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Le cadeau de Ricardo

Chapitre 2

Erotique
Le lendemain, je cède aux arguments de Mme Wang, et surtout, à ma coquine curiosité. Comment savoir si ce cadeau serait agréable à Ricardo, si moi-même, je n’en connais pas la nature exacte. Et puis, merde ! 80€ ! Pour une fois. Ce sera mon noël avant l’heure. Et massé ce n’est pas trompé ! Si ? 

Maintenant complétement décidé, je branche discrètement Ricardo, à la pause déjeuner, sur la thalasso, la relaxation, les massages, le naturisme... Il est vraiment coincé et je jubile en l’imaginant entre les mains de Mme Wang. De retour au bureau, j’appelle et confirme mon rendez-vous pour 18h30. 

Et c’est le cœur battant qu’en sortant du boulot, je rejoins la rue Rodier, non sans être passé par le distributeur de billets.

— J’étais sûre que tu ne reviens pas, me dit-elle en ouvrant la porte.
Heureusement que je ne viens pas pour ses dons de voyance, ni pour réviser le subjonctif.

— Eh bien si, lui répondis-je fièrement. 

— Assieds-toi là, je reviens.

 Tellement certaine de ne pas avoir de client ce soir, que je remarque maintenant qu’elle porte un jeans et un pull à colle roulé, avant de disparaître par la porte du fond. J’ôte mon blouson et J’en profite pour répartir les 160€ dans deux enveloppes piquées au bureau. Sur l’une d’elle je note « RICARDO ». Et j’éteins mon portable. Il ne faudrait pas que je sois géolocalisé ici !

 Mme Wang réapparait avec un kimono, ou plutôt un pyjama de soie, semblable à celui d’hier. Je me lève et lui tends les deux enveloppes. 

 — 80 pour ce soir, et 80 pour Ricardo la semaine prochaine. J’ai noté son prénom ici.

— Parfait, allez viens.

Sans perdre le temps de recompter, elle me prend par la main et m’attire vers la porte du fond. Dans le petit couloir règne une forte odeur d’humidité qui supplante un vague parfum d’encens. Elle entre dans la pièce de gauche : Une minuscule chambre. Un lit, un porte-manteau, un miroir et un tabouret en guise de table de chevet. Au-dessus du lit, près des épais rideaux, des petites tablettes avec des bougies. Ouf ! Des bougies à LED, sans flamme. Elle en allume quand même une vraie, photophore, et a priori parfumée.

 — Tu te déshabilles et tu me rejoins à la douche en face.

 Me voilà seul. Elle a dit douche, donc à poil direct, il n’y a pas de doute à avoir. Et puis il y a cette grande serviette pliée sur le lit, certainement mon nouveau costume. D’un naturel méfiant, je cache mon portefeuille dans la manche de mon blouson. Puis je me déshabille rapidement, trop pressé de la découvrir dans l’autre pièce.

Lorsque j’entre dans la salle de bain, ou plutôt le « placard » dont le bac à douche prend la moitié de la surface au sol, je comprends l’odeur d’humidité. Aucune fenêtre, aucune aération. Ce n’est pas dans les normes tout ça. Mais bon, ce que je viens y faire, ne l’est pas trop non plus. Elle est déjà rincée et me fait signe de la rejoindre. J’ai à peine le temps de la regarder, que sans ménagement, elle m’asperge d’eau, puis me savonne. Sans ses talons, elle fait plus petite. Par contre je ne me suis pas trompé, sa poitrine est conséquente et presque tombante même. Dans le miroir, je vois également un superbe fessier, qui lui non plus ne correspond pas aux clichés « asiatiques ». 

Ça y est, elle m’attrape la queue et redouble d’effort pour la savonner. Tout va si vite, et tout est si « professionnel » que je ne bande pas. Sauf peut-être lorsqu’elle me fait signe de me retourner et que son sein effleure mon bras. La plomberie, les parois, et le carrelage jusqu’au plafond ont l’air récent, mais les joints de silicone commencent déjà à noircirent. Sans aération, son « placard » va devenir un vrai nid à champignons.

Elle se rince une dernière fois, et enjambe le rebord du bac. J’espère alors apercevoir son entre-cuisse, mais non. C’est trop furtif, Je crois juste deviner qu’il n’y a pas de poil.

— Tu finis de rincer et tu me rejoins dans la chambre.

 Bien que directives, ces paroles sont douces et rassurantes. Elle sait bien que je suis novice, et ne laisse pas de place au doute. J’ai hâte de la rejoindre. J’enroule la serviette autour de ma taille et je quitte la champignonnière sans regret.

Elle m’attend assise en tailleur, sur le lit et se chauffe les articulations des poignets avec des mouvements hypnotiques. Ahhh là, du coup, je le vois bien sont minou. Il est tout lisse. 
— Donne la serviette et allonge-toi sur le ventre, les bras le long du corps.
Là encore, c’est clair. Je n’ai pas à me poser de question : Est-ce que je la plie pour cacher mes fesses, ou pour la poser sous ma tête ? Non. A poil c’est à poil. Elle s’assied alors sur mes cuisses et demande :

— Tu n’as pas de problème particulier ? Aux articulations ou aux muscles ?
— Non, aucun.

Du coin de l’œil, je la vois tripoter son téléphone portable. Un texto ? Peut-être pour prévenir que tout va bien avec ce client ? Puis une douce musique relaxante se fait entendre. Elle pose ensuite ses mains ouvertes sur les miennes les bloquant sur le lit et ajoute :
— Tu te laisses faire, tu ne fais rien. Moi je masse, pas toi. OK ?
— OK. 
Alors, commence un massage de dos et des épaules délicieux. D’abord ses mains glissent pour étaler l’huile puis se fond plus fermes sur la nuque, la colonne vertébrale. Elle est remontée et s’est assisse dans le creux de mes reins pour manipuler mon cou. En tournant la tête, je vois le reflet de nos de corps l’un sur l’autre et cette vision m’excite. Pour masser les bras, elle les pose chacun leur tour sur ses cuisses. Je ne distingue pas bien, mais je devine que mes doigts sont à quelques centimètres de son intimité. 

 

Elle est maintenant entre mes mollets et s’occupe de mes fesses. Ahhh le palpé-roulé, le voilà ! J’ai comme l’impression qu’elle s’attarde sur l’intérieur des cuisses. Elle doit avoir une belle vue sur ma bourse. Oouuuuh, la tranche de sa main qui se balade dans mon sillon inter-fessier, ça j’adore.

 

Sans jamais rompre le contact avec mon corps, elle enduit sa poitrine d’huile et viens faire faire rouler ses seins tout le long de mon dos. Hummmm c’est bon ça... De long va-et-vient divins de tout son torse. Elle prolonge cette caresse avec son ventre sur mes fesses et ses cuisses sur les miennes. Oh ça y est, je bande. Je suis obligé de me soulevé légèrement pour faire de la place à ma verge qui se gonfle. Et qui se tend encore lorsqu’elle glisse à nouveau sa main dans ma raie et me frôle les couilles avec l’autre. Quelle experte en sensation !

 

Maintenant elle est derrière moi, elle m’a replié la jambe gauche, coincé le genou entre ses cuisses et plaqué le tibia entre ses nichons. Elle masse le quadriceps et le mollet. Je sens mes muscles chauffer. La mélodie relaxante semble repartir des premières notes, lorsqu’elle passe à l’autre jambe.

 

— Maintenant sur le dos.

 

Je bande toujours à moitié, quand je me retourne.

 

— Ah ah coquin, me dit-elle en souriant.

 

Parce que des mecs arrivent à rester impassibles ? J’en doute. Ou alors des papys ? C’est peut-être le gros de sa clientèle. 

 

Alors là... en plus des caresses indécentes, j’en ai maintenant plein la vue ! Assise sur mon ventre, elle a coincé mes poignets sous ses pieds, au cas où la tentation prendrait le dessus sur ma mémoire. Oh bien sûr, en forçant un peu, je peux me libérer. Mais cette modeste contrainte, est bien là pour rappeler la règle fixée au départ. Qu’il en soit ainsi. Le miroir me renvoie, dans un jeu d’ombre et de lumière, une vision de nos deux corps d’un érotisme torride. Sous sa superbe cambrure, son cul rebondi semble s’être empalé sur mon phallus. 

 

Sa poitrine huilée me parait encore plus volumineuse en contre plongée, et plus du tout tombante ! Peut-être qu’elle aussi n’est pas insensible aux « frottements ». Elle peut être professionnelle, elle n’en reste pas moins femme. Je laisse cette pensé satisfaire mon égo de mâle.

Elle se penche de plus en plus vers moi... Oh, je n’ose pas espérer que... Hummm si ! Elle vient de me plaquer ses deux globes sur mon visage. Mes joues en garde la trace chaude et huileuse. Il n’y a plus vraiment de massage là, mais un jeu de balancier devant mes yeux et d’écrasement sur ma face. J’adore. Surtout quand en se rasseyant sur mon ventre elle attrape ma queue dans son dos et la fait glisser sous elle.

Avec une souplesse étonnante elle vient de m’enjamber et changer de sens. Elle est maintenant assise sur mon torse et me présente son dos. Enfin... surtout son cul en gros plan ! J’ai envie de lui bouffer, mais impossible de l’atteindre. Ses mains se promènent sur mes cuisses, et autour de mon sexe maintenant complètement tendu. A chaque « promenade » ses doigts effleurent un peu plus et un peu plus haut ma verge. C’est divin. J’ai une grave envie qu’elle y approche sa bouche !

La musique vient de s’arrêter. C’est certainement un signal car elle a aussitôt pris ma bite à pleine main et après trois ou quatre douce caresses, elle me branle maintenant avec fougue. Je la vois attraper une boîte de kleenex toute proche. Elle est sûre de son coup, elle veut me faire jouir maintenant. Mais moi, j’ai un cul qui me souri à dix cm du nez, une chatte que j’imagine ouverte qui glisse sur le torse, des gros nichons qui se balancent au-dessus de ma queue, elle-même branlée par une main experte et huileuse... Je n’ai pas du tout envie que ça s’arrête. Alors, tant bien que mal, je me retiens.

 

J’ai du lui faire répéter deux fois, tellement ses mots m’ont paru improbables : 

 

— Tu peux toucher, mais pas enfoncer le doigt dedans.
J’en restais coi. Mes bras, effectivement, étaient libres depuis son changement de position. Sans attendre je pose alors mes paumes sur les deux hémisphères de ce magnifique fessier tendu. Sa peau est douce. J’esquisse de relever la tête et tendre le cou pour plonger ma langue dans ce sillon tentateur. Sans succès. Alors je me contente de balader mes mains sur tout ce qu’elles peuvent atteindre. Après tant de retenue, c’est insoutenablement transgressif. Mes doigts finissent toujours par se retrouver dans cette raie qui barre mon horizon, jusqu’au moment où, elle se penche un peu plus vers l’avant, m’offrant enfin son abricot ouvert pour le plaisir des yeux et des doigts.

 

— Ohhhh ça vient ! 

Je préfère toujours prévenir parce que... Elle a eu beau placer le kleenex à temps sur mon bout, ma première giclée à tout emportée. 

 

— Whouaaaou ! cria –t-elle avant de se prendre les deux suivantes sur les seins. La dernière s’étale sur sa main mise en opposition. Quel pied !

 

                                                                                                                                           

Vidé, épuisé, je la regarde m’essuyer la queue, puis s’essuyer elle. Elle récupère son téléphone et quitte le lit en me disant

 

— Tu te reposes, je vais à la douche et je reviens.

 

 

Putain quel pied ! Avec ses jeux de « Je te masse, je te frôle, je te frotte, tu ne touches pas, puis tu touches », elle avait admirablement bien su allumer les mèches une à une jusqu’au feu d’artifice finale. La serviette en boule sur le lit, pleine de foutre en était la preuve.

 

Mme Wang réapparait humide, et enroulée dans une serviette blanche. Serviette qu’elle abandonne en me demandant de m’assoir et prenant place derrière moi. Je sens de nouveau le bout de ses seins me caresser le dos, mais c’est maintenant ma tête et particulièrement mon cuir-chevelu qui est l’objet de ses attentions. Déjà bien vidé, je sens encore plus le sommeil m’envahir...

 

— Tu as aimé ?

— Ahhh oui ! C’était parfait.

— Tu peux reprendre une douche et tu m’appelles quand tu t’en vas.

 

 

Je n’ai pas besoin d’appeler. Mme Wang est déjà dans le vestibule quand je sors de la chambre, rhabillé. Je la remercie à nouveau, et lui rappelle que le prénom de mon pote est...

 

— Oui, Ri-Car-Do !

— C’est ça. Et il passera certainement la semaine prochaine. Mais il appellera avant.

 

En ouvrant la porte, elle ajoute :

 

— Très bonne idée de cadeau. Tu peux revenir avec un autre ami. Je ferai le même prix.

 

 

Je me réveille le lendemain avec des courbatures partout. Et ma femme qui croit bon de plaisanter « Tu as encore fait des folies de ton corps au bureau ! » Si elle savait...

 

Ricardo ira bien voir Mme Wang, quelques jours plus tard. Il aura bien son massage, tout comme le mien. Mais il me confira :

 

— Je n’ai pas pu... tu sais, à la fin. Je n’ai pas pu... me laisser aller. C’était déjà énorme pour moi. Tu te rends compte. A part ma mère, ma femme et peut-être quelques médecins, personne ne m’avait jamais vu nu, et encore moins tripoté. C’était trop.

— Tu sais Ricardo, il y a beaucoup plus de choses qui nous opposent, que de choses qui nous rassemblent. Mais il y en a maintenant une de plus. Une main, la même main qui, à quelques jours d’intervalle, a tenue nos bites respectives. As-tu un autre pote qui peut en dire autant ?

  

Et il éclate de rire !

Fin

Histoire vraie, seuls les prénoms ont été changés, et encore...à peine.
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