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Le cadeau de Gabriella

Chapitre 2

Une matinée chargée

Inceste
Le lendemain matin, je suis encore plus heureuse que la veille. Mon père a enfin cédé à mes avances et mon fantasme absolu s’est réalisé : il m’a dépucelée sans douceur et compte bien recommencer. J’ai tellement hâte de pouvoir à nouveau le satisfaire, lui dont les désirs sont si obscurs et violents. Je me remémore mes recherches sur ses historiques où l’on y voyait des femmes attachées, yeux bandés, soumises à plusieurs hommes ou même fouettées. Ces images restent ancrées dans ma tête et j’ai l’irrésistible envie de les réaliser avec lui.
Entre mes cuisses, la chaleur s’installe et grandit peu à peu. Une idée me vient. Mon père doit sûrement dormir et Ugo, mon frère n’est pas encore rentré. Et si j’allais le réveiller ?
Je me dirige à pas de loup jusqu’à sa chambre et l’y découvre allongé, nu sous les draps. Il est si beau comme ça, endormi, calme, serein... Je soulève le drap et découvre son sexe assoupi, posé sur sa cuisse. Mon cœur bat si fort, comme si j’avais peur de me faire surprendre. Je me faufile contre lui. Son torse monte et redescend doucement au rythme de sa respiration. Il dort profondément.
J’ose glisser ma main sur ce corps encore bien conservé par le temps, sillonnant ses muscles de la pulpe de mes doigts. J’arrive jusqu’au serpent endormi, hésite puis y enroule mes doigts. Sa verge molle remplit ma main et j’approche mon visage pour l’observer de plus près tandis qu’elle gonfle sous mes caresses. Je n’ai pas vraiment eu l’occasion de la voir hier soir, mais cette fois, j’ai tout le loisir de l’admirer. Il continue de dormir, parfois secoué d’un petit sursaut.
L’envie de le goûter est trop impérieuse et ma langue vient titiller l’extrémité de son membre qui commence à prendre des mesures disproportionnées. Je prends alors le gland violacé entre mes lèvres et aspire cette chair chaude et si douce au goût musqué. Je le suce lentement et descends petit à petit jusqu’à me sentir pleine. Et je n’en suis qu’à la moitié ! Je remonte au même rythme, avec douceur et patience, et je sens sa verge gonfler jusqu’à être aussi raide et dure qu’un bâton. Enfin un bâton, c’est un euphémisme, un gourdin serait un terme plus adéquat.
Hélas, malgré toute ma bonne volonté, je n’arrive pas à le prendre en entier dans ma bouche. Je m’arrête donc et le recrache pour reprendre ma respiration.
— Qui t’a dit d’arrêter ? Dit une voix rauque, encore empreinte de sommeil.— Pardon Papa, je pensais que tu dormais...— Termine ce que tu as commencé et applique-toi, ordonne-t-il.— Oui Papa.
Je reprends son membre en bouche et fais de nouveau de mon mieux pour le prendre le plus loin possible. Je suis fière quand je parviens enfin à l’engloutir aux trois quarts. Ma salive dégouline sur ses bourses, qu’une de mes mains palpe.Mon père grogne d’impatience, sa grande main calleuse se pose sur ma tête qu’il recouvre presque entièrement. Il appuie alors, m’oblige à gober son membre puissant jusqu’à la garde. Il va trop loin, il m’étouffe. Je me débats un peu, car je sais qu’il aime encore plus ça. Je suis sur le point de vomir, son sexe martèle ma luette.
Subitement, il tire mes cheveux en arrière et on peut entendre un bruit disgracieux lorsque sa verge sort de ma gorge. Il gronde, s’astique frénétiquement pour finir par asperger mon visage et mes cheveux de sa semence blanche et collante. Je reçois son sperme avec plaisir et souris comme une gamine devant Disneyland.
— Merci Papa !— Tu es une bonne fille Gabriella, obéissante et pleine d’initiatives. — J’avais envie de te faire une surprise.
— Mais dis-moi, qu’est-ce que je vois là ? Dit-il en fronçant les sourcils.
Il retrousse ma robe et tire sur l’élastique de mon string jusqu’à sa limite puis le lâche. Je pousse un cri quand il s’abat sur la chair tendre de mes fesses.
— Je ne veux plus voir ça, je veux ton sexe accessible à tout moment. C’est bien ce que tu voulais non ? Etre ma chose. — Oui Papa, je n’en mettrai plus. Mais... je pensais que tu allais me prendre et me faire jouir.— Tu jouiras quand je l’aurai décidé. Tu es à moi maintenant. Tout ceci, dit-il en passant ses mains sur mon corps, m’appartient désormais et je m’en servirai comme il me plaira. C’est tout ce que tu mérites petite perverse.
Je reste silencieuse et baisse la tête pour prouver ma soumission. Un grand sourire illumine son visage quand il me dit:
— Ne t’essuie pas et va me préparer mon café maintenant. — D’accord.
Je descends à la cuisine préparer le petit-déjeuner comme il me l’a ordonné. Le sperme sur mon visage a le temps de sécher et ma peau tiraille. Je dois me retenir de passer mes doigts dessus. Au bout de quelques minutes, il arrive entièrement nu et s’assied à sa place habituelle. Je lui sers son café tandis que ses mains s’attardent sur mes fesses. Il glisse un de ses doigts jusqu’à ma fente et y recueille un peu de ma cyprine qu’il lèche allègrement en me regardant droit dans les yeux. Puis il replonge son doigt et le place ensuite dans ma bouche. Je lui suce le doigt avec gourmandise comme je l’ai fait avec son sexe tout à l’heure.
— Tu aimes ton goût ? — Pas vraiment, mais si tu aimes, alors je me boirai autant que tu veux. — Bien, assieds-toi et prenons ce petit-déjeuner.
Les minutes défilent et nous reprenons nos habitudes, discutant de choses et d’autres. Si mon père n’était pas nu, une main sur son sexe érigé et l’autre tenant sa tasse de café, on aurait pensé à un petit-déjeuner normal. Il me regarde avec un air si vorace que j’en lâche ma tartine sur le sol. Évidemment, elle se renverse du côté du chocolat.
— Nettoie ça et vite ! dit-il sévèrement, et avec la langue.
Je déglutis, pas sûre d’être capable de faire ce qu’il me demande. Pourtant, j’obtempère et m’agenouille sur le sol, sous le regard pervers de mon père. Ma langue rape le sol, nettoyant la pâte à tartiner et il se lève pour se placer derrière moi. De ses mains, il empoigne les globes de mes fesses et les écarte pour examiner mon anus. Son pouce dérape sur l’œillet rosé, me déclenchant un sursaut.Il vient alors embrasser ma fente, lapant la mouille qui coule de mon antre. Cette sensation de cette chair si chaude et douce qui s’insinue dans mes replis est si intense que je me laisse totalement aller. Il continue de me lécher tandis que son pouce force le passage de mes reins.
Lorsqu’il parvient à l’y enfoncer, un cri s’échappe de mes lèvres et j’essaie de me retirer. Son pouce sort de mon orifice endolori par la force de mon réflexe de protection. Sa main s’abat alors lourdement sur ma fesse, marquant la peau d’un rouge écarlate tant il y avait mis de la force. Surprise et douleur sont ce que j’ai ressenti en premier, mais une fois la brûlure du choc atténué, le plaisir entre mes cuisses pointe le bout de son nez et j’en viens presque à en redemander.
— Laisse-moi faire, je vais bien m’occuper de ton petit trou. Ne t’inquiète pas, je ne le prendrais pas cette fois. Par contre, quand je déflorerai ton petit cul sublime, ce sera sans la moindre délicatesse. Et j’en profiterai à chaque fois qu’il m’en prendra l’envie, autrement dit... très souvent.
Je déglutis sous le coup de cette promesse qui sonne comme une menace. J’ai peur, très peur. Mais je sais que c’est ce que je voulais. Et je le veux toujours. Etre la chose, l’esclave sexuelle de mon père, assouvir tous ses désirs aussi vils soient-ils. Je me laisse aller cette fois lorsque son pouce reprend sa place dans mon fourreau étroit. Une fois le passage bien fait, grâce au forage de son pouce, il met son index et son majeur pour remplacer le doigt désormais trop fin à son goût.
Il me branle le cul de ses deux doigts pendant que sa langue explore ma grotte désespérément avide de son sexe. Je gémis, c’est si bon... je n’en peux plus, je suis à bout.
— Vas-y, jouis ma puce,
soudain, je suis surprise par un plaisir inhabituel, comme un orgasme, mais provenant de mon anus malmené. Déroutée, l’orgasme m’emporte sans que je puisse le retenir, moi qui comptai en profiter encore. Je sens ses doigts quitter mes fondements et quelque chose de bien plus gros se profile à l’entrée de ma chatte baveuse.
D’un coup de reins, il me pénètre violemment et commence son laminage sans s’arrêter, alors que je sens encore les derniers sursauts de mon orgasme qui s’envolent. Son membre si épais laboure ma petite chatte humide récemment déflorée. Il me présente devant la bouche, les doigts qui étaient dans mon cul auparavant et je les suce avec avidité, accentuant son plaisir et le mien.
— Petite salope, tu aimes ça hein ?— Oh oui... Hmmm continue Papa s’il te plaît...— Comme ça ? fait-il avant de me donner un brusque coup de reins.— Oui encore !
De ses mains, il empaume mes seins et s’y agrippe pour continuer ses assauts frénétiques dans ma chatte brûlante. Je n’en peux plus, mes genoux me font mal et ma tête se cogne contre le sol à chaque coup de reins. Il va jouir, je le sens... D’ailleurs, moi aussi je sens que je ne suis plus très loin. Mais il ne m’a pas donné la permission de jouir alors je dois me contenir.
Il se retire et éjacule sa semence épaisse sur mon anus endolori. Le liquide chaud coule sur mes fesses, quelle agréable sensation ! Il lui suffit alors juste d’un mot et d’un geste pour me faire jouir. Quand enfin il prononce le tant attendu ”Jouis” et que sa main s’insinue entre mes lèvres et trouve mon clitoris, je vois les étoiles défiler devant mes yeux. Je ne me retiens plus et crie ma jouissance en une longue plainte.
Il se recule et avec une extrême tendresse, il m’aide à me relever et m’amène jusqu’à la salle de bain pour que j’y prenne une douche. Je pense qu’il en a assez de moi, car il me laisse seule. Je suis un peu déçue et la morosité me gagne tandis que l’eau qui ruisselle sur mon corps nettoie les traces de ma débauche. En a-t-il déjà assez de moi ? Comme nous sommes dimanche, il a toute la journée devant lui, mais Ugo risque tout de même de rentrer incessamment sous peu. Et moi, je suis loin d’être rassasiée de lui, après tout le temps que j’ai attendu !

Après ma douche, je le rejoins sur la terrasse. Il a pris un livre et semble complètement pris dans sa lecture. Il ne lève même pas les yeux sur moi, pourtant j’ai mis le plus petit bikini que j’ai en réserve, celui de l’année dernière. J’ai bien dû prendre une taille de soutien-gorge depuis, il ne recouvre plus grand-chose si ce n’est mes mamelons. Quant à la culotte, disons que maintenant c’est un string.
Je m’allonge sur le transat à côté de lui et m’étire félinement, prenant bien soin de dévoiler le plus possible de mon corps. Comme je vois qu’il est toujours absorbé par son livre, je dénoue le fil qui retient le haut du maillot.Mes deux globes de chair libérés rebondissent sur mon torse et je les empaume de mes petites mains fragiles et les presse entre mes doigts. Rien n’y fait, il ne lève pas le regard de son fichu bouquin ! Je tente une nouvelle fois le coup de la crème solaire, après tout, cela a bien marché hier.
— Papa, tu peux me mettre de la crème s’il te plaît ? minaudai-je.— Je suis occupé Gabriella, j’aimerais finir mon chapitre tranquille si c’est possible pour toi.
Son ton est si sec, je n’en reviens pas. Il ne m’a jamais parlé de la sorte ! Je me renfrogne, fais une moue boudeuse et décide de m’en mettre moi même. J’essaie de prendre l’attitude la plus sexy possible, sans pour le moins paraître vulgaire. Est-ce que je m’y prends bien ? Apparemment pas, il ne me regarde toujours pas, je désespère. Je plonge alors dans la piscine et essaie de noyer ma frustration par quelques longueurs. Comme rien ne semble le troubler même après le temps passé dans l’eau, je me résous à m’allonger pour faire un petit brin de bronzette et m’assoupis.
Je suis réveillée par un bruit agréable, une sorte de claquement frénétique. Je n’ose ouvrir les yeux, mais je pense que mon père est en train de se branler sur mes seins. Alors je lui plais encore ! Mais pourquoi ne me laisse-t-il pas profiter de sa queue alors ? J’entends ses soupirs de plaisirs, il est proche de l’éjaculation. J’ouvre alors les yeux au bon moment, juste pour voir son visage se tordre de plaisir et les jets de semence jaillir de sa queue palpitante pour venir s’écraser sur ma poitrine généreuse.
— Papa, pourquoi ne m’as-tu pas réveillée ? J’aurais bien voulu m’occuper de toi...— C’était trop urgent et tu étais si belle, endormie comme cela. — Et... tentai-je timidement, tu n’as plus envie de moi ?
Il semble choqué par ma question et me regarde d’un air surpris.
— Qu’est-ce qui peut te faire penser cela ?— Tu ne m’as pas regardée une seule fois depuis ce matin dans la cuisine...— Tu veux vraiment savoir pourquoi ? Dit-il d’un air déterminé et presque furibond en empoignant ma longue tignasse et la tirant en arrière pour que je le regarde dans les yeux.— Oui, articulai-je en déglutissant avec peine.— J’ai tellement envie de toi que je suis obligé de me réfréner pour ne pas te faire souffrir. Tu es là à remuer ce cul magnifique devant moi et je n’ai qu’une envie, c’est de le prendre sans sommation, et il n’est même pas encore midi !
Ma bouche s’arrondit de surprise. Alors il a toujours envie de moi ? La joie fait rosir mes joues et un grand sourire illumine mon visage. Mais aussi un puissant frisson d’appréhension. Il est si brutal, si bestial, il va forcément me faire mal la première fois. Et sans doute les fois suivantes aussi. Mais s’il aime ça, alors je le ferai. Je ferai tout pour lui tellement je l’aime et le désire. Si je veux préserver un peu mon pauvre anneau, je dois arrêter d’allumer mon père comme cela et essayer d’être sage. Ou pas. Après tout, il en a tellement envie que ça m’excite encore plus. Mon string est trempé, et rien à voir avec la piscine.
— Ma petite Gabriella, si tu veux que ton cul soit encore vierge ce soir, tu as intérêt d’arrêter ton petit manège d’allumeuse. Tu m’as compris ? — Oui Papa, j’ai compris. — Bien, maintenant, nettoie ça pendant que j’allume le barbecue, dit-il en me relâchant la crinière.
Je m’exécute et puis me rends à la cuisine pour préparer des salades et aussi enlever les restes de semence sur ma poitrine. J’ai décidé de rester en bikini, après tout, Ugo doit être encore en train de cuver, il serait étonnant de le voir pointer le bout de son nez avant seize heures.
Alors que je suis devant l’évier à éplucher des carottes, tout en me trémoussant au son d’un tube des années 80, j’entends soudain des pas et un sifflement bien caractéristique.— Wah la vache ! Ugo, je ne savais pas que ta sœur était si bonne ! S’enthousiasme Quentin, le meilleur ami de mon frère qui se tient dans l’embrasure de la porte, accompagné d’Ugo qui me regarde bouche bée en me dévorant des yeux.
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