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Bureau 17. Une nouvelle vie au Japon

Chapitre 3

D'un mal peut naître un bien...

Hétéro
Résumé : Démarrant une nouvelle vie et un nouvel emploi au Japon, la hiérarchie m’a exilé au sein du bureau 17. J’y découvre doucement que d’un mal peut naître un bien… Okani la responsable m’y aide particulièrement
Le baiser qu’Okani et moi venons d’échanger, en plus d’être éminemment délicieux déclenche quelque chose dans mon esprit. C’est comme si, quelque part il signait la fin de mes années d’errance sur une bonne partie de la planète, comme si je disais adieu à un dilettante, à un homme qui ne parvenait pas à se fixer. Oh, je ne veux pas m’emballer, j’ai assez d’expérience pour savoir que dans la vie il faut s’attendre à tout mais je ne peux m’empêcher de me dire que ce baiser dans ce petit logis d’une grande ville japonaise est le point de départ d’une nouvelle vie et surtout d’une véritable histoire. Quand je me redresse et que nous nous fixons tous les deux, quand nos regards se perdent l’un dans l’autre, un nouveau courant passe et chacun sait avec une certitude absolue que quelque chose de fort est né entre nous. Je ne sais pas combien de temps nous restons ainsi à nous regarder, à livrer notre âme à l’autre mais lentement nos mains se rejoignent et nous nous collons l’un à l’autre. Simplement enlacés, nous savourons le fait de prendre le même chemin et de le savoir. Nul besoin de discours, nul besoin même de mots, nous nous serrons, je reste sur le dos et elle vient se lover tout naturellement sur moi avant de nous endormir l’un contre l’autre en toute confiance.
Au petit matin, je découvre l’entraide qui règne entre les femmes du bureau 17. Il suffit d’un petit coup de fil d’Okani à l’une de ses comparses pour que nous soyons sûrs d’avoir les jours suivants pour nous. Je n’arrive pas à suivre le reste de la courte conversation car ça va vite et je ne suis pas sur de ma traduction entre « on vous racontera tout » et « on vous montrera tout »Et puis j’oublie vite car elle revient vers moi et son regard me promet mille et une félicités. 
Promesses honorées car nous passons la matinée à nous découvrir, lentement, délicieusement, langoureusement. Ses courbes sensuelles, ses seins si réceptifs aux caresses, le parfum de son corps, de son essence, sa façon de me caresser, de m’embrasser fait que nous voguons sur un océan de félicités comme on l’écrit dans les romances. Je prends un plaisir fou à l’emmener sur les sommets, à lui faire découvrir ce qui fait un vrai couple, une vraie relation. Son attitude, sa.. oui, sa découverte de tout cela car malgré le fait qu’elle soit plus âgée que moi elle n’a finalement rien connu du plaisir est un ravissement. Car sa maturité, sa confiance en elle, son expérience dans l’auto-érotisme et dans la vie si particulière du bureau 17 ( même si elle ne m’en dévoile que très peu voulant me laisser la ou plutôt les surprises ) font que c’est bien différent d’une totale découverte. Oh comme ce mélange entre innocence et expérience rendent nos ébats torrides !
Je découvre doucement son goût pour les longues embrassades à coups de langue sauvage «  effet de ses visionnages de film et de ses jeux de voyeuses au bureau 17 » comme elle l’avoue ; elle découvre mon goût pour la lingerie , oh cette guêpière noire et violette qu’elle sort du fond de son armoire et qu’elle réservait à un jour ou…Évidemment en trois jours, nous ne découvrons pas tout et ce sont surtout des pistes que nous défrichons mais très sensuelles.J’aurais trop d’images et trop de pages si je devais raconter tout cela, mais je retiens ce moment quand je lui ai fais découvrir réellement le 69,en vrai et non pas à travers un écran. Rien que d’y penser, je revis la scène hors du tempsJ’ai commencé collé contre elle , à nous échauffer, a passer mes mains sur ses petites fesses fermes à la tirer vers moi pour lui faire sentir pour son plus grand plaisir mon sexe tendu, nos ventres collés a sentir la pulsation de ma queue, hmmm. Et puis, je me tourne vers ce fin triangle qui m’appelle en me retrouvant un peu séparé mais dans la bonne position.. Quand elle s’empare de ma queue tendue avec ses mains, là juste au niveau de sa bouche puis quand elle m’embouche presque voracement,avec ce regard qui se perd en moi, je la saisi et la fait glisser sur moi. Son corps réagit dans la seconde et, allongée au dessus de moi nous nous donnons l’un à l’autre du plaisir avec nos bouches, avec nos mains qui bougent, qui caressent…Tout en dégustant le coquillage nacré de sa féminité ; oui j’ai peut-être lu trop de livres H… ;-)  je sens sa langue effleurer mon sexe tendu. Et tout comme je goûte la première rosée de son plaisir, elle déguste les premières gouttes du mien. C’est comme si cela déclenchait une certaine frénésie, comme si on voulait tacitement changer par rapport à la matinée passée à faire l’amour délicatement, lentement. Je suçote ses lèvres, lèche son clitoris rouge et déjà gonflé tout en pressant ses fesses et le bas de son dos avec mes mains , comme si je voulais l’attirer encore plus vers moi, vers ma bouche affamée. Elle fait pareil de son côté, tentant d’engloutir le plus possible ma queue gonflée. Ses lèvres exercent une succion délicieuse, puissante qui me procurent mmm de ces sensations. Elle suce avec amour, avec toute son âme et ce don décuple tout ce que je ressens. Sa langue est fureteuse et me semble multiple tant elle est rapide. Elle aspire puis passe la pointe de sa langue tout le long de la tige avant de serrer dans sa bouche le gland et d’aspirer avec ferveur. Dieu que c’est bon !Je ne suis pas en reste au vu de la façon dont sa petite chatte dégouline. J’aspire, je goûte, j’alterne entre petits mordillements doux et langue sauvage, je lape bruyamment puis effleure son clito, ses fesses sont fermes sous mes pognes, c’est bon, c’est sauvage, c’est intense.Nos corps se couvrent doucement de sueur, tant nous nous lâchons, tant nous mettons de cœur à l’ouvrage ; tant nous voulons amener l’autre à la jouissance, au don le plus intime.Okani rajoute ses mains au jeu en caressant mes bourses et en me masturbant en même temps qu’elle me pompe, mes coups de langue en deviennent un peu désordonnés mais je compense en lapant plus fort, plus profondément.Nos corps vibrent l’un sur l’autre, mais à l’unisson et c’est ce qui, finalement nous fait jouir presque de concert, sans savoir qui a déclenché l’orgasme de l’autre ; sachant juste que ce plaisir partagé scelle encore plus notre couple.Nous scellons aussi nos bouches pour un baiser humide, sirupeux, partage de plaisir, partage de jouissance, partage, osons le dire Amoureux.
Voilà, des instants similaires il y en a eu pléthore. J’y songe encore pendant que nous marchons l’un près de l’autre pour nous rendre au bureau. On ne se tient pas la main car après tout nous sommes dans un pays ou la retenue policée est de rigueur mais nos regards qui se cherchent,nos corps qui se frôlent à chaque occasion parlent pour nous. Quand le traditionnel labyrinthe qui protège notre tranquillité professionnelle est parcouru, nous arrivons dans la grande pièce où j’ai la surprise de ne voir personne. C’est là qu’elle s’approche de la porte dissimulée , appuie sur un coin du haut du haut qui la fait s’ouvrir et le me dit d’une voix rauque : — Et maintenant découvre le vrai bureau 17.
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