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Le cabinet des plaisirs

Chapitre 3

Contrôle de routine

SM / Fétichisme
La jeune femme se tenait debout, face au bureau, les bras croisés dans le dos, les jambes écartées selon le bon angle : quarante-cinq degrés. En fin connaisseur, le docteur ne pouvait qu’approuver sa posture qu’elle semblait parfaitement maitriser.C’était une petite rousse, à l’allure très frêle. Elle avait un visage magnifique, parsemé de taches de rousseur, avec de grands yeux verts lumineux. Malgré sa finesse, elle était bien proportionnée, et elle avait même une fort jolie poitrine qui saillait sous son haut très moulant. « Tu comprends mes interrogations ? », demanda soudain la femme qui se tenait, assise, face au médecin.Il détacha son regard de la jeune femme pour se focaliser sur celle qui venait de parler. Elle était plus âgée, proche de la quarantaine. Elle avait de beaux cheveux blonds et des yeux bleus acier qui semblaient capables de transpercer n’importe qui. On voyait qu’elle s’entretenait régulièrement et son corps était d’une souplesse et d’une fermeté délicieuse. « Je crois comprendre ma chère Marion, lui répondit-il ; mais j’aimerais tout de même que tu m’expliques la raison de votre présence, pour être certain de ce que tu attends de moi.— Très bien, dit alors la grande blonde. C’est simple : cette jeune femme m’a été confiée par son Maître. Comme tu le vois, elle est relativement bien dressée, mais il y a toujours des choses qui ne vont pas, et il m’a demandé de la mettre définitivement sur le droit chemin. Elle est arrivée hier et elle a déjà fait preuve de … progrès ».À ces mots, elle adressa un sourire carnassier à la petite rousse. Celle-ci frémit à ce simple geste. On devinait que les « progrès » n’avaient pas été de tout repos pour elle. On progressait très vite avec Marion, mais il y avait toujours un prix à payer.« Elle progresse, comme je te le disais, mais il y a encore du travail. Le problème, c’est que, pour la première fois de ma carrière, j’ai un doute sur le fait de pouvoir la faire progresser davantage en matière de « souplesse », si tu vois ce que je veux dire ; elle est tellement chétive que je ne sais pas si cela sera possible…— Je vois, lui répondit alors le médecin. Tu veux, j’imagine, parler de « l’assouplir » avec ton jouet préféré ? — Tout à fait, acquiesça la belle blonde avec un grand sourire.— Mais avant, continua le docteur, tu aimerais avoir un avis médical sur la faisabilité et les risques.— Exactement, je ne peux décidément rien te cacher, Guillaume !— Parfait. Dans ce cas, je propose que nous procédions à l’examen ».
La jeune femme commença à se déshabiller sur l’ordre de Marion. Elle ne montrait aucune pudeur à exposer son corps aux yeux d’inconnus ; elle semblait en effet bien dressée. Elle s’allongea d’elle-même sur la table, l’air tout de même un peu inquiète. Le médecin fixa alors les bandes velcros autour de ses poignets et de ses chevilles pour l’immobiliser.L’assistante du médecin observait la scène, un peu en retrait. Elle eut un sourire ironique quand le médecin commence à expliquer à la jeune rousse qu’il allait procéder à des examens pour améliorer sa « souplesse » ; elle avait toujours du mal à voir où lui et cette Marion voulaient en venir. « Cela vous fait rire mademoiselle ? L’interpela alors la grande blonde.— Mais non, riposta l’assistante. Je…— Taisez-vous, je vous ai vue sourire ! Elle est nouvelle ? Demanda alors Marion au docteur.— Oui, lui répondit-il, interrompant ses gestes. Elle aussi a encore beaucoup à apprendre, et je dois t’avouer que l’idée de te l’envoyer quelques jours en pension m’a effleuré l’esprit… ».La grande blonde sourit à nouveau et elle fixa la jeune assistante de son regard perçant ; elle semblait la jauger, la détailler des pieds à la tête. Elle se sentait extrêmement troublée, comme si cette femme la déshabillait du regard et lisait au plus profond d’elle ; elle avait vaguement entendu le docteur parler de l’établissement qu’elle dirigeait, un lieu que les initiés appelaient « La Prison ». Le peu qu’elle avait compris l’avait fortement excitée, même si la perspective d’y passer quelques jours lui faisait également très peur.« N’hésite pas si l’envie t’effleure à nouveau, dit enfin Marion. Je suis sûre qu’elle a beaucoup de potentiel et que je saurais en tirer le meilleur. Et je ne doute pas de sa « souplesse » et de son « ouverture », te connaissant ! Ajouta-t-elle dans un grand rire.— Si je vous dérange, il faut le dire ! Lança alors l’assistante sur un coup de tête. Et oui, je suis souple et ouverte, aucun souci là-dessus !— Insolente en plus ? Demanda Marion en prenant un air de plus en plus intéressé. N’allez pas dire des choses que vous pourriez regretter, jeune fille, lui dit-elle d’un ton menaçant. Souple et ouverte, peut-être, mais jusqu’à quel point ? Ne me donnez pas envie de tester.— Et pourquoi pas ? » Lui répondit la jeune femme d’un air de défi.
Marion se retourna alors vers le médecin, l’interrogeant du regard. Ce dernier avait contemplé la scène d’un air hautement intéressé. Il finit par sourire en hochant la tête, donnant son approbation tacite ; la grande blonde n’en attendait pas moins de sa part.« Très bien, reprit alors Marion en s’adressant à l’assistante. Je vais m’occuper d’elle alors, et je vais lui faire regretter ses paroles… ».Son ton ne disait rien qui vaille et la jeune femme regretta l’espace d’un instant ses propos. Avant qu’elle n’ait pu réagir, la grande blonde la saisit par le poignet et elle l’emmena vers le bureau. Elle avait une poigne extrêmement ferme et elle pressa ensuite sur sa nuque pour la pencher totalement contre le bureau. Elle lui intima de ne pas bouger et elle fouilla ensuite dans l’une des armoires du médecin ; elle connaissait visiblement les lieux car elle trouva très vite les cordes qu’elle semblait chercher. Elle les utilisa pour solidement attacher la jeune assistante au bureau, les jambes bien écartées et le cul relevé. Elle savait y faire avec les noeuds et les jeux d’entrave, c’était certain. Elle remonta finalement la jupe de la jeune femme, constatant qu’elle ne portait aucune culotte. Elle posa sa main sur son entre-jambe et elle sourit en la sentant mouiller contre sa paume.
Pendant ce temps, la petite rousse était toujours solidement attachée elle aussi à la table d’auscultation. Elle pouvait voir l’assistante entravée sur le bureau, et la jeune femme pouvait également la voir sur la table, les cuisses bien ouvertes grâce aux étriers. Le médecin avait interrompu son examen, mais il était temps pour lui de reprendre.Avec des gestes calculés, il commença à ouvrir doucement les chairs intimes de la jeune fille, écartant ses petites lèvres déjà bien humides. Il joua un instant avec son clitoris, lui arrachant des cris de plaisir ; il s’interrompit cependant rapidement : il ne cherchait pas à la faire jouir, il voulait simplement qu’elle mouille abondamment.Cette lubrification lui parut toutefois insuffisante et il fit couler lentement du gel lubrifiant sur toute la surface de son sexe. Elle frémissait en sentant le liquide se répandre sur sa petite vulve. Quand il eut fini, le médecin enduisit ses doigts du même lubrifiant et il recommença son massage, introduisant progressivement un doigt puis un second dans la fente étroite de la jolie rousse.Pendant ce temps, Marion avait ouvert le sac de voyage qu’elle avait amené avec elle. Elle baissa sa jupe ; elle n’avait pas de culotte elle non plus. Elle sortit d’abord du sac une ceinture en cuir qu’elle fixa à sa taille sans quitter la petite assistante des yeux. Celle-ci soutenait son regard avec toute l’insolence dont elle se sentait capable. Marion porta alors à nouveau sa main dans le sac, et elle en sortit un gode. Un gode énorme, colossal, monstrueux. Sa vue déclencha à la fois une excitation et une panique terrible chez la jeune assistante. Toute sa morgue avait disparu alors que la grande blonde prenait tout son temps pour fixer le fantastique engin sur sa ceinture. Pendant ce temps, le médecin avait saisi un spéculum et il l’avait enfoncé doucement mais surement entre les cuisses de la petite rousse. Il l’ouvrait de plus en plus, constant en effet à quel point elle avait le vagin serré. Il prenait tout son temps, mais il parvenait progressivement à écarter le sexe de la jeune fille.Celle-ci ne prêtait guère attention à ce qui se passait entre ses jambes : elle avait elle aussi les yeux rivés sur l’énorme sextoy entre les cuisses de Marion. Elle la regarda venir promener l’engin sur le visage de la jeune assistante qui désormais ruait en tirant sur ses liens. Marion flattait ses cheveux en lui rappelant qu’elle détestait les jeunes filles insolentes et qu’elle mettait à chaque fois un point d’honneur à les mater ; elle n’échapperait pas à la règle et elle allait apprendre le respect…Puis, toujours avec une lenteur calculée, elle vint se positionner derrière la jeune femme. On pouvait désormais lire une inquiétude intense sur son visage. En même temps, le docteur retira le spéculum et il remit ses doigts dans le sexe de la jolie rousse ; cette fois, il parvint à en enfoncer trois. Il commença à la masser doucement en tournant progressivement ; elle gémit sous la caresse.La belle assistante gémissait aussi alors que Marion promenait l’énorme gland de latex sur toute la surface de son sexe. Elle s’arrêta finalement et elle positionna le sextoy à l’orée de son vagin. D’une poussée ferme et continue, elle commença à s’enfoncer dans le sexe trempé de la jeune fille qui se mit à haleter devant la taille de l’engin qui la pénétrait. La petite rousse regardait, fascinée, le gode qui petit à petit s’enfonçait dans la chatte luisante de l’assistante. Elle était surtout subjuguée par le visage de la jeune femme qui exprimait un mélange d’appréhension, de douleur et de plaisir intense au fur et à mesure que le chibre factice prenait possession de son sexe. Marion asséna une claque sonore sur le cul de la petite assistante pour lui signifier qu’elle avait enfin enfoncé la totalité de son gode dans son vagin. Les choses sérieuses allaient commencer. Elle lui saisit les hanches avec force, et elle commença ses premiers va-et-vient. Jamais la petite assistante n’avait été prise par un sexe aussi volumineux, et les sensations étaient incroyables.Tandis que la jeune femme se mettait à crier comme une possédée, le médecin parvint enfin à glisser son auriculaire dans la chatte de la petite rousse. Celle-ci réagit immédiatement en se cabrant de plaisir, gémissant de se sentir elle aussi possédée de la sorte. Elle commençait à comprendre que tout cet examen n’avait pour objectif que de valider la possibilité que Marion la prenne un jour avec cet énorme sextoy ; elle en ressentait une crainte terrible, mais quand elle voyait le visage de l’assistante totalement déformé par le plaisir, elle ne pouvait s’empêcher d’avoir envie d’être à sa place.Mais pour rien au monde dette dernière n’aurait cédé sa place. Marion allait et venait désormais entre ses cuisses à une allure folle. Elle la prenait avec une brutalité terrible et cela ne rendait le plaisir de chaque pénétration qu’encore plus intense. Elle se sentait totalement écartelée par l’énorme pieu de latex et la grande blonde savait terriblement bien s’en servir. Très vite, elle sentit la jouissance arriver ; son sexe se contactait de plus en plus violemment contre le chibre factice et ses cris devenaient de plus en plus intense. Marion s’arcbouta pour la prendre avec le plus d’intensité possible en sentant son orgasme tout proche et elle parvint à ses fins : la belle assistante fut submergée par une extase d’une intensité inouïe, criant à pleins poumons son plaisir.À l’instant où la première onde de jouissance la saisissait, le médecin parvenait à enfoncer son pouce dans la vulve étroite de la jolie rousse. Elle mit quelques instants à réaliser ce qui lui arriver, mais quand le docteur referma enfin son poing en elle, elle fut à son tour saisie par une vague de plaisir terrible. Quelques va-et-vient suffirent à déclencher en elle un orgasme dévastateur ; bientôt, ses cris de jouissance répondirent à ceux de la belle assistante.
Alors que les deux jeunes femmes étaient toujours pantelantes de plaisir, peinant à reprendre leur souffle, Marion et le médecin se retirèrent d’elles, échangeant un regard satisfait.« Tout me parait bon de ce coté, dit enfin le praticien. Elle va bien le sentir passer, mais tu devrais réussir à la prendre avec ton jouet favori. Il lui faudra un peu de temps pour s’habituer, mais elle va finir par y prendre du plaisir.— Parfait, répondit Marion. Question plaisir, je crois que nous avons ici une petite chienne qui a pris son pied… Et qui a commencé à comprendre qu’on ne joue pas avec moi…— Tu souhaites que je procède à d’autres contrôles ? Demanda le docteur.— Et bien… lui dit Marion. Si tu n’y vois pas d’inconvénient, j’aimerais bien que tu testes tout ; de mon coté, je vais en profiter pour apprendre définitivement le respect à cette petite pimbêche qui te sert d’assistante.— Très bien », acquiesça de nouveau le médecin.Sur ces paroles, il saisit un coussin qu’il plaça sous les fesses de la jolie rousse, relevant son bassin et exposant ainsi son petit cul. Il prit ensuite à nouveau le lubrifiant, mais il en enduisit cette fois abondamment son sillon fessier. La jeune fille comprenait ce qui allait arriver et elle attendait, résignée.De son coté, Marion, remonta légèrement le gode pour le positionner contre la petite rosette de l’assistante. Celle-ci tenta de se dégager avec fougue, effrayée à l’idée qu’elle puisse tenter de la sodomiser avec cet engin. Pour seule réponse, Marion se saisit à nouveau de ses hanches avec fermeté, la forçant à garder la position. « Inutile de bouger ma jolie, lui dit-elle. Tu vas y avoir droit quoi que tu fasses. Et le pire, c’est que tu vas aimer, crois-moi. Je vais te faire gueuler comme jamais tu n’as crié de ta vie ! ».Sans attendre, elle commença à forcer l’entrée du petit cul de l’assistante tandis que, déjà, le médecin enfonçait deux de ses doigts dans le fondement de la jolie rousse. Cette fois l’introduction du gode fut bien plus compliquée. Marion ne l’avait volontairement pas lubrifiée et seule la mouille de la jeune femme, qui enduisait le chibre de latex, aidait à la pénétration. Cela n’empêchait toutefois pas celle-ci d’être extrêmement douloureuse. Elle aussi le « sentait passer » et bien passer même. Chaque nouveau centimètre qui s’enfonçait en elle lui arrachait un cri de douleur intense, mais la grande blonde n’arrêtait pas pour autant de pousser encore et encore. Elle lui avait dit qu’elle y aurait droit, et elle allait effectivement y avoir droit. Pendant ce temps, le médecin était parvenu à glisser un troisième doigt dans l’anus de la jolie rousse au prix de grands efforts. Si sa chatte était très serrée, son cul était encore plus étroit et il manoeuvrait avec beaucoup de prudence et de délicatesse. La jeune fille essayait de se détendre au maximum pour faciliter autant que possible cette pénétration hors normes.Marion, de son coté, ne faisait preuve d’aucune prudence. Elle avait désormais enfoncé la moitié du gode entre les fesses de l’assistante qui n’en pouvait déjà plus. La grande blonde se mit alors à onduler du bassin pour faire coulisser son gode dans le petit trou grand ouvert de la jeune fille, lui arrachant de nouveaux cris de douleurs mêlés de plaisir. Elle profitait de chaque va-et-vient pour s’enfoncer davantage en elle, jusqu’à parvenir enfin à rentrer la totalité du colossal engin dans le fondement de la belle assistante. Cette dernière avait pensé qu’elle ne pourrait jamais se sentir aussi remplie que quand le pieu de latex avait pris possession de sa fente, mais elle se rendait compte à quel point elle avait eu tort…Ces sensations n’étaient rien à coté de la sodomie terrible qu’elle était en train de subir. Marion avait lâché sa taille, et elle se cramponnait des deux mains au bureau pour la pistonner avec une force terrible. Elle avait l’impression que son cul allait se déchirer à chaque nouveau coup de boutoir, mais en même temps, elle sentait un plaisir fabuleux qui montait en elle à une vitesse folle.Le petit doigt du médecin se glissa entre les fesses de la petite rousse alors que son assistante basculait définitivement dans une jouissance intense ; toute la douleur avait disparu et désormais les mouvements dans son cul lui procuraient un plaisir fou. Elle n’allait pas tarder à succomber à l’orgasme à nouveau, mais elle savait que celui-ci serait encore plus puissant que tout ce qu’elle avait jamais expérimenté.Le médecin introduisit également deux doigts dans la chatte encore humide de la jeune rousse. Il massa avec application la paroi antérieure de son vagin, et elle criait elle aussi désormais, sans discontinuer. Il tournait et tournait encore sa main dans le petit cul serré, attendant le moment propice. Enfin, il inséra son pouce qui pénétra lentement le fondement de la jeune fille. La stupéfaction put se lire l’espace d’un instant sur son visage. Ce fut de courte durée, car, la seconde d’après, le médecin refermait son poing et la petite rousse explosait instantanément dans un orgasme incroyable. Ses cris de jouissance déclenchèrent alors ceux de l’assistante qui laissa éclater le plaisir qui grondait en elle. Son extase semblait toute aussi fabuleuse que celle de la jeune rousse. Elles hurlaient toutes les deux sans pouvoir s’arrêter. Et leurs cris semblaient se répondre et nourrir leurs jouissances respectives.Le médecin retira soudain ses doigts du vagin de la jeune rousse et elle sentit un liquide jaillir de son sexe sans qu’elle ne puisse rien contrôler. Sous l’effet du poing du médecin qui allait et venait en elle, le jet était puissant et intense. Elle gicla abondamment sur la table, se déversant sans pouvoir s’arrêter.
Il fallut de longues minutes aux deux jeunes femmes pour se remettre de ce qu’elle venait de vivre. Elles avaient toutes les deux les yeux dans le vague, les membres en coton, encore éperdues de jouissance. Le médecin détachait doucement la jolie rousse et il l’aida à se relever, encore chancelante.« Tout me parait en ordre, dit-il à Marion. Je pense que tu vas pouvoir bien t’amuser avec elle ; elle est en effet très étroite, mais cela ne rend l’exercice que plus intéressant, n’est-ce pas ? — Oh que oui, lui lança la grande blonde avec un grand clin d’oeil. D’ailleurs… dit-elle, l’air hésitante.— Quoi donc ? Demanda le médecin.— Et bien, quand a lieu ton prochain rendez-vous ?— Il n’est pas pour tout de suite, lui dit-il, nous avons encore un peu de temps. Avais-tu quelque chose en tête ?— En fait, répondit Marion, je voudrais tout simplement valider tes dires en restant sous contrôle médical, au cas où…— Je comprends, lui dit le docteur en souriant. Je n’y vois pas d’inconvénient.— Parfait. Mets-toi en position de chienne ! » Lança alors la grande blonde à la jolie rousse.Sans attendre et sans discuter, la jeune fille se mit alors à quatre pattes par terre, le buste contre le carrelage et le cul bien relevé. Elle était décidément très bien dressée. Marion se dirigea vers elle, le gode toujours solidement arrimé à sa ceinture. Sans attendre, elle le posa contre le petit trou de la jeune fille qui hoqueta à ce contact.Elle semblait effrayée, mais elle ne bougea pas pour autant, gardant sa position de petite chienne soumise. L’introduction du sextoy fut longue, très longue, et bien plus difficile que pour l’assistante. Celle-ci regardait la petite rousse se faire posséder progressivement par l’énorme pieu de latex et elle souffrait pour elle. Le poing du docteur avait fait son office, mais elle restait toujours très étroite et son cul ne s’ouvrait qu’avec difficulté ; il fallait que Marion force vigoureusement pour la pénétrer chaque fois davantage . On voyait bien sur son visage que cela ajoutait effectivement de « l’intérêt à l’exercice » : elle se délectait littéralement de voir le petit trou rempli progressivement par son magnifique gode.Le visage de la petite rousse exprimait lui la souffrance. Elle serrait les poings avec vigueur, tapant parfois au sol lorsque Marion appuyait particulièrement fort. Elle faisait de son mieux pour retenir ses larmes alors que chaque nouvelle poussée la faisait crier de douleur.Enfin, elle aussi fut à son tour possédée jusqu’à la garde par le sextoy de Marion. C’était impressionnant de voir à quel point son anus était ouvert et distendu sous l’effet de l’énorme gode. Marion se redressa alors, sur ses deux jambes, et elle commença à pilonner avec ardeur le petit cul offert de la jolie rousse.La jeune fille se mit presque aussitôt à hurler, sans que l’on sache si elle avait terriblement mal ou si elle prenait un plaisir fou, les deux sans doute. La jeune assistante contemplait le spectacle, bouche bée ; elle voyait en fait ce qu’elle avait subi quelques instants auparavant et elle ne pouvait s’empêcher d’être excitée par le spectacle de ce corps frêle plaqué au sol par les coups de boutoir intenses qui lui ravageaient le cul.« Toi ! Lui cria soudain Marion. Viens lui donner ta chatte à bouffer, elle me casse les oreilles avec ses cris. Çà va l’occuper et on l’entendra moins ! ».Ruisselante de mouille, la belle assistante ne se fit pas prier. Elle vint se positionner, jambes écartées, devant la petite rousse qui se redressa pour venir laper sa chatte humide. Très vite, ses coups de langue firent gémir la jeune femme ; elle était très douée. Bien qu’elle ait son visage enfoui entre les cuisses de l’assistante, la jolie rousse continuait pourtant de crier sans retenue à chaque nouveau coup de rein de Marion.« Je t’ai dit de la faire taire, rugit alors la grande blonde à l’adresse de l’assistante. Plaque-lui la bouche contre ta fente de chienne en rut. Si je l’entends encore, je te casse à nouveau le cul en deux et cette fois je vais y aller franchement ! ».Effrayée et excitée par ses menaces, la petite assistante empoigna la chevelure de l’infortunée jeune fille et elle appuya fermement pour sentir encore davantage sa bouche sur sa chatte en feu. On n’entendit bientôt plus que le son de ses cris totalement étouffés par le sexe moite qui se frottait contre sa bouche.
Le médecin était resté debout, observant la scène. Marion le remarqua et elle lui fit un petit signe de la tête. Sans attendre, il déboutonna son pantalon et il libéra sa verge tendue par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Il s’approcha lentement, toujours encouragé du regard par Marion. Celle-ci finit par stopper un instant ses va-et-vient dans le cul de la petite rousse et elle cambra elle aussi son superbe fessier. Le docteur se positionna derrière elle et il la saisit par les hanches. Il posa son chibre turgescent contre sa fente humide, mais elle lui fit « non » de la tête.Elle était gourmande… Alors il remonta son sexe pour venir buter contre sa rosette frémissante. Il s’enfonça en elle avec une facilité déconcertante ; Marion aimait sodomiser, mais elle aimait aussi se faire prendre le cul et son anus était parfaitement préparé pour cela. Elle donna le temps au médecin de s’habituer, le laissant aller et venir quelques instants en elle pour lui arracher ses premiers cris de plaisir. Puis, tous les deux, ils commencèrent à se synchroniser pour que les coups de boutoir reprennent entre les fesses de la jolie rousse qui n’avait pas cessé un instant de lécher l’assistante.On sentait une certaine complicité entre Marion et le médecin, et, très vite, les va-et-vient dans le cul de la petite rousse furent accentués par les coups de rein du médecin dans le fondement de Marion. La jeune fille se remit à crier de plus belle et, cette fois, la chatte dégoulinante de l’assistante ne suffisait plus à masquer ses hurlements.Jamais elle ne s’était faite défoncer le cul à ce point. Elle ne comprenait tout simplement pas comment elle parvenait à encaisser une telle pénétration, d’une ampleur et d’une brutalité inouïe. Elle ne comprenait surtout pas, et elle ne cherchait pas à comprendre, le plaisir incroyable qu’elle prenait à se faire démonter de la sorte. En fait, les quatre protagonistes étaient tous au bord de l’extase. La jolie rousse était aux portes d’un orgasme terrifiant, mais la belle assistante se tordait elle aussi de plus en plus sous les coups de langue d’une précision diabolique. Marions entait la queue du médecin qui se tendait de plus en plus, signe qu’il était proche de l’éjaculation. En retour, les palpitations de son membre dans son cul l’amenaient elle aussi vers la jouissance.Ce fut la petite rousse qui partir la première ; elle poussa un hurlement de bête tandis qu’une décharge de plaisir comme jamais elle n’en avait connue secouait tout son corps. Elle plaqua sa bouche contre la petite chatte luisante de l’assistante pour hurler son plaisir elle déclencha ainsi l’orgasme de la jeune femme qui se mit à crier elle aussi en se cramponnant aux cheveux de la jolie rousse.Devant ce spectacle lubrique à souhait, le médecin se libéra, éjaculant puissamment dans le cul serré de Marion. Les flots de foutre qui se déversaient en elle et les cris des deux jeunes femmes eurent à leur tour raison de la grande blonde qui connut à son tour un orgasme foudroyant. Tout ne fut plus que plaisir pour les quatre personnes dans ce cabinet.
La petite rousse avait encore le visage plaqué contre l’abricot juteux de l’assistante quand Marion retira prudemment le gode de son fondement. Son anus était béant après une telle sodomie. Elle décida pourtant de ne lui laisser aucun répit et elle l’attrapa par les cheveux pour la forcer à s’allonger sur le dos. Ensuite, elle vint se positionner au dessus d’elle, posant son énorme sextoy contre ses lèvres.« Allez, cria-t-elle à son intention. Ouvre la bouche et nettoie bien mon jouet ! ».Docilement, la jeune fille écarta ses lèvres pour laisser le pieu de latex aux saveurs de son cul pénétrer sa bouche. Marion ne lui laissa cependant aucune latitude : d’un coup de rein vigoureux, elle s’enfonça profondément dans sa bouche, allant jusqu’à forcer sa glotte avec son sextoy. La jeune fille tenta de résister mais dans sa position, elle ne pouvait rien faire à part subir cette nouvelle pénétration hors norme.« Viens me nettoyer le cul pendant qu’elle nettoie mon gode ! » Ordonna alors Marion à la belle assistante.Totalement subjuguée par la belle blonde, cette dernière obéit également instantanément. Elle vint se positionner derrière elle, à quatre pattes et elle écarta ses fesses pour pouvoir lécher avec application sa petite rosette. Son sillon et son anus étaient tapissés du foutre du médecin. Elle commença à passer sa langue avec application pour recueillir chaque goutte de semence, encouragée par Marion qui lui ordonnait à chaque fois d’enfoncer sa langue plus profondément, la menaçant des pires sévices si elle laissait échapper la moindre trainée de sperme.Quand elle eut totalement fini, elle se redressa et Marion cessa également de baiser la bouche de la jeune rousse. Cette dernière avait le visage couvert de salive qui coulait abondamment sur ses joues et son menton. Sa mâchoire lui faisait mal à force d’avoir été possédée par l’énorme queue de latex et elle peinait à respirer.Marion la laissa reprendre ses esprits, toujours allongée par terre ; elle défit le gode et la ceinture qu’elle rangea avec soin dans son sac. Elle fit finalement signe à la jeune rousse de se relever et de se rhabiller. Quand elle fut prête, les deux femmes prirent congés non sans avoir salué et remercié le médecin.
La belle assistante se mit à ranger le cabinet, pensive. La grande blonde l’avait fortement impressionnée. Elle avait toujours aimé les hommes à poigne, mais elle avait découvert que les femmes à poigne ne la laissaient pas non plus indifférente, loin de là.« À quoi pensez-vous ma chère ? Lui demande le médecin. Seriez-vous en train de réfléchir à ma proposition de vous envoyer en pension quelques jours chez Marion ? » Ajouta-t-il malicieusement.La seule réponse à cette question fut un flot de mouille incontrôlable qui inonda son sexe…
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