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Un cadeau surprenant

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
En effet, la soirée ne faisait que commencer, j’avais bien l’intention d’en profiter, et se ne sont pas Emilie et Marie qui allaient me contredire.Nous avons pris un rafraîchissement, bien mérité, et nous sommes racontés les derniers potins, parfois même très chaud, depuis notre dernière rencontre. Emilie s’est absentée pour aller aux toilettes, et je suis restée seule avec Marie. Elle me regardait en souriant et me dit.— Je vois que tu as toujours le chic pour trouver des compagnes extra!— Pourquoi je changerais, nous avons les mêmes goûts. C’est vrai qu’elle est extra, et je tiens à la partager avec toi.— Merci, avec plaisir, mais tu devrais la rassurer, j’ai l’impression qu’elle se sent coupable.— Tu as raison, je reviens.Je me suis levée et ai rejoint Emilie dans la salle de bain. Elle était appuyée sur le lavabo, l’air songeur, visiblement emprunt à un problème. Je me suis approchée d’elle et ai posé mes mains sur ses hanches. Elle s’est redressée, et m’a regardée dans le reflet de la glace. Je l’ai attirée vers moi, plaquant ma poitrine dans son dos. J’ai posé mes lèvres dans son cou qu’elle m’offrait, et sa main est venue me caresser les cheveux.— Je me sens mal, me dit elle, je t’ai trahie, mais j’avais trop envie.— Non ma chérie, tu ne m’as pas trahie, c’est moi qui l’ai voulu, je savais ce qui allait se passer.— Tu ne m’en veux pas? Marie m’a envoûté, je n’ai pas pu résister.— Je sais, elle fait toujours le même effet quand elle désire quelqu’un. Je n’en connais aucunes qui ont pu se défiler. C’est dans sa nature.— Mais que c’était bon, quel orgasme!— J’ai vu, ma chérie, profites en au maximum, donnes toi toute entière, je veux te voir prendre du plaisir et jouir.— Mais toi! Que vas tu faire!— Je vais en profiter, tu n’es pas contre de nous avoir toutes les deux ensembles?— Oh non! répondit elle avec enthousiasme, je crois que je vais passer un bon moment!Nos lèvres se sont jointes et nos langues se sont mêlées en guise de consentement. Ma main s’est posée sur un sein et j’ai pu sentir son téton durci et tendu.Nous sommes retournées dans le salon, ou nous attendait Marie, et devant le sourire radieux d’Emilie, elle comprit que le dilemme était résolu. Je me rassis dans mon fauteuil, et Emilie s’est penchée sur moi pour me poser ses lèvres sur les miennes. Elle s’est relevée et dirigée vers Marie, sa main s’est posée sur sa nuque, et l’a attirée vers elle pour l’embrasser profondément. J’avais une vue imprenable sur son joli petit cul, et me suis mise à mouiller. Décidément, cette femme me faisait un effet!Elle s’était rassise et Marie à posé sa main sur sa cuisse.— Vous restez avec moi ce soir? Je vous invite à dîner au restaurant.Nous avons accepté avec plaisir, sachant toutes les deux que la soirée ne finirait certainement pas après le restaurant.— J’en connais un, nous dit Marie, très discret ou nous serons tranquilles. Je vais me préparer, je reviens.Marie a quitté la pièce et je me suis déplacée pour m’asseoir à coté d’Emilie. J’ai pris ses mains dans les miennes et lui ai demandé.— Ca ne t’embête pas au moins?
— Non me répondit elle, j’ai très envie de faire l’amour avec vous deux, je suis à vous.Nous nous sommes embrassées tendrement, serrées l’une contre l’autre, et intérieurement je remerciais cette belle femme de me donner tant de joie, et me permettait d’assouvir mes fantasmes. Marie venait d’apparaître dans l’encadrement de la porte et nous regardait attendrie par le spectacle.Nous avons pris la voiture, et nous sommes rendues dans ce restaurant, vanté par Marie. Apparemment elle était connue, car la patronne nous a accueillies chaleureusement. Après quelques échanges de banalités, sur le temps et les présentations d’usage, elle nous a dirigées vers une alcôve au fond de la salle. J’ai pris place à coté d’Emilie et Marie en face de nous. L’endroit était chaud, douillet, accueillant, et très discret. La lumière tamisée, donnait un coté érotique et sensuel, et permettait certaines privautés sans être vu de la salle. Nous avons dîné, tout en discutant de choses et d’autres, et une ambiance érotique montait au fil de la soirée. Marie regardait Emilie avec un sourire de tendresse. J’ai posé ma main sur son genou et l’ai remontée sous sa jupe. Elle écartait les cuisses laissant mes doigts effleurer sa peau tendre au dessus du bas, et atteindre le triangle de tissus. Quant mes doigts sont entrés en contact avec sa chatte, elle a eu un léger sursaut, qui n’est pas passé inaperçu aux yeux de Marie. Elle lui a souri et son pied est venu caresser l’intérieur de sa cuisse, qui les a écartées un peu plus pour permettre la caresse. J’ai glissé mes doigts dans le string, et ai rencontré une chatte mouillée, gorgée de plaisir. Le pied de Marie déchaussé caressait doucement sa peau douce et le bassin d’Emilie remuait au rythme des caresses. Mes doigts s’enfonçaient dans sa chatte ouverte et son souffle s’accéléra. Dans cette demi obscurité, de la salle, personne ne remarquait la scène, ce qui augmentait le coté érotique. Emilie a fermé les yeux, son bassin s’est tendu et un râle retenu est sorti de ses lèvres. Elle jouissait et son bassin était secoué de spasmes. Elle était très digne et désirable. Marie lui pris la main et lui souriait.— Eh bien! Tu es une jouisseuse, j’aime, lui dit elle.— Bien plus que ça! Lui répondis-je, quand elle se donne, s’est à fond.Marie porta sa main à sa bouche pour y poser un baiser.— Qu’est ce qu’elle aime? Me demanda Marie.— Beaucoup de choses et nous n’avons pas assez de la nuit pour faire le tour.— C’est le week-end, vous avez un peu de temps à me consacrer.— Nous ne sommes pas pressée, renchéri Emilie, en me regardant un sourire aux lèvres.— C’est vrai, c’est toi qui voit, je te suis.Nous avons pris le café, et nous nous sommes attardées un peu avant de se lever pour prendre congé. J’ai vu la main de Marie se poser sur les reins d’Emilie et descendre sur ses fesses. Elle prenait la température de l’ambiance, et éprouvait la fermeté de ce beau petit cul. Emilie ne s’en offusquait pas, laissait la main se promener et semblait y prendre du plaisir. Marie a réglé l’addition et échangé quelques mots avec la patronne. Elles se sont embrassées pour se dire au revoir, et j’ai pu nettement voir les lèvres de Marie se poser sur la commissure des lèvres de cette femme. Devant mon regard amusé Marie m’a dit.— Très gentille femme, douce et sensuelle, un vrai plaisir.— Tu m’avais caché ça! Lui ai je répondu, il faudra me raconter.— Sans problèmes, je te dirai.Nous avons rejoint la voiture et rentrée à la maison. C’est Marie qui conduisait, et tenait le volant d’une main, alors que l’autre se promenait sur la cuisse d’Emilie, assise à coté d’elle. Heureusement que le trajet était assez court car je pense qu’elle aurait eu droit à une masturbation bien en règle.Arrivées à la maison, Marie m’a chuchoté à l’oreille.— Tu l’emmène dans la chambre, je passe devant.Elle s’est éloignée, et j’ai posé mes mains sur les épaules d’Emilie, l’attirant vers moi. Elle s’est laissé aller, et ma poitrine s’est écrasée dans son dos. Je connaissais bien la maison, et ai sorti un foulard d’un guéridon du couloir. Je lui ai bandé les yeux et posé mes lèvres dans son cou. J’ai ramené ses bras dans son dos, emprisonnant ses poignets, et l’ai dirigé vers la chambre. Elle aimait cette situation, et se laissait guider docilement.— Qu’est ce qui va m’arriver? Me demandat elle, d’un ton amusé.— Tu verras bien, sois une gentille fille.— Avec vous deux je m’attends à tout.Nous avons pénétré dans la chambre où Marie nous attendait debout devant le lit. Elle s’était dévêtue et avait endossé une robe de chambre légère, retenue juste par une ceinture à la taille. Elle avait gardé ses bas, et le large décolleté ne cachant que le bout de ses seins la rendait encore plus désirable.J’ai positionné Emilie devant elle, lui tenant les mains entravées, ce qui faisait ressortir sa magnifique poitrine. Je me suis collée à elle et lui caressait le cou avec mes lèvres, m’attardant derrière son oreille. Elle appréciait la caresse et ronronnait de contentement. Marie lui a posé une main sur une épaule, sous la veste, et l’autre, sur un sein, excitant le téton du bout des doigts. Emilie s’est redressée et un feulement est sorti de sa gorge. Son excitation devait être à son comble. La main sur l’épaule est remontée vers la nuque, et elle l’a attirée vers elle. Leurs lèvres se sont soudées, et leur corps serrés l’un contre l’autre. Emilie avait posé ses mains à plat sur mon pubis et je sentais ses doigts me caresser à travers ma jupe. Je me collais de plus en plus à elle, et elle était prise en sandwich entre nous. Marie s’est écartée et la main posée sur sa nuque, descendit vers son sein qu’elle offrait. Elle lui déboutonna sa veste, dégageant ses seins gonflés, les tétons tendus comme des crayons. Marie se pencha et saisi tour à tour les mamelons entre ses lèvres, les aspirant, et les titillant du bout de la langue. Emilie se cambrait et laissait échapper des râles de plus en plus fort, essayant de se dégager, tant la caresse la faisait vibrer. Je la retenais fermement et ses doigts s’activaient plus rapidement sur ma chatte. Je mouillais comme une fontaine.Marie s’est accroupie et sa bouche s’est posée sur son pubis. Ses mains se sont posées sur ses cuisses et lui ont relevé sa jupe jusque la taille. Elle a écarté les jambes, pour s’offrir à cette bouche vorace. Marie lui embrassait tendrement les cuisses, au dessus du bas et la faisait frissonner. Elle lui fit glisser son string qu’elle enjamba et ouvrit largement les cuisses, un pied posé sur le bord du lit, pour mieux offrir son trésor à cette bouche envahissante. La langue de Marie s’est frayé un chemin entre ses lèvres qu’elle écartait avec ses pouces. Emilie se contracta, avança son bassin et laissa échapper un grognement de contentement. Marie la léchait, la langue bien à plat sur son vagin, lui titillant le clito du bout de la langue, et l’enfonçant le plus profond possible dans son anus lorsqu’elle atteignait sa rondelle. La caresse était diabolique et peu de femmes résistaient longtemps à ce traitement. Étant entravée, elle n’avait aucuns moyens de s’échapper, et cela augmenta rapidement la montée de son plaisir. Elle s’est tendue comme un arc, un jet de cyprine est venu inonder le visage de Marie. Son cri a rempli la pièce, et son corps a été pris de convulsions. Son orgasme dura, me semble t’il, une éternité. Ses jambes se sont dérobées sous elle et j’ai du la retenir pour qu’elle ne tombe pas. Marie continuait de lui embrasser les cuisses, et avait posé ses mains sur son petit cul, qu’elle caressait, lui écartant les deux globes et passait son doigt sur sa rondelle. Cela ne faisait que prolonger le plaisir, et Emilie se remis à onduler du bassin.Marie s’est relevée et est venue chercher la bouche d’Emilie. Je lui ai libéré les mains, et ses bras se sont entourés autour des épaules de Marie. Je me suis affairé sur sa jupe, et lui ai fait glisser le long de ses jambes. Tout à son baiser Marie lui a fait glisser la veste de ses épaules, qui est tombée sur le sol. Elle s’est retrouvée nue, seulement vêtue de son porte jarretelle, de ses bas et de ses chaussures. Marie l’a fait pivoter et l’a allongé sur le lit, elle a fait tomber sa robe de chambre et s’est allongée sur elle. Leurs lèvres se sont de nouveau soudées, et les mains de Marie ont englobé les seins offerts.Je me suis déshabillée très rapidement, ne gardant que mes bas et me suis agenouillée au bord du lit, entre les jambes d’Emilie. Marie s’était écartée, et elle se mit à lui caresser tout le corps. Emilie répondait à ses caresses, cherchant les endroits sensibles, pour prodiguer du plaisir à Marie.Mes mains et ma bouche se sont posées à l’intérieur de ses cuisses, effleurant la peau tendre du bout de ma langue. Elle a posé sa main sur ma tête, et me l’a dirigé vers sa chatte. Elle était mouillée à souhait, et ma langue s’est enfoncée profondément dans son vagin, un doigt posé sur sa rondelle. Je titillais son anus cherchant à y faire pénétrer mes doigts et elle écartait les jambes au maximum pour me faciliter le passage. J’ai remonté ma langue sur son clito, que j’ai aspiré entre mes lèvres. La caresse à eu pour effet de lui arracher un cri, étouffé par la bouche de Marie, et mes doigts ont réussis à forcer le passage de sa grotte intime. La pénétration était d’autant plus facile, qu’elle était lubrifiée du jus qui coulait de sa chatte. Son ventre se contractait à chaque pénétration de mes doigts, et son anus s’élargissait de plus en plus. J’avais envie de la défoncer, mais je lui réservais un autre traitement, bien plus jouissif. Sous les caresses combinées de ma langue, mes doigts et la bouche de Marie, son orgasme a éclaté, la terrassant, lui faisant manquer de souffle. Elle s’est écroulée sur le lit, anéantie, repue de plaisir.Marie et moi nous nous sommes redressées et avons admiré cette belle femme allongée, soumise et désirable. Notre complicité allait nous servir pour lui offrir une nuit inoubliable. Je voulais que cette rencontre soit marquée à jamais dans sa mémoire. Nous l’avons laissée récupérer, car notre nuit ne faisait que commencer.
A suivre.......
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