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Le cabinet des plaisirs

Chapitre 1

Fin de stage

Hétéro
J’ai déjà eu l’occasion d’introduire dans « check-up complet » l’histoire d’un cabinet médical un peu "particulier". Après une nouvelle discussion avec ma compagne sur ce qui pouvait bien s’y passer d’autre, voici "le cabinet des plaisirs", une nouvelle série qui va narrer quelques histoires dans ce cabinet, en parallèle de "check-up complet".L’occasion, dans ce premier chapitre, de mettre en valeur la jeune assistante du médecin...

Le médecin rentrait de son déjeuner. Il avait pris une longue pause pour tester un nouveau restaurant gastronomique qui avait ouvert non loin du cabinet. Il avait passé un excellent moment en compagnie d’un ami tout aussi fine bouche que lui. Son après-midi allait être relativement calme, avec peu de rendez-vous ; il allait pouvoir finaliser ses retours sur le stage du jeune médecin qui l’accompagnait depuis quelques semaines. Ce jeune stagiaire était brillant, et pas uniquement dans le domaine médical ; il irait loin… Le jeune homme était absent pour l’après-midi, le docteur pourrait donc se consacrer à la finalisation de son évaluation.Il pénétra dans le cabinet ; son assistante l’attendait. Il la trouva particulièrement pimpante. Elle semblait affairée à préparer les prochains rendez-vous de l’après-midi. Alors qu’il allait s’installer à son bureau, il remarqua un dossier par terre, le dossier d’un patient. Il le fit remarquer à la jeune femme, très étonné car elle était habituellement d’un soin extrême. Elle se confondit en excuse et elle se précipita pour le ramasser, lui permettant au passage d’admirer sa croupe admirable…

… Ce jeune médecin était en stage dans le cabinet depuis trois semaines déjà et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il était diablement séduisant. Elle avait « craqué » sur lui dès son arrivée et elle n’avait depuis pas manqué une occasion pour attirer son attention. La semaine précédente, il avait par ailleurs démontré des qualités pour le moins « inattendues » durant l’examen d’une jeune patiente. Elle se remémorait encore avec émoi la vision du sexe érigé de ce jeune praticien et elle aurait adoré qu’il la prenne, elle, plutôt que de baiser cette petite pimbêche.Elle avait depuis redoublé d’ardeur pour l’attirer dans ses filets. Non pas qu’elle le laissât insensible : lui aussi semblait avoir été très vite sous le charme de la jeune assistante, mais le temps et les occasions leur avaient manqué. Les journées de travail étaient intenses et le soir et les week-end, il travaillait pour préparer ses examens. Les jours s’écoulaient et elle désespérait de trouver enfin LE bon moment.Alors, quand le docteur lui avait annoncé qu’il prendrait une longue pause déjeuner ce jour-là, elle avait commencé à imaginer qu’ils pourraient eux aussi prendre une longue pause, mais pas pour déjeuner.… Quelques minutes après le départ du médecin, elle avait saisi sa chance, ou plutôt elle l’avait provoquée. Elle avait en main plusieurs dossiers de patient qu’elle devait classer. Il se tenait derrière elle, vérifiant son stéthoscope. Elle avait fait mine de laisser tomber un dossier par inadvertance et elle s’était aussitôt penchée pour le ramasser. Se faisant, ses fesses étaient entrées en contact avec l’entre-jambe du jeune médecin ; elle avait senti avec délice le contact d’une dureté suspecte contre son postérieur. Le jeune homme avait eu un geste de recul, il savait être gentleman. C’était appréciable, mais pas aujourd’hui avait-elle décidé : gardant la pause, penchée en avant, elle avait légèrement bougé son bassin pour venir à nouveau frotter son fessier contre la bosse qui semblait avoir encore grossi.Cette fois, il n’avait pas bougé, la laissant faire, se laissant faire. Elle avait ondulé de manière d’abord imperceptible, se frottant comme une catin contre l’érection qui se formait dans le pantalon du jeune docteur. Elle avait lâché quelques gémissements étouffés pour lui faire définitivement comprendre que ses gestes n’avaient rien de fortuit.Il semblait avoir compris le message car elle l’avait senti s’approcher, renforçant le contact de son sexe désormais tendu avec son petit cul moelleux. Il avait posé ses mains sur sa taille pour accompagner son déhanchement. Elle s’était cambrée davantage pour que le chibre durci glisse contre sa petite fente qui s’humidifiait.Les mains étaient descendues le long de ses reins pour venir enfin empoigner à pleine main son joli cul. Il l’avait malaxé pendant quelques instants avant de la faire se relever. Elle s’était redressée, oubliant par la même le dossier, qui était resté au sol. Elle s’était retournée pour lui faire face, les yeux brillants. Elle avait pu lire tout autant de désir dans son regard quand il avait plongé ses lèvres contre les siennes…

Elle ramassa le dossier pour le remettre rapidement en place, confuse d’un tel oubli. Elle se sentait encore chamboulée par cet épisode de la pause déjeuner et elle n’avait pas tous ses esprits. Elle espérait simplement que le docteur ne remarquerait rien.« Mademoiselle, l’interpela le médecin. Où sont les dossiers des patients prévus cet après-midi ? Vous deviez les mettre sur mon bureau ».Elle réfléchit un court instant, prise une fois de plus au dépourvu, elle qui était d’habitude un modèle d’efficacité. Elle les vit enfin : ils étaient posés sur un petit meuble à coté de la table d’auscultation…

… Elle avait gouté à ses lèvres avec délice, s’abandonnant dans ce baiser voluptueux qu’elle appelait de ses voeux depuis trois semaines. Leurs langues se mêlaient et s’emmêlaient dans un baiser d’une sensualité intense. Sa poitrine gonflée se pressait contre le torse puissant du jeune homme et son désir était à son paroxysme.D’un geste brusque, il l’avait saisi à la taille, la soulevant pour l’allonger sur la table d’auscultation. Très vite, il avait parcouru son cou et sa gorge de baiser tandis que ses mains caressaient doucement ses cuisses. Elle avait posé, presque jeté, les dossiers qu’elle tenait sur un petit meuble attenant ; elle aussi voulait avoir les mains libres…Alors qu’il remontait lentement le long de ses bas blancs, rencontrant enfin la lisière de dentelle, elle avait passé ses mains sur sa chemise, enlevant rapidement les boutons pour dévoiler son torse qu’elle devinait puissant et musclé. Elle passa avec délice ses paumes contre sa peau nue…

Le médecin avait aperçu aussi les dossiers et il se leva. Plus rapide qu’elle, il les saisit avant qu’elle n’ait pu le faire. Alors qu’il allait retourner à son bureau, un détail sembla attirer son regard. Sur le petit meuble, il ramassa un bouton, un bouton de chemisier. Il se retourna alors vers son assistante, lui tendant le bouton en constatant qu’effectivement, il en manquait non pas un, mais trois sur le haut de son chemisier, offrant une vue généreuse sur sa poitrine. Elle le prit, expliquant en rougissant que son chemisier s’était pris dans la table d’auscultation quand elle s’était penchée pour la régler…

…Le jeune homme avait interrompu sa lente montée le long de ses cuisses. Il s’était redressé pour la contempler, haletante et pantelante de désir. Il avait fait glisser sa chemise le long de ses épaules pour le plaisir des yeux de l’assistante.Lui aussi voulait en voir plus, mais il avait montré moins de patience qu’elle : d’un geste brusque, il avait tiré violemment sur les deux pans du chemisier qui s’était ouvert, non sans que plusieurs boutons ne volent dans la pièce. Ce geste viril et dominateur l’avait rendu folle, elle adorait quand un homme prenait le dessus sur elle et là, elle savait qu’elle allait être comblée. Toujours aussi brutalement, il avait tiré sur son soutien-gorge pour libérer ses deux globes de chair pulpeux. Il avait alors directement plongé ses lèvres vers ses seins pour les lécher avec avidité. Sa main avait repris sa place sur sa cuisse et elle avait ondulé du bassin en gémissant pour qu’elle entre enfin en contact avec sa culotte déjà trempée de désir.Tout en suçant avec vigueur ses tétons, il avait écarté d’un geste sûr le mince tissu de dentelle qui protégeait son intimité et ses doigts avaient enfin effleuré le sexe en feu de la jeune femme. Elle avait poussé un cri puissant, à la fois de plaisir et de libération de toute cette envie accumulée.Sa main jouait sans relâche avec sa fente affolée ; elle coulait entre ses doigts tant son envie était forte et elle criait sous les caresses. Il commença à faire tourner lentement son petit clitoris entre ses phalanges et elle ressentit de nouvelles décharges de plaisir qui l’amenèrent presque à l’orgasme. Ce jeune médecin savait décidément y faire.

« D’ailleurs la table est mal réglée, lui dit le docteur.— Quoi ? Demanda la jeune assistante, perdue dans ses pensées.— La table est mal réglée mademoiselle. Regardez, le repose-tête est beaucoup trop bas »…

… Elle se tordait de plaisir sur la table d’auscultation. Son clitoris pulsait de plus en plus et elle se savait proche de l’explosion. Alors qu’elle allait partir, le jeune homme avait cessé ses caresses, se redressant à nouveau pour la contempler. Son chemisier était largement ouvert, ses seins à l’air et couverts de salive. Sa jupe était remontée sur ses hanches et sa chatte était luisante de mouille.Il avait alors appuyé sur le levier de la table d’auscultation, basculant le repose-tête vers l’arrière. Il avait lentement déboutonné son pantalon, libérant enfin cette queue qui la faisait fantasmer depuis plusieurs jours. Elle avait voulu tendre la main pour la saisir, mais il l’en avait empêchée, profitant des bandes velcros sur les côtés pour immobiliser ses poignets.Il était alors venu se positionner face à la table, la tirant vers l’arrière pour faire basculer sa tête dans le vide. Il lui avait alors présenté ses bourses gonflées qu’elle s’était empressée de lécher. Dans cette position elle se sentait entièrement à sa merci, et elle écartait ses jambes au maximum, excitée comme jamais par la situation.Il avait bien conscience de son pouvoir sur elle, et il avait bien prévu d’en user et d’en abuser. Il s’était reculé légèrement et il avait enfin pointé son gland contre sa bouche qu’elle avait ouverte sans se faire prier. Elle avait voulu avancer ses lèvres sur ce beau chibre mais il ne lui en avait pas laissé le temps : d’un coup sec, il s’était enfoncé brutalement dans sa bouche, la forçant à avaler l’intégralité de sa queue. Il avait forcé sa glotte d’un seul mouvement.Elle s’était débattue un court instant, tirant sur ses liens lors qu’il maintenait son sexe au plus profonde de sa gorge en la regardant d’un air satisfait. Elle s’était rapidement calmée, s’habituant à cette présence imposante qui lui distendait les lèvres. Il s’était retiré lentement pour la laisser reprendre son souffle, mais, très vite, il s’était enfoncé à nouveau de toute sa longueur.Il avait accéléré progressivement ses mouvements. Il lui avait baissé la bouche pendant de longues minutes, faisant couler sa salive de chaque coté de la table. Elle était trempée d’excitation, arc-boutée sur ses talons, ruant comme une chienne en chaleur. Sans cesser ses va-et-vient dans sa gorge, il avait commencé à abattre le plat de sa main sur sa chatte en feu.Le claquement était net et précis. Il était accompagné par un bruit humide et obscène tant elle ruisselait de cyprine. Il lui fessait le sexe avec précision et elle y prenait un plaisir de plus en plus intense tout en se faisant posséder la bouche par ce jeune médecin. Chaque tape l’amenait un peu plus au bord de l’orgasme et elle criait son plaisir malgré le sexe qui occupait totalement ses lèvres…

« Êtes-vous sûre d’avoir changé le papier sur la table depuis le dernier patient mademoiselle ? S’enquit le médecin. Regardez : il est humide à cet endroit et très froissé un peu partout ».

… Sa salive coulait le long de ses joues sur le papier de la table d’auscultation qui devenait de plus en plus mouillé. Le jeune médecin paraissait infatigable et rien ne laissait penser que ses mouvements brutaux dans sa gorge allaient cesser. Il s’était cependant arrêté, la laissant haletante, peinant à reprendre son souffle mais excitée comme jamais. Elle avait été à quelques tapes d’un orgasme foudroyant.Il était monté à son tour sur la table d’auscultation, relevant les jambes de la jeune femme et posant ses mollets sur ses épaules. Il l’avait regardée à nouveau droit dans les yeux avant de s’enfoncer dans sa fente d’un seul coup de rein, lui arrachant un cri bestial.Il avait alors commencé à la baiser comme rarement elle l’avait été. Elle avait crié à chaque nouvelle poussée dans son vagin. Parfois, il abattait sa main sur son clitoris dans une petite tape sèche qui ne faisait que décupler son plaisir. Il l’avait prise comme une chienne, comme sa chienne et les sensations étaient divines. Il n’avait pas eu à la pilonner très longtemps pour qu’elle sente l’orgasme arriver. Sa chatte se contractait de plus en plus tandis que sa respiration s’intensifiait. Il avait alors accéléré la cadence et l’intensité de ses coups de boutoir pour que très vite elle explose sur sa queue. Elle avait joui en hurlant, ondulant du bassin pour mieux sentir le pieu qui la possédait totalement.Il s’était finalement retiré de son sexe en feu. Il l’avait détachée et l’avait aidée à se redresser. Encore ivre de plaisir, elle s’était jetée à genoux pour prendre de nouveau son chibre entre ses lèvres ; elle voulait son foutre à tout prix…

« Voilà, tout est réglé, conclut le médecin en examinant la table. Tâchez de faire plus attention la prochaine fois ! — Oui Monsieur, répondit-elle penaude. Je suis vraiment désolée.— Ce n’est pas grave. La prochaine patiente arrive bientôt ; c’est pour un examen gynécologique. J’aurais sans doute besoin de vaseline et je ne la vois pas sur le meuble… Où l’avez-vous donc rangée ? ».

… Elle n’avait pas eu le temps d’emboucher son sexe. Il l’avait saisie par la chevelure et il l’avait plaquée brutalement au sol, sur le ventre.« Tu croyais que j’en avais fini avec toi petite chienne ? » Lui avait-il alors murmuré. Ces simples mots avaient suffi à inonder à nouveau sa chatte. Il s’était allongé sur elle, pesant de tout son corps sur le sien. Elle l’avait entendu attraper quelque chose sur le petit meuble et très vite elle avait su de quoi il s’agissait quand le lubrifiant avait commencé à couler entre ses fesses. Elle avait frémi de plaisir en pensant à ce qui allait suivre.Il avait ramené ses poignets au dessus de sa tête, les maintenant plaqués au sol d’une main ferme. Il avait ensuite posé son gland bien dur à l’orée de son petit trou. Comme quand il lui avait pris la bouche quelques instants auparavant, il s’était enfoncé d’un seul coup en elle, lui arrachant un cri profond, entre douleur et plaisir.Il était énorme entre ses fesses et elle ne sentait plus que son sexe qui la remplissait totalement. Il s’était mis à la prendre avec fougue et vigueur, ravageant son cul sans se soucier d’elle. Il n’en avait pas eu besoin de toute manière : la petite assistante hurlait de plaisir sous l’effet des coups de boutoir qui la défonçaient.Elle s’était sentie totalement soumise au beau médecin qui la prenait sans vergogne, allant et venant dans son petit trou pour trouver son propre plaisir, profitant de ce cul serré pour maximiser ses sensations. Son chibre avait soudain gonflé alors qu’il accélérait ses mouvements ; sa jouissance était imminente.C’est pourtant la petite assistante qui était partie la première, hurlant à plein poumon alors que l’orgasme la foudroyait. Le jeune médecin avait joui à son tour, emporté par les contractions de l’anus de la jeune fille. Il s’était répandu abondamment, inondant son petit trou de foutre chaud. Elle était encore en train de jouir quand la dernière giclée l’avait remplie.Il s’était relevé, la laissant au sol, affalée et repue de plaisir. Elle avait les membres en coton, et elle était resté un long moment ainsi, sans pouvoir bouger. Il avait un rendez-vous et il ne devait pas tarder. Il avait griffonné un petit mot sur la table du médecin avant de quitter le cabinet.Elle s’était finalement redressée, se rhabillant prestement en réajustant sa tenue. Elle avait remis un peu d’ordre dans la pièce, mais plusieurs choses lui avaient échappé. Elle avait ramassé le mot sur la table du médecin : une adresse et un horaire le soir-même. Quelques mots également : je suis loin d’en avoir fini avec ton petit cul ma jolie chienne…

Le médecin s’exclama enfin : il avait retrouvé le tube de vaseline à terre. Il s’étonna qu’il ait pu rouler ainsi mais il le remit en place sans trop poser de question, au grand soulagement de la jeune assistante.« Docteur, l’interpela-t-elle. Il faudrait que je parte un peu plus tôt ce soir, cela ne vous dérange pas ?— Pas de problème », lui répondit-il, nous avons peu de patients aujourd’hui.Elle le remercia en souriant. Elle était aux anges en pensant à son rendez-vous aux allures de convocation. Elle pouvait sentir le sperme crémeux qui coulait entre ses fesses et elle n’osait imaginer ce qui l’attendait…
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