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La cabine d'essayage

Chapitre 2

Excitation

Erotique
Du temps a passé depuis cette escapade dans cette cabine. Environ trois mois après, ces souvenirs me hantent encore, ces souvenirs me paraissent comme un rêve, comme si cela avait été irréel ! J’me dis encore que c’est impossible qu’une telle chose soit arrivée, mais si... Tellement incroyable que j’ai envie de recommencer, là maintenant ! Ce fut tellement bon... Je repense à toutes ces fois où nous l’avons fait quand nous étions ensemble, tous ces scénarios insolites que nous avons vécus ensemble. Hôtels, piscines, soirées, lieux publics... Tant de souvenirs qui me reviennent depuis cet épisode de la cabine. J’ai connu plusieurs partenaires depuis notre rupture, de très bons même, j’ai aussi mon homme encore actuellement, mais cette attirance physique, mentale et sexuelle est beaucoup trop forte, et rien n’est comparable ! Ce fameux premier amour...
J’aimerais le recontacter, mais impossible vu nos situations respectives. Chacun en couple, c’est trop dangereux de reprendre contact, je sais déjà où cela mènerait : on en viendrait à prendre de nos nouvelles, à parler longuement par téléphone, à se chauffer par message, à se tenter comme il faut, puis on cèderait tous deux à la tentation ! Je le sais, je nous connais.
Enfin bref ! Du temps a passé depuis cette embuscade en cabine, les choses se passent merveilleusement bien avec mon homme, dans la vie comme au lit, il n’y a rien à dire.
Etant invités par des amis de mon homme à une trentaine de minutes d’ici, nous nous préparons tranquillement afin de nous y rendre. Je choisis donc une belle tenue. Tout d’abord des talons aiguilles, je sais que ça donne envie aux hommes. Rien que d’entendre le bruit des talons claquer au sol, ça les rend dingues ! Assortie à cela, une belle robe ; ni trop longue, ni trop courte, avec des collants juste en dessous pour pas avoir trop froid en soirée. J’ai envie de donner envie aux mâles présents ce soir, mais sans pour autant passer pour une allumeuse, tout dans la discrétion. Et en ce qui concerne le haut, un débardeur bien moulant, avec un assez bon décolleté de manière à attirer l’œil.

Un peu en retard par rapport à l’heure de rendez-vous, nous arrivons donc devant cette villa gigantesque à mes yeux. Villa bien évidemment beaucoup plus grande que notre appartement. Je ne saurais dire combien de voitures il y a devant... La fête bat son plein vu le bruit que l’on entend de dehors. On peut entendre la musique à l’intérieur, mais aussi les dizaines de personnes situées dans le jardin. Nous arrivons devant la porte d’entrée de cette fameuse villa, et c’est Romain qui nous ouvre la porte, l’ami de mon homme. Bel homme, très grand, brun et au physique sportif. Il nous présente sa femme, une jolie brune, aussi sportive que lui. Nous entrons dans leur maison, et je dois dire que l’intérieur est aussi impressionnant que l’extérieur. De grandes pièces de vie, vraiment très grandes, avec une foule incroyable. Il est impossible pour moi de dire combien de personnes il y a, mais on ne doit pas être bien loin de la centaine. Vous voyez les fêtes américaines, avec du monde partout dans la maison et où tout le monde se parle ? Et bien c’est exactement ça. J’ai l’impression que tout le monde se connaît. Je ne m’attendais pas du tout à une soirée de ce genre.
Romain et sa femme nous font donc visiter leur maison. Les deux hommes sont juste devant nous, et nous derrière fermant la marche. On en vient à perdre les hommes dans la visite de la villa au moment où elle me fait visiter cette magnifique salle de bain, mais surtout cette penderie... Elle fait limite la taille de mon salon ! Nous faisons encore le tour quelques minutes, et on en vient à la fin de cette visite guidée. Nous rejoignons ensuite la fête au rez-de-chaussée. J’essaye de trouver mon homme, mais difficile avec tout ce monde. Je pars donc me servir un verre toute seule, et je décide d’aller dehors prendre l’air afin d’avoir un peu plus d’espace.
Posée debout en terrasse avec mon petit verre de vin à la main, je regarde un peu toutes les personnes présentes ce soir, et il y a de quoi se rincer l’œil ; pas mal de beaux mecs, grands, bien taillés et bien musclés. Je sais à peu près vers qui je saurais aller au cours de la soirée, voir si certains sont assez réceptifs à mon charme ou pas. Après quelques instants, je décide ensuite de retourner à l’intérieur de la villa afin de retrouver mon homme. Je tourne en rond pendant quelques minutes, passant de pièce en pièce, quand soudain, je vois à l’autre bout de la pièce, au travers des personnes entre nous, MON EX !! Encore lui ! Encore là ! Mais comment c’est possible ?? Je me demande tout d’abord si c’est bien lui, parce que j’ai l’impression d’halluciner sur le coup. Je le fixe quelques instants, et oui, c’est bien lui ! J’en attrape un coup de chaud instantané, mon cœur s’emballe comme l’autre fois. Quel hasard...
J’avais décidé de m’en remettre à cela après notre rencontre dans la cabine d’essayage, décidant que si nous devions nous revoir, ça serait grâce au « destin ». Et nous revoilà, ici au même endroit, au même moment. Contexte bien différent par contre ; je ne suis pas venue toute seule ce soir, mon mec ne sait pas qui est mon ex comme notre histoire remonte à bien longtemps. Mon ex, quant à lui, je ne sais pas du tout s’il est venu seul ou pas. Le voir, encore une fois, me donne ces fameux papillons dans le ventre. Je ne sais pas du tout si je dois aller le voir, ou essayer de retrouver mon homme. Un peu comme si je devais choisir entre l’ange et le démon, la sécurité ou le danger, le bien ou le mal. Et même si je décidais d’aller voir mon ex, je ne sais même pas si on oserait ce petit jeu de séduction, étant donné que nous sommes dans un lieu où si l’on venait à se faire prendre, ça serait par nos connaissances directement, donc pas du tout les mêmes conséquences...
Donc j’attends là, dans mon coin, au loin en train de l’observer. Il parle et rigole avec plusieurs personnes. Il a aussi cette manie de parler à tout le monde, de s’entendre avec tout le monde. Et dans ce « tout le monde », il y a bien évidemment, et surtout : des filles ! C’est un gars très sociable, il l’a toujours été et il ne changera jamais, c’est quelqu’un qui aime plaire. Il n’est pas forcément du genre à se montrer, mais il aime savoir qu’il plaît. Il est donc là, en train de faire rigoler la bande, certaines filles rigolent bêtement à ses côtés. Et donc oui, effectivement, je suis jalouse ! Je ne devrais pas avoir ce ressenti, je n’ai plus aucun lien ni contact avec lui. Mais en terme de sentiments, je ne saurais pas dire... Ca reste mon premier amour quand même, certaines choses ne s’oublient pas. Mais j’imagine qu’une de ces filles puissent se retrouver au lit avec lui, et logiquement, se ferait démonter comme il en a le talent...
Je décide donc de me rapprocher de lui, tant pis. Tant pis pour les risques, dans le pire des cas je dirai qu’on s’est croisé et qu’on donne de nos nouvelles si jamais mon homme viendrait à nous voir ensemble. J’avance dans sa direction, et c’est à ce moment-là que l’on attrape ma main. Je me retourne, et bien évidemment, c’est mon homme. D’une certaine manière, je suis en quelque sorte rattrapée par la réalité, et à mon étonnement, j’en suis déçue... J’étais sur mon petit nuage, une nouvelle fois plongée dans ma vie d’avant, cette petite vie de folie que j’aimais tant et que je regrette encore quelques fois par moments. J’étais prête à m’approcher d’une nouvelle opportunité dangereuse. Qui sait ce que se serait passé ? Mais la raison, incarnée par mon homme, me fit vite redescendre sur terre.
Nous allons donc dans une autre pièce avec lui retrouver certains de ses amis. La soirée passe, l’ambiance est toujours aussi bonne, je dois être à mon 3e ou 4e verre, et je n’ai pas recroisé mon ex depuis tout à l’heure. J’ai envie de le revoir, de lui parler, ne serait-ce que ça. Il me manque ce con, je dois l’avouer... Je trouve cela bête d’être au même endroit, et de ne pas pouvoir se parler un minimum. Je dis donc à mon homme que je vais faire un tour, prendre un peu l’air comme l’alcool me donne chaud. Je sors de la cuisine, je fais un vague tour de la maison, je fais différentes pièces, mais il reste introuvable. C’est alors que je passe dans un couloir, et à ma grande surprise, je tombe nez à nez avec lui !
— Alors comme ça tu m’esquives ? Me dit-il avec un sourire assuré.— Je ne t’esquivais pas...
— Dommage, parce que moi je te cherchais justement !
Toujours autant d’assurance ce petit con ! Quand nous étions ensemble, j’y étais habituée, mais là, je ne m’y attendais pas du tout. Je suis surprise et complètement déstabilisée. On prend alors de nos nouvelles depuis la dernière fois, sans pour autant évoquer ce qu’il s’était passé dans cette cabine. On retrouve encore cette chamaillade et cette complicité, celles du temps où nous étions ensemble, exactement la même qui nous a fait nous rapprocher dans ce magasin. Logiquement, nous reprenons nos jeux tactiles aussi, ce fameux jeu du chat et de la souris. Je vois de temps en temps ses yeux dériver sur mon décolleté, décolleté qui réussit plutôt bien sa mission du coup. Je ne pensais pas qu’il pourrait être ma « victime » ce soir, mais si ça pouvait être lui... Je dois dire qu’avec le coup que j’ai dans le nez, l’idée de baiser ici, là, ce soir, me vient forcément à l’esprit. Je ne sais pas où, mais j’en ai vraiment envie. Encore un autre contexte dangereux, mais qui dit « dangereux » dit « excitant ». Cette dose d’adrénaline que j’ai eue dans la cabine est tout simplement indescriptible ! C’est comme un poison... Une fois qu’on est piqué, difficile de s’arrêter. J’ai vraiment envie de redécouvrir cette sensation.
Nous continuons de parler, de se chamailler, de se taquiner. Je ressens cette attirance physique mutuelle l’un envers l’autre. C’est lui qui mène la marche, je ne sais pas du tout où nous allons dans cette villa, mais je me sens bien pour le coup, toujours avec cette petite appréhension d’être vue avec lui par mon homme. C’est au bout de deux-trois minutes que d’un coup, il me prend par la main, m’attire rapidement dans une pièce un peu cachée, pièce qui ressemble à un débarra ou quelque chose du genre, referme la porte juste derrière lui en fermant la clé, et me dit :
— Viens ici ! On sera mieux pour parler. Ecoute, c’est simple : j’ai envie de toi ! Je n’ai pas arrêté de penser à toi depuis l’autre jour ! — T’es vraiment fou de faire ça ici ! Si on vient à nous griller, je suis finie...— Arrête de penser à tout ça, personne ne viendra ici crois-moi !
Il a l’air de bien connaître les lieux pour dire ça, et à peine ai-je le temps de penser cela, qu’il me plaque contre le mur, prend mon visage par les joues, et m’embrasse fougueusement en m’amenant vers son visage. J’en avais envie. J’en ai envie ! Mais je ne peux pas... Pas ici... C’est bien trop dangereux... Je sens l’odeur de son parfum. Il ne l’a toujours pas changé depuis notre rupture, et je dois dire que cela me fait un peu perdre la tête. A contre cœur, j’essaye de le repousser avec mes deux mains contre son torse, mais il ne me laisse pas faire. Il me force à rester contre le mur, et tient fermement mes poignets. Ça a le don de m’exciter encore plus... Ce début d’emprise sur moi, le fait d’être dominée, d’être soumise et manipulée, augmente malgré moi une envie de tirer mon coup, de me faire prendre, de baiser et de se faire plaisir !
Il m’embrasse vraiment comme il faut, un bon baiser sexuel et excitant. Au fur et à mesure, je ne peux que baisser la garde... Ce poison prend de plus en plus d’ampleur en moi, et j’oublie vraiment tout ce qu’il y a autour. Il me touche les seins, les malaxe, les empoigne et les embrasse, et j’adore ! Je vois qu’il est excité comme il faut. Je le connais, et à cet instant, la seule chose qui pourrait l’arrêter, c’est d’éjaculer. Il a trop le sang chaud pour tout arrêter.
Il me fait bien comprendre ses envies de baiser en sortant sa queue du pantalon. Je la vois, déjà bien dure et bien droite, on y voit même quelques veines pour vous dire son envie, et il est déjà en train de mouiller. Je me mets donc accroupie du haut de mes talons, et j’attrape sa queue. Une main sur celle-ci en train de la branler, et l’autre posée en dessous de ses couilles. Je sais que les mecs adorent cela, c’est une partie très sensible chez les hommes, et ça leur fait perdre la tête. J’y vais, je la suce, et à pleine bouche. Je n’y vais pas de main morte. J’avais cette envie de queue depuis le début de soirée quand j’étais chez moi, et j’ai enfin ce que je veux. Je la suce, je la pompe, la serrant bien comme il faut afin de faire sortir assez de sperme pour m’en mettre plein la bouche. Je l’entends gémir, avoir certains spasmes d’excitation, et il appuie encore plus ma tête contre lui de manière à ce que sa queue aille bien profondément jusqu’à ma gorge.
Après m’être régalée avec son gland et m’en être mis partout autour de la bouche, il m’attrape par l’arrière du cou avec sa main, me relève et m’embrasse directement à pleine bouche. Aucun amour, strictement aucun. On reprend nos bonnes vieilles habitudes à ne penser qu’au sexe, il n’est pas du tout question de sentiments pour le coup. Il m’attire contre lui, en prenant une de mes fesses bien fermement dans sa main, avec une bonne fessée comme je les aime. Celles qui font légèrement « mal », celles qui claquent, celles qui laissent des petites marques rouges une fois la fessée reçue. C’est ensuite qu’il me retourne, et me plaque contre le mur, en étant dos à lui. Il soulève ma robe, et c’est à ce moment-là qu’il a une de ses pulsions sauvages comme je les aimais : il déchire mes collants au niveau des fesses. Il est obligé d’y employer la force, et y fait carrément un trou énorme entre mes deux fesses, afin d’y avoir total accès. Il écarte mon string, le cale sur le côté, et il commence à me doigter. Je sens deux de ses doigts jouer avec mes lèvres, elles sont déjà toutes trempées d’excitation, déjà prêtes à accueillir sa queue. Il fait tourner ses doigts sur ma chatte, et s’amuse à y en pénétrer plusieurs. Il voit que j’aime ça, mon langage corporel me trahi totalement. C’est tout naturellement que je cambre mon dos et écarte les fesses pour m’adonner à lui et lui ouvrir l’accès.
J’ai envie de recevoir beaucoup plus que des doigts, et je le lui fais comprendre en retirant sa main et en lui disant de passer à la prochaine étape. Il ne perd donc pas de temps à prendre sa queue en main, et il me fait languir de plaisir en appuyant son gland contre mes lèvres et à les faire bouger. Il joue avec moi, avec mes envies, je sens parfaitement son gland bien dur faire des allers-retours de haut en bas sur ma chatte. Il s’amuse deux-trois fois à faire glisser sa queue entre mes fesses aussi, et elle glisse vraiment bien ! Elle est vraiment très dure ! Sensation jouissive et excitante, je l’imagine bien éjaculer à cet endroit et en avoir partout si nous étions dans un autre contexte. J’ai une grosse envie de me mettre à quatre pattes comme une petite chienne dans un lit ou autre, pour me faire défoncer et recevoir le fruit de son excitation.
Il voit mon état dans lequel je suis, il sent que je suis toute mouillée, et c’est exactement ce qu’il veut ; prendre le contrôle de moi et me faire perdre la tête. C’est une satisfaction pour lui, il sait qu’il donne envie et qu’il fait les choses bien. Ce qu’il veut voir aussi, c’est une vraie salope, qui ne demande qu’à avoir une queue en main, en bouche ou ailleurs, et qui ne demande qu’à être baisée comme il se doit. Et maintenant que je lui donne cette satisfaction-là, il me dit :
— Écoutes-moi bien : tu vas te la prendre, et comme il faut. Mais je vais encore jouer avec toi ! Tu vas te la prendre lentement histoire de bien la sentir... Centimètre par centimètre... Tu vas la sentir rentrer en toi ! Et crois-moi : je vais vraiment jouer avec toi !
Il est toujours dans l’optique de prendre un total contrôle sur moi. Et c’est juste après cette phrase que je sens son gland me pénétrer. Pas une pénétration brusque, sauvage ou autre, mais une pénétration très lente, comme il l’a dit. Je sens son gland écarter mes lèvres. La pénétration, facilitée par son sperme et ma cyprine, me transcende. J’essaye de me contenir parce que je suis là, à lâcher des gémissements de plaisir, mais il ne prend aucun risque et pose sa main sur ma bouche afin de me faire taire. Soumise... vraiment soumise pour le coup ! Sa première pénétration toujours en cours, sa queue continue de s’enfoncer en moi. Arrive le moment où je sens le bout de son gland arriver au fond de ma chatte. J’essaye de « m’abaisser » pour faire en sorte que sa queue aille le plus loin possible en moi, mais il m’y empêche en la retirant totalement.
Je suis dans un état second, je ne contrôle absolument rien de ce que je fais, je suis complètement dans ma bulle, seulement lui et moi. Soumise comme une petite chienne, qui n’a qu’une envie, c’est de se faire soulever ! Je le supplie de me la remettre :
— Baises-moi ! Défonces-moi ! Tamponnes-moi ! Fais ce que tu veux mais remets-la-moi s’il te plaît !
Je sais que ces mots, ces phrases de petite salope, avec la manière appropriée de le dire, lui donnent encore plus envie. Il aime ça, et ça l’excite complètement. Pour me faire taire et me satisfaire, il recommence tout de suite à me remettre sa queue. Il le fait de manière un peu plus insistée, sans pour autant y aller à tout allure comme un chaud lapin, mais surtout plus profondément, beaucoup plus profondément. Excité comme jamais, il se met à me baiser d’une allure convenable, ni trop lente, ni rapide. Sa queue glisse exactement comme il faut. Il s’amuse à la retirer, puis me la remettre. Cette sensation de queue qui te pénètre... Indescriptible ! Et à chaque fois que sa queue arrive au plus profond de ma chatte, il me fait presque décoller du sol pour que je puisse bien sentir la puissance de ses coups.
Et c’est après quelques minutes et quelques pénétrations, qu’il se décide à passer la vitesse supérieure. Il commence donc à fortement accélérer ses mouvements, à prendre une cadence assez rapide et bien sauvage. Je suis toujours là, dos à lui et face au mur, les deux mains posées contre celui-ci, dos cambré et jambes bien écartées. Il a une main posée sur une de mes hanches, et l’autre qui me tient l’arrière du cou. Il m’attire vers lui fermement pour que je sente bien chaque coup qu’il me donne, des coups qui claquent, des bons coups de queue. Et ça y va, c’est parti ! Je me fais baiser comme une vraie petite chienne dans ce contexte toujours aussi irréel. Deux sauvages, assoiffés de sexe et de baise, prenant chacun leur pied. C’est exactement ce qui arrive.
Il continue à me baiser pendant un petit moment. Je sens un peu de mouille et de sperme couler légèrement sur l’intérieur de mes cuisses. Je sens qu’il commence à ralentir certains de ses coups, ne contrôlant pas toute son envie, et sûrement l’éjaculation à venir. Je décide donc de me retirer de lui, de me tourner vers lui, de me mettre accroupie comme tout à l’heure, de sortir mes seins de mon débardeur, et je me charge de le finir. Je prends sa queue afin de me la mettre dans ma bouche, et elle a vraiment bon goût. Je la sers vraiment fort afin de la pomper, mais surtout obtenir ce que je souhaite : le faire éjaculer sur ma poitrine. Je n’attends que ça ! J’ai envie de voir décharger toute son envie et toute son excitation, de le voir perdre le contrôle à son tour, de le voir trembler de plaisir.
Après quelques instants, je le vois qu’il essaye de retirer sa queue de mes mains. Il essaye de se retenir d’éjaculer, mais je l’en empêche. Je vois qu’il est sur le point de se lâcher, donc j’insiste encore plus. Je continue à le branler mais encore plus fort, plus fermement afin qu’il sente bien sa queue compressée. Je le vois là, face à moi, en train de trembler et de résister comme il peut, mais j’ai vraiment envie qu’il se lâche. Je lui dis :
— Allez, lâches-toi sur ma poitrine ! Met-en-moi partout !
A peine cette phrase dite, il se laisse enfin faire et je m’occupe activement de sa queue. Et il ne faut pas plus que ça pour le faire éjaculer. Je sens de bonnes giclées de sperme une peu chaudes arriver par saccade sur mes seins. Je le vois gémir silencieusement pour mon plus grand bien et à ma grande satisfaction. Je pompe sa queue jusqu’au bout afin de faire sortir le maximum de sperme. Il tremble à chaque fois que je le pompe jusqu’au bout. Pleine de sperme, je fais glisser sa queue bien comme il faut entre mes seins. Sa queue est trempée, mes mains aussi. Je n’ai vraiment pas envie que ça s’arrête. Je profite encore un peu de sa queue bien dure pour la sucer et le terminer comme il faut. Je profite du plaisir d’avoir une bonne queue en main. Mon autre main est posée sur son corps. Je le sens tout chaud, mais je sens surtout ses muscles gainés. Ses abdos sont contractés et bien voyants. Je le griffe légèrement à cet endroit, et ça a le don de l’exciter à nouveau. Il m’interdit de le faire en me prenant par les deux joues d’une seule main, et avec un doigt dans la bouche que je ne peux m’empêcher de sucer. C’est ainsi qu’il me relève.
J’essuies tout ce qu’il y a sur mes seins, et je remets ces derniers dans mon débardeur. Lui se rhabille de son côté, et c’est après qu’il vient vers moi pour m’embrasser, mais cette fois-ci, ce n’est pas du tout le même genre de baiser sexuel qu’on avait « l’habitude » de faire. Là, c’est un baiser tendre et plein d’affection, comme nous avions l’habitude de faire quand nous étions en couple. Je peux ressentir une pointe de sentiments à travers ce baiser, d’amour, difficile à décrire mais qui ne se ressent qu’avec de rares personnes.
Il est temps pour nous de sortir de ce débarra et de rejoindre la fête. Nous faisons attention en sortant pour que personne ne nous voit. Et nous repartons chacun de notre côté. J’ai l’impression d’avoir encore son parfum sur moi... Une nouvelle fois, j’ai l’impression d’être dans un rêve vu ce qu’il s’est passé, surtout avec ce petit coup dans le nez que j’ai. J’ai envie de garder contact avec lui, de reproduire ce genre de partie de jambe en l’air. Elles sont parfaites, les contextes changent et sont rares, mais nous rentrerions dans un cercle plus que vicieux et dangereux. J’en deviendrai dépendante et accroc. Je nous connais... Je m’en remettrai encore une fois au hasard et au destin si nous devions nous voir à l’avenir. C’est un mélange qui a plutôt bien marché par le passé, on verra ce que nous réserve la suite.
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