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Un cadeau surprenant

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Comme je le disais précédemment, la nuit a été chaude. Emilie s’est donnée à fond et Denis a découvert une facette de sa femme insoupçonnée. Nous avons pris un maximum de plaisir, surtout moi, qui l’avais tant désirée.Elle a été ma maîtresse pendant 2 ans, et nous avons partagé pas mal de soirées et de nuits. Denis partageait de temps en temps nos nuits, mais comme il se déplaçait beaucoup, nous nous retrouvions souvent seules. Chaque fois que nous étions ensemble, elle prenait un réel plaisir à m’allumer, soit dans ses tenues vestimentaires, soit par un comportement des plus aguicheurs.Elle voulait tout découvrir, et m’encourageait à aller de plus en plus loin. Elle qui s’était promise de ne jamais franchir le pas, m’étonnait par son comportement. Quand je lui en ai fait la remarque, elle m’a simplement répondu que l’on pouvait changer, et que cette expérience lui faisait croquer la vie à pleine dent, mais qu’en aucun cas elle ne quitterait son mari, qui se satisfaisait parfaitement de cette situation.Je profitais donc de cette aubaine, et lui ai fait partager des moments de folie. A chaque fois elle prenait un plaisir immense, surtout si l’endroit était risqué. Nous avons fait l’amour pratiquement dans toutes les situations, tous les endroits. Nous cherchions chaque fois, les endroits les plus insolites, et nous arrivions souvent à y parvenir. Il y avait une situation que nous n’avions toujours pas partagée, et je voulais lui faire connaître. Faire l’amour avec une autre femme, et j’avais la personne tout à fait à la hauteur, pour ce genre de soirée.L’occasion c’est présentée quelques semaines plus tard, alors qu’elle se retrouvait seule pour une semaine. Elle me téléphona le jeudi pour me demander de l’accompagner à l’aéroport, emmener Denis, et ne voulais pas faire la route du retour seule. Quand je l’ai rejointe chez elle, comme d’habitude, j’ai été ébahi par sa tenue. Elle portait un tailleur bleu nuit, jupe droite moulante arrivant au dessus du genou, bas très fin couleur chair, petit porte jarretelles,(qu’elle n’a pas manqué de me montrer entre deux portes), string microscopique et transparent, veste très échancrée laissant dévoiler un peu de sa poitrine quand elle se penchait, bien sur une poitrine libre de toute entrave, et juchée sur des hauts talons qui lui galbait la jambe à merveille.Le voyage aller s’est déroulé dans la bonne humeur, et Denis n’a pas manqué de faire remarquer que son absence ne se sentirait pas. Vu sa tenue, cela ne laissait aucun doute. Nous l’avons regardé s’envoler, et je lui ai proposé de boire un café avant de reprendre la route. Nous nous sommes posées à une terrasse de l’aéroport, et je l’observais. Elle regardait partout, cherchant un endroit discret, et je devinais qu’elles étaient ses intentions. Je m’en amusais, mais j’ai préféré écourté ses recherches.— Ca t’ennuie si on ne rentre pas de suite?— Non me répondit elle, tu as quelque chose de prévu?— J’ai une amie qui demeure sur notre route de retour, et j’aimerais lui rendre visite.— Une conquête?— Si on veut, mais si cela t’ennuie, on rentre directement.— Non aucun problème, je suis curieuse.Nous avons rit et quitté l’aéroport bras dessus bras dessous. Je lui réservais une petite surprise, et espérais qu’elle allait apprécier.Le jeudi soir j’avais contacté Marie, qui habitait maintenant une jolie maison dans la Somme. Après toutes ces années j’étais restée en contact avec elle, et nous nous voyons à l’occasion. Ma proposition l’avait fortement intéressée, et était prête à nous accueillir. Marie, à 42 ans, était une magnifique femme, et ne passait pas inaperçue. Elle avait été mon mentor, et m’avait fait découvrir les joies et plaisirs du sexe, alors que j’étais en internat.Vers dix sept heures, nous sommes arrivées chez elle, celle-ci nous attendait sur le perron, un large sourire sur les lèvres. Nous nous sommes étreinte, et je lui ai présenté Emilie. Les yeux de Marie brillaient, et il ne fallait pas être devin pour s’apercevoir de l’effet que suscitait Emile. Son large sourire, la douceur de ses gestes, et le ton de sa voix, en disait long sur le sort d’Emilie.— Bonjour, vous êtes vraiment exquise, Juliette à vraiment bon goût.Emilie lui tendit sa main, un large sourire sur les lèvres, les yeux rivés dans ceux de Marie.— C’est vrai, elle a vraiment bon goût, répondit elle.Marie nous invita à entrer et nous installa dans le salon. Emilie s’installa sur le grand canapé d’angle qui meublait le centre de la pièce. Je me suis assise dans un profond fauteuil, en face, et Marie, à coté. Des boissons étaient disposées sur une petite table basse, entre nous.Emilie avait les jambes croisées, et sa jupe découvrait ses cuisses à la limite de la dentelle de ses bas. Chaque fois qu’elle prenait son verre, elle décroisait les jambes, et j’avais une vue imprenable sur le triangle de tissus qui recouvrait sa chatte. Quand elle se penchait sa veste s’ouvrait et découvrait ses magnifiques seins. J’avais la bouche sèche, les yeux rivés sur cette belle plante, et surtout mon entrejambe s’humidifiait. Je me contenais car j’avais élaboré un autre scénario pour cette soirée.Marie, comme à son accoutumé, était habillée très chic et sexy, d’un tailleur crème, bas autofixant, et poitrine libre sous sa veste. Elle était très attirante, et savait se servir de ses charmes et de son pouvoir de séduction. J’étais au ange, deux magnifiques femmes se faisaient les yeux doux devant moi, et mon coté voyeur était comblé. Marie conversait avec Emilie, les yeux dans les yeux, et je vis la main de Marie se poser sur le genou d’Emilie. Celle-ci me regarda et devant mon sourire entendu, compris que la situation m’enchantait et que je n’y voyais aucuns inconvénients. Elle se cala plus profondément dans le canapé, consciente de la suite des événements, ce qui, apparemment la ravissait. Marie effleura de ses doigts la cuisse d’Emilie, remontant toujours plus haut, à la lisière de sa jupe. Je les contemplais, et n’entendais plus le dialogue, me contentant d’un hochement de tête, à chaque fois que l’on m’adressait la parole. Mes seins durcissaient et mes tétons pointaient sous mon chemisier. J’avais une envie folle de me caresser, mais me retenais, me contentant de serrer les cuisses pour contenir mon envie.Marie passa la main derrière la nuque d’Emilie et l’attira vers elle pour poser ses lèvres sur les siennes. Leurs bouches s’ouvrirent, et leurs langues se mêlèrent dans un profond baiser. La main de Marie se plaqua sur la cuisse d’Emilie et remonta sous la jupe. De son coté Emilie posa elle aussi sa main sur la cuisse de Marie et la caressa sur sa jupe. De sa main libre elle déboutonna sa veste et l’écarta pour découvrir sa poitrine. Ses seins étaient gonflés et ses tétons tendus au maximum. Marie délaissa la bouche d’Emilie pour descendre vers les melons qui s’offraient à elle. La langue titilla les tétons et ses lèvres aspiraient les mamelons. Emilie avait posé sa main derrière la tête de Marie et lui l’écrasait contre son sein ; Sa respiration s’était accélérée, et laissait échapper un léger râle, les yeux clos. Elle décroisa les jambes et laissa la main de Marie se poser sur la peau douce au dessus du bas et se diriger vers son triangle. Je voyais la scène comme dans un film au ralenti, et me posai une main sur un sein tandis que l’autre remontait sous ma jupe. J’ai écarté les cuisses et posé mes doigts sur ma vulve trempée. J’ai déboutonné mon chemisier et emprisonné mon sein dur et sensible. Je m’excitais le téton du bout des doigts et mon autre main s’est glissée dans mon string. J’avais la chatte trempée, et mes doigts s’activaient sur mon clito près à exploser.Marie de son coté avait glissé elle aussi sa main dans le string d’Emilie et je voyais ses doigts la caresser du clito jusqu’à son anus. Au passage elle enfonçait deux doigts dans sa chatte, lui arrachant un soupir d’aise. De longs râles sortaient de la gorge d’Emilie et son bassin ondulait sous la caresse experte. Elle avait écarté largement les cuisses pour faciliter la caresse, et offrait un spectacle des plus excitants. Sa main derrière la tête de Marie lui appuyait de plus en plus la tête sur son sein, les doigts emmêlés dans la chevelure. Son envie n’était pas feinte, et l’attente eu vite raison de sa résistance. Ses râles se sont transformés en cris, son corps s’est tendu, et ses cuisses se sont refermés sur la main de Marie, deux doigts profondément enfoncés dans sa chatte.Je n’ai pas tardé à la suivre dans sa jouissance, terrassée par un orgasme interminable. J’avais éprouvé un réel plaisir à voir ma maîtresse se faire caresser et jouir sans retenue.Marie à sorti sa main du string d’Emilie et porté ses doigts à sa bouche pour se délecter de la cyprine qui coulait de cette belle plante. Elle avait un sourire satisfait et nous regardait tour à tour, appréciant la scène qu’elle avait déclenchée.Emilie reprenait lentement son souffle, bien calée au fond du canapé, sa main continuant à caresser la cuisse de Marie. Elle mit un long moment à reprendre ses esprits, un sourire béat sur les lèvres, qui en disait long sur le plaisir qu’elle venait de prendre. Leurs bouches se sont soudées dans un baiser tendre, et j’ai vu la main d’Emilie se crisper sur la cuisse de Marie. Apparemment elle lui faisait comprendre qu’elle ne voulait pas en resté là, et le message est très bien passé.Après de longues minutes nous nous sommes rajustées, les yeux brillant, et avons repris la conversation. Emilie me regardait, reconnaissante, un sourire tendre sur les lèvres.
La soirée ne faisait que commencer, mais c’est une autre histoire.
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