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Cadeau d'anniversaire imprévu

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
C’est la fin août, l’été touche à sa fin. Ce soir, je suis invitée à l’anniversaire d’une amie, une amie très proche.Elle est un peu comme ma grande sœur et nous confions l’une à l’autre sur presque tout. La famille, le travail et les hommes qui croisent notre route. Nous parlons de sexe aussi parfois, mais sans jamais trop entrer dans les détails. C’est un sujet de délire entre nous sans réelles confidences. Nous avons toujours davantage abordé le côté émotionnel de nos relations plutôt que le côté sexuel. Même si souvent, j’aurais aimé lui en parler.
A 30 ans passés, je suis moi-même en recherche de nouvelles expériences. D’un naturel plutôt timide, mais aussi curieux, j’ai décidé malgré tout de dépasser cette réserve pour me découvrir et prendre du plaisir de toutes les façons qu’il est possible d’en prendre. Mais cette partie-là de ma vie, elle en ignore tout. Je n’ai jamais osé lui en faire part, appréhendant sans doute sa réaction en lui décrivant mes nouvelles envies.
Je sais que mon amie me trouve jolie, elle me l’a déjà dit, à plusieurs reprises. Elle-même est une très belle femme, intelligente, cultivée. Elle attire le regard des hommes, au travail ou ailleurs. Et moi-même je ne suis pas insensible à son charme. N’ayant jamais eu d’expérience avec une autre femme, son corps me fait fantasmer depuis longtemps et si un jour je pouvais goûter à ce plaisir, je voudrais que cela soit avec elle. Je l’observe souvent. Adepte des robes et des jupes plutôt courtes, il m’arrive bien souvent de regarder son corps, ses jambes, ses fesses, ses seins. Et il m’est déjà arrivé de prolonger un peu nos câlins et embrassades pour profiter un peu plus longtemps du plaisir de la toucher.
Il a fait chaud aujourd’hui et il fait encore très chaud malgré la journée qui touche à sa fin. Pour cette soirée, j’opte pour une robe légère et fluide, noire avec des motifs colorés de fleurs. Elle est courte, dévoilant ainsi mes jambes bronzées et un décolleté très marqué, ne laissant aucun doute sur la générosité de mes seins dont ma robe ne masque pas le joli 90D.
Je laisse mes cheveux longs détachés. Ils sont particulièrement clairs en ce retour de vacances au soleil, presque blonds. J’orne ma coiffure d’une couronne de fleurs, parce que le code vestimentaire de la soirée l’exige.
Mes yeux sont clairs, bleus, parfois gris. Je les mets en valeur avec un maquillage léger.Je décide de ne pas porter de culotte ce soir. Je dois avouer que cette idée m’a souvent excitée, mais sans jamais oser le faire. Alors je décide de franchir le pas, je sais que nous serons très nombreux et je me surprends à fantasmer sur une main qui viendrait effleurer mon corps impatient et très accessible, effleurer mes jambes nues, au début...
J’arrive à la soirée, elle se déroule chez elle, dans son jardin. De nombreux invités sont déjà présents et je dois avouer que j’appréhende un peu, espérant ne pas m’ennuyer, sachant que mon amie sera bien occupée par ailleurs. En effet, en dehors de quelques connaissances communes et de sa famille la plus proche, je ne connais pas grand monde ce soir.
Je la cherche du regard, enfin je l’aperçois. Je traverse son jardin pour la rejoindre, saluant les autres convives au passage. Je surprends les regards de certains hommes qui viennent se perdre sur mes seins. Cela m’amuse, je leur souris. Ils me rendent ce sourire, pas leurs femmes.
J’atteins enfin mon amie, la prends dans mes bras pour lui souhaiter un bon anniversaire. Cette soirée est aussi celle de nos retrouvailles après plusieurs semaines de vacances. Sa peau est bronzée à elle aussi, ce qui met en valeur ses yeux vert très clair. Elle porte une robe semblable à la mienne. Légère et fluide. Elle est sublime. Je la prends contre moi, on se serre l’une contre l’autre. Elle est déjà légèrement grisée par le vin et notre étreinte est plus appuyée qu’à l’accoutumée. Mes seins contre les siens, je sens l’odeur de sa peau. Je sens sa main qui descend le long de mon dos, puis sur mes hanches. Je lui dis que je la trouve superbe, elle me retourne ce compliment. Je dépose un baiser juste sous son oreille. Elle me serre davantage contre elle et me regarde. A ma grande surprise, elle ne se prive pas de plonger son regard dans mon décolleté, prétextant me réajuster.
La soirée se passe debout, nous sommes nombreux. Un homme m’effleure dans mon dos, s’excusant de vouloir passer. Mais je sens sa main dans le creux de mes reins. Ce simple geste m’excite déjà.J’ai senti la chaleur de sa paume qu’il s’est appliqué à mettre à plat. Pour me guider et me pousser gentiment là où il veut que je sois. Me décalant ainsi encore plus près de mon amie, peut-être pour nous observer toutes les deux d’un même coup d’œil.
Je sens la main de mon amie qui appuie sur mon bassin, juste à la naissance de mes fesses, pour me coller à elle. Elle ne peut plus ignorer que je suis nue sous ma robe. Encouragée par mon baiser, elle laisse glisser sa main sur mes fesses. Quelques secondes qui me paraissent une éternité. Mais un geste discret, qui pour le moment, a échappé au reste de l’assemblée.
Je me redresse, faisant ressortir davantage ma poitrine que je presse désormais contre la sienne. Je pourrais jurer que ses tétons réagissent au moins autant que les miens, rendus sensibles par le contact de ses seins contre les miens. Mon imagination s’emporte, j’imagine son doigt les effleurer, j’imagine goûter les siens, du bout de ma langue d’abord. Les caresser, en apprendre chaque contour et chaque relief avec mes mains.
Son geste sur mes fesses, nos échanges de regards, notre étreinte amicale, mais pourtant très proche a échappé aux autres invités. Deux amies qui discutent et se retrouvent. Rien de surprenant. Et tout le monde est occupé.
Mais un homme n’a rien perdu de cet échange, cet inconnu qui m’a effleurée un peu plus tôt. Son regard est fixé sur nous. Il nous observe. Je tourne la tête vers lui et il me regarde. Je lui adresse un sourire et d’un regard entendu, il lève son verre dans ma direction.
Mon amie vient d’être happée par les autres convives. Je me dirige donc vers cet homme pour faire connaissance.
Je m’approche de lui, encore troublée de cette étreinte. Les jambes légèrement tremblantes. Sous mon léger soutien-gorge, mes tétons se devinent.La chaleur entre mes jambes ne s’atténue pas, au contraire. Plus je m’approche de lui et sens son regard sur moi, plus je sens mon sexe se réveiller. Mon attitude se fait plus provocante malgré moi. Malgré ma timidité, mon esprit passe outre et me force à soutenir son regard qui me scrute. Je l’imagine nu déjà. Mon regard se pose sur sa braguette. Je me mords la lèvre. Plus provocante que jamais.
Troublée et le visage rougi par l’excitation, je le dévisage, le scrute, l’imagine.Je me redresse pour laisser ma poitrine se développer et le laisser l’admirer. Je veux qu’il imagine tenir mes seins dans ses mains comme j’imagine son sexe dur. J’ai chaud, très chaud. L’envie de sexe, l’envie de mon amie, l’envie de cet homme. Mon bas-ventre est en feu, mon sexe ouvert commence à être humide. J’arrive à lui, le salue, quelques banalités échangées. Il est près de moi, je sens son souffle. Son regard plonge dans le décolleté profond de ma robe, comme je l’espérais. Je regarde vers son sexe et j’imagine déjà qu’il est train de bander pour moi. J’imagine qu’il me désire.
Mon verre est vide, le sien également, et me propose de nous resservir. En homme galant, il me laisse passer devant. Je sens sa main sur mes hanches puis il effleure mes fesses, s’y attarde. Lui aussi sait désormais que je ne porte rien sous cette robe. J’accentue le mouvement de mes hanches, invitant à la caresse sur mes fesses. Je marche lentement pour prolonger ce contact. Ma main libre, balançant amplement le long de mon corps, cherche le contact avec l’entrejambe de cet inconnu. Arrivée près du buffet, je m’arrête. Ma main curieuse effleure enfin la bosse qui commence à déformer son léger pantalon de toile. Je m’attarde dessus une ou deux secondes, flattant à peine ce sexe qui se dresse.
Faussement gênée, je m’excuse à demi-mot. Tout en passant mes doigts sur mes lèvres entrouvertes.Maintenant resservis, nous nous écartons légèrement des invités. Un ou deux mètres tout au plus. Il en profite pour saisir fermement, à travers ma robe légère, la fesse qu’il effleurait à peine jusqu’à présent. Je proteste faussement lorsqu’il me saisit ainsi, alors que je pense encore à ma main qui effleurait son sexe. Je gonfle encore ma poitrine qui aimerait être libérée, mes tétons commencent à être tendus et j’imagine sa langue les goûter. Je lui dis que ce n’est pas correct, quelqu’un pourrait nous voir. Il me répond doucement qu’il me veut. Chaque protestation de ma part me sanctionne d’une caresse plus osée. Il soulève discrètement ma robe, je sens le tissu remonter lentement sur ma cuisse nue et il glisse un doigt jusqu’à mon sexe et peut constater que je suis humide. Je caresse moi aussi plus franchement son sexe à travers son vêtement qui peine désormais à masquer son envie.
Il retire sa main et porte son doigt dans sa bouche. J’aimerais l’avoir moi aussi dans ma bouche, le lécher, le goûter.J’aperçois mon amie affairée en cuisine seule. Je décide de voler à son secours pour la rejoindre et m’éclipse sans un mot, le laissant sur place. Un sourire sur mon visage...
Une fois en cuisine, je m’approche d’elle sans un bruit, encore toute excitée. J’arrive derrière elle et l’enlace, plaquant mes seins durcis dans son dos. Et mes mains sur son ventre, juste sous sa poitrine, puis dépose un baiser dans sa nuque. Elle m’a reconnue et se laisse aller, elle prend mes mains dans les siennes, les caresse, m’invitant à remonter encore un peu. Les sens déjà bien en alerte, je ne me fais pas prier, l’agitation extérieure me permettant d’agir tranquillement.
En confiance avec elle, je lui décris ce qu’il vient de se passer avec cet inconnu. L’excitation ne descend pas, au contraire, je me surprends à chercher ses tétons pendant mon récit. Mon aventure l’amuse, elle en rit doucement. Ma main remonte sur elle doucement, accompagnée par les siennes. Je sens ses fesses contre le bas de mon ventre et malgré elle ou consciemment, je la sens se cambrer légèrement contre moi.
Je ne peux m’empêcher de l’observer ainsi, en train de m’inciter à la toucher. J’aperçois le haut de ses cuisses et sans un mot, je caresse cette jambe nue. Je remonte, ma main est légère, une caresse. Je la sens frissonner alors qu’elle se cambre davantage encore. Elle s’offre à moi un peu plus, à chacun de ses mouvements.
Ma main sur ses seins sent désormais ses tétons à travers le tissu. Le doute n’est plus permis, je l’excite autant qu’elle m’excite. Mon souffle se fait plus court sur sa nuque, mes baisers plus insistants. Ma main remonte encore, jusqu’à effleurer ses fesses.
Je sens un frisson qui parcourt son corps, qui envahit sa peau. Elle ne bouge plus. Elle est complètement immobile. Dans l’attente de mon prochain geste. Je caresse ses fesses, et ma main, légère d’abord, devient de plus en plus présente. Je touche, je caresse, je palpe et serre ses fesses qui montent et descendent au gré de mes mouvements. Elle les anticipe même. Ses mains ont quitté les miennes pour venir agripper le plan de travail. Elle se hisse sur la pointe des pieds pour mieux se cambrer encore. Je glisse mes doigts timidement entre ses fesses, je sens l’élastique de sa lingerie, une lingerie fine, en dentelle, qui dévoile le joli arrondi de ses fesses. Elle ne dit rien, se laisse porter par mes caresses. Mais je n’ose pas encore franchir cette barrière de tissus sans son accord.
La soirée continue et les invités la réclament. Je ne peux pas encore profiter d’elle comme je le voudrais, elle est la reine de la soirée après tout. Tout le monde cherche sa présence et il est l’heure pour elle de recevoir ses cadeaux. Je réajuste sa robe et lui donne un baiser discret juste sous son oreille. Puis elle disparaît dans la pénombre de son jardin.
Je la suis, à distance. Ce moment de solitude me permet de m’abandonner, par la pensée, à ces moments que je viens de vivre. Mes tétons toujours dressés et mon sexe ouvert et trempé témoignent de mon excitation qui devient de plus en plus difficile à masquer.
Je me joins aux convives et observe mon amie recevoir ses présents. Rires, conversations, les invités s’amusent et sont captivés par elle. Alors que je suis en train de l’observer et de l’imaginer nue, ses tétons dressés et ses jambes ouvertes, face à moi et offerte, je sens une présence derrière moi. Cette main sur mes fesses, je la reconnais immédiatement. Celle de mon inconnu.

Il me glisse à l’oreille qu’il nous a vues, elle et moi, dans la cuisine. Il prend ma main et la guide vers son sexe que je sens tendu à travers son pantalon fin. Je le caresse doucement. Sa main se dirige instantanément entre mes cuisses. Je les écarte légèrement pour lui faire comprendre que je n’attends que ça. Je me sens couler sur ses doigts. Il me caresse, je frissonne. Ses doigts me pénètrent enfin. Je ne peux réprimer un gémissement. Il me dit que je suis une vraie petite salope. Que je le fais bander depuis plus d’une heure, il veut baiser ma bouche.
Ma main serre de plus en plus fort ce sexe que je sens très dur. Ses mots me font déjà saliver d’envie. Mon autre main parcourt mon décolleté dans un geste à peine discret. Je veux sentir une main sur mon sein, sentir des doigts jouer avec mes tétons. Lui joue avec mon sexe trempé. Alternant pénétrations profondes et excitation de mon clito. Je veux sentir la chaleur de sa queue dans ma main, je fais glisser sa braguette et plonge ma main dans son pantalon. Il bande comme rarement. Il me murmure «branle-moi ».
Sans réfléchir, seulement guidée par mon envie, je sors de son pantalon sa queue tendue. Après avoir salivé sur ma main, je commence à branler cette queue inconnue dans mon dos au beau milieu des invités de mon amie. Ils sont tous si proches de moi que je peux entendre leurs conversations et sentir la chaleur de leur corps.
La pénombre nous protège et tous sont accaparés par la soirée qui suit son cours et par mon amie qui débute un long discours.Sa queue très dure est dans ma main. Chaude et dressée. Je continue de le branler doucement et il ne peut refouler un râle de plaisir lorsque ma main le touche enfin. Je recouvre son sexe de ma salive. Et je le branle de plus en plus fort. Il sort ses doigts de moi, ils sont trempés et je le sens venir jouer avec mon cul. Je suis trempée et coulante et je suis désormais certaine que les invités les plus proches ont entendu mon gémissement. Je positionne sa queue entre mes fesses qui sont trempées grâce à lui et je caresse son sexe ainsi. Il peine à retenir des mouvements de bassin. Sa main libre remonte doucement de mes hanches, à mes seins, puis sur ma gorge qu’il serre délicatement, mais fermement. Tu vas me sucer salope avant que je ne jouisse sur ton petit cul, me murmure-t-il.
Je prends sa main et l’invite à me suivre dans la cuisine où je me tenais il y a quelques minutes avec mon amie. Plongés dans la semi-obscurité, il appuie sur ma tête pour me mettre à genoux. Il n’avait pas pris la peine de dissimuler sa queue qui est encore sortie et plus dure encore que tout à l’heure.
Je le regarde, d’un regard que je souhaite le plus provocateur possible, ma couronne de fleurs dans les cheveux, et ma robe qui a glissé de mes épaules. Je découvre mes seins, mords mes lèvres et introduis son sexe dans ma bouche chaude et salivante. Tout en caressant mes seins et jouant avec mes tétons. Les cuisses ouvertes. Cette fois, il laisse librement son gémissement de plaisir s’exprimer et cette marque de plaisir m’excite davantage encore, si cela est encore possible.
Il râle, son souffle accélère. Il a les yeux plantés dans les miens. Autant que sa queue dans ma bouche. Il me laisse découvrir sa queue pour le moment. Il profite de cette vision. Me voir engloutir son sexe, m’en régaler. Le sucer, le lécher. Le sentir. Il profite de la vue sur mes seins que je caresse en jouant avec mes tétons qui pointent entre mes doigts. Il ne peut malheureusement pas voir mon sexe qui coule, presque à souiller le sol de la cuisine. Il me voit essayer de l’avaler en entier. Ça le rend fou. D’une main, il se saisit de ma gorge et de l’autre, il prend mes cheveux fermement pour assurer une bonne prise. Et il imprime son rythme. Très vite, très fort. Quelques secondes, puis me bloque sur sa queue le plus profondément possible au fond de ma gorge. Je ne me débats pas. Au contraire. Mon regard se fait encore plus chien. L’invitant à continuer et à s’enfoncer plus profondément encore.
Ma salive coule sur mes joues puis sur mon menton. Je suis luisante et mes joues sont rouges.Il se retire pour me laisser reprendre mon souffle. Il a déjà envie de jouir. J’en profite pour laisser courir ma langue le long de sa queue. Je lèche, j’aspire, je goûte, je savoure. Une de mes mains descend entre mes cuisses. Je me caresse puis prends son sexe à pleine main pour qu’il constate à quel point je suis trempée. Je le branle quelques secondes sans le quitter des yeux. Son sexe est glissant et couvert de mon goût. J’ouvre de nouveau ma bouche et m’enfonce de moi-même le plus profondément possible. Ainsi enfoncé en moi, dans ma gorge chaude et étroite, il s’agrippe à mes cheveux et son râle est de plus en plus fort. Il reste ainsi quelques secondes avant de reprendre ses mouvements. Fort, vite, profond. Il me baise violemment la bouche. Je le sens qui vient, son sexe gonflé et palpitant dans ma bouche.
Je veux le faire jouir. Je n’ai plus que ça en tête. Qu’il se vide. Je sors son sexe de ma bouche tout en aspirant. Le bruit de succion obscène que font mes lèvres couvertes de salive lorsque son gland s’extirpe de ma bouche vorace est très sonore. Je me gifle avec cette queue prête à exploser. Lui se retient comme un dingue. Je veux l’achever.
Donne-moi ton sperme, vide-toi sur mon visage. Je lui fais cette demande en me léchant les lèvres avant de sucer mes doigts que je viens de retirer de mon sexe.Cela fait presque 15 min qu’il me maltraite la bouche. Le discours est fini.
Il est sur le point de jouir sur mon visage, je l’incline vers l’arrière, prêt à le recevoir, telle une récompense.Il se branle, son sexe tout près de mon visage, son gland à portée de mes lèvres. Je le veux, dans ma bouche, sur mon visage, coulant sur mon menton, sur ma gorge.Ma bouche est ouverte, ma langue est sortie, pour mieux le goûter, lorsque j’entends un bruit de pas qui se rapproche. Il ne semble pas y faire attention et même si j’entends ses pas, mon esprit ne pense qu’à son sperme qui va bientôt me recouvrir, mon corps le réclame. Et puis au fond, je ne connais pas beaucoup de personnes ici, j’espère simplement que ce n’est pas un collègue qui s’approche, mais un ou une inconnue.
Enfin, dans un râle grave, il jouit sur moi, abondamment. Je l’accueille avec délice, lèche ce qui recouvre mes lèvres, au moment même où les pas approchent de nous.Mon amie entre dans la cuisine et nous surprend, lui sa queue encore dans sa main, son pantalon descendu. Moi, à genoux, un sein dénudé, les cuisses ouvertes, le visage rougi, luisant et couvert de son sperme.
Elle se fige, hésite. Je la regarde, ne sachant quelle attitude adopter. Encore excitée par ce qui vient de se passer, un peu honteuse d’être ainsi découverte par mon amie, mais aussi un peu fière de me montrer telle que je suis face à elle.
Finalement, c’est mon amant d’un soir qui rompt le silence en remerciant notre amie commune de nous avoir prêté sa cuisine et que par ailleurs, il y a bien longtemps qu’il n’avait pas passé une si belle soirée. Elle sourit, semble amusée. Son sourire et le regard qu’elle me porte me rassurent, et en la regardant moi-même dans les yeux, je rajoute que cette soirée est loin d’être terminée...
Je reprends alors ce sexe qui vient de me rendre un bel hommage en bouche. Je le suce lentement comme pour l’assagir, l’apaiser. Mais cette fois, c’est mon amie que je ne quitte pas des yeux.J’en rajoute en amplifiant mes mouvements.Elle reste immobile, se posant juste contre un meuble indiquant qu’elle ne compte pas partir. Elle a l’air hypnotisée par le spectacle que je lui offre.Mon visage couvert de sperme coulant sur mes joues et mon menton. Ma bouche qui en aspire goulûment les dernières gouttes. Mes seins exposés luisants de salive, dont les tétons pointent, marqués par mes caresses. Mon sexe que je lui exhibe sans gêne. Je lui adresse un clin d’œil avant de sortir ce sexe de ma bouche.
Puis je me relève, ne me réajuste pas, ne me nettoie pas et avance lentement vers elle.
Je suis près d’elle, le visage ruisselant. Je ne dis pas un mot, elle non plus. Mon regard est plongé dans le sien. Nous restons ainsi, quelques secondes, sans un mot, à nous dévisager, mais souriantes.
Puis avec un doigt, elle caresse mon sein dénudé, doucement, elle en parcourt la courbe, frôle mon téton. Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir au contact de son doigt sur mon téton sensible et exposé. Elle remonte le long de ma gorge et recueille un peu de sperme. Elle porte le doigt à sa bouche, le léchant, le suçant longuement.
Encouragée par son attitude, je recueille moi-même un peu de sperme qui recouvre mon visage. Mon doigt ainsi recouvert, je caresse doucement ses lèvres. Elle sort sa langue pour lécher mon doigt que j’introduis lentement dans sa bouche. Elle le suce, le lèche, s’en délecte, le regard gourmand. De ma main libre, je fais glisser sa robe de ses épaules. Je dévoile son corps doucement. Elle continue de me lécher le doigt pendant que je la déshabille. Je descends les bretelles de son soutien-gorge pour libérer ses seins. Je découvre deux seins parfaits aux tétons tendus.
Ma bouche salive d’excitation, mais je les parcours d’abord de ma main libre. Je les caresse doucement et chaque passage de mon doigt provoque un gémissement de mon amie. N’y tenant plus, je les prends à pleine bouche, je les savoure avec ma langue alors que je continue à faire glisser sa robe jusqu’au sol.
Presque nues toutes deux, gémissantes et excitées, cette fois je n’hésite plus. Ma main descend entre ses cuisses, décale son sous-vêtement pour caresser son sexe. Je la découvre ruisselante sous mes doigts. Je porte rapidement ma main à ma bouche, je veux connaître son goût.
Je me délecte de son sexe, la pensée même de le goûter me fait frissonner, un courant électrique qui parcourt tout mon corps pour terminer sa course entre mes cuisses. D’elle-même, elle écarte légèrement ses jambes, m’incitant à continuer ma caresse.
Je n’hésite plus du tout et d’un geste sûr, mais doux, je la pénètre avec mes doigts. Ma bouche aspirant ses tétons, les mordillant par moments. Ses seins sont maintenant eux aussi couverts du sperme de l’inconnu.
Sous ses caresses nouvelles et les sensations qu’elles lui procurent, mon amie semble tout oublier. Le lieu, l’occasion. Pour le moment tout ce qui compte, pour elle comme pour moi, ce sont ces sensations nouvelles que nous découvrons ensemble.
Son regard est brûlant et j’espère qu’elle lit dans le mien le feu qui m’anime.Pendant que je la pénètre doucement de mes doigts, je m’approche encore plus près d’elle. Ses tétons dressés frottent les miens tout aussi tendus et alors que je l’entends gémir, j’avance mon visage et dépose mes lèvres sur les siennes. J’ouvre doucement ma bouche pour accueillir sa langue qui cherche la mienne. Nous échangeons un long baiser alors que mes doigts sont encore en elle. Elle me caresse, délicatement. Sa main cherche mon sein dénudé. Elle s’en empare, joue avec et presse mon téton. Je gémis de plus en plus fort. Puis sa main délaisse mon sein pour glisser sur mon ventre. Je relève ma robe pour l’inciter à poursuivre sa descente. Elle arrive sur mon sexe lisse, le découvre du bout des doigts avant de s’y enfoncer tout à coup. Je ne peux réprimer un cri de plaisir. Je me sens coulante sur ses doigts. Couvertes l’une et l’autre de sperme, nous nous abandonnons dans cette découverte de nos corps en oubliant presque la présence d’un spectateur.
Il nous observe, son sexe à nouveau dur dans sa main, le caressant énergiquement. Il s’approche de nous et je glisse à l’oreille de mon amie que son invité a envie de participer.
Je prends la main de mon amie et la guide sur ce sexe redevenu dur. Je la guide dans une lente masturbation, pendant que je finis de la déshabiller. Elle est là, enfin nue sous mes yeux. Je prends quelques secondes pour admirer son corps que j’ai souvent fantasmé.Elle s’applique dans sa masturbation. L’inconnu se laisse faire trop heureux de la situation.Mais je vois dans son regard carnassier que la soirée ne fait que commencer et qu’il a bien l’intention de pousser un peu plus loin la relation qui vient de naître sous ses yeux.
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