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Le cadeau de Gabriella

Chapitre 1

Joyeux anniversaire !

Inceste
Ce matin, je me lève de bonne humeur. Très bonne humeur même ! Aujourd’hui, j’ai dix-huit ans et je deviens enfin majeure. Des années que j’attends cela et enfin, ce jour est arrivé. Le jour où je pourrais enfin démarrer mon fameux projet, celui qui est si cher à mon cœur et qui tourne dans ma tête depuis déjà trois ans.
Vous aimeriez savoir quel est ce fameux projet ? Un peu de patience, il vous faut déjà connaître un peu ma vie, même si celle-ci n’a rien de vraiment passionnant.
Mon nom est Gabriella Di Marzo, Gaby pour mes amis. Je vis avec mon père Diego Di Marzo et mon frère Ugo, de deux ans mon aîné, dans une banlieue plutôt cossue où il fait bon vivre toute l’année. Mon père est un écrivain de renom et gagne bien sa vie, suffisamment pour que l’on ne manque de rien. Ma mère a préféré prendre le large et nous a laissés, sans jamais nous donner de nouvelles. Mais qu’importe puisque Papa est là ! Nous étions petits cela fait bien longtemps maintenant., il faut savoir passer à autre chose. Mon père lui, n’a jamais pu. Il a fait de nous sa priorité absolue et n’a jamais pris d’autre femme.
Je suis d’origine italienne du côté paternel et j’ai hérité des atouts typiques des Méditerranéens, comme ma peau naturellement hâlée et mon caractère, disons, volontaire. Ma plus grande fierté est ma chevelure noire ébène ondulée qui descend jusqu’en bas de mes reins et mes grands yeux noisettes bordés de cils interminables. J’ai toujours attiré le regard de mes camarades à l’école, mais me suis réservée pour le seul et unique homme qui fait chavirer mon cœur.
Je suis vierge oui, mais loin d’être innocente. Depuis l’âge de quinze ans, je m’abreuve de récits érotiques en cachette, essayant de me renseigner pour savoir tout ce qui concerne les hommes et le sexe. Tout cela parce que je ressens un puissant désir envers un homme qui m’est complètement inaccessible. Ce désir interdit qui me frustre depuis des années est la clé de voûte de ce projet irréaliste que j’ai fomenté. Je suis tellement excitée en me levant que je suis obligée de m’amuser avec les quelques jouets coquins que j’ai réussi à acheter il y a peu.
Une fois calmée, j’enfile une petite robe d’été jaune citron, une tenue qui plaira avec certitude à l’homme qui hante mes nuits tant elle souligne mes courbes à la perfection. J’entends la douche s’allumer, signe que mon frère Ugo est déjà réveillé et occupé pour une bonne heure à se "préparer ". Une odeur de café chaud et de toasts grillés parvient à mes narines. Je décide de descendre à la cuisine, rejoindre celui qui chaque matin se lève avant nous pour que l’on savoure au réveil un délicieux petit-déjeuner. Mon père met un point d’honneur à s’occuper de nous avec patience et dévouement depuis que notre mère nous a quittés il y a de cela huit ans. C’est un homme adorable, rieur et le meilleur père du monde. Il est très charismatique et séduisant au plus haut point. Et, vous l’aurez deviné, c’est bien lui, le fameux homme qui me rend toute chose. Mon plan aussi vous paraît clair maintenant : je vais le séduire et lui offrir un bien précieux : ma virginité.
Je le trouve en train de siffloter joyeusement pendant qu’il prépare des tartines de Nutella bien garnies, mon petit pêché mignon. Je m’approche de lui et viens comme à mon habitude me coller à lui pour lui faire un câlin en guise de bonjour.
Sauf qu’aujourd’hui, j’ai décidé de ne pas mettre de soutien-gorge et mes tétons érigés se frottent contre le coton de son tee-shirt. Il se raidit, un peu gêné, et je fais comme si je n’avais rien vu en lui collant une grosse bise sur la joue. Je m’assois ensuite en face de lui, de sorte qu’il ait une vue imprenable sur mon décolleté plongeant.
Mon pauvre papa rougit lorsque ses yeux se posent inévitablement sur mes globes de chair si attirants. D’ailleurs, le tissu est si fin que je suis sûr qu’il peut voir les cercles foncés de mes aréoles à travers. Il détourne les yeux très vite et me questionne sur ma nuit en allant se servir un verre de jus de fruit dans le réfrigérateur. Mon petit test a bien fonctionné, je le sens troublé. Je vais pouvoir continuer mon programme, je m’en réjouis d’avance.
— Qu’as-tu prévu de faire aujourd’hui ma puce ?— Oh pas grand-chose, un peu de bronzage au bord de la piscine sans doute. Et toi mon petit papa ?— J’ai quelques courses à faire, mais je te promets que je serai là pour ta soirée d’anniversaire.
Nous avons l’habitude chaque année de passer la soirée de mon anniversaire à regarder des films ensemble à dévorer des glaces, et ce depuis mon plus jeune âge. Et c’est ce soir que je compte passer à l’attaque, maintenant que je suis enfin majeure. En attendant, je m’amuse à l’aguicher et je dois avouer que sa réaction est exactement celle que j’attendais.

Je mords dans ma tartine et pousse un long gémissement de plaisir.
— Hmmm c’est délicieux, merci papa.
Il s’étrangle en buvant son verre de jus d’orange et je distingue une légère bosse qui s’est formée dans son pantalon en toile écrue. Je décroise les jambes avec lenteur, donnant à mon mouvement plus d’amplitude pour qu’il puisse bien admirer ma lingerie, un string en dentelle noire. Il essaie de ne pas regarder, mais ses yeux naviguent inexorablement entre ma poitrine et mon entrejambe. Quant à moi, je déguste ma tartine innocemment, faisant comme si je ne m’apercevais de rien.Satisfaite, je décide de calmer le jeu et continue de prendre mon petit-déjeuner comme à l’accoutumée en bavardant avec lui.

Plus tard dans l’après-midi alors que je me prélasse à côté de la piscine en bikini noir, j’entends la voiture de mon père qui rentre de ses courses. C’est le moment idéal pour enlever le haut. Je me dépêche de me débarrasser de mon haut de maillot de bain et m’allonge sur le ventre, attendant patiemment qu’il vienne.Comme prévu, je l’entends s’approcher et il me jette un regard légèrement réprobateur quand il aperçoit ma tenue si légère.
— Gaby, tu devrais t’habiller, si les voisins te voient...— Ne t’inquiète pas Papa, je fais très attention. Je ne veux juste pas avoir de marques de bronzage. Est-ce que tu peux me mettre de la crème dans le dos s’il te plaît ? Le soleil tape fort aujourd’hui.— Euh oui bien sûr, dit-il en prenant la crème solaire.
Je me couche et il étale la crème le long de mon échine. Ses mains, chaudes et calleuses glissent sur ma peau, l’imprégnant de cette substance blanche et crémeuse. Je ferme les yeux, savourant chaque instant et imagine que c’est sa semence qu’il étale sur mon dos. Il s’occupe de mes flancs, remonte doucement jusqu’à frôler du bout des doigts la naissance de mes seins.Mon entrejambe est en fusion, je suis si excitée que je peine à retenir mes gémissements. Il reprend alors et arrive à la courbure de mes reins et insiste un peu avant de s’arrêter subitement.
— Voilà, et ne reste pas trop longtemps, je ne voudrais pas que tu attrapes un coup de chaud, dit-il en se relevant à la hâte.
Je relève le buste, histoire qu’il voie bien mes seins pressés l’un contre l’autre et je le vois déglutir. Il prend la fuite avant même que je n’aie pu acquiescer.
Plus tard, notre soirée peut enfin commencer. Mon père nous a concocté ses fameuses pasta alla norma, comme les faisait sa mère autrefois. Ugo est parti faire du camping et ne rentre pas avant demain soir, c’est le moment idéal pour ce que j’ai prévu. La soirée se passe comme d’habitude, nous dévorons des glaces devant une comédie sans importance et enchaînons les films jusqu’à une heure avancée. Petit à petit, je me love contre lui pour au final poser ma tête sur ses cuisses. Dans cette position, ma robe remonte, dévoile mes cuisses qu’il ne peut s’empêcher de reluquer. Au bout d’un moment, je fais mine de dormir et me blottis plus près de son entrejambe. Ma joue est collée contre son membre et à travers le tissu de son pantalon, je le sens gonfler et prendre une taille particulièrement épatante. Il est gêné, cela se sent au rythme de sa respiration.
Feignant toujours l’endormissement, j’oscille un peu la tête comme si mon sommeil était agité. Il pose sa main dans mes cheveux et les caresse doucement pour m’apaiser. Son sexe quant à lui est si dur que cela en devient inconfortable. Je bouge un peu et manœuvre si bien que cela tire son pantalon, dévoilant la pointe de son sexe distendu. Il reste immobile, nerveux, hésitant entre me repousser ou me laisser ainsi. Je n’ose imaginer la vision qu’il doit avoir !
Dans cette position, il peut voir le galbe de mes seins, libérés de toute lingerie superflue et une bribe de l’aréole brune, entourant mon téton. Il voit aussi son gland, si proche de ma bouche que c’en est indécent, et il sait que ce qu’il fait va à l’encontre de la morale. Il devrait me repousser, mais il ne peut pas, hypnotisé par son sexe à quelques centimètres de mes lèvres entrouvertes.
Il ferme les yeux, tente de se ressaisir et je sais que c’est le moment où jamais d’agir. De ma langue, je viens caresser le morceau de chair dépassant du pantalon et ça le fait sursauter.
— Gaby qu’est-ce que tu...
Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase et m’empresse d’aspirer son gland entre mes lèvres, afin de le garder prisonnier. Il pousse un gémissement rauque et sa main se crispe dans mes cheveux. Je dégrafe son pantalon pour libérer le membre imposant que je meurs d’envie d’engloutir.
— Gaby arrête ça, tu es ma fille ! C’est immoral... dit il en tirant mes cheveux pour ramener ma tête en arrière et me décrocher de son sexe.— S’il te plaît Papa, j’en ai tellement envie... Laisse-moi m’occuper de toi, ce sera mon cadeau d’anniversaire. — Gabriella ma puce, tu es folle, c’est malsain...— Ose dire que tu n’en as pas envie ! — Je... là n’est pas la question, tu es ma fille et je suis ton père. C’est contre nature.— Je ne vois pas en quoi, ce n’est que de l’amour. Dis-moi que tu n’en crèves pas d’envie et je te laisse tranquille.— Ma puce, ce n’est pas aussi simple... J’ai des désirs bien particuliers, ce n’est en aucun cas ce que j’aimerais faire subir à ma fille.— Ah oui tu es sûr ? Fis je avec un grand sourire et un regard victorieux, tu ne voudrais pas me baiser la bouche comme une vulgaire putain ? M’attacher pour pouvoir m’imposer ton sexe dans chacun de mes orifices avec bestialité? Me soumettre à tes plus vils désirs, me prendre n’importe où, n’importe quand et n’importe comment ?
Je le vois devenir livide et sa prise dans mes cheveux se relâche. Il sait. Durant des années, je me suis demandé ce qui avait fait fuir ma mère et j’ai eu ma réponse en découvrant les historiques de recherche de mon cher papa. Il aime le sexe brut, primal et ses recherches principales concernent les femmes soumises. Et c’est ce que j’allais être, pour lui, l’homme que j’aime profondément et qui m’a vue grandir et devenir cette femme sûre d’elle et déterminée.
— Vas-y Papa, laisse-toi aller, je t’assure que je peux encaisser. — Ma puce, je vais te faire mal...— Je n’attends que ça, je suis à tes ordres. Baise-moi la bouche.
Il prend son sexe et m’assène une claque avec sur la joue, en prenant un air sévère, il m’ordonne:
— Il me semble t’avoir appris la politesse.
Super, il cède enfin ! J’en suis si ravie que je m’empresse de répondre.
— Pardon, baise-moi la bouche s’il te plaît Papa.— Mets-toi à genoux, dit-il en se relevant.
J’obéis sans discuter. Il empoigne ma crinière brune et la noue autour de son poignet puis tire d’un coup sec. Ma tête bascule en arrière et il vient frotter son sexe sur mon visage et mon cou. Sa prise est ferme, mais je n’ai pas mal. A vrai dire, ça m’excite encore plus. Des années que j’attends ce moment et enfin tout se concrétise.
Lorsque son gland vient se poser sur mes lèvres, je ne peux m’empêcher de sortir ma langue pour le goûter à nouveau.
— Tire la langue, voilà comme ça.
Il pose son sexe sur ma langue et commence à se masturber de plus en plus vite. Un liquide salé dégouline de son méat et me donne une furieuse envie de déglutir. Mais je résiste et reste immobile, attendant que mon père m’impose ses désirs. Il entre alors sa verge lentement dans ma bouche grande ouverte, glissant sur ma langue et s’immisce au fond de ma gorge. Un haut-le-cœur me prend et j’ai un mouvement de recul qui le fait ressortir.
Il me jette un regard irrité et resserre sa prise dans mes cheveux afin de redresser ma tête et m’empaler sur sa queue démesurée. Je résiste un peu et il ne parvient à s’enfoncer qu’à moitié, mais déjà ma bouche semble remplie et je manque de souffle. Il appose alors son autre main sur ma tête et donne un puissant coup de bassin qui le propulse entièrement dans ma gorge.
Commence alors une lente frénésie, mon père se déchaîne dans ma bouche, oubliant tout autour de lui.
— Alors tu as ce que tu voulais petite salope ? Je te baise bien la bouche ?
En guise de réponse, je plonge mon regard empli de gratitude et d’excitation dans ses yeux de la même couleur que les miens. Les larmes coulent sur mes joues tandis qu’il continue ses accoups, de plus en plus violents. Je me détends un peu et parviens à reprendre mon souffle lorsqu’il me libère quelques secondes. Mais ce n’est que pour mieux repartir investir ma bouche qui cette fois, le reçoit avec plus de facilité. J’arrive même à aspirer son sexe alors qu’il coulisse avec vigueur entre mes lèvres serrées.
Mon père grogne de plaisir. Ses coups de bassin sont erratiques, sa jouissance est proche. Je fais glisser mes mains sur ses bourses et les malaxe avec douceur. Il agrippe ma tête et alors qu’il s’enfonce dans ma gorge, il me pince le nez pour m’empêcher de respirer quand soudain, il explose dans ma bouche.
Le sperme coule directement dans ma gorge, je ne peux que l’avaler. Mais il y en a en si grande quantité qu’un filet s’échappe de mes lèvres et relie son sexe à mes lèvres. Le regard plongé dans celui de mon père, j’attrape avec la langue les restes de semence sur sa verge ramollie et lèche consciencieusement le moindre centimètre de peau.
— Hmmm merci papa, c’était délicieux. J’espère pouvoir y regoûter très vite...
Diego semble réaliser ce qu’il vient de faire et avant que l’envie d’aller plus loin ne le prenne, il m’envoie dans ma chambre sans discuter.Il a adoré ce moment, tout comme moi... Pourquoi cet étrange revirement ? Va-t-il assumer ce qu’il a fait ou bien vouloir mettre fin à tout ça ? Anxieuse, je retourne dans ma chambre et me couche sur le lit.
Mon sexe est trempé comme jamais et j’ai terriblement envie de jouir. J’aurais aimé que mon père me prenne ma virginité ce soir, mais apparemment, ce n’est plus vraiment d’actualité. Je devrais me satisfaire de ce qu’il m’a déjà accordé et prier pour que la morale ne l’emporte pas sur ses doutes. J’attrape mon vibromasseur préféré, de dimension fort convenable, mais en rien comparable à la verge de mon père. Je ferme les yeux et commence à me caresser les seins avec volupté tandis que j’enfile le jouet dans ma chatte luisante de cyprine. Je me pince les tétons et la décharge que cela provoque s’étend jusqu’entre mes cuisses.
Je gémis, manipulant le jouet bon train quand j’entends la porte s’ouvrir. Mon père se tient droit dans l’embrasure de la porte et m’observe avec une telle convoitise que j’en manque presque de jouir. Son sexe est au garde-à-vous et pointe vers moi avec audace. Voyant qu’il ne dit rien, je continue mon petit plaisir solitaire.
Soudain, il est comme possédé et se dirige vers moi d’un pas déterminé. Il me fait presque peur tant son air est sévère. Il retire mon vibromasseur de mon antre ruisselant et le brandit telle une preuve de ma dépravation.
— Tu t’amuses bien à ce que je vois... mais dis-moi, est-ce que ta petite chatte a déjà connu autre chose que ces vulgaires jouets ? Quelque chose de plus... massif ?— Non, je me réserve pour toi depuis des années, j’attendais juste d’avoir dix-huit ans. Aucun autre homme n’a posé la main sur moi, tu es le seul et unique.
Il sourit, satisfait de ma réponse, et se redresse pour me surplomber de toute sa hauteur.
— Tu veux que je te dépucèle ? — Oh oui je t’en supplie Papa, je t’offre ma virginité, prends tout ce que tu veux de moi.— Tu es sûre de toi ? Tu as vu comme je suis quand je baise, c’est brutal. Tu veux vraiment que ta première fois se passe comme ça ? — C’est ce que je veux. — Tu réalises que je ne vais pas pouvoir me contrôler et qu’à partir du moment où je t’aurai baisée, tu devras satisfaire tous mes désirs sans rechigner ? — Je connais ton côté sombre Papa et je sais que Maman est partie à cause de ça. Moi je suis prête, je t’aime sincèrement et je ne veux que ton bonheur. — Moi aussi ma puce. Ma Gabriella, tu es si belle. Ton corps est un appel à la débauche. Des années que je m’en veux de lorgner tes seins et ta croupe divine. Écarte les cuisses, je vais te donner ce que tu veux.
J’obéis, le cœur au bord de l’explosion. Enfin ! Il retire ses vêtements et me tire vers lui. Je me retrouve au bord du lit, les jambes dans le vide et il vient se placer entre mes cuisses. Son sexe érigé frotte ma vulve gonflée. Je mouille tellement qu’il glisse sans effort jusqu’à l’entrée de ma grotte inexplorée. Son regard se rive au mien et il empoigne mes hanches fermement. Ça y est, il va le faire. Il va me dépuceler. Son gland épais s’insinue alors dans ma chatte serrée jusqu’à rencontrer une résistance. C’est si chaud, si bon que malgré une légère douleur, je ne peux m’empêcher de gémir. Il prend alors appui avec ses mains et s’enfonce d’un coup sec dans mon vagin si étroit, brisant ce qu’il restait de mon hymen.
Je pousse un cri de douleur. Son sexe est si gros et ma chatte trop étroite, je me sens déchirée. La souffrance est intense, mais je sais que lui prend son pied. Il grogne lorsqu’il atteint le fond et ressort presque entièrement pour revenir avec force. Comme tout à l’heure, c’est comme s’il n’était plus qu’un animal en rut, s’activant avec fougue en me faisant crier. Il passe alors sa main jusqu’à mon clitoris qu’il caresse avec peu de douceur. Le plaisir remplace petit à petit la douleur et je sens l’orgasme monter en moi.
— Alors c’est bon une bonne queue ma petite salope ? — Oh oui, continue Papa, c’est trop bon...— Tu as ce que tu voulais ?— Oui...— Tu en veux encore ? dit-il en se retirant.— Oui s’il te plaît... encore... fais-je en haletant, déjà en manque de sa présence en moi.— A quatre pattes, je vais te prendre comme une chienne, comme tu le mérites.
Je glisse sur le sol et me mets en position, le dos bien courbé, la tête relevée et la croupe offerte. Il palpe mes fesses avec ardeur et écarte les globes de chair pour contempler mon orifice encore inviolé, même par mes soins. Il passe son sexe le long du sillon de mes fesses, ce qui me fait frémir. Je sais qu’il aime la sodomie par-dessus tout et que là, il se retient de ne pas déflorer mon anus encore vierge. Mais j’ai peur qu’il me fasse mal, son sexe étant si imposant ! Je ne me sens pas prête à l’accueillir tout de suite dans ses tréfonds. Je suis alors soulagée quand il se glisse sans ménagement dans ma chatte affamée.
Sa présence me comble entièrement, je suis remplie par la queue de mon père qui me laboure à un rythme effréné tandis que je ne peux cesser de gémir. Il accélère encore, ses mouvements sont plus amples et me propulsent contre le sol. Seul mon fessier est encore tendu, mais seulement grâce à ses mains qui empoignent mes hanches pour mieux me pénétrer. Subitement, la jouissance s’empare de moi et je hurle mon plaisir tandis que les spasmes de mon orgasme enserrent sa verge, ce qui a pour effet de le rendre fou. Il se met alors à me marteler avec rage, cherchant à obtenir sa jouissance.
— Oh oui Papa, vas-y donne-moi tout... jouis pour moi...— Gabriella... ma petite salope... tu es si serrée... J’en peux plus, il faut que je jouisse, montre-moi ton visage, que je l’arrose.
J’arrive à me redresser avec difficulté et me mets à genoux devant lui, ouvrant grand la bouche tandis qu’il s’active devant mon visage. Soudain, il rugit, son corps se contracte et de longues giclées de semence collantes viennent s’écraser sur mes yeux, mes joues et mes lèvres. Mon visage est couvert de ce liquide visqueux et avec ma langue, je récupère ce qui coule afin d’avaler ce nectar précieux si exquis.
Mon père me fixe intensément, une note de fierté dans le regard et je me sens pousser des ailes.
— Tout va bien ma puce ?Je n’y suis pas allé trop fort ?— Oh si, mais c’était si bon ! J’ai hâte de recommencer. — Petite gourmande, il va falloir me laisser un peu de temps pour me reposer. Il est tard maintenant, il faut dormir. Bonne nuit ma puce.— Bonne nuit Papa et merci, j’ai eu le meilleur cadeau d’anniversaire du monde.
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