lorsque je sens qu’il gonfle, s’érige fièrement, je lui titille le clitoris avec la pointe de ma langue.Je sens sa respiration devenir saccadée. ( ça vient).Après de longues minutes encore, elle laissait éclater son plaisir.Victoire ! Rose a joui ! A moi de prendre mon plaisir. Mais encore m’occuper de Rose.Tiens, parlant de Rose, c’est une feuille de rose de je lui fais. Je lui introduis ma langue dans son anus.Longtemps. Très longtemps.Je m’arrête pour lui demander : " tu aimes Rose ?".Un oui résolu me rassure et m’encourage.Je prends le flacon d’huile que j’avais préparé dans ma poche.J’en enduis l’index et l’introduis dans son anus.Mouvement de va-et-vient.Mais surtout tournant. (Il faut élargir la place parce que j’ai envie de la fourrer)Deux doigts huilés, puis trois. Mouvement tournant encore.Une vraie danse maintenant... Que dis-je une danse...D’abord un slow, un tango, un paso.Puis vite une biguine, une tarentelle, une gigue.Une sarabande. Parlant de bande, j’ai une trique de fonte.Il est temps. J’huile mon membre soigneusement. Me masturbe en tournant la main.Je lui prends les fesses et la relève, ma Rose.(Elle doit se rendre compte qu’elle va la "prendre dans le cul", ou alors elle est conne. )Encore un peu d’huile sur le gland...Je l’approche du " saint des saints".Je pousse un peu...Hop. Mon gland se trouve " de l’autre côté ".Délice.Je pousse pour "aller loin". Loin. Loin. Plus loin encore. Je reste loin. Pas de mouvement de va-et-vient.On n’est pas dans le vagin et pas "dans un porno". (Mauvaise école le porno... )Mais quelques mouvements doux quand même, histoire de "faire venir la jouissance".Elle vient. Fulgurante et folle.Dingue.
Rideau...
Une heure plus tard, au restaurant, je choisis des carbonnades à la lambic : un délice. Rarement si bien mangé.Rose m’avoue deux choses. D’abord qu’elle était "vierge de ce côté-là".(Foutredieu, à 68 ans ! )Et au dessert m’avoue avec malice - un clin d’œil- (et remuant les fesses) qu’elle " la sens encore"...
Au moment de payer, nous échangeons quelques mots avec la patronne du resto.
— On dirait que vous venez de passer un bon moment, dites-moi, nous dit-elle
(dites-moi, dites-moi, non nous ne dirons pas... si ma copine est radieuse, c’est parce qu’elle a "grimpé au ciel " par " la petite porte", la coquine...
Je dépose Rose à l’arrêt de bus qui arrive bientôt. Elle y monte, (bisous légers avant) Le bus disparaît à l’horizon...
(Dors bien Rose...)
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