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Bureau 17. Une nouvelle vie au Japon

Chapitre 4

Découverte du vrai bureau 17

Hétéro
Résumé : Affecté au bureau 17, j’y découvre grâce à mes compagnes de galère japonaises une vie bien différente de celle d’autres placardisés !
 Je m’attendais à beaucoup de choses à l’ouverture de la porte du vrai bureau 17 comme l’a dit Okani, mais sans doute pas au spectacle qui s’offre à moi ! En effet, vaguement préparé à une grande pièce, je suis devant une énorme pièce dont je ne distingue même pas le fond. Et pour cause, puisque ce qui me frappe au premier abord c’est cette couleur verte due à la véritable jungle qui s’ouvre devant moi. Des plantes, des plantes vertes partout, grandes, petites, des ficus, des palmiers, des fougères, dans de grands pots posés sur un carrelage couleur sable. J’avance et j’ai l’impression de basculer dans un autre monde, un monde végétal si différent de l’ambiance technocratique et aseptisée du Nakatomi building.Un chemin serpente entre les plantes et Okani m’explique alors l’origine de tout ceci.Le fondateur développeur du Holding avait racheté cet ancienne usine de savonnerie au début, son bureau était la ou nous sommes en cas de passage et son jardin secret était ici dans l’ancien espace de préparation des produits. Tout le monde l’a oublié lors du grand déménagement qui coïncidait avec un changement soudain de direction et les occupantes du bureau 17 s’en passent le secret. Il a été réaménagé et sécurisé au fil des années,. De l’extérieur c’est un petit entrepôt anonyme et pour nous c’est notre vrai monde. Ce n’est pas si grand que cela en donne l’impression à cause de la lumière , oui bon douze mètres sur quinze c’est pas si petit non plus je le reconnais fait elle quand je lui en fais la remarque.Je la suis dans ce foisonnement végétal, cette petite planète verte sous son plafond d’usine en verre presque opaque qui laisse passer la lumière mais pas les regards et j’aboutis au fond de la pièce. Un espace dégagé y accueille un très grand futon et de nombreux coussins dont la diversité de taille rejoint celles des plantes. Il y a même un grand baquet de bois qui accueille justement Takao et Nakomi, lesquelles sont immergées dans cette grande baignoire, l’une dans les bras de l’autre comme dans un cocon de protection et qui nous accueillent avec de vrais grands sourires. Car oui, maintenant que je partage leur secret nos relations ont franchies un nouveau cap. Naori est affalée sur un grand coussin en forme de poire oui, celui des années 70 rempli de billes de polystyrène. Elle est nue et nous sourit comme si tout était normal dans cet endroit magique et sa tenue d’Eve.
D’ailleurs ce doit être la tenue habituelle de tout le monde car Okani se met nue elle aussi, et je suis immédiatement le mouvement sous le regard ma foi assez scrutateur des trois autres femmes.Il y a déjà eu y avoir de l’amusement depuis leur arrivée car les trois ont les joues bien rouges et les yeux brillants. Nul besoin d’être grand clerc pour deviner que Naori a du regarder les ébats des deux plus jeunes qui se sont d’ailleurs remises à jouer pendant que nous posions nos vêtements dans un coin. Nous nous faisons un petit nid en arrangeant les coussins et discutons avec Naori tout en regardant Akao qui est indubitablement la dominante dans leur couple caresser les petits seins de Nakomi ; cette petite poupée japonaise. Elles sont belles dans leurs jeux et l’ambiance bien qu’un peu surréaliste est sensuelle et détendue, sans préjugés, sans sournoiseries, sans tabou surtout. Je pensais qu’Okani était sauvage dans ses baisers mais la façon dont les deux se galochent la bouche, la voracité dont fait preuve Akao qui donne de grands coups de langue sur le visage de sa proie si consentante... Waouh, c’est quelque chose ! Elle lui suce la langue tout en lui tirant les pointes de seins et la plus jeune la pelote tout aussi fort. Quand elles reprennent haleine, des fils de salive relient leurs bouches gonflées comme dans le film de lesbiennes qui passe en arrière plan sur une grande télévision que je n’avais pas remarqué tout de suite, un peu cachée entre deux palmiers en pot. C’est déjà obscène sur l’écran mais là, juste à côté de nous, c’est vraiment carrément torride. On dirait qu’elles sont mortes de faim à se manger la bouche, à se lécher, de vraies cochonnes en chaleur et le visage angélique de Nakomi cache un véritable petit démon pervers.Naori a la bouche entrouverte et halète un peu , son ventre un peu rond, ses seins lourds et un peu tombants sont irrésistibles pour ceux qui fantasment sur les Milf comme on dit. Ses cuisses sont serrées l’un contre l’autre, ses mains crispées sur ses cuisses ; comme si elle se retenait de se caresser. Okani m’explique qu’elle adore être ainsi, se monter la tension avant de craquer et surtout qu’elle a un certain tempérament de soumise.Elle me fait aussi remarquer que le regard de leur collègue plus âgée oscille entre les baisers sauvages du couple et ma queue qui grandit . Surtout qu’elle la flatte du bout des doigts, comme sans y penser alors que ses yeux pervers me disent tout le contraire.On s’allonge tout doucement sur le large matelas et entamons une danse de nos corps entre caresses et baisers. J’aspire entre mes lèvres les pointes tendues de ses seins qui, je l’ai noté rapidement sont très sensibles. Elle gémit rapidement ce qui m’encourage dans mes caresses. Je mordille son cou, caresses ses cheveux, reviens sur ses fesses avant d’aller jouer avec sa petite chatte déjà bien humide. Nous sommes devenus le point convergent des regards car du coin de l’œil, je vois que même le jeune couple a cessé le jeu de langue et se câline tendrement en nous matant. Je ne veux pas faire le sauvage devant ses femmes privées d’une vraie vie de couple, n’ayant toutes connues que des compulsifs rapides sans égards. Je m’allonge alors sur le dos pour le plus grand plaisir d’ Okani qui, sur ma demande vient s’asseoir sur mon visage afin que je la lèche intimement.Si je déguste doucement ses lèvres et son clitoris, au fur et à mesure, elle frotte carrément sa chatte sur mon visage, je lèche comme je peux pendant qu’elle m’utilise pour son plaisir et le mien tant c’est agréable de la voir heureuse. Enfin, elle se saisit à nouveau de ma queue gonflée et brillante et se laisse retomber dessus presque sans tatônnement avec un cri de plaisir qui ne trompe pas sur son désir.Personne ne s’y trompe d’ailleurs et Naori ne peut désormais plus résister à se caresser les seins et l’entrejambe en nous fixant. Takao qui enveloppe de ses bras Nakomi lui caresse les seins d’une main et son bras qui bouge dans l’eau ne laisse pas de doutes sur ce qu’elle fait.Nous faisons l’amour doucement, sensuellement, en accord non exprimé pour offrir un spectacledoux et lent. Okani monte et descend sur mon sceptre de chair et je lui caresse ses beaux seins bien durs tout la fixant dans les yeux. Un courant passe entre nous, un courant toujours plus fort.Je la sens inonder ma queue de sa mouille, sa chatte est douce, fourreau brûlant qui me serre et m’excite.Les regards, mon sexe, mes caresses, sa propre main qui, pour mon plus grand plaisir joue avec son bouton dans une connivence excitante font que je la sens monter et monter encore. Ses petits gémissements ultra excitants me rendent fou et quand elle lâche un grand cri témoignant de sa jouissance je jouis moi aussi en elle , tout mon corps tendu pour la rejoindre dans le plaisir.Elle s’effondre ensuite sur mon torse et j’ai l’impression d’entendre de petits applaudissements autour de nous. Quand je regarde nos trois collègues, c’est bien le cas et je me prends mille points d’ego en une fois !Enfin, elle se redresse, se dégage en passant une jambe de l’autre côté de mon corps et va vers Naori qui vient visiblement de jouir elle aussi ; affalée sur son gros coussin, une main crispée sur un sein et l’autre encore posée sur sa chatte. Sous nos regards intéressés, elle se met , cuisses écartées devant le visage de Naori et lui dit sur un ton rauque : -Je t’avais promis un dessert voilà longtemps, régale toi maintenant ! Halluciné, je m’approche et regarde la voyeuse ouvrir la bouche et recueillir le sperme qui coule de la chatte de ma complice. Son regard extatique en dit long sur le plaisir qu’elle ressent devant ce don. Quelques gouttes de foutre tombent sur ses joues et le pourtour de sa bouche et la perverse en chef vient parachever son œuvre en léchant ce surplus avant de lui rouler une pelle baveuse qui redéclenche nos vivats
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