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Le butin inattendu

Chapitre unique

Scato voyeur

Trash
Un jour, je dus assister à une conférence qui se déroulait dans une université. C’était un soir, l’oratrice bien que très charmante racontait des choses d’un ennui excessif. Mon esprit commençait à divaguer, à imaginer cette belle femme blonde en train de se déshabiller dans les w.c., descendre sa culotte et laisser glisser un jet doré au fond de la cuvette. J’imaginais sa main venir caresser son sexe avec une feuille de papier, elle portait ensuite le bout de tissu à son nez de manière machinale et l’envoyait rejoindre le liquide doré avec dédain. Un petit protège-slip était collé au fond de sa culotte, elle l’enlevait et le collait sous son nez avant de l’embrasser et le jeter dans la corbeille des w.c..
Je sortis de ma rêverie lorsque cette belle termina son allocution et annonça une pause avant la reprise de la conférence.
Je me fondis dans la foule en attendant que la pause se termine. Mes pensées étaient restées dans les w.c. avec cette belle blonde. Mon regard se promena et tomba sur une petite rousse discrète qui était assise à l’écart. Je me rapprochai pour mieux la contempler, son visage était doux, ses yeux noisette invitaient à la gourmandise, sa chevelure rousse tombait bas sur ses épaules recouvertes d’un grand gilet en laine blanche qui dissimulait à peine un chemisier où l’on pouvait, au travers, discerner de jolis tétons épais. Elle portait un jeans moulant et des baskets rouges. Son teint était rosé, comme si elle était gênée par quelque chose, sa bouche bien dessinée faisait une moue d’insatisfaction. Lorsqu’il fût temps de regagner l’amphithéâtre, je préférai me diriger vers les toilettes afin de procéder tranquillement à ma quête aux trésors... Tout le monde semblait avoir regagné l’auditoire, la voie était libre...
Je me glissai dans les toilettes pour femmes et allai directement dans la dernière cabine. J’en profitai pour m’installer et me soulager lorsque j’entendis quelqu’un entrer précipitamment. Sans un bruit, j’attendais ; les sons qui accompagnaient le silence de la pièce me suggéraient la scène qui se déroulait à quelques mètres de moi. J’entendis tout d’abord quelqu’un se dévêtir, ensuite un jet puissant et continu qui giclait contre la porcelaine. Il me semblait interminable. Une fois les dernières gouttes tombées, j’entendis un grand flop et perçus un long soupir de contentement. Ma voisine était en train de déféquer. Ma curiosité me mit à quatre pattes pour regarder par dessous la cloison des cabines. Je reconnus dans la première cabine, le jean moulant et les baskets rouges de cette belle rousse timide que j’admirais tout à l’heure. Je n’osais plus bouger, je retenais ma respiration, je ne voulais surtout pas qu’elle m’entende.
Après un deuxième grand flop, elle se releva et se rhabilla directement. Elle sortit des toilettes aussi rapidement qu’elle était entrée. Je restais pétrifié, le visage empourpré, cette cochonne n’avait pas pris la peine d’essuyer ses fesses ni même de tirer la chasse d’eau...
Sans plus attendre, je fonçai dans la cabine du délit. Une forte odeur de musc et de café y régnait. Je m’enfermai dans la cabine et restai là à contempler deux épais boudins marron longs chacun de dix centimètres qui flottaient dans un jus jaune doré. Mon cœur battait la chamade. Adepte du plaisir anal, j’aimais jouer avec cette matière collante et odorante. Je me demandais comment emmener ce présent avec moi, je ne voulais pas jouer avec à cet endroit, c’était bien trop risqué et surtout inadapté. Un préservatif que je trouvais au fond de mon portefeuille fit l’affaire. Je le déroulai, l’élargis et pris soin d’y glisser les deux jolis boudins encore chauds laissés par ma belle rousse aux joues roses. Le boudin formait maintenant un seul gros morceau que je dus tasser pour ne pas en perdre une miette. Je mis le préservatif dans la cuvette pour essayer de récupérer un peu de jus jaune doré.
Je fis attention de bien nouer mon petit paquet sans le percer et l’essuyai avec du papier toilette avant de le caler au fond de ma poche.
L’esprit complètement embué, je ne pensais qu’à m’enfuir de cet endroit pour rejoindre la chaleur de mon appartement. En me précipitant pour quitter le bâtiment, je me trompai de chemin et me retrouvai dans un couloir sombre où toutes les portes menaient à des salles de classe. Il était juste éclairé par des veilleuses de sécurité. Au moment de faire demi-tour, je vis à mi-couloir un petit panneau indiquant w.c.. La soirée avait si bien commencé, je ne pouvais pas m’empêcher d’aller y jeter un coup d’œil. Je rentrai dans les toilettes, une dizaine de cabines étaient alignées. J’imaginais les étudiantes faire la queue pour aller se soulager en cet endroit. Je commençais mon inspection, première cabine, deuxième cabine, troisième cabine...
Il n’y avait rien d’intéressant à récupérer. Arrivé à l’avant-dernière cabine, je n’espérais plus grand chose, j’avais de toute façon déjà un merveilleux présent dans la poche, je le sentais d’ailleurs se presser contre mon sexe à chaque pas que je faisais. Machinalement, j’ouvris la poubelle de cette avant-dernière cabine avec mon pied...
L’endroit était un peu sombre. Je ne vis pas tout de suite la boule qui était blottie dans une quantité de papier toilette impressionnante. Je me rapprochai et vis un tissu tout en boule d’une couleur rose bonbon. En le prenant et le dépliant, je vis qu’il s’agissait d’un string tout mouillé de pipi. Une petite cochonne avait dû attendre trop longtemps la fin du cours et n’avait pas pu retenir sa vessie avant d’arriver ici même pour se soulager. Mais il était trop tard, son petit sexe rouge s’était ouvert pour laisser échapper la liqueur dorée et imbiber le tissu de son string. J’imaginai qu’elle préférait s’en débarrasser, honteuse et peut-être un peu excitée par la situation.
Dans mon ventre, je ressentis la même sensation que tout à l’heure, face aux deux étrons flottant dans la mare de pisse. Je mis ce nouveau trésor dans ma poche, près du boudin de caca qui ne demandait qu’à sortir de là. Satisfait de mon butin et excité comme jamais, je pris le chemin inverse afin de trouver la sortie et regagner ma voiture pour rentrer chez moi...
Au retour, dans la voiture, je sentis une zone humide contre ma cuisse, je ne savais pas si le préservatif s’était déchiré et commençait à répandre un mélange boueux ou si c’était tout simplement le string rose qui transpirait au fond ma poche. Pendant le trajet, mon esprit imaginait le devenir de ces trophées sales et délicieux à la fois.
Arrivé à mon appartement, j’enlevai ma veste et mes chaussures, je mis ma main dans ma poche et en ressortis le petit string rose imbibé du pipi d’une jeune inconnue. Je le mis à mon nez, une forte odeur s’en dégageait ; je le mis autour de mon cou et y enfonçai mon visage pour sentir ce pipi inconnu me caresser le front, les joues, la nuque et la bouche. Je passai ma langue dessus et commençai à suçoter la ficelle de l’entrejambe. Un très fort goût de sexe et d’urine inonda ma bouche. Mon sexe ne dégrossissant pas, je le sentais presser le boudin toujours blotti au chaud dans ma poche qui ne demandait qu’à être le centre de mon attention.

Je me servis un grand verre de whisky pour laisser mes sens s’ouvrir et se désinhiber complètement. Après avoir siroté cet alcool enivrant, je me roulai et fumai un joint pour être complètement détendu. Je ne voulais aucune retenue cette nuit. Je filai dans la salle de bain en y emmenant un petit pot de blanc d’oeuf qui était au frigo. J’ôtai ma chemise et mes chaussettes. Je mis ma main doucement dans ma poche et commençai à branler le boudin de caca. Je ne savais toujours pas s’il était intact ou si c’était le string qui avait auréolé le devant de mon pantalon. Je le sortis délicatement, il n’avait pas cédé, aucune goutte ni aucun morceau ne s’était échappé. Je le posai doucement dans la douche, ce trésor était tellement précieux.
J’ôtai le string de mon cou et le mis de côté pour jouer avec une autre fois. Après avoir diminué l’intensité de la lumière et poussé un peu le chauffage. Je pris ma tablette et lançai une vidéo de sexandcandy18, cette petite cochonne blonde au corps parfait qui aimait jouer avec son caca. Je m’installai dans le bac de douche et commençai mon petit jeu délicieux.
Ma tête tournait avec l’alcool et le pétard que je venais de fumer ; mes sens étaient multipliés. Mon corps nu sentait la vieille pisse, j’étais excité comme un chien en rut.
Sexandcandy18 me regardait dans les yeux et commençait à se caresser les fesses, elle ouvrait son petit cul et écartait les lèvres humides de son sexe en poussant de petits gémissements. Elle se branlait en s’enfonçant plusieurs doigts dans la chatte, puis elle vint s’asseoir dans un gâteau à la crème pour ensuite étaler toute la crème sur son petit cul. Après avoir enduit son corps de crème, elle lâcha une grosse merde sur le gâteau. C’est à ce moment que je pris le boudin de caca et commençai à m’amuser avec.
D’abord, je fis une boule avec et la fis rouler sur mon torse, ma peau devenait imbibée de cet étron délicieux. Ma bite était dure comme un roc, la forte odeur de cette merde arrivait à mes narines et m’excitait de plus en plus. Les effets de l’alcool et du pétard enlevaient toutes mes limites possibles à la propreté. Mon torse, mes cuisses et mon entrejambe devenaient merdeux, je me branlais comme un porc, faisant rouler la crotte autour de mon gland. Candy se caressait la chatte, son gâteau plein de merde devant elle et ses petits seins pointus m’invitaient à la lécher. Elle prit un gros tas de merde sur le gâteau et commençait à se l’enfoncer dans le cul. Ses cuisses étaient toutes merdeuses, elle se frottait la vulve d’une main et reniflait sa crotte de l’autre tout en passant des petits coups de langue dessus.
Mon corps déjà bien enduit de merde, ma crotte avait diminué en taille, ma peau marron commençait à sécher, je pouvais maintenant utiliser le blanc d’oeuf pour m’hydrater et rendre cette merde étalée sur mon corps bien plus visqueuse.
Candy s’enduisait les seins de merde et commençait à s’introduire un énorme gode plein de caca dans la chatte. Je continuais à me caresser et me branler. Plus les caresses avançaient, plus j’étais recouvert de matières fécales. L’odeur était très forte, ma bite ne faiblissait pas, je voulais jouir avec Candy qui avait le corps aussi plein de merde et qui continuait d’enfoncer son gode épais dans sa chatte.
Lorsqu’elle mit le gode dans sa bouche, je pris la boulette de caca qui était sur mon ventre et la posai sur ma langue. Je le mis dans ma bouche et fermai mes lèvres. Ce goût si particulier de caca envahit mon palais, je recrachai la boulette sur mon torse, ma bouche était pleine de salive merdeuse ; Candy se léchait les doigts, je fis de même, toujours en me branlant.
À plusieurs reprises, je mis la crotte dans ma bouche puis la recrachai pleine de bave pour la faire rouler sur mes tétons ; le goût dans ma bouche était très amer, ma bouche bavait à fond, vous savez, cette salive marron si particulière à nos jeux de caca. Le blanc d’oeuf et ma salive venaient lubrifier ma peau et ma bite. Je me masturbais, me caressais et léchais ce caca qui devenait de plus en plus petit.
Une fois toute cette crotte étalée sur moi, le blanc d’oeuf ayant rempli sa fonction de lubrifiant, je me mis un doigt bien merdeux dans le cul et pris mon visage dans mon autre main. Mes lèvres, mes joues et mon nez étaient imbibés de caca, la situation était hyperexcitante. J’enlevai mon doigt de mes entrailles et commençai à me branler très rapidement. L’odeur très forte de la paume de ma main posée sur mon nez ne faisait que décupler mon plaisir.
Les yeux toujours plongés dans ceux de Candy, je la vis s’enfoncer le gode plein de merde au fond de la gorge et d’un gros renvoi, elle envoya un jet gluant du fin fond de ses entrailles. C’est à ce moment-là que ma queue explosa. Un gros jet de sperme atterrit sur mon ventre sali par l’étron de cette inconnue qui m’avait fait ce merveilleux cadeau en début de soirée. Je continuai machinalement les caresses merdeuse, pleine de bave et de sperme sur le bas de mon ventre. Des giclées avaient atteint mes tétons, j’étais au paradis, des frissons me parcouraient le corps, mon souffle haletant sentait la merde, ma queue rouge sang et marron frémissait, je ne pouvais pas toucher mon gland tellement il était sensible.
Après plusieurs minutes pour retrouver mes esprits, il fallait commencer à nettoyer toute cette merde que j’avais étalée dans la douche et sur mon corps.
Ce soir-là, je me mis au lit, l’esprit embué, la queue engourdie et la peau incrustée de cette odeur particulière qui reste après une séance de jeu scato...
J’espère que vous avez apprécié cette histoire, qu’elle a pu vous procurer un orgasme et vous inspirer dans vos jeux futurs. N’hésitez pas à m’envoyer un petit message. XXX
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