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cadeau d'anniversaire

Chapitre 4

Inceste

Je mentirais si je disais ne pas avoir pensé à elle au cours de son mois de stage et ce ne furent pas toujours des pensées racontables il m’est même arrivé de me donner du plaisir en pensant à elle. En tant que père, je m’en voulais d’avoir cédé à la tentation, mais en tant qu’homme, je voulais absolument aller plus loin, mon esprit était en contradiction constante. J’en étais là, de mes atermoiements, lorsque le téléphone sonna .


« Bonjour papa, c’est moi, Claire, ça y est, je suis revenue, mon stage est terminé, tu m’as manqué, tu sais, pendant tout ce mois, j’ai souvent pensé à toi !, me dit-elle.

— Bonjour ma puce, je suis content de t’entendre, tu m’as manqué aussi !

— J’ai trouvé ton cadeau, au fait, je peux passer samedi soir pour te le ramener ? Pierre va au cinéma avec les enfants voir le dernier dessin animé à la mode, ses parents vont avec, comme tu le sais, entre sa mère et moi, ce n’est pas le top, alors je lui ai dit que je passerai te voir !

— Euhh non, je n’ai rien prévu, tu peux passer, mais je t’avais pourtant dit de ne rien m’acheter, comme d’habitude, tu n’écoutes pas !, lui dis je en élevant un peu la voix

— oui je sais, mais à mon avis, ça va te plaire ! À samedi papa !, me dit-elle.

— À samedi Claire » et elle raccroche.


Le samedi arrive, je ne peux m’empêcher, tout au long de la journée, de penser à la soirée, que va-t-il se passer ? Je ne sais toujours pas comment me comporter avec Claire, je suis comme un ado qui attend son premier rendez-vous, j’ai une boule au ventre;

19 heures, il est temps de me préparer, je passe à la salle de bain et me douche ensuite passage devant la glace pour un rasage en règle, j’en suis là, le visage tartiné de crème à raser quand j’entends :


« Papa tu es là ? Ma fille est là et je ne suis pas encore prêt.

— Oui Claire, je suis dans la salle de bain, en train de me raser ! »


20 secondes après, la porte s’ouvre sur ma fille :


« Salut papa, tu n’as pas honte de te montrer tout nu devant ta fille ?, me dit-elle.

— C’est plutôt toi, la voyeuse, il me semble, attends, j’ai presque fini ! »


Je la vois dans la glace, elle porte une mini avec un t-shirt, hyper moulant, sous lequel ses seins s’ébattent librement, car on voit très bien ses tétons .Elle est bandante à mort ! Devant cette vision, mon sexe se réveille et commence à relever la tête. Je pense qu’elle s’en est aperçue car elle vient se placer derrière et plaque tout son corps contre, moi en m’entourant de ses bras.


« Alors, mon petit papa, je t’ai manquée ? » me dit-elle.


La motivation qui manquait à mon chibre pour terminer son ascension lui est donné par le contact de sa poitrine sur mon dos et de son ventre contre mes fesses.


« Oh oui, je t’ai manquée, on dirait ! » dit elle, en descendant une main, attrapant mon engin érigé.


Elle commence un léger va et vient, pendant que son autre main me caresse un téton. J’apprécie la caresse à sa juste valeur, mais je sais aussi que je ne résisterai pas longtemps à ce traitement.


« Tu es pressée, ma chérie, on a tout le temps, tu crois pas ?, lui dis-je.

— Oui, tu as raison, nous avons toute la soirée pour nous, tu as vu comme je me suis fait belle pour mon papa. Je n’ai pas mis de soutien gorge et pas de slip. Tiens, mets ta main ! »


Elle me tend ses fesses et je passe la main sous sa mini, en effet, il n’y a aucune barrière de tissu, je suis directement au contact de sa vulve. Je glisse un doigt, elle est déjà toute humide.


« Mets ta main devant ! », me dit elle.


J’obtempère, elle s’est rasée complètement, son mont de vénus est tout lisse, ainsi que sa chatte.


« Tu as senti ? Plus un poil ! Je me suis fait une chatte toute neuve, comme quand j’étais petite fille, ça te plaît, papa ?

— Bien-sûr que ça me plaît, j’adore, j’y goûterai tout à l’heure, à l’heure du dessert ! Au fait, c’est ça, mon cadeau d’anniversaire ? Lui dis-je, en souriant.

— Non, ça c’est un avant-goût, j’ai mieux que ça pour toi, mon petit papa, je te fais cadeau de ma virginité ! Me dit-elle, en souriant.

— Ta virginité, je te rappelle que tu as eu 2 enfants, alors à moins d’avoir été mise enceinte par le saint esprit, je ne vois pas comment tu pourrais être encore être vierge ?, lui dis je, sur un ton étonné.

— je ne te parles pas de cette virginité là, mais de celle ci !, me dit elle, en se retournant, levant sa mini et me montrant ses fesses qu’elle écarte des 2 mains.

— L’idée m’est venue en stage, la première nuit à l’hôtel, je me caressais en pensant à toi et mes doigts se sont égarés plus loin que d’habitude, je me suis dis que ça serait ton cadeau, personne n’est jamais passé par là, même pas Pierre, je n’ai jamais voulu car j’avais peur d’avoir trop mal. Mais toi, tu es tellement doux et je te fais confiance, alors voilà papa, je t’offre le dépucelage de mes fesses, BON ANNIVERSAIRE !

— Je suis très touché, ma chérie et je t’avoue que j’en crève d’envie depuis que je t’ai vue en levrette !

— Alors, qu’est ce qu’on attend ? Tu as vu comme tu bandes, ton pénis va exploser !, en même temps qu’elle dit cela elle enlève sa jupe et son haut.

— Putain ! Qu’elle est bandante, ma fille !, lui dis je.

— Viens me lécher ! », me dit-elle.


Elle me prend par la main et me tire vers la chambre. Elle se couche sur le lit, sur le dos et écarte les cuisses au maximum, elle ouvre sa chatte avec ses mains et y met un doigt.


« Tu as vu je suis déjà toute mouillée !, puis, elle prend ses tétons et commence à les malaxer entre ses doigts. Je n’y tiens plus, je m’agenouille devant son ventre, enfouis mon visage entre ses cuisses ouvertes et je la lèche directement !

— Ohhhhhhhh ! Oui, c’est bon, j’attendais ce moment depuis 1 mois !, me dit elle.

— Lèche-moi à fond, enfonce ta langue en moi, branle moi avec tes doigts, je veux te sentir !

— Tu veux me sentir en toi ? Dans ce cas, j’ai mieux que mes doigts ! »


Je me couche sur elle, pointe mon dard vers sa vulve, mets mon gland au contact et l’empale d’un trait !


« Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh, tu es gros, je te sens jusqu’au fond, vas y papa fais-moi l’amour, fais-moi jouir, fais jouir ta fille, mets-moi ta grosse bite ! »


Ces mots me font l’effet d’un coup de fouet, je commence à la pilonner comme un malade.


« Oui, ouiiiiiiii, vas y, défonce-moi avec ta grosse queue,-vas yyyyyyyyyyy,-à fond... ! »


Je prends ses jambes et lui les relève en les écartant au max, ses seins ballottent dans tous les sens, sa tête balance de droite à gauche, ses doigts sont crispés sur le drap comme des serres, elle crie :


« vas-yyyyyyy, je vais jouir, envoie moi ta liqueur, coule dans mon ventre, continueeee, plus forttttt, baise-moiiiiiiiiiiiiiiii, oui, ouiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis ! »


Je sens son vagin se resserrer sur ma bite, elle jouit, je n’y tiens plus et je lâche ma purée, mon sperme gicle par saccades, je n’ai plus joui comme ça depuis des années, je me répands en elle. Je m’affale sur son corps, elle resserre ses jambes autour de mes reins et m’attire vers elle comme une forcenée. Je prends son visage entre mes mains, pose ma bouche sur la sienne, elle l’ouvre et nos langues s’entremêlent dans un baiser passionné, un baiser d’amants comblés. Elle laisse retomber ses jambes, je me couche à côté d’elle.


« Papa, c’était super, je n’ai jamais joui aussi vite et aussi fort, j’en veux encore !

— Je n’ai plus 20 ans, mon ange, il faudra que tu attendes que mes batteries se rechargent !, lui dis-je en rigolant.

— J’attendrai, mais je te préviens. ça n’est pas fini pour ce soir, je veux que tu me donnes encore du plaisir et puis, tu n’as pas encore profité de ton cadeau, ça ne serait pas gentil de ne pas l’essayer ! »


Elle se penche vers moi et me dit à l’oreille en chuchotant :


« Papa, tu m’enculeras avec ton gros dard tout à l’heure, je veux que tu me défonces avec ! »


Je la regarde et lui réponds :


« Comme tu veux, ma petite salope adorée !

— Papa ! Tu me traites de salope ? »


Sur le coup, j’ai peur de l’avoir choquée, suis-je allé trop loin, mais elle me rassure vite :


« Tu as raison, je peux en être une, mais à condition d’avoir un partenaire avec lequel je me sente en osmose. Avec Pierre, même en dernier, lorsque nous faisions encore l’amour je ne l’étais plus, il était devenu égoïste et ne pensait plus qu’a son plaisir ! Avec toi, c’est différent, tu sais me donner du plaisir, alors, je me lâche ! me dit-elle.

— Je suis content et fier que tu aimes ma façon de faire, je serai le dernier des idiots de gâcher un moment que j’attends depuis si longtemps, si on allait grignoter quelque chose, j’ai préparé des toasts, si ça te dit ?

— OK, papa chéri, il faut que tu reprennes des forces ! », dit-elle avec un sourire.


Nous évoluons tous les deux, tous nus dans la maison, je n’arrive pas a détacher mon regard de ce corps parfait, je la détaille à chaque geste qu’elle fait. Mon cerveau fonctionne comme un appareil photo, j’essaie d’imprimer chaque image de ses seins de ses fesses de sa chatte. Je sens que mon sexe reprend de la vigueur, elle le remarque.


« Eh ben, dis donc ! Tu es en super forme pour ton âge, tu rebandes déjà ! Attends, je vais t’aider un peu ! »


Et ce faisant, elle vient contre moi et plaque ses fesses contre mon ventre, puis les remuent contre ma verge dans une danse style lambada. Elle se penche en avant, les mains agrippées à la table et continue de plus belle. Ma bite gonfle en un clin d’œil, Claire pousse son cul dessus, mon chibre est à la verticale, contre mon ventre, elle l’emprisonne entre ses globes et entreprend, dessus, un frottement vertical. Je la saisis aux hanches.


« NON papa ! Tu ne me touches pas, laisse-moi faire, interdiction de poser les mains sur moi, jusqu’à ce que je te le dises, tu mets tes mains derrière ton dos, OK ? »


J’obéis et la laisse faire, je suis gonflé au max, j’ai l’impression que tout le sang de mon corps a convergé vers mon sexe. Elle continue, encore un moment, sa caresse diabolique, puis se tourne et tombe à genoux devant moi, prenant l’objet de sa convoitise dans la main et le porte à sa bouche. Sa langue agace mon gland, le frein, la hampe, elle lèche le liquide transparent qui s’écoule du méat, elle se caresse, maintenant, les seins avec, écrase mon gland violacé sur ses tétons et le frotte dessus, elle s’amuse à écarter le méat et à le présenter devant un de ses tétons, comme pour le pousser à l’intérieur, ses mamelons sont durs comme des pointes de crayon. Elle gémit et moi aussi, d’ailleurs, c’est tellement bon que ça en devient insoutenable .Ensuite elle pose ma colonne de chair entre ses seins et me prodigue une cravate de notaire. Je me branle entre ses mamelles, c’est divin !


« Claire ma chérie, je n’en peux plus je vais jouir si tu continues !, lui dis-je, entre 2 gémissements.

— Non papa, pas encore, ta petite salope n’a pas encore fini ! », me répond-elle.


Aussitôt, elle me lâche et se dirige vers le canapé en me laissant, planté là. Elle se met à genoux sur le bord, les jambes écartées à l’extrême, en position de levrette, les reins cambrés à se les casser. Je ne vois plus que son cul écartelé.


« Viens papa, viens chercher ton cadeau d’anniversaire, je te laisse faire, dépucelle-moi, j’ai confiance en toi et pas touche avec les mains OK ! »


Je m’approche d’elle, les mains toujours derrière le dos, je m’agenouille et approche ma bouche de la raie ouverte, je la lèche sur toute la longueur, du début de sa chatte jusqu’à sa rondelle où je m’attarde. Avec la pointe de ma langue, j’essaie de l’enfoncer, elle pénètre un peu, je tourne, je pousse, je lèche, puis je redescends vers sa vulve, j’attrape ses lèvres dans ma bouche, les mordille, les aspire, enfonce la langue dans sa chatte le plus loin possible !


« Hummmmm, c’est bon, continue papa !»


Elle mouille, ma salive se mêle à sa cyprine, je lui humecte l’anus avec. Elle se relève et vient devant moi, je suis toujours à genoux, elle me présente sa chatte, écarte ses lèvres avec ses doigts et me la plaque contre la bouche.


« Vas-y, lèche-moi fort, enfonce ta langue, suce-moi le clito, j’adore quand on me l’aspire, suce le comme si c’était un petit pénis ! », me dit elle.


Décidément, ma fille a des talents cachés, jamais je n’aurais cru qu’elle était aussi expérimentée sous ses airs de sainte nitouche. Je fais tout ce qu’elle me demande et elle gémit de plus en plus fort.


« C’est bon, je crois que je suis prête, papa, tu peux te servir de tes mains, maintenant, je vais me remettre en levrette ! »


Elle reprend la position qu’elle avait précédemment, totalement écartelée et offerte. Cette fois ci, c’est moi qui lui écarte les fesses, je lui lèche à nouveau sa rondelle, mais lui mets, en même temps, 2 doigts dans la chatte et je commence à la pilonner avec, ses gémissements se transforment vite en râles, puis, je lui met enfin 1 doigt dans son œillet et je pousse. Couvert de sa mouille, il n’a aucune difficulté à glisser dans son rectum, je l’enfonce en entier, puis je commence de léger va et vient.


« Oh oui, c’est trop bon, continue, ahhhhhhhh, j’adoreeeeee... ! »


J’en profite pour lui mettre un second doigt dans le cul, je lui doigte les 2 orifices, elle commence à remuer ses fesses de plaisir. C’est le moment ! Je retire mes doigts, dépose ma salive sur l’orifice convoité et présente mon gland, je tiens ma bite fermement, commence à pousser. Le gland disparaît en un instant, je m’arrête, autant pour profiter de cette merveilleuse sensation, que pour lui laisser le temps de se faire à cette intrusion contre-nature. Je reprends ma progression, mais voilà le passage le plus délicat, l’anneau rectal, la réaction est immédiate, je sens son sphincter qui se contracte.


« Papa ! Ça commence à faire mal, c’est trop gros, ça ne rentrera pas, arrête !, me dit-elle, un peu paniquée.

— mais non, détends-toi, ma chérie, fais confiance à papa, tu vas te caresser le clito et quand tu commenceras à avoir du plaisir, tu pousseras, doucement, tes fesses sur mon sexe, moi je ne bouge plus, j’attends !

— OK, d’accord, je veux bien essayer ! »


Elle se caresse, de plus en plus vite, d’ailleurs et les gémissements reprennent, je sens qu’elle pousse ses fesses vers moi, je ne bouge pas mais mon chibre a gagné quelques millimètres, ses râles montent en puissance et sa rondelle se dilate.


« Ça rentre papa, je te sens glissé à l’intérieur, ça rentre toujours, ahhhhhhh ! »


Je suis pratiquement au fond d’elle, je la saisis aux hanches et la tire doucement contre mon ventre, ça y est, ses fesses sont contre moi, j’encule ma fille, à fond !


« je suis complètement en toi, tout au fond de tes reins !, lui dis-je.

— Oh ouiiii, je la sens bien, elle m’écartèle tout l’anus, c’est chaud, c’est bon !

— Ça va être encore meilleur, tu vas voir !, et je commence à bouger doucement en elle.

— Ohhhhhhhhhh ouiiiiii, ahhhhhhhhhhhhhhh », crie-t-elle, tout en accélérant le traitement qu’elle inflige à son clito.


Je suis complètement sorti et je replonge d’un coup en elle, à fond !


« Ahhhhhhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu me dépucelles le cul papa, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’écarte mes fesses, je m’ouvre pour toi, défonce moi, jouis en moi, donne-moi ton jus, baise-moi comme une chienne ! Je veux ton foutre dans mes entrailles ! »


Ces mots me font me déchaîner, je la tiens fort aux hanches et la pistonne comme un soudard, ne pensant plus, maintenant, qu’à mon propre plaisir. Je sors en entier de ses reins, pour mieux replonger en eux aussi loin que la nature le permet. Claire hurle son plaisir !


« Oui papa, ouiiiiiii, vas-y, je vais jouir du cul, continue, lime-moi à fond, je vais jouirrrrrrrrrr, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, ahhhhhhhhhhhhhhhhhh ! »


Je n’y tiens plus, je me lâche aussi, mon foutre gicle au fond de ses entrailles.


« Oouiiiiii, je sens ton sperme qui coule en moi, c’est chaudddddddd, que c’est bon, remplis-moi, mon petit papa adoré ! »


Je n’en peux plus, je sue comme un damné, je la tiens fermement, je termine de m’écouler en elle, puis je m’écroule sur le côté. Quelle jouissance !


« C’était bon, tu m’as fait jouir par un endroit où je croyais cela impossible, je ne regrette pas mon cadeau, tu sais, tu es le meilleur amant que je n’ai jamais eu !, me dit-elle.


Je me laisse aller sur le dos, elle vient se coucher entre mes jambes, sa tête reposant sur mon aine, sa bouche se saisit de mon sexe ramolli, elle le suçote comme une tétine, extirpant les dernières gouttes de sperme qui subsistent, je savoure cet instant.


« Si je reste comme ça, je vais m’endormir comme quand j’étais petite avec une tétine dans la bouche !, me dit-elle.

— Oui, mais les tétines que tu avais, étant petite, ne grossissaient pas dans ta bouche, lorsque tu les suçais !, lui dis je, en rigolant.

-Oui, c’est vrai, celle-là est déjà un peu plus grosse qu’au début, j’ai bien envie de voir jusqu’où elle peut aller ! »


Claire me gratifie, alors, d’une fellation digne de la reine de Saba, afin de me redonner de la vigueur, puis jugeant que l’objectif est atteint, elle s’agenouille sur moi et enfonce l’objet de sa convoitise au fond de son ventre. Elle prend les directives, d’un bout à l’autre, je ne fais rien, à part apprécier la danse, tantôt langoureuse, tantôt effrénée, à laquelle elle se livre sur mon pieu, ma fille me fait l’amour. Pour ne pas être en reste, je caresse ses seins, les malaxes, jouant avec les tétons dressés, ce qu’elle apprécie au plus haut point. Elle accélère la cadence, puis s’arrête pour changer d’orifice, elle présente mon gland devant son anus et s’empale lentement dessus, jusqu’a ce que ses fesses reposent sur mes cuisses, la sarabande reprend. Elle se sodomise, elle-même, sur toute la longueur de ma hampe, je sens monter le peu de semence que mes testicules ont encore en réserve.


Claire a entamé une chevauchée fantastique sur ma bite, fichée au fond de ses entrailles, elle se déchaîne, se pétrit les seins, se maltraite son clitoris. De sa bouche, sortent des mots crûs, elle n’est plus qu’une femelle qui ne pense plus qu’à sa jouissance. De sa gorge, sort un long râle, suivi d’un cri bestial, elle jouit à nouveau. C’en est trop pour moi, je lâche mon foutre et pris dans la tourmente, je lui dis :


« Je viens aussi, ma salope adorée, je jouis, à nouveau, dans ton cul !

— Vas-y, baise le cul de ta chienne de fille, remplis-le de ta semence, mon papa adoré ! »


Mon corps se tend en arc de cercle, sous l’effet de la jouissance, ma queue la perfore un peu plus loin, ce qui lui arrache un cri, puis elle s’écroule sur ma poitrine, je la prends dans mes bras et lui dis :


« Tu es belle, tu es magnifique, je t’adore, je t’aime, ma chérie !

— Moi aussi, papa, je t’aime ! »


Nos bouches se joignent dans un baiser fougueux, nos langues s’entremêlent comme des serpents, elles explorent, le plus loin possible, la cavité buccale de l’autre. Le temps, pour nous, s’est arrêté, nous restons ainsi, prostrés, l’un sur l’autre.

23 heures, il faut bien revenir sur terre.


« Je crois que ça va être l’heure pour toi de rentrer, ils sont certainement revenus de leur séance de cinéma !, lui dis-je.

— J’aimerais tant passer la nuit avec toi, je suis si bien dans tes bras papa !, me dit-elle.

— Moi aussi, ma chérie, mais tu sais bien que cela n’est pas possible, nous avons, déjà, franchi pas mal de limites, tous les deux, ces derniers temps, tu ne crois pas ? Alors, on va s’en contenter !

— Oui, tu as raison, mais rien, ni personne, ne peut nous empêcher de recommencer quand on le souhaitera, je vais rentrer à la maison ! », me dit-elle.


Je l’aide à s’habiller, puis, après un dernier baiser, elle s’en va.


« Bonne nuit, mon petit papa, je t’aime !

— Bonne nuit, ma chérie, moi aussi, je t’aime et merci encore pour ton inestimable cadeau, je m’en souviendrai le reste de mon existence !, lui-dis je et elle franchit la porte d’entrée, me laissant avec des images plein la tête ! »

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