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JC au bureau - Jeanne

Chapitre 2

Erotique
La soirée avec Jeanne m’a laissé de très bons souvenirs malgré le regard biaiseux de Véro quand elle m’a vu filer sous la douche dès mon retour à la maison. Je ne suis pas certain que l’excuse de la clim’ en panne dans la Xantia a fonctionné mais c’était ce que j’avais de mieux sous la main en ce mois de juin.
Passons sur la soirée: Véro fait la gueule et de mon côté après la session de rodéo avec Jeanne, je ne suis pas d’humeur à la débrider: elle peut continuer à ronchonner, de toute façon j’ai envie de dormir.
Le lendemain, comme convenu, je joue la discrétion au bureau avec Jeanne même si je ne peux m’empêcher de lui envoyer un petit clin d’œil en pleine réunion sur les budgets. Étonnement je me fais gauler et vla’ ti’ pas que je dois justifier d’une sinusite mal soignée pour expliquer mon clignement non maîtrisé. L’excuse fonctionne mais la Jeannette a viré au rouge tomate: émotive la petite ! Elle doit repenser à mes coups de reins et elle en perd tout son latin.
Mine de rien je constate que la petite dame est encore plus décolletée qu’à l’habitude; Alors, quand sonne l’heure de la pause-café, je vais discrètement m’enquérir d’explications sur ce phénomène. — "Alors chère collègue, on est très en beauté aujourd’hui. C’est pour moi qu’on porte ce petit haut aussi charmant que peu couvrant ?"
Jeanne minaude comme une ado en plein printemps hormonal; Ça sent bon la séance de sport sur le temps de midi.— "Je voulais que tu me trouves jolies. Il y a encore plein de choses que je pourrais te faire. D’ailleurs si tu n’étais pas parti si vite hier soir, j’aurais déjà pu te donner un avant-goût".
Je suis sur le point de proposer un déjeuner crapuleux le midi même mais Serge, le psychologue de la boîte qui accessoirement fantasme sur Jeanne à longueur d’année, vient nous interrompre. — "Un avant-goût ? De quoi ? Parce-que moi je suis un fin gourmet".
A l’arrivée de ce lourdaud au bouc mal taillé je sens ma Jeannette devenir toute raide: Cet imbécile va me gâcher mon programme du jour.— "T’en fais pas Serge: On parlait de fournitures scolaires pour les enfants. Je vais aider Jeanne pour des achats ce midi. Tu sais j’ai trois gamins, et tous brillants en plus."— "C’est étonnant ça. Pourquoi ils ont tous redoublé alors ? Je peux venir aussi si vous voulez".— "Tu sais, il ne vaut mieux pas, Serge. Ce qu’on cherche, c’est rangé sur les rayons du haut et avec ta petite taille, tu risques de ne rien pouvoir attraper. Ce serait gênant devant une dame".
Jeanne se met à rigoler franchement et l’importun déguerpi aussi vite qu’un pet sur une toile cirée, non sans me traiter de "connard". Je ne relève pas: il faut dire qu’il n’a pas totalement tort.
A l’heure de la collation, me voilà fier comme un pape au volant de la Xantia avec Jeanne a côté de moi. Tel un surfeur, je nous cherche un spot pour ce moment de détente quand me vient la divination: un petit chemin forestier qui donne pil-poil sur l’autoroute: Que je sois tondu sur l’instant si on peut imaginer plus belle vision qu’un flot d’automobiles pour emballer une donzelle.
Une fois le carrosse à l’arrêt, je fais le grand seigneur en détachant moi-même nos deux ceintures de sécurité. Celle côté conducteur est un modèle cinq points imitation Alain Prost: cela prend un peu de temps mais je suis tout de même libéré rapidement et prêt à m’occuper de ma passagère.

D’une voix assurée j’égrène les modèles, marques et le millésimes des voitures qui passent devant nous; Jeanne fond comme une tartine de rillettes sur un radiateur, il est temps d’attaquer.
Je pose ma main sur sa cuisse avant de remonter et qu’elle n’est pas surprise de découvrir ma Jeannette sans sous-vêtements. Je comprends à son regard que l’attention m’était destinée depuis la matinée et je n’y tiens plus: siège rabattu, intégrale de Johnny enclenchée sur la sono 7.1 surround et expulsions des flotteurs du soutien-gorge de la demoiselle s’enchaînent dans une fluidité digne de celle des couplets de "Que je t’aime".
La main dans la culotte qu’elle ne porte même pas, je lèche les pointes rosées des seins de ma collègue avec avidité. Cela n’a pas l’air de lui déplaire puisqu’à son tour c’est elle qui se jette sur moi pour me prodiguer avec ses lèvres le traitement qu’elle m’a refusé la veille.
La Jeannette est dégourdie et pas timide: vu comme elle s’active sur mon gourdin, j’en connais pas mal qui ne tiendraient pas le temps d’un refrain. Heureusement, j’ai ma technique pour durer dans ses moments d’allégresse et je me mets à égrener mentalement tout le contenu du fichier client pour laisser passer l’orage sans éparpiller tout mon contenu.— "Haa Cassandra !!!"
Jeanne se redresse brusquement, surprise et mécontente d’entendre un prénom féminin qui n’est pas le sien. Heureusement, je la détrompe.— "Jean-Marc Cassandra: c’est un client. Tu sais celui qui commande toujours le vingt-huit de chaque mois".— "Ah oui ! Et pourquoi tu penses à lui ?"— "C’est une longue histoire. Continue, t’étais bien partie".
Et revoilà ma Jeannette lancée dans la démonstration qu’après trois enfants on peut encore offrir des prestations haut de gamme.
Par contre, j’arrive bientôt à la fin de la liste des clients de la boîte et vu la progression de Jeanne sur mon énormité, je vais vraiment finir par laisser éclater mes émotions. D’une tape bien sentie sur l’arrière du crâne, j’intime à ma collègue qu’il est temps de venir me chevaucher, ce qu’elle parvient à faire malgré les bords relevés de mon siège baquet. Sacrée Jeanne, elle a dû faire du contorsionnisme dans son jeune âge.
Me voilà positionné ou je devrais toujours être et contrairement à la veille c’est Jeanne qui a le dessus. Une fois n’est pas costume: je la laisse mener la danse tantôt langoureuse, tantôt tonique de nos corps enlacés. Mes mains ont emprisonné ses seins: Ils m’ont nargué toute la matinée et j’ai comme un besoin irrépressible de les accaparer.
Jeanne commence alors à avoir le rouge qui lui monte au joues: on a beau dire, le corps de JC recouvert d’une fine pellicule de sueur et emballé dans son auto de collection aux aménagements raffinés, ça ne laisse pas indifférente la gent féministe.
La jeannette est à point et le film pour adultes vu deux jours plus tôt me donne des idées: Je laisse toujours ma camarade donner le rythme mais je délaisse sa poitrine pour empoigner ses fesses.— "Ho Jean-Claude !"
Cela ressemble plus à un "oui" qu’à un "non" alors je continue, Jeanne s’empale à fonds et ne bouge presque plus profitant seulement de mes dimensions flatteuses et du massage prodigué par mes soins à son postérieur.
Lancé pour lancé, je pousse ma chance un peu plus loin et après une brève caresse, c’est entre ses fesses que je pousse un doigt. Sur le visage de ma collègue, la surprise laisse vite place à la connivence puis la tête cachée dans mon cou, elle me souffle un "c’est trop bon" en s’empalant sur ma plus belle érection de l’année et mon majeur simultanément.
Là, le fichier client, la visualisation de la tronche de ma belle-mère ou de celle de mon découvert n’y peuvent rien: je me répands dans les entrailles de cette surprenante trentenaire qu’il va être bien difficile de ne pas avoir envie de fréquenter régulièrement.
Notre petite affaire terminée, c’est un vrai baiser que la Jeannette me fait. C’est tellement agréable que j’en suis un peu triste en essayant de me rappeler depuis combien d’années je n’ai pas embrassé Véro comme ça. Je chasse vite cette vilaine pensée de mon esprit: "carpe et Vienne" comme disent les pécheurs autrichiens.
Le trajet vers le bureau se fait dans une bonne ambiance et sincèrement je ne sais pas si je vais beaucoup travailler l’après-midi. Pour Jeanne c’est plus difficile, Serge lui tombe dessus dès son retour pour lui proposer un stage de développement personnel.
C’est pas que je suis jaloux mais je lui ferais bien bouffer toutes ses dents y compris les plombages de ses chicots du fonds. Heureusement pour sa digestion, Jeanne le renvoie dans ses cordes.— "J’ai ce qu’il faut en ce moment pour le coaching: en plus je suis une élève très sage, je fais bien tout ce qu’on me dit".
Le psychologue de comptoir s’enfuit de dépit et j’en profite pour mettre une petite fessée à ma Jeannette en passant près d’elle.— "Dites-moi ma petite dame. Vous accompagneriez un élégant VRP à un nocturne chez Norauto ce soir ?"— "D’accord mais c’est juste une sortie entre collègues".— "Mais je n’aurais pas dit mieux, ma chère Jeanne. En tout bien, tout à l’heure".
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