Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 16 J'aime
  • 0 Commentaire

La cachette

Chapitre 1

Erotique
La Cachette
histoires érotiques


Il est tôt. Le mois d’août s’achève, mais l’été se prolonge. Il n’aura jamais été aussi long, pense-t-elle en fermant péniblement sa dernière valise. En bas, son amie l’attend déjà. Elles partent pour Londres (en réalité, pour une petite ville, au sud de la capitale, mais dont personne ne connaît le nom, pas même elle). Elle soupire. Elle doit quitter la France, l’amour de sa vie, et regrette, sans se l’avouer, ce voyage de presque un an qui la conduira au pays des faux semblants, des gardes en faction et du pudding. Le train part à l’heure, passe sous la mer, s’arrête, le temps d’une brève halte. King’s Kross, une odeur de magie dans l’air, les souvenirs laissés par Harry Potter. Il sera bientôt temps de partir, songe-t-elle. Un dernier message vers la France avant le grand renouveau. Tout est réglé. Elle sort de la gare, hèle un taxi et tire vers Soho, où elle restera trois jours avant de quitter Londres.
C’est d’abord une franche déception. Le trajet se passe naturellement. Pas de drame, peu de secousses, une arrivée ferme et maîtrisée : le tunnel ne s’est pas écroulé. Rien, pour le moment, n’annonce le vrai dépaysement qu’on vient chercher de ce côté de la mer, sinon la langue aux longs accents tirés.
Elles s’installent. Son amie décrète que le canapé lui convient, se jette dessus, ôte ses chaussures et décide qu’elles feront un somme avant d’aller visiter la ville et éprouver leurs bars. Pour elle, ce sera la chambre à coucher, un grand lit double à baldaquin - une princesse anglaise ? Elle range ses affaires dans un désordre familier. Elle cherche un moment de quoi se rafraîchir et traîne un peu, fouille la salle de bain à la recherche d’un linge. Elle trouve, derrière des draps, une boîte en carton, style boîte à chaussure, fermée, mais intrigante. Elle la tire, ferme la porte derrière elle, l’ouvre...
Ce qu’elle découvre la laisse sans voix. Elle n’aurait jamais dû trouver cette boîte. Elle était là, cachée de toute évidence. Elle a fouillé le mauvais endroit. La voici rouge pivoine, de gêne, de honte et, n’ose pas encore le reconnaître, de curiosité vaguement lascive. Elle a découvert une cachette pleine d’objets hétéroclites visiblement destinés à procurer du plaisir : vibromasseurs, plug anal, un carnet de cuir rouge et une enveloppe. Elle se décide, après une moue de dégoût, à les considérer de plus près. Ils semblent neufs, leur étiquette pend encore à leur base. Ils n’ont jamais servi. Elle les sort et les dispose devant elle. Passée la gêne, l’excitation la gagne. Et pourquoi pas, finalement, ce soir ?
Chapitre 1 - Un rêve étrange et pénétrant

Cela fait quelques heures qu’elle est arrivée en Angleterre. Le voyage s’est bien passé. Elle s’habitue au décalage horaire - une heure d’écart avec la France, ce n’est pas grand-chose. Il fait frais à Londres, mais elle s’attend bien vite à changer d’air.
Elle est étendue sur son lit. L’appartement vide, elle se laissait aller au repos bien mérité du visiteur qui a longuement marché. Son amie s’est éclipsée pour la soirée, l’abandonnant à sa somnolence. Le temps passe. Elle repousse le terrible moment d’éteindre la lumière pour dormir. Quand elle finit par s’assoupir, elle entend, mais comme étouffé ou amorti par un voile épais de coton les gémissements plaintifs d’une femme. On fait l’amour à côté d’elle.
Son esprit qui s’était relâché pour s’endormir se fixe sur ces bruits qui, de plus en plus, gagnent en épaisseur. Elle en est sûre maintenant. Un couple baise à côté d’elle. Elle entend distinctement les râles de plaisir de sa voisine. Sa curiosité un peu perverse commence à la griser. Il n’est plus question de dormir. Elle veut savoir ce qui se passe de l’autre côté et commence à imaginer la scène : un homme, de taille moyenne, le sexe dur, prend fièrement sa copine étendue sur son lit. Au rythme où vont les choses, ses seins rebondissent et sa queue devient de plus en plus ferme : les hostilités commencent. Elle mouille.
Alerte, l’esprit et l’ouïe tendus vers cette pièce d’où proviennent ces bruits d’amour, elle essaye de tout comprendre. Légèrement excitée, elle imagine.
Elle entend nettement gémir une femme au rythme régulier des corps qui se rencontrent. Elle voit une brune étendue sur le lit, la tête renversée en arrière, pénétrée par un homme la dominant de sa taille haute. Il est sur elle, leurs corps se caressent, il l’embrasse, dans le cou, sur le corps, mordille ses seins et laisse glisser sa langue sur la peau chaude de la femme. Ils se regardent parfois, elle le provoque ; il accélère. Bientôt, ils s’interrompent, ils se regardent encore, se jaugent. Il passe une main sur son clitoris et sourit, d’un sourire espiègle. Il se retire. Son sexe est droit, il commence des jeux frustrants, glissant sa bite le long du sexe humide de sa compagne. Elle est prête à accueillir une bite épaisse, mais il ne la pénètre pas, trop fier de son pouvoir. Elle gémit, le réclame. Manon, de son côté, se touche. Elle en voudrait elle aussi. De l’autre côté du mur, l’homme joue avec la femme étendue dans le lit.
Son sexe la caresse, la titille, alors qu’il mord ses seins. Ses mains à elle passent dans son dos, puis lui saisissent la gorge. Il est temps de la prendre, elle n’en peut plus, elle serre plus fort et il sourit encore. Lui a les bras tendus et musclés. Ils repoussent le lit dans son dos, provoquant un craquement sourd quand il décide enfin de la pénétrer, lentement, pour lui faire sentir chaque centimètre de chair chaude et dur, chaque nervure de ses veines, toutes gonflées par l’excitation et le plaisir. Il impose d’abord son rythme, faisant claquer leurs corps se rencontrant. Son sexe, cambré par l’excitation et durci de plaisir, glisse avec force en son amante. Il la pilonne au son de ses cris de plaisir, il y va fort, son sexe glisse en elle entièrement, de la garde au bout du gland qui frémit alors qu’elle resserre ses cuisses. Elle semble l’avaler en elle, et gémit quand il lui mord l’oreille. Ils s’embrassent de plus en plus fort.
Elle ne crie pas, mais halète fortement, signale par à-coup son plaisir qui semble de plus en plus fort à mesure qu’accélèrent les coups de reins. Elle lève les fesses, le guide, en veut plus encore.
Peu à peu, les bruits s’estompent et Manon comprend, aux chuchotements, que la tendresse suit la fougue. De longs baisers accompagnent les corps s’offrant l’un à l’autre dans toute leur amplitude. Elle voit les mains de la jeune femme dans le dos de l’amant, griffer sa nuque, son dos, et agripper ses fesses dures, qu’elle caresse en glissant un doigt entre elles, pour goûter l’effet que produit sur lui cette attention. Il n’y est pas indifférent, il gémit à son tour, elle continue, semble-t-il, redoublant d’efforts pour stimuler sa prostate alors que son sexe frémit en elle. Elle gémit à nouveau, sentant durcir cette bite flattée sous l’effet des caresses qu’elle lui prodigue. Elle prolonge encore, enfonçant plus bas son doigt. Elle le voit haleter, se morde la lèvre alors que sa bite se gonfle toujours.
Il voudrait arrêter son va-et-vient, comme faire une pause, mais elle ondule sous lui, en faisant remonter sa main pour lui saisir la nuque et pousser contre les siennes ses lèvres roses. Il a failli jouir à ce moment, mais il tient bon. Il veut la dominer, lui rendre la pareille. Sa main caresse son clitoris pendant qu’il la prend plus doucement, faisant passer ses cuisses sur ses épaules. Il la regarde et ses yeux, son sourire, la font rougir.
Manon imagine les seins durs et pointés de la femme glisser contre le torse de l’homme, dont les mains accompagnent les orbes. Il les aime ces seins qu’il masse sans égards, passionnément en reprenant confiance. Elle voit le bruit de ses caresses : le voici qui titille ses tétons roses, mordus et flattés de la langue. Elle sent presque en elle le plaisir électrique des pincements de seins, griffés là par ses dents, flattés ici des lèvres pendant l’amour. Le va-et-vient se prolonge lentement. Son sexe vient en elle. Toute l’ampleur de la bite de cet homme, où les veines creusent des reliefs accusés, glisse et grossit entre ses jambes, cherche à la remplir et la combler d’un geste fluide accompagné de soupirs. Ce qu’il cherche est terrible : le faire entrer tout entier, centimètre par centimètre, lentement, pour qu’elle le mesure ainsi. Elle tremble. Il est de plus en plus volumineux à mesure qu’elle contracte son vagin contre lui.
Elle pourrait compter ses veines dont elle sent le contour la brûler de l’intérieur. Il sourit en lui mordant la lèvre. Il sourit, sentant sous lui trembler la femme qu’à cet instant il possède.
Silence. Elle est frustrée alors que, la main sur le sexe, à se toucher, elle cherche le bruit sourd du combat qui reprend. Mais de l’autre côté du mur, de nouveaux jeux prolongent le feu : des bruits de bouche...
L’homme se plaît entre les lèvres de la jeune femme qui a commencé une fellation torride. Elle aime cette bite, veut en goûter chaque centimètre, jouant avec ses bourges. Sa langue glisse tout au long du membre qui tremble. Il ne tient plus. Il la retourne et la prend en levrette. La jeune femme gémit de plus belle alors que son amant recommence le jeu. Il la retourne encore, la tire contre lui, relève ses jambes pour mettre ses talons sous son épaule et vient l’embrasser. Elle l’entend glisser un oreiller sous ses fesses. Il la prend désormais sans merci. Le rythme effréné accompagne son râle, il grimace de plaisir, accélère, lui frappe les fesses, marquant son cul galbé de sa main rouge. Le pire moment vient ensuite, elle l’entend. Il lui caresse les seins, les lèvres, le clitoris en la prenant, joue de la main avec son sexe, glisse un doigt contre ses lèvres, cherchant délicatement d’abord, puis de plus en plus fort, son clitoris. Elle se met presque à crier.
Il s’enfonce en elle profondément, encore et encore. Leurs respirations s’accélèrent et se synchronisent. Ils ne sont plus qu’un. C’est enfin le feu d’artifice. Ils unissent leurs soupirs de plaisir quand, en quelques coups secs et brutaux l’homme déverse en elle toute la semence qu’il retenait en lui.
Manon entend enfin, de moins en moins nettement, des bruits étranges. Elle devine alors, sans en être certaine, que de l’autre côté du mur, la femme suce cette bite qui l’a faite jouir et recommence ainsi la farce qui s’est jouée, comme pour relancer la machine - à moins qu’elle ne cherche à avaler les ultimes gouttes de sperme qui perlent au bout du sexe encore dur. Et elle l’envie, cette femme, à ce moment, une bite dans la bouche : elle aimerait se mettre à genoux et faire lever le membre d’un coup de langue avant de se faire prendre.
*

Quand elle se réveille, Manon comprend que le sommeil l’a gagnée alors qu’elle écoutait baiser le couple. A côté d’elle, le sexe en plastique qu’elle avait pris avec elle pour se masturber en écoutant le couple est encore humide. Elle l’avait pris sans s’en rendre compte, dans la boîte à jouets qu’elle avait découverte. Elle sentait l’excitation lui chauffer le corps, le désir la brûlait. Elle remuait sur le lit et pensait à la bite qu’elle voulait en elle, dans sa bouche, contre ses seins, entre ses cuisses, en elle, dur contre son sexe humide et chaud. Ces pensées rejoignent son rêve. Elle songe à la boîte pleine de godes et se dit « après tout, pourquoi pas ? »
Diffuse en direct !
Regarder son live