Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 77 J'aime
  • 3 Commentaires

Le cadeau de ma Maîtresse

Chapitre 1

Travesti / Trans
Ma Maîtresse connaît bien mes goûts.
Depuis que j’ai eu la chance de commencer à la servir, elle m’a transféré bien des responsabilités. Elle a été très claire dès le début: elle déteste être pénétrée. Ainsi, elle m’a délégué tous ses amants. Pour ça elle a commencé par enfermer, depuis huit mois maintenant, ma bite dans une petite cage de chasteté, dont elle seule a la clef. Souvent, elle l’a autour du cou; parfois elle fait semblant de la perdre pour me faire peur. Peu à peu, mon corps a appris à être excité par le moindre contact, comme si la sensibilité de mon sexe avait été transférée à tout le reste de mon corps. Elle m’a appris à faire tout ce qu’elle déteste faire elle-même, m’a entraînée à satisfaire toutes les bites et toutes le chattes qu’elle estime digne de mes services, et je suis devenue par la frustration de ne jamais être tout à fait satisfaite par ma petite bite enfermée une véritable assoiffée de sexe.
Depuis le début de nos vacances, il y a deux semaines, je vois bien qu’elle prépare quelque chose pour mon anniversaire. Tous les trois soirs, elle m’a allongée sur un lit, les bras et les jambes écartés, a ouvert ma cage, puis a lentement caressé ma petite libérée, doucement, du bout des doigts, jusqu’à faire monter mon désir au point où je la supplie de me laisser jouir; une fois que j’en ai les larmes aux yeux, elle est partie, m’a laissé là jusqu’à ce que ma queue soit redevenue molle, vu que je ne peux pas la toucher ni la frotter à quoi que ce soit; puis elle a remis ma cage. A part ça, elle ne m’a pas touchée, même pas effleurée, depuis ces deux semaines. Aux repas, elle me sert dans une gamelle sous la table, écarte les jambes, et me fait renifler l’odeur délicieuse de son sexe pendant quelques instants avant que je puisse commencer à manger. Je n’ai pas le droit de la toucher, même du bout de la langue; mais son odeur m’excite pendant tout le repas.
Ce soir je sens qu’elle va enfin me laisser jouir, comme cadeau d’anniversaire. Elle me connaît bien.
Elle m’a bandé les yeux dans le taxi qui nous emmène je ne sais où, me fait sortir après une bonne demi-heure de trajet, puis me fait avancer de quelques pas avant d’enlever mon bandeau. Je mets quelques secondes à retrouver la lumière, le temps de voir les regards fixés sur moi. Malgré mon chemisier élégant, blanc avec de petits froufrous sur la poitrine légèrement rembourrée par mes faux seins dans mon soutien-gorge, malgré la jupe de cuir noir qui serre mes fesses, malgré mes longs cheveux bruns qui bouclent sur mes épaules, malgré mon eye-liner fin qui me fait des yeux sexy, mon mascara, mon contouring qui affine mon visage, le fard bleu sur mes paupières, ma peau lisse et mes lèvres non pas rouges mais roses comme une touche de Barbie sur un ensemble BCBG, on voit malgré tout que je ne suis pas une "vraie femme". les regards curieux s’arrêtent sur mes bas résilles qui dépassent de ma jupe et sur mes fesses qui remuent à chaque pas à cause des talons que je porte et sur lesquels l’équilibre est précaire. Ils semblent ne pas savoir si je suis ne bourgeoise qui sort du travail ou une trav salope; la laisse autour de mon cou et le baillon qui m’entrave la bouche les aident à obtenir des réponses.
Maîtresse m’amène dans une première salle. Dans le noir, un grand écran diffuse un porno de mauvais goût et une trentaine de types regardent l’écran; une odeur de sueur, du cuir des fauteuils et d’un peu de renfermé me parvient. Je regarde autour de moi: pas une femme. Le porno a bien été conçu par des hommes pour des hommes, décidément.
Maîtresse prend la parole: — Messieurs, voici Steffy. Si vous voulez vous branler, elle peut vous donner un coup de main, voire un peu plus; par contre, si elle vous dit non, c’est non. Je reste à côté, je surveille, j’ai des amis prêts à intervenir si quelqu’un force trop. Pour le reste, amusez-vous.Puis elle me murmure: "personne ne te prend ton cul avant que je le décide; c’est clair?" avant de m’enlever le bâillon. Ma queue frétille dans sa cage: tant de bites à goûter, moi qui suis privée depuis deux longues semaines!
Déjà trois types s’approchent de moi, la main sur le pantalon. Maîtresse me met à genoux devant eux; le premier sort sa queue, je le regarde; mais il s’en va, sûrement trop timide. Tant pis, il m’en reste deux! J’ouvre la bouche, et une légère odeur de chair, de sueur et d’urine séchée s’approche; se pose sur ma lèvre inférieure; je referme la bouche autour de ce gland, et prends le deuxième garçon dans ma main. 
A genoux entre eux, je me sens exactement comme j’aime: j’ai tellement attendu des queues, et l’ambiance glauque me fait sentir encore plus chienne. Je lèche le gland qui est dans ma bouche au chaud entre mes lèvres, et caresse tout en longueur la bite du deuxième type. « Tu prends dans la bouche? » me demande le premier. Je lui fais oui de la tête (je suis sous prep), comme je peux avant de commencer progresser autour de sa verge; je commence des allers et retours de ma bouche et de ma main, bavant bien pour lubrifier cette première queue si délicieuse, jusqu’à sentir qu’il se contracte, frémi, et dans un long râle, il remplit ma bouche de sperme chaud; je le regarde, ouvre la bouche, puis déglutis, avant de prendre le deuxième qui a droit au même traitement.
Lentement, je m’approche d’un gars assis qui a l’air sur le point de jouir. -Un coup de main?-J’ai pas de mouchoir.Je me met à genoux devant lui, pose son gland sur ma lèvre inférieure; il continue à se branler quelques instants, déconcerté sûrement; il ne devait pas s’attendre à pouvoir jouir dans une bouche plutôt que dans un mouchoir; et l’idée d’être un simple réceptacle, un vide couilles qu’on jette après l’avoir utilisé, m’excite énormément. Il finit par décharger de longs jets sur ma langue, avant de me regarder « avale tout ça salope ». Je m’exécute avec plaisir, bien entendu.

Je vagabonde d’un type à un autre pendant quelques temps; certains refusent, d’autres finissent dans un mouchoir, d’autres dans ma bouche; je n’oublie jamais de leur montrer ma bouchée avant d’avaler. Au bout de quelques temps, ma Maîtresse revient prendre ma laisse: trois gars sont là, et veulent juste que je reste entre eux pendant qu’ils se branlent. La première décharge arrive sur ma joue gauche, et glisse lentement vers ma gorge; la deuxième touche mon front, et je dois fermer les yeux pour ne pas être aveuglée; la troisième arrive sur mon menton, pendant qu’ils me regardent, satisfaits. Maîtresse m’amène dans une autre salle, où un canapé trône. Je suis à quatre pattes pour marcher, mon cul brûle du désir d’être rempli, ma petite queue est à l’étroit dans ma cage; je suis si excitée que je pourrais lécher le sol pour y récolter quelques gouttes de foutre. Maîtresse me fait allonger sur le dos, enlève mes lunettes, et une nouvelle excitation et appréhension me saisit. Ma tête dépasse le bord de la banquette, j’ouvre la bouche, et vois la file de types qui attendent.
Une première queue avance doucement. Je sais que si je suis mal ou que quelque chose ne va pas, je peux faire signe à ma Maîtresse qui arrêtera ces gars, alors je n’ai pas peur, et je laisse cette bite glisser entre mes lèvres, dans ma bouche, ma gorge... J’ai appris les gorges profondes suite à un long entraînement, et Maîtresse m’a appris à aimer ça, que la gêne passagère peut être dépassée par la jouissance de servir à l’orgasme de quelqu’un d’autre. Ses couilles arrivent sur mon nez: sa bite n’est pas si longue que ça, tout va bien pour l’instant. Il commence lentement des allers retours, et je m’emplis de sa queue. Il se retire sans avoir éjaculé.
J’imagine la vision que ces types ont de moi: une bouche pour se vider, ils n’ont qu’à venir et se branler avec mes lèvres au lieu de leur main. Je garde leur queue au chaud pendant qu’ils se masturbent en moi, je ne suis rien de plus qu’un sex toy, presque un urinoir mais au lieu de pisse, c’est du sperme que je reçois. Quelques allers retours et ils peuvent jouir en se fatigant moins qu’à la main. Mon ventre se contracte d’excitation en pensant que je ne suis plus qu’un trou à bite, à peine plus qu’un glory hole.
Une deuxième tige remplace déjà la première. Celle-ci est plus épaisse, mais pas plus longue. Il y va aussi plus brutalement, et j’ai un réflexe vomitif au moment où il se retire d’un coup sec. Je me relève un instant, Maîtresse me donne un peu d’eau; quelques larmes ont perlé au coin de mes yeux; je les sens couler, emportant du mascara.
J’y retourne; une troisième bite vient remplacer la deuxième, puis une quatrième qui reste longtemps, pendant que je sens ma Maîtresse me caresser tendrement la poitrine. La cinquième me baise la bouche avec force, pus que jamais je me sens un simple sextoy qu’il utilise pour se vider. Je perds la notion du nombre, entourée par l’odeur de sueur et de sperme, les râles, le noir. Quand Maîtresse me fait signe, je me relève. Mon mascara a coulé le long de mes joues. Mes cheveux collent sur mes joues, mon mascara a dégouliné, et mon visage est maculé d’un mélange poisseux de bave et de sperme, collant. La working girl de tout à l’heure n’est plus qu’une salope couverte de foutre, qui lèche sa propre bave. 
C’est alors que je comprends pourquoi aucun des types que j’ai pris en gorge profonde n’a éjaculé dans ma bouche: Maîtresse me tend une pinte dont le contenu ne fait aucun doute. -Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de cette petite chienne en chaleur: merci d’avoir participé à son cadeau, et à son gâteau! clame-t-elle.Quelques rires fusent, les mecs se moquent de moi, tous ont deviné que j’étais une trav assoiffée. "Santé, petite pute", ajoute-t-elle en me tendant la pinte.
C’est tellement de sperme, je croyais être rassasiée, mais être ainsi rabaissée  m’excite encore plus. Je saisis la pinte et commence à boire le liquide visqueux avec ardeur. Son goût âcre m’emplit la bouche, cela coule sur mon menton. Maîtresse me reprend la pinte des mains et me la verse sur le front, avant de reprendre ma laisse. Elle m’amène au milieu de la salle, à quatre pattes sur le siège. "Regarde le film". J’obéis: une fille est en train de se faire prendre en levrette, et je sens soudain deux mains saisir mes fesses. Je ne peux pas regarder qui c’est , mais Maîtresse prend ma main et la pose sur sa bite: elle est épaisse et pleine de veines saillantes. Je sens sa chaleur sur mon cul, puis une poussée, mes fesses s’écartent, et je me fais pénétrer en même temps que la fille du film. Mon cul se dilate peu à peu, il m’emplit totalement pendant que le sperme commence à sécher sur mon visage, je me sens totalement remplie, je commence à gémir, il est en train de me saillir avec sa bite énorme et je me sens entièrement écartée, mes yeux s’écarquillent; enfin je sens ses couilles toucher le haut de mes cuisses. Il recule, et m’emporte presque avec lui, avant de recommencer un assaut puissant qui me projette presque en avant, puis il recommence, sa chaleur se répand en moi, je suis sa chienne, sa salope, sa pute, sa grosse truie, je n’ai plus qu’une envie c’est que cette queue énorme me fasse jouir et jouisse au fond de moi...
Il me pilonne un long moment, j’entends ses râles s’accélérer, je suis dans un état d’excitation tel qu’un orgasme se lève au fond de mes entrailles et me balaie, après de longues minutes où il m’a prise, les deux mains sur mes fesses, sur mes hanches; je couine de jouissance, ma queue frétille dans sa cage, mon cul est empli d’une chaleur qui remonte dans tout mon corps et je sens qu’il commence à décharger en moi. Il se retire, et je m’effondre, le cul béant et rempli de sperme. Maîtresse essuie avec une lingette ce qui coule, avant de me pluger, et de reprendre ma laisse. Je repars, à quatre pattes, elle ne m’autorise à me relever qu’en arrivant dans le hall du cinéma. Je chancelle jusqu’au Uber qu’elle a appelé. J’y monte, encore tremblante; le plug frotte en moi à chaque pas. 
Le Uber me voit, visqueuse, les habits froissés, pendant que Maîtresse m’offre un peu d’eau. Il me regarde avec un mélange de curiosité et d’amusement.
-C’était son anniversaire, et elle a toujours voulu être le vide-couilles d’un cinéma porno, alors je l’ai amenée, explique ma Maîtresse. Je comprends qu’elle a pris un Uber à qui ell a déjà expliqué la situation, pour ne pas terrifier un pauvre chauffeur qui n’aurait rien demandé. Elle a été très efficace. Vous voulez voir grâce à quoi je la contrôle?-Oui.-Steffy, montre au monsieur.
J’exhibe ma cage, ma bite flasque dedans, et je sens qu’il est excité par ce côté bizarre.
-Vous voulez qu’elle vous suce comme pourboire? Tu en as envie Steffy?-Si monsieur veut, oui Maîtresse.
Arrivées à destination, j’ouvre la porte passager avant, me penche sur le siège, et commence des allers-retours sur sa bite, la dernière de ma soirée. Je le branle en même temps, des deux mains, comme pour presser le jus de bite dont j’ai soif. Ma Maîtresse lui fait signe que je peux avaler lorsqu’il jouira, ou qu’il peut finir sur mon visage."Je veux qu’elle avale". Mes mouvements sont de plus en plus lents, mes lèvres de plus en plus serrées, cette bite a été à l’étroit toute la nuit, alors je m’applique, ma langue s’enroule autour de son membre, je la roule comme une cuiller ou je le dépose et il finit par y lâcher une décharge. Je lève les yeux, ouvre la bouche."C’est bien, tu es une bonne salope, toi.-La meilleure, affirme Maîtresse.
Nous rentrons. Elle me douche, me savonne entièrement, pendant que je suis dans un état second; ses mains chaudes me font frissonner de bonheur. Puis elle me met ma nuisette, me fait sortir de la salle de bain, me penche en avant pour retirer le plug et enlève le collier de ma laisse.
"J’espère que tu as aimé ton cadeau, Steffy."
Diffuse en direct !
Regarder son live