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Un cadeau très spécial

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Sur le parvis de l’Université Catholique de Niort, le vent balaye les feuilles oranges annonçant le début de l’automne. Malgré la température un peu fraîche, Marjorie a décidé de porter un jupe courte, elle aime sentir la caresse de la brise glisser entre ses jambes habillés de collants en résille noirs.
Ses grands yeux marron clairs lui donnent souvent une attitude rêveuse, il est déjà 8 h40 et elle n’a toujours pas rejoint l’amphi. Plus préoccupée à fumer une dernière cigarette, elle préfère contempler le vieux platane se faire bercé par les bourrasques d’octobre.
« Qu’est-ce que je fous ici ? » se demande-t-elle, levant les sourcils en accent circonflexe.
Une dernière bouffée de nicotine au menthol, Marjorie se fait violence, elle saisit son sac à dos en daim, usé par les nombreux voyages à l’étranger. Espagne, États-Unis, Italie... Chaque fois qu’elle peut avoir l’occasion de partir, elle s’envole vers une destination qui l’inspire. Cette fois, il faut penser un peu aux études. D’après ses parents en « psycho », il y aura toujours du boulot, d’autant plus que le jeune fille, selon eux, possède toutes les qualités requises : discernement, empathie et intuition.
Sans se faire remarquée, elle rejoint sa place tout au fond de l’amphi à moitié rempli. Cette année, bizarrement, aucun mec à l’horizon. Quel dommage, elle a l’impression de se retrouver dans un poulailler. Les conversations des intercours ne volent vraiment pas haut : « Moi je veux bosser dans la clinique de mon père » ; « J’ai lu tout Freud : un régal » ou encore « Plus tard c’est la police scientifique qui m’attire, j’aimerais fouiller le cerveau des plus gros pervers de la planète, d’ailleurs ma thèse portera là-dessus... ». Rien que des lieux communs en somme.
Marc Vajouran, maître de conférence depuis une vingtaine d’années, nous parle aujourd’hui de « la pleine conscience ». Même si le sujet, certes intéressant, est mis trop souvent au goût du jour avec le bouddhisme, le public semble, ce lundi matin, blasé. Certaines se liment les ongles, pendant que d’autres en profitent pour se repoudrer le nez en sortant carrément un petit miroir de poche, une autre enfin se remet une touche de rouge à lèvres tout en pinçant la bouche.
A vrai dire, elles sont toutes folles de lui. Malgré ses soixante ans, l’homme séduit encore. Sa coiffure grisonnante tirée en arrière, et surtout son regard bleu gris magnétique, ne laissent aucune demoiselle indifférente. Sa voix chaude et claire met un point d’honneur quant à l’assurance qu’il dégage naturellement. Marjorie ne fait pas exception à la règle, secrètement, quand elle se caresse le soir, son esprit ne peut se détacher de cet homme si séduisant. Elle a fantasmé à mainte reprises, qu’elle se faisait pénétrée sauvagement sur son bureau en bois massif, devant toute l’assemblée.
Aujourd’hui encore, Marjorie vient de le prendre à la sauvette en photo, avec son smartphone. Pas de flou. Elle va pouvoir faire développer son cliché 13 x 18 centimètres à l’Espace Culturel du Centre Commercial sur l’heure de midi.
Plusieurs autres cours se succèdent. Enfin la sonnerie stridente de 17 h 30 annonce la délivrance. Madame Berthin, une vieille fille prisonnière d’un tailleur grisâtre, ramasse ses gros livres de sciences humaines en vociférant « Il faut travailler davantage pour obtenir de meilleurs résultats !». Cette Lapalissade n’a plus aucun effet sur son auditoire, qui baille aux corneilles, tout en se pressant bruyamment vers le couloir.
La circulation dans Niort est toujours aussi dense. Les klaxons, le bruit des pots d’échappement accélérant au feu vert, les coups de freins répétitifs, rajoutent au vacarme ambiant de cette ville de province, similaire à tant d’autres.
Arrivée devant une grande maison un peu vétuste, Marjorie monte rapidement le vieil escalier en colimaçon, tenant la rampe en bois vermoulu. Enfin le troisième étage. Une ancienne mansarde de vingt mètres carrés toute équipée. Les toilettes sont cachées par un rideau, sans parler de la kitchenette : un vulgaire évier collé à un plan de travail, à peine assez grand pour y poser trois assiettes et un bol.
Le soir il ne fait pas très chaud, quinze degrés tout au plus, mais c’est le prix à payer pour sa liberté. Personne ne viendra ici fourrer son nez dans ses affaires. Personne, c’est le mot juste, car Marjorie n’a aucune amie avec qui bavarder. Le temps est long parfois, son esprit commence alors à vagabonder comme pour échapper à cette réalité pesante.
Voilà ! Encore une photo accrochée avec une punaise sur le lambris clair. Un véritable patchwork tapisse le mur au pied son lit. Marjorie se laisse tomber sur le matelas posé à même le sol puis commence à se caresser entre les cuisses.

Sa petite chatte est déjà chaude. Hum que c’est bon de sentir ses doigts fins aller et venir doucement sur le tissu de son collant. Un miroir rectangulaire, tenu par une ficelle, incliné juste comme il faut, renvoie l’image de sa main qui flatte son entrejambe.
Marjorie adore se regarder au moment de ses attouchement intimes. Elle a l’impression de s’exhiber en face de quelqu’un d’autre profitant du spectacle. Ce sentiment étrange l’anime depuis qu’elle a treize ans. Aujourd’hui, la jeune fille de 22 ans ne se lasse pas de se tripoter, en prenant tout le temps qu’il faut, devant la glace.
Ses yeux glissent sur les portraits de Marc. « Oh fait-moi l’amour, baise avec moi ! » se dit-elle en faisant glisser ses collants de quelques centimètres vers le bas, comme pour mieux besogner sa petite chatte, luxuriante de poils bruns. Peut-être devrait-elle faire un effort à ce niveau là, ça peut attendre encore... Elle adore sa toison frisée, les hommes en raffolent, selon l’étude qu’elle a lu dans un magazine féminin. Encore vierge à son âge, elle n’a jamais eu l’occasion de passer à l’acte. Son hymen est toujours là, comme un petit pétale de chair fragile. « Oh Marc, un jour tu me prendras, comme dans mes rêves les plus fous ! ».
Ses deux longs doigts plongent avec délice dans la fente humide et tiède. Elle ferme presque les yeux tout en continuant de fixer les images sur le lambris de la chambre. Excitée par ses va-et-vient, elle décide frotter sa petite culotte sur ses lèvres luisantes. Curieusement, Marjorie délaisse son clitoris pourtant bombé. Elle préfère le frottement de sa lingerie rose lui irriter la vulve palpitante jusqu’à lui faire mal.
Un peu gênée, sûrement à cause du froid, elle sent monter une envie pressante d’uriner. Prise de panique, ne voulant pas salir les draps blancs, le jeune fille court à moitié courbée vers les toilettes, pour s’installer comme elle peut sur la cuvette. A peine les fesses posées, un jet libérateur s’échappe de son urètre en feu. La pression est telle que l’urine gicle un peu partout, sûrement dû à l’excitation passagère.
Sa culotte de dentelle rose et ses collants, sont complètement trempés. La pisse tiède continue de couler en faisant du goutte à goutte sur le nylon désormais imbibé. Enfin, la source tarie, Marjorie va rester une petite minute avant de se relever. Curieusement, elle aime cette sensation d’être souillée de pisse. Cette expérience lubrique la pousserait presque à goûter son pipi du bout des doigts, mais quelque chose l’en empêche : vraisemblablement son éducation trop stricte.
Les jambes tremblantes, elle se déshabille entièrement. Ses collants et sa petite culotte vont directement dans la panière à linge. Essoufflée, prise de spasmes, la voilà collée contre l’évier en se frottant la vulve sur l’angle arrondi, pile à la bonne hauteur. Je vous laisse deviner comment elle se tortille sur le rebord. Elle s’agrippe au petit robinet, pour mieux entamer son balai de déhanchements, pendant que l’index de la main gauche s’occupe de titiller sa fente moite.
– J’ai envie qu’on me baise ! Maintenant ! crie-t-elle, remuant de toutes ses forces sur la faïence blanche du lavabo.
Sa chatte ne tient plus, et lui envoie une énorme décharge électrique. L’image de Marc, revient à son esprit, par petits flashs indécents. Elle l’imagine la prenant sur cet évier, avec son sexe énorme, en poussant des râles masculins.
La jeune fille s’écroule, nue, un peu honteuse par les propos qu’elle a verbalisé il y quelques secondes. D’où vient cette furieuse envie de sexe, surtout avec un homme d’un âge aussi avancé. Les petits jeunes ne l’ont jamais intéressé, serait-ils trop brutaux ou maladroits, elle n’a jamais vraiment voulu trouver la réponse. En tout cas, il va falloir vraiment se calmer, avant que le situation ne tourne à l’obsession.
La nuit passe, et rien ne semble freiner ses pulsions animées par des fantasmes interminables. Le lendemain matin, trempée dans tout les sens du terme, la jeune femme décide de prendre une petite douche pour se détendre. Rien à faire, sa chatte brûle d’impatience, et réclame à nouveau des caresses. L’animal est insatiable, il veut être choyé de plus en plus. Et bientôt, à n’importe quelle heure de la journée.
A force de refréner ses envies, Marjorie se caresse désormais en plein cours. Certes discrètement, mais le jeu devient de plus en plus dangereux. Si elle se fait surprendre dans ce genre d’établissement, c’est le renvoi immédiat.
Durant le week-end c’est la morosité ambiante. En l’absence de son amant virtuel, elle se contente des photos placardées dans sa chambre un peu triste. Il faut que ça change. Brutalement, elle décide d’arracher les tirages en papier glacé, direction la corbeille bleue ciel. Tout devient vide d’un seul coup. Pour faire une ambiance plus «fille », Marjorie met des photos de chatons ou de chevaux sans oublier des paysages italiens. C’est un peu kitsch, mais ça l’aidera à penser à autre chose, d’autant plus que la semaine prochaine on arrive déjà aux vacances de la Toussaint.
Le mercredi matin, Après avoir terminé le ménage dans la mansarde, le jeune fille vide la panière à linge. Ses yeux s’attardent sur sa culotte de dentelle rose roulée en boule dans ses collants noirs. Son nez ne peut s’empêcher de renifler l’odeur gênante de la pisse restée dessus. « Hum ça sent fort ! Mais quel parfum excitant », ce n’est pas sa chatte qui dira la contraire... Elle avait tellement jouit ce jour-là, son sexe n’a pu oublier ce moment si exceptionnel.
Sans savoir pourquoi, u lieu d’un lavage à la main en bonne et due forme, elle décide de placer sa culotte souillée dans une enveloppe de papier kraft et ferme cette dernière avec une bande de scotch.
Sans plus attendre, Marjorie prend son sac à dos, puis ferme la porte à clé. Elle descend tranquillement l’escalier le cœur battant, bouleversée parce qu’elle a décidé d’entreprendre. En un quart d’heure la voilà rendue devant le lycée, un peu tremblante.
La salle des professeurs est vide, comme pratiquement tout les mercredi. Il ne reste plus qu’à trouver le bon casier. Voilà, le premier en haut à droite. L’enveloppe glisse sans faire de bruit. Le petit cadeau attend sagement son destinataire.
Le lendemain matin, vers 7 h 45, Marc Vajouran arrive le premier dans la salle des profs. Un petit coup d’œil dans son casier, « tiens quelques enveloppes », trois pour être exact. Une seule l’intrigue. Pas de nom dessus. La tenant dans sa main, il décide de ne pas l’ouvrir ici, son instinct lui murmure qu’il s’agit d’un pli très personnel.
Au toucher, on dirait un morceau de tissu, en tout cas pas de feuilles à l’intérieur. Le morceau de scotch se décolle déjà, la personne qui a envoyé cette « lettre » vit dans un appartement mal chauffé et humide. De plus, cette étudiante mystérieuse n’a rien inscrit sur l’enveloppe, au risque de se faire démasquer par son écriture. Il existe une solution.
Marc décide de gratter une mine de crayon papier avec un cuter pour obtenir de la poudre graphite. Il étale la poussière sombre dans les creux invisibles à l’œil nu. Voilà, tout semble un peu plus clair maintenant. La fameuse adresse se dévoile ainsi :
SIG. MARIO ROSSI VIALE EUROPA 22 00122 ROMA RM ITALIA
Le professeur de psycho satisfait de son astuce, veut pousser ses recherches un peu plus loin. Dans un petit classeur, il possède les fiches élèves, remplies sur des petits cartons perforés. Destinées à servir en cas d’urgence, certains professeurs de l’établissement les utilisent parfois à des fins plus « personnelles ». Certains numéros de portable valent de l’or.
Marc fait défiler méthodiquement les fiches, rien ne correspond pour le moment. A part peut-être celle-ci. Il chausse ses lunettes en écaille noire et plisse un peu les yeux, ça ne fait aucun doute. C’est bien elle : Marjorie Delcourt née le 11 avril 1999 à Angoulême, étudiante en première année de psycho, aime les voyages à l’étranger, notamment en Italie. Apparemment, elle habite 12 rue de Rabelais au centre de Niort, à deux pas d’ici.
– Eh bien voilà, j’ai tout ce qu’il me faut ! se-dit-il, ravi de sa découverte matinale.
Le lendemain, nous sommes vendredi 21 octobre, il est 17 h 30, tout les élèves s’embrassent sur le parvis pour se souhaiter bonnes vacances. Les voitures chargées de bagages, ne tardent pas à disparaître au bout d’un petit quart d’heure.
Une Volvo noire, garée en retrait sous une rangée de platanes, reste immobile sur le petit parking. A l’intérieur, Marc ouvre son cartable en cuir usé pour ranger quelques dossiers mal classés. Au même moment, une jeune fille cheveux châtains clairs mi-longs, frôle l’arrière du véhicule en fumant une cigarette. Le conducteur jette un coup d’œil dans son rétro, et reconnaît facilement Mademoiselle Delcourt, visiblement peu pressée de rentrer chez elle.
– Aujourd’hui je n’ai pas vraiment le temps de te raccompagner ma belle, mais j’ai un plan bien plus intéressant.
Après dix minutes de trajet urbain, Marc tourne à l’angle de la rue Jean Bouin pour se garer au fond de l’impasse, à l’extérieur, entre deux arbres. La maison du maître de conférence est plutôt modeste, un pavillon de quatre vingt mètres carrés, avec un jardinet accueillant rempli de rosiers aux parfums délicats.
En ouvrant la porte, il voit sa femme dans le salon regardant une émission de variété.
– Coucou je suis rentré !
– Bonjour mon chéri, ça a été ta journée ?
Marc s’approche de Vanessa pour l’embrasser tendrement sur la bouche.
Elle est professeur de yoga. Autant dire que sa silhouette longiligne ne laisse aucune place à des excès alimentaires quels qu’ils soient. Ses cheveux roux tirés en arrière, attachés par une queue de cheval, dévoilent le visage lumineux de cette femme tout juste âgée de quarante ans. Pour avoir pratiqué la danse pendant trop d’années, sa poitrine manque un peu de rondeurs. Malgré tout, son corps magnifique avait séduit Marc, voilà deux ans maintenant, lors d’une soirée chez des amis communs.
– J’ai reçu du « courrier », il va sûrement t’intéresser !
– Ne me dis pas qu’une étudiante a encore décidé de te harceler mon chéri ?
– Et bien je ne sais pas encore, je vais d’abord me servir un verre de whisky si tu permets.
Après une rasade, Marc pause le verre sur la table du salon. Il fouille son cartable pour saisir la fameuse enveloppe de papier kraft, et la tend à Vanessa toute excitée.
– A toi l’honneur !
Avant de procéder à son ouverture, la femme intriguée renifle délicatement l’ensemble du plis en frisant les narines. Puis palpe doucement l’enveloppe en essayant de deviner son mystérieux contenu.
– Je me trompe peut-être, mais ton admiratrice devait avoir une furieuse envie de baiser... ça sent la mouille et l’urine à plein nez !
– Ouvre vite mon amour ! allez !
Vanessa ne tient plus et décolle d’un coup sec les morceaux de scotch. Ses longs doigts glissent à l’intérieur pour en sortir une petite culotte en dentelle un peu jaunie puant la pisse.
– Qu’est-ce que je te disais, elle a même laissé quelques poils, la petite cochonne !
– Fais voir !
Marc n’en revient pas. Il bande d’un seul coup en humant l’odeur de la petite culotte rose en dentelle bon marché. De son côté, Vanessa émoustillée, ne tarde pas à ouvrir la braguette pour sortir la jolie queue palpitante.
– Renifle-la de toutes tes forces mon amour pendant que je te suce !
Il ne se fait pas prier à se laisse aller. Vanessa met tout en œuvre pour lui donner du plaisir. Sa bouche gourmande dévore bruyamment le sexe un peu mou lubrifié de salive. Les va-et-vient de ses lèvres commencent à le faire gémir. Mais Vanessa décide de ralentir le rythme, son chéri est au supplice.
– Tu sais très bien que tu ne dois pas jouir dans ma bouche, on en a déjà parlé ! lance-t-elle, tout en continuant de jouer avec sa langue au niveau du gland.
– Oh pitié ! pour une fois !
Le sentant au bord de l’explosion, Vanessa saisit le verre de whisky à peine vide. Au lieu de continuer de le sucer, elle le branle violemment pour qu’il décharge dans le verre.
– Aaaaaah ! Je viens ! Oui c’est tellement bon ! crie-t-il, les yeux mi-clos.
– Et maintenant tu vas me boire tout ça et vite ! c’est rempli de protéines ! ricane-t-elle en regardant la semence se répandre dans le fond d’alcool brun.
Marc secoue une dernière fois sa queue rabougrie dans le verre et s’essuie sur le bord. L’aspect visqueux du sperme l’a toujours dégoûté. Il va devoir se soumettre une fois de plus aux exigences de sa maîtresse.
– J’adore quand un homme m’obéit tu le sais bien ! fais un effort, ce n’est pas la première fois !
Il se décide à boire cul sec comme pour éviter de sentir l’odeur écœurante. Le liquide glisse le long de sa gorge comme une sauce trop épaisse. Heureusement que le whisky trompe ses papilles, cette fois ce fût un peu plus agréable que d’habitude.
– Et maintenant essuie ta bite avec la petite culotte, je vais prendre une photo en souvenir !
L’homme pitoyable, s’exécute pendant que Vanessa prend le cliché avec son smartphone. La photo est parfaite.
– Elle s’appelle comment cette petite salope ? interroge-t-elle, un brin vicieuse.
– D’après moi, il s’agit de Marjorie Delcourt.
– Donne-moi son numéro, tu veux bien mon amour ?
Marc se rhabille, un peu honteux, et se dirige vers la table de la salle où repose son cartable déjà ouvert. Il s’empare d’une liasse de fiches cartonnées, pour s’arrêter sur la sixième.
– Alors j’attends !
– 06 89 74 52 89, ne fais pas ça ! les choses vont trop loin cette fois. répond-il d’une voix un peu faible.
Sa femme fait la sourde oreille. Elle envoie directement la photo accompagnée du message suivant :
« Regarde petite salope dans quel état tu rends mon mari ! A cause de toi il est devenu incontrôlable, j’ai été obligé de le sucer au moins trois pour le calmer... Mais comme je ne suis pas jalouse je te propose un rendez-vous impasse Jean Bouin, près du château d’eau, demain samedi à 18 h 30 précise. Je t’attendrai. Ne sois pas en retard ! Vanessa »
Après quelques minutes interminables, une réponse improbable s’affiche sur petit écran de l’iphone en émettant un petit son caractéristique. Comme un lâche, Marc ne préfère pas savoir et part s’isoler dans son petit bureau.
Sa femme toute excitée peut lire les mots suivants :
« Je serai là sans faute, bises Marjorie ».
Vanessa toute contente d’avoir pris les devants, s’empresse de dire le message à voix haute pour que son chéri puisse en profiter :
– « Je serai là sans faute, bises Marjorie », tu vois il suffit de demander, cette petite étudiante a vraiment le feu au cul ! on va bien s’amuser !
La porte du bureau s’ouvre et claque fermement.
– Oh la petite salope ! Je n’aurais jamais cru ! lance-t-il, en courant vers sa femme pour l’embrasser goulûment, en guise de remerciement.
D’un comment accord, après un copieux souper, le couple décide de faire chambre à part. Abstinence, les deux amants doivent garder leurs forces pour la folle soirée de demain qui risque d’être longue. Chacun prend une bonne douche minutieuse.
Le lendemain matin, un soleil éclatant inonde le petit quartier tranquille. Un ciel sans nuage, annonce une journée sous les meilleurs auspices. Deux tourterelles chantent à tour de rôle dans le petit jardin situé à l’arrière de la maison. Une grande haie de sapins verdoyante encadre une petite porte arrondie. L’ouverture donne sur un terrain vague, où serpente un chemin dans l’herbe rase.
En début d’après-midi, Vanessa décide d’aller faire quelques courses pour notre invitée. Il y aura du champagne bien sûr, mais aussi un repas asiatique léger et très raffiné commandé chez le traiteur local. Pas de dessert, chacun trouvera le sien à sa convenance au moment voulu.
Le maître de conférence, pendant ce temps, corrige une dizaine de copies avec un peu moins de concentration. Puis il essaye de tromper l’ennui en faisant du rangement dans son antre. Des centaines de rapports psychiatriques à classer. Les précieux documents accumulés auprès d’une clinique, indispensables selon lui, enrichissent quotidiennement ses connaissances.
Il est 18 h 20 quand la voix de Vanessa résonne à l’autre bout de la salle.
– J’y vais mon chéri !
Le bruit de ses talons hauts claque un peu fort, elle referme la lourde porte bruyamment pour s’enfuir dans la rue mal éclairée. La nuit commence déjà à tomber, un léger vent froid s’engouffre jouant avec les feuilles mortes.
Arrivée au pied du château d’eau, un silhouette féminine est déjà là. Vanessa découvre une jeune fille un peu frigorifiée se tortillant, soufflant sur ses mains glacées. Puis les femmes se découvrent, et se sourient mutuellement. Elles se font la bise comme deux amies de longue date.
– Bonsoir Marjorie, je suis Vanessa la femme de Marc, ne restons pas là, en plus tu as l’air complètement gelée.
– Oui j’ai hâte de ne me réchauffer.« Tu ne crois pas si bien dire... hum en plus tu es bien foutue, quelle paire de fesses, et cette poitrine si parfaite » se dit Vanessa tout en indiquant le chemin à suivre à sa nouvelle copine.
Un peu surprise au début de traverser un terrain vague, la petite brune suit la femme qui marche d’un pas décidé. Au bout de cinq minutes, elles arrivent devant la fameuse porte blanche en bois, coincée dans les sapins.
– Voilà, nous y sommes, je préfère passer par notre jardin, c’est plus discret.
Une lumière douce venant de la maison éclaire l’allée. Alerté par les deux voix féminines, Marc vient ouvrir la porte de l’arrière-cuisine, affichant un large sourire.
– Rentrez, il n’a pas l’air de faire chaud dehors on dirait ! lance-t-il, dévisageant sa jeune élève, habillée en mini-jupe noire moulante à lacets.
En rentrant, Marjorie fait la bise à Marc rougissant un peu. Elle n’en revient toujours pas d’être chez lui, là, dans sa propre maison, en plus accompagnée par sa chérie. Son audace pour une fois, a su porter ses fruits. Mais comment a-t-il fait pour la démasquer, une question subsiste.
Au lieu de réfléchir, la jeune fille préfère inspecter dans les moindres détails, la maison de son prof. L’ambiance à l’intérieur est très cosy. Un salon douillet agrémenté de gros coussins épais et de plaids jetés ça et là, donne envie de s’y blottir en regardant un bon film le soir.
On pourrait marché pieds nus sur le tapis aux poils soyeux blanc au milieu de la salle de séjour. Quelques lumières chaudes sont diffusées par des grandes lampes avec des abat-jour orangés. L’œuvre d’une femme de goût, à n’en pas douter. Quelques larges toiles de peintures modernes, habillent les murs recouverts de papier peint aux tons beiges clairs.
Naturellement énergique et directive, Vanessa prend tout de suite les choses en mains. Après s’être débarrassée de son long manteau de fourrure, elle invite la jeune fille à en faire de même et se mettre à l’aise comme chez elle.
– La salle de bain est prête rien que pour toi, des savons parfumés, plusieurs crèmes de soins, un gant de crin pour le gommage : rien ne manque. Tu peux utiliser la baignoire le temps qu’il te faudra. Rien de tel pour se détendre, tu ne crois pas ? Propose-t-elle, d’une voix amicale, en lui faisant un clin d’œil.
– Mais c’est trop ! nous nous connaissons à peine, je... répond faiblement la jeune fille, surprise par cet accueil digne d’une princesse.
– Une seule condition, lorsque tu sortiras du bain, un petit kimono en satin rose t’attend là-haut, tu ne porteras rien d’autre, c’est promis ?
– Rien d’autre vraiment, bon d’accord. répond-elle, sans réfléchir.
– Allez va vite ma chérie !
Sans attendre, Marjorie monte à l’étage et ferme la porte doucement. Elle découvre la baignoire garnies de petites bougies allumées, un électrique radiateur diffuse une douce température très agréable. Plusieurs serviettes épaisses sont disposées en piles sur la petite étagère garnie d’une orchidée mauve.
Depuis le temps qu’elle n’a pas pris un vrai bain. Tout en se déshabillant, elle commence déjà à se caresser devant le grand miroir ovale. Elle admire ses jeunes formes sensuelles tout en repensant à son amant, tout près, juste au rez-de-chaussée. Le robinet d’eau tiède remplit la baignoire lentement, une légère vapeur d’eau envahit la pièce. Marjorie commence à tester chaque shampoing, avant de choisir celui au jasmin et pétales de roses.
Pendant ce temps, le couple se prépare tranquillement. Pour ne pas faire de jaloux, tout le monde portera un kimono. Pas de sous-vêtement, c’est la règle. Rien de tel pour se sentir à l’aise, surtout pour cette soirée de circonstance.
Au bout d’une vingtaine de minutes, la maîtresse de maison ne résiste pas à gravir les escaliers à pas de velours.
– Tout se passe bien ? demande-t-elle, à travers la porte.
– Oui, oui...
– Je peux rentrer ?
– Euh un instant, répond Marjorie, se dépêchant de mettre un peu de mousse pour cacher sa poitrine.
Ayant reçu l’autorisation de son invitée, Vanessa ouvre et ferme aussitôt la porte. La jeune baigneuse semble détendue, heureuse de savourer cet instant particulier. Elle continue de se frotter les bras avec du lait corporel à l’aide d’une grosse éponge. Les deux femmes s’observent en souriant.
Puis Vanessa s’assoit sur le bord de la baignoire, comme le ferait une mère avec sa fille. Elle commence à papoter, parlant de tout et de rien. Des voyages, des projets, de ses envies. Au fil de la conversation, Marjorie se laisse séduire, sans même sans rendre compte. L’ambiance devient légère et très agréable. Peu à peu, un sentiment étrange traverse la jeune fille au plus profond d’elle-même.
D’un seul coup, la femme à la longue crinière rousse trempe sa main dans l’eau du bain pour vérifier la température.
– Hum, mais c’est encore très chaud, je peux te rejoindre ? Lance-t-elle, avec une pointe d’excitation.
– Euh oui, pourquoi pas ? dit-elle, après quatre secondes de réflexion.
– Et bien tu vas me faire le plaisir de vider un peu la baignoire ça risque de déborder. dit Vanessa, dans un rire étouffé.
Puis la femme laisse tomber son kimono à ses pieds, le plus naturellement possible. La jeune fille a tout le loisir de découvrir le corps magnifique de sa nouvelle amie. Deux longues jambes fuselées et des cuisses parfaites, témoignent que le sport fait partie intégrante de sa vie quotidienne.
Enfin, ses yeux brillants s’attardent sur la jolie chatte, rasée depuis peu, qui laisse deviner un piercing au niveau du clitoris légèrement bombé. Un petit anneau doré d’un demi centimètre, prisonnier de la chair intime, intrigue notre voyeuse. Les tétons, eux aussi semblent avoir subi le même sort. Mais cette fois, il s’agit de deux billes rutilantes argentées, fixées de part et d’autre de chaque mamelon.
Enfin quelque chose attire son attention, au niveau de son pubis. Un tatouage discret dessiné finement à l’encre noire, représente une sorte de pentacle entouré d’un double cercle. Juste au dessus, deux mots bien distincts : « gloria satanae » écrits avec une typographie très ancienne.
Un peu égarée, oubliant que l’eau a considérablement baissé, Marjorie laisse apparaître ses jolis seins pommelés, où s’accroche des morceaux de mousse parfumée. La bouche encore entrouverte, la jeune fille de sa main gauche cherche à tâtons la bonde pour ne pas vider toute l’eau.
– Tu peux aller vers la droite, je vais me mettre derrière toi, on sera plus à l’aise. déclare doucement Vanessa.
Sans de poser de questions, la baigneuse s’exécute pour se placer de l’autre côté en se repliant. Vanessa enjambe le rebord et pénètre alors dans l’eau encore chaude pour s’asseoir, parcourue d’un léger frisson.
– Viens contre moi, n’aie pas peur ! tu sembles troublée d’un seul coup.
Vanessa écarte bien les jambes pour accueillir la jeune fille désormais plaquée contre elle. Leurs peaux se touchent avec volupté. La prisonnière, encerclée par les cuisses de la femme de plus en plus entreprenante, ose à peine bouger.
Puis elle sent de légers baisers se déposer sur sa nuque, pendant que les deux mains de sa partenaire caressent tendrement le bout de ses seins. Comment a -t-elle pu en arriver là, peu importe, Marjorie se laisse complètement aller dans un tourbillon de sensations inconnues et délicieuses.
La jeune fille n’a pas le temps de s’occuper de sa chatte, sa maîtresse a déjà pris les devants. Deux doigts trouvent sa fente sans la masturber, puis caresse sa toison brune. Elle voudrait crier de plaisir, mais se retient en serrant les dents.
– Dis moi, ça te dirait que je te rase ton petit minou ? crois-moi, tu ne regretteras pas ! il nous reste une vingtaine de minutes avant de passer à table... nous avons juste le temps.
Après un bref séchage par petites frictions avec une serviette épaisse, Marjorie se retrouve les cuisses écartées sur un petit tabouret. Un rasoir électrique effectue des passages successifs pour dégrossir l’ensemble des poils devenus trop envahissants. Après une minute, le première étape semble satisfaisante.
Puis Vanessa agite une bombe de mousse, après deux pressions, elle fait ressortir le gel bleu épais qu’elle applique du bout des doigts sur les lèvres délicates qui réagissent immédiatement.
– Fais-moi confiance, surtout ne bouge pas, c’est important ! conseille Vanessa, tenant un rasoir rose aux reflets métalliques.
D’un geste assuré, la femme rousse commence à faire glisser son outil de bas en haut, non sans une pointe d’excitation. Au fur et à mesure que les poils disparaissent, Vanessa tape les cinq lames sur le rebord un bol d’eau tiède pour effectuer un petit nettoyage. Les poils bruns flottent ça et là.
– Tu vas te sentir plus féminine après ça, crois-moi ! dit-elle, encore stupéfaite par l’ancienne fourrure impressionnante de Marjorie.
Le soin enfin terminé, Vanessa décide de garder les minuscules boucles brunes dans une petite boite ronde, un petit cadeau pour son mari, il en raffole. Pas une goutte de sang, on peut dire que Vanessa a tenu ses promesses.
Mais un feu indescriptible semble naître progressivement au niveau du sexe de Marjorie. Notre experte connaît très bien ce désagrément, elle saisit une petite lingette à l’huile d’amande douce pour l’appliquer délicatement sur les parties irritées, puis passe innocemment deux doigts à l’intérieur de la vulve.
– Aïe !
– Comment ça ? mais j’ai à peine enfoncé... ne me dis pas que... « La petite est encore vierge, hum très intéressant » se dit Vanessa, agréablement surprise par l’heureuse découverte.
– Laisse-moi regarder ton hymen. lance-t-elle, tout en écartant au maximum la fente jamais pénétrée. En effet des lambeaux de peau, si fins soient-ils, obstruent le seuil de la porte du plaisir, il n’y a aucun doute. Ce contretemps risque de changer sérieusement les plans de la soirée.
Vanessa se relève et pose une main sur l’épaule de la jeune fille pour la rassurer. Leurs yeux se rencontrent tendrement, sans échanger un mot, les deux femmes mettent leur kimono en silence. Comme elle s’avance un peu, la maîtresse des lieux ne résiste pas à l’embrasser sur les lèvres affectueusement.
– Descendons, il est l’heure. murmure-telle à son oreille.
En gentleman, Marc a déjà mis les couverts sur la grande table de verre épais. Pour les places, sa femme se tiendra à sa droite. Quant à notre invitée, elle aura le privilège de se tenir en face de lui, comme pour mieux créer le jeu de la séduction.
Voilà nos deux princesses enfin descendues. Marc les admire en les dévorant des yeux. Elles sont resplendissantes. Vanessa semble avoir oublié quelque chose, elle court à l’étage pour revenir avec un flacon de vernis à ongles.
– Mon chéri, laisse-nous encore quelques minutes s’il te plaît ! Implore-t-elle, tout en sachant la réponse.
– D’accord mon amour, mais fais vite ! je commence à avoir une faim de loup. répond-t-il, en l’embrassant sur la bouche.
Vanessa prend Marjorie par la main, pour l’installer dans le canapé dans l’angle de la salle à manger. La jeune fille se laisse guider, et repose ses jambes sur un petit fauteuil rond en cuir.
– Ce serait dommage de ne pas habiller de si jolis pieds, commençons par le droit.
Le pinceau trempe dans le flacon en verre pour s’imprégner du liquide carmin. En un tour de main, les ongles retrouvent un éclat rouge et sensuel. Vanessa aime le travail soigné, elle applique le produit avec précision et aucune goutte ne tombe sur le tapis.
– On va attendre que ça sèche... Chéri prépare le Champagne, tu serais un ange ! dit-elle, tout en admirant les pieds magnifiques de son invitée.
La femme rousse se lève, et part à la rencontre de son mari resté dans la cuisine américaine. Avant de déboucher la bouteille, elle lui murmure quelque chose à l’oreille :
– Ta jeune protégée est aussi pure qu’une petite fleur de printemps ! glousse-t-elle, en lui caressant le dos.
– Pas possible ! jubile Marc, tout en faisant sauter bruyamment le bouchon en liège.
En tremblant un peu, il verse l’alcool pétillant dans les flûtes mais en fait déborder une maladroitement. Vanessa glisse alors son doigt le long du verre et le fait lécher ensuite à son mari, qui ferme les yeux, tout en lui suçant l’index.
– Petit gourmand, peut-être que ce soir tu vas réussir à bander sérieusement, ou veux-tu que j’appelle nos amis, un petit coup de téléphone suffit tu sais ? dit-elle, en passant la langue sur ses lèvres.
La voilà repartie avec deux coupes à la main. Marc rapporte la sienne tout en suivant Vanessa qui tortille exagérément ses jolies fesses, pour l’exciter davantage.

Le pauvre mâle n’a pas eu d’érections significatives depuis une éternité hélas ! C’est elle qui a raison. Si seulement il pouvait revenir en arrière, au temps où il sautait les étudiantes en chaleur, à longueur de journée, dans la salle des archives. Ce temps est révolu. Mais sa partenaire connaît d’autres remèdes, tout aussi délicieux, pour guérir sa morosité sexuelle.
Les voilà tout les trois rassemblés dans le salon. Ils trinquent joyeusement en lançant « tchin ! ». Marc n’attend pas pour boire son champagne d’un seul coup. A peine la coupe posée, le voilà qui s’accroupit devant son élève.
Il décide de lui masser le pied gauche des deux mains. Un peu surprise par cette attitude, la jeune fille commence à apprécier cette petite fantaisie, c’est très relaxant. Les deux amoureux ne se lâchent plus des yeux, et Vanessa commence sérieusement à être un peu jalouse. Elle décide de vider sa coupe, pour passer à l’action.
– Allez Marc, montre-lui comment tu suces un orteil ! dit-elle, impatiente.
Pendant que le professeur prodigue des sucions bruyantes et sensuelles sur gros de doigt de pied, Vanessa commence à caresser le sein de Marjorie, tout en cherchant de la langue sa bouche entrouverte.
Les deux femmes s’embrassent avec envie. Leurs respirations presque coupées, elles continuent de jouer avec leur langue dans un mélange de salive tiède. Marjorie aime sentir cette femme la baiser amoureusement. Jamais elle n’a senti un tel bonheur partagé.
Marc commence à caresser sa cheville, tout en léchant le dessus du pied. L’odeur du vernis le rend complètement fou. Il sait que Marjorie commence à mouiller sérieusement, ne serait-ce qu’en regardant la façon dont elle se déhanche.
– Soulève ton kimono, j’ai très envie de voir ta petite chatte ! ordonne-t-il, heureux de voir sa petite princesse ronronner.
C’est sa femme qui va s’en charger. Elle soulève le tissu, pour découvrir un sexe sans la moindre trace de poils. Sa fente est magnifique. Serrée à souhait sans aucune déformation, parfaitement géométrique. Les lèvres de chair fines brillent, laissant un filet de cyprine couler lentement trahissant une montée de désir.
– Mon chéri, mets ta tête entre ses cuisses et commence à lécher uniquement son clito !
L’autre ne se fait pas prier. Mais avant il souffle durant trois longues minutes sur les parties intimes de la jeune fille. Ce petit intermède a pour but de la faire languir, et réveiller progressivement le feu ardent du désir.
– Oh Marc suce-moi, je n’en peux plus ! gémit-elle, pendant que sa maîtresse continue de la peloter avec vigueur.
Vanessa décide de déboutonner le kimono bleu marine ornée de fleurs de cerisier, pour libérer les jolis seins dressés. Ses petits tétons voudraient bien qu’une langue experte viennent à leur secours, mais chaque chose en son temps. Ce soir, le couple a décidé de la faire patienter encore un moment.
La femme de Marc saisit la coupe des mains de Vanessa à moitié pleine, et l’amène au niveau de son entrejambe. Puis d’un petit geste étudié, elle renverse le précieux champagne sur sa fente. Le liquide froid, fait frisonner le jeune fille stupéfaite.
– Vas-y mon amour, tu as le droit de la lécher désormais !
Comme un petit animal, le professeur commence à boire le breuvage mélanger au jus de plaisir. L’alchimie est si parfaite. L’amertume et le bouquet sauvage de l’odeur de sa vulve excite l’appétit vorace de l’homme qui l’aspire littéralement.
– Que c’est bon ! fais-moi jouir avec ta langue ! supplie Marjorie, tout en écartant davantage les cuisses.
– Marc, tu entends comme elle te parle cette petite cochonne ! arrête tout de suite tes préliminaires, vas plutôt me chercher les deux trucs posés sur ton bureau.
A contrecœur, le mâle obéissant quitte la fontaine de plaisir, tout en se léchant ses lèvres, comme pour ne pas perdre cette saveur unique sur sa bouche. Trente secondes plus tard, il revient avec la culotte sale de la jeune fille, et un énorme phallus en acajou, ramené de Côte d’Ivoire.
– Donne-moi ça tout de suite ! ordonne Vanessa, complètement hystérique. Elle sait désormais que les choses sérieuses vont pouvoir enfin commencer.
La jeune fille prise de panique, essaye de se lever, en vain. Sa maîtresse la plaque des deux bras fermement contre le fond du canapé en cuir. Le sexagénaire, les yeux pleins d’étincelles, fait respirer la pièce de lingerie à Marjorie, histoire de lui rappeler quelques souvenirs.
– Il ne faut pas avoir honte tu sais ? je me suis branlé dessus plusieurs fois la nuit dernière, un vrai régal. dit-il, sur un ton salace.
– Trêve de bavardage, donne-moi le fétiche africain, essaye de la tenir en respect pendant que je vais m’amuser un peu ! dit sa femme, riant presque aux éclats.
Chacun connaît son rôle à présent, et la victime terrorisée nourrit paradoxalement une certaine excitation. Va-t-elle enfin perdre sa virginité, devenue si pesante, elle a quand même 23 ans, c’est le moment ou jamais de franchir le cap. Avec ces deux-là, ça risque d’être fabuleux.
Vanessa suce complètement l’objet jusqu’à la garde, malgré la taille du monstre. Elle aurait pu faire une bonne avaleuse de sabres, mais ce talent si singulier est mis à profit pour d’autres pratiques d’ordre sexuel.
– Lâche-la mon chéri, je suis sûre que ça va bien se passer, il suffit simplement qu’elle apprenne à se détendre !
A ces mots, on dirait que le petite prisonnière sait qu’elle n’a plus vraiment le choix. Au lieu de lutter et perdre des forces inutiles, Marjorie se caresse le sexe pour montrer son consentement.
– Et bien voilà, tu sais nous sommes ici pour t’aider ! dit Vanessa, tout en reprenant ses caresses.
Sa maîtresse lui tend l’objet et lui propose de l’apprivoiser tout d’abord avec sa langue. Marjorie lèche timidement le gland sculpté du bout de la langue, puis l’enfonce dans sa bouche. Hum c’est délicieux, en rêvant elle a l’impression de prendre la bite d’un inconnu au fond de sa gorge. Rien que cette idée l’excite terriblement.

« Si je pouvais ! » pense-t-elle tout à coup.
– Vanessa , je veux bien que tu m’enfonces ce truc entre les jambes, mais à condition de sucer Marc en même temps ! murmure-t-elle en rougissant.
– Voilà une curieuse initiative de ta part, mais j’accepte ! répond la rouquine.
Sans plus attendre, Marc avance au bord du canapé, debout, jambes écartées. Sa queue un peu molle arrive au niveau du visage de la jeune fille. C’est elle qui s’avance pour gober d’un seul coup son gland. Pendant que sa langue fait des merveilles, le phallus en bois glisse de bas en haut sur sa fente, histoire de dire qu’il est bien arrivé.
Vanessa décide de plaquer ses mains sur les fesses de Marc, pendant que la jeune fille le pompe avidement. Désormais plus à l’aise pour cet exercice, se bouche continue plus profondément son exploration. Pendant ce temps, Marjorie se fait branler par des doigts avertis. La conjonction de ses deux événements la plonge dans un état second.
Même si la douleur commence à poindre, elle se délecte en suçant la queue de son professeur. Elle se surprend à vouloir enfoncer de plus en plus loin, ce chibre peu décider à gonfler davantage. Marjorie commence à culpabiliser, sa performance n’est-elle à la hauteur de ses attentes. La jeune brune décide de caresser ses longues couilles pendantes, alors qu’elle redouble d’effort durant à peine cinq minutes. Toujours rien !
– Ne t’inquiète pas, mon mari est presque devenu passif avec l’âge, mais continue il ne va pas tarder à t’envoyer sa crème ! lance Vanessa, voyant le jeune suceuse s’agacer légèrement.
– Et moi qui voulait qu’il me prenne, c’est foutu alors ?
– Je le crains, mais rassure-toi, trois amis ont décidé de nous rejoindre ce soir, d’ailleurs ils ne devraient par tarder !
Marc caresse les cheveux de la petite brune, et l’incite vivement à reprendre l’exercice où elle excelle. Sa bouche est faite pour ça, aucun doute là dessus. La petite serait capable de prendre sa bite jusqu’à la garde avec un peu plus de volonté.
Le vœu du mâle en rut et en train d’être exhaussé sous ses yeux. L’idée des invités surprise l’a d’un seul coup pousser à le sucer comme une salope. De longs mouvements horizontaux, ponctués de succions bruyantes, rien de tel pour sentir une montée de désirs.
– Oh ça fait trop mal !
– Tu va devoir souffrir un peu, mais sais-tu combien de jeunes vierges comme toi ont été déflorées, je te laisse imaginer ! répond l’autre, tout en continuant d’introduire l’énorme phallus d’ébène.
– Je peux pas, je peux pas !
– Mais si ma chérie voyons !
– Continue de sucer mon homme, il est sur le point de venir !
Au moment où Marc envoie plusieurs jet de son jus épais, Vanessa introduit d’un coup sec la totalité de l’engin dans l’orifice contracté . Un peu de sang se répand sur le fétiche. Opération réussie, l’hymen a crevé d’un seul coup. Les morceaux de peau se sont écartés, laissant une ouverture nette, propice à être introduite à l’avenir par des queues de tout calibres.
– Mouh ! Hon ! crie Marjorie, la bouche pleine.
– Avale tout petite cochonne ! ce petit dessert délicieux doit se savourer à sa juste valeur crois-moi ! murmure la rouquine, fière des prouesses de la jeune étudiante.
– C’est très bien ! voilà, oui le gland aussi, n’en perds pas une goutte. chuchote Marc, complètement vidé.
Une langue ne tarde pas à fouiller la chatte sanguinolente. Vanessa se délecte. « Petite salope tu n’as pas encore tout vu ! » pense-t-elle secrètement tout en nettoyant scrupuleusement la fente poisseuse secouée par des orgasmes successifs.
Marc repart à la cuisine pour chercher la bouteille. Il est temps de refaire les niveaux, et fêter l’événement comme il se doit. Assoiffés, chacun boit en silence à grosses gorgées, encore tout essoufflé, tout le monde semble ravi. Sauf peut-être Vanessa qui sent son sexe réclamer bien plus que des câlins classiques.
Juste à ce moment précis, quelqu’un frappe à la porte de derrière, côté jardin. Sans réfléchir Marjorie, se rhabille précipitamment, elle tient sa pudeur, surtout devant des inconnus.
– Et bien va voir qui c’est, au lieu de rester planter là ! suggère Vanessa, sachant pertinemment que cette visite a été programmée par ses soins.
Les deux femmes restent assises. La maîtresse des lieux glisse discrètement la culotte sale et le fétiche dans le tiroir de la table basse. Puis elle allume la télévision et baisse d’un cran la lumière, histoire de mettre un peu d’ambiance pour accueillir nos hôtes.
– Comment ça va ? Depuis le temps, on ne s’est pas vu depuis l’été dernier ! lance Marc d’une voix forte, en accompagnant un couple d’une quarantaine d’année et d’un jeune homme à la carrure musclée.
– Il paraît que tu invites des étudiantes chez toi petit coquin ! dit à voix basse une blonde pétillante, pressant sa grosse poitrine contre lui.
– C’est une longue histoire...
– Elle est mignonne au moins ? laisse-moi la rencontrer.
La fausse blonde au cheveux long, se dirige vers la salon et découvre la jeune fille prostrée sur le canapé.
– Oh mais c’est Marjorie, quelle coïncidence ! dit-elle, se précipitant pour l’embrasser sur les joues.
– Tiens Delphine ? je suis super contente de te voir ! répond l’étudiante, comme soulagée de la trouver ici.
Comme dit l’expression « comme le monde est petit ». Voilà que la vendeuse en lingerie se retrouve avec une de ses plus fidèles clientes. Combien de fois elles ont pris le café ensemble dans la réserve du magasin pour bavarder et faire des essayages les plus extravagants.
– Je ne te présente pas Laurent mon adorable mari ! dit-elle comme une formalité. Ce beau brun un peu grisonnant, l’avait souvent fait fantasmer. Peut-être que ce soir les choses risquent de prendre une autre tournure.
– Et voilà Florian, un ami, il est beau tu ne trouves pas ? monsieur fait du fitness avec Vanessa deux fois par semaine, c’est son coach « particulier » ! dit-elle en riant nerveusement.
Il est pourtant l’heure de souper, mais le professeur de psycho décide de prolonger l’apéro. Les coupes se remplissent, chacun bavarde bruyamment et le manque d’amuse-gueules se fait sentir cruellement, impossible d’éponger l’alcool. La conversation dérape .
Delphine se rapproche de Marjorie et la caresse affectueusement sur la joue, puis elle descend sur son sein en formant quelques cercles. Ce geste un peu cavalier, la trouble, surtout en présence des autres convives. Ne voulant pas gâcher l’ambiance si bien partie, la jeune fille se laisse dorloter par la vendeuse.
– Mettons-nous à l’aise, Marc j’ai encore très soif ce soir ! rends-toi un peu utile pour une fois ! lance sa femme, d’un ton moqueur.
Après une bonne demie-heure, tout le monde est chaud comme la braise. Cinq bouteilles ont été vidée en un temps record. Il est déjà presque minuit et les trois femmes commencent à danser sur une musique orientale un peut forte, en se caressant les fesses, pour exciter les mâles restés assis. Elles vont même jusqu’à se rouler des pelles sans complexe. Delphine fait tournoyer sa culotte, en masturbant sa chatte exagérément, elle aime les voir bander dans leur pantalon comme des fous.
– Ce soir je veux un par-devant, et un autre dans mon cul ! crie la maîtresse de maison, essayant de couvrir le bruit de la musique devenu trop fort.
Il n’en faut pas plus pour faire lever Florian et Laurent. Ils commencent à écarter la table basse, pour faire de la place. A croire que ce n’est pas la première fois qu’une petite sauterie est organisée ici.
Laurent s’allonge sur le tapis, Vanessa complètement à poil s’empale sur son dard dur comme un pieu rocheux. C’est Florian, un peu plus aguerri en matière de pénétration anale, qui s’y colle. Il crache sur ses doigts, et introduit l’un d’eux dans le petit trou de la femme de Marc complètement déchaînée.
– Oh mon chéri, regarde comme ils vont encore me défoncer ce soir !
– Tu sais que je ferai n’importe quoi pour te rendre heureuse ! répond son piteux mari, la queue à peine gonflée, pendouillant entre ses cuisses.
Marjorie subjuguée par la scène, décide de baiser avec son amie Delphine. Le fait de se gouiner avec elle, pendant que les trois autres baisent comme des bêtes sur le sol, la pousse à réaliser ce que lui murmurent ses pulsions animales. D’autant plus que ça fait bien trop longtemps, qu’elle voulait lui faire l’amour, et surtout s’occuper en particulier de ses énormes seins appétissants.
Les voilà chatte contre chatte à s’embrasser fougueusement sur la bouche. Le canapé est tellement confortable pour une petite séance de câlins entre filles. Sans hésiter, Marjorie empoigne les jolis nichons avec ardeur, comme deux miches de chair qu’elle pétrit à pleine main.
– C’est bien ma petite chérie, lèche-moi les tétons maintenant, j’en meurs d’envie depuis une éternité ! avoue la jolie blonde, toute contente de baiser avec sa fidèle cliente.
Des râles communicatifs s’échappent du trio devenu visiblement plus actif. Florian essoufflé la bourre littéralement, son pénis entre jusqu’à la garde, sans relâcher le rythme déjà soutenu. Son sabre continue d’embrocher l’anneau de chair dilaté de plaisir.
– Rappelle-toi quand je t’ai prise dans la salle de sport la dernière fois, je t’ai fait gueuler comme une pute, ce n’est rien à côté de ce que tu vas prendre dans le cul ce soir ma belle ! lance Florian, apparemment affamé de baise.
Heureusement que la musique est un peu forte, car les cris de femmes en chaleur commencent à se faire plus distincts. La petite orgie bat son plein. On ne sait plus où regarder, tellement la scène atteint un sommet de lubricité. Les fentes sont toutes mouillées, les langues lèchent tout ce qu’elles peuvent, les corps ondulent comme des serpents en quête de sensations de plus en plus intenses.
– Marc, la chatte de ta femme est tellement bonne, c’est dommage que tu ne puisses plus en profiter mon vieux ! En tout cas moi, je prends mon pied tu sais. lance Laurent, sur un ton hautement hypocrite.
Bien entendu, l’autre ne répond rien. A quoi bon, son heure est passée. Pourtant, le voilà se dirigeant vers les deux petites cochonnes se frottant l’une contre l’autre dans un rythme sensuel et endiablé.
– Oui Marc ! lèche moi le petit trou, tu le fais tellement bien. Encourage Delphine, excitée rien qu’à sentir sa présence derrière elle.
Le sexagénaire s’exécute sans broncher. Il crache sur l’orifice malodorant et commence un interminable va-et-vient avec sa langue. Les effluves nauséabondes qui s’échappent du sphincter de la jolie blonde plantureuse, en rebuteraient plus d’un. Mais l’homme accepte désormais son rôle de soumis et répond aux exigences les plus tordues.
– Oh Marc qu’est ce que c’est bon, continue mon cochon !
Au même moment Florian claque sur les fesses de Vanessa qui se contorsionne de plaisir, et lui attrape la crinière avec force. Elle sent Laurent jouir en elle avec violence. Sa chatte déborde de sperme, mais elle attend que son jeune étalon décharge lui aussi son flux brûlant et visqueux. Il se fait désirer, à croire qu’il a dû se masturber avant de venir à la soirée. Ce n’est pas pour lui déplaire, son plaisir n’en n’est que prolongé.
– Déchire moi mon salaud, remplis mon cul ! Vas-y maintenant !
Comme elle sait toujours trouver les mots en pareilles circonstances, son amant ne peut résister plus longtemps. Son dard se redresse et s’immobilise pour enfin libérer le liquide séminal en plusieurs fois. Les jets successifs remplissent abondamment l’orifice qui ne peut tout contenir, ça déborde ! Puis le sperme prend le chemin de la chatte déjà bien trempée, en petites rivières gluantes, pour terminer sa course sur le tapis en poils épais.
– Eh Marc, on du boulot pour toi ! Viens nettoyer la chatte de ta femme, elle en a vraiment partout ! lance-t-il, en ricanant à pleine gorge.
Les deux hommes se retirent pour laisser la place au mari. De son côté, Vanessa attend à quatre pattes qu’il viennent aspirer et lécher la moindre goutte de sperme, c’est la règle. La langue râpeuse sait ou aller alternant successivement la fente et le petit trou.
Les deux gouines voyant les hommes inactifs se mettent chacune sur le dos, les jambes bien écartées.
– Eh les mecs au boulot ! lance Delphine, excitée de voir Vanessa se faire dévorer littéralement par son mari.
– Du calme les petites salopes ! C’est qui commande ici ! Interrompt Florian, sur un ton désagréable.
Le beau mâle déteste les ordres. Le voilà debout s’approchant des deux jolies femmes en chaleur. Son corps de rêve, avec des pectoraux magnifiques, en a fait fondre plus d’une. Sans parler de son regard perçant, d’un bleu azur, où la gente féminine aime à se noyer trop souvent.
– C’est toi Marjorie, la fille qui n’est plus vierge depuis peu ? lance-t-il, en faisant un rictus.
– Les nouvelles vont vites ! rétorque la jeune étudiante, un peu décontenancée.
– Est-ce que quelqu’un peu baisser cette musique de merde, j’ai envie de t’entendre couiner petite salope, pendant que je prends ton joli cul ! dit-il fermement.
D’un seul coup l’ambiance se rafraîchit. Vanessa se relève pour tourner le bouton du volume de la chaîne hi-fi.
– Tu ne vas pas faire ça ! Elle encore jeune et puis c’est douloureux tu le sais. dit Vanessa, animé par une excitation partagée. En même temps, la voir se faire prendre de cette façon offrirait à Marc un sacré spectacle.
Tout les convives, à part Marjorie, feignent d’être du même avis que la maîtresse de maison. Mais leurs désirs enfouis au fond d’eux rêvent de voir la jeune fille se faire prendre par le mâle dominant.
Tout le monde se rapproche d’elle en la baisant tendrement. Cette marque d’affection cache sûrement quelque chose. La petite brune sait qu’elle est prise au piège, à peine déflorée, elle sait pertinemment que la douleur qui l’attend sera multipliée par cent. Acceptera-t-elle de jouer le jeu.
– Ok, ça marche ! Après tout je connais plusieurs copines qui l’ont fait, elles n’en sont pas mortes. dit-elle, d’une voix posée.
Ouf, la réponse met tout le monde d’accord. Marc se précipite dans le bureau pour attraper un tube vaseline, et un petit plug anal pour le préparation qui s’impose. Pour que cette expérience extraordinaire soit le mieux réussie possible, il faut laisser à Marjorie le plus merveilleux des souvenirs.
– Florian, soit un peu patient ! On va préparer la petite, ça ne se fait pas comme ça tu sais bien ? Tu as pris quelque chose avant de venir, tu es agressif ? dit Vanessa, tentant d’apaiser l’atmosphère pesante.
– Désolé, j’ai pris des pilules dans un sex-shop, j’ai dû me branler trois fois pour calmer ma bite. répond l’autre, un peu plus assagi.
Marc n’en croit pas ses oreilles. Lui qui devient impuissant de jour en jour, caresse l’espoir d’obtenir ce soir un petit cadeau de la part de son jeune ami, ce serait la moindre des choses.
– Il t’en reste de tes produits miracle ?
– Ben ouais j’en ai toute une boîte pourquoi ? Mais fais gaffe, tu ne vas pas en revenir crois-moi !
Florian traverse dans la salle de séjour, et fouille dans la poche de son blouson de cuir pendu au porte-manteau. La précieuse boîte ronde est presque pleine en effet. C’est un produit qui fait apparemment des ravages dans les pays asiatiques. Son fournisseur s’approvisionne sur internet.
– Tiens attrape, tu prends deux comprimés pas plus, sinon tu ne pourras pas dormir pendant la nuit, à moins que ta femme trouve le moyen de te calmer, et encore pas si sûr !
Le prof de psycho ne perd pas une seconde. D’une main tremblante, il dévisse le capuchon pour attraper du pouce et de l’index les deux précieuses cellules. « Avec ça je risque de retrouver le moral on dirait ? » pense-t-il, en avalant une pleine coupe de champagne.
Les femmes excitées par l’événement savent qu’un homme qui a vidé ses couilles quatre fois au maximum est bon pour se rouler en boule pour récupérer. Mais cette fois tout paraît bien différent, pour leur plus grand bonheur.
– Et si nous buvions encore un coup ? la soirée ne fait que commencer. lance Vanessa un peu titubante, qui repart vers la chaîne stéréo pour remettre le volume au niveau initial.
Tout le monde apporte sa coupe pour la remplir sans rechigner. Malgré la tête qui tourne un peu, la jeune femme continue de boire, déjà cinq verres, autant dire qu’elle a picolé presque la bouteille à elle toute seule. Il faudrait pas que quelqu’un abuse d’elle, oh non, surtout pas. L’alcool la grise, elle se colle amoureusement à Florian en lui caressant le ventre.
– Prépare mon cul tu veux bien ?
– Avec plaisir !
Elle présente ses fesses, puis Florian introduit un doigt, puis deux avec de la vaseline. Comme la sensation est étrange tout à coup, un peu gênante au début, puis de plus en en plus agréable.
– Et maintenant tu vas garder le plug pendant une bonne demie-heure ! c’est très important. conseille le jeune homme, expérimenté dans ce domaine.
– Et si on passait à table, je meurs de faim ! dit Vanessa, espérant que l’assemblée vienne la rejoindre. Ce qui est le cas.
Marc ajoute trois assiettes, et annonce qu’ils dégusteront des plats asiatiques façon traiteur. C’est léger, et délicieux. Inutile de se gaver, l’estomac ne supportera pas ; sans compter que les mâles devront se montrer à la hauteur, si ils ne veulent pas décevoir les attentes insatiables de la gente féminine en présence.
Les invités mangent complètement nus, la table est transparente, est-ce volontaire allez savoir. En tout cas, chacun prend un plaisir visuel et gustatif certain. Marjorie se tortille sur sa chaise, personne n’y prête attention ; Vanessa et les autres savent ce qu’elle est en train d’expérimenter. Ce n’est pas tellement agréable, quoique.
En parlant de se tortiller, Delphine a une envie pressante. Brusquement elle fait signe à Marc de ce petit désagrément passager, en pointant l’index vers sa chatte.
– J’arrive ma puce, un instant. dit Marc tout excité.
Le voilà rampant sous la table, qu’est-ce qu’il lui prend ? Le sexagénaire se présente juste en face de l’entrejambe de la jolie blonde. Il semble attendre quelque chose.
– Oh tu es un amour toi ! répond l’autre, en écartant un peu plus les cuisses.
La voilà urinant sur le pauvre homme ravit de recevoir cette petite douche chaude. Puis il commence à boire l’urine comme une précieuse liqueur. Marjorie pousse un « oh !» d’étonnement en mettant la main devant sa bouche.
– Mais que fais-tu ? t’es complètement folle ! Doucement outrée de voir sa jeune amie.
– Ne t’inquiète pas, ici on peut tout faire, tu sais ? n’est-ce pas Vanessa ?
– Oui, tout ce qui est interdit en matière de sexe, avec qui crois-tu que nous soupions ce soir ? Le prince des ténèbres en personne. répond la maîtresse de maison, les yeux remplis d’un feu démoniaque.
Les tatouages... maintenant Marjorie s’en rappelle tout à coup : « gloria satanae », autrement dit « gloire à Satan », le pentacle... tout s’explique.
– Mon dieu que tu es naïve ! Je crois que tu ne sais pas encore où tu as mis les pieds on dirait. Toi qui porte un crucifix blasphématoire. Enlève-moi ça tout de suite de ton cou, si tu veux vraiment me faire plaisir. Cette nuit, laisse-toi aller au plus profond du vice, nos amis sont là pour ça. sort Vanessa, sur un ton grave et monocorde.
– N’aie pas peur, elle se donne des airs supérieurs, mais elle n’est pas si méchante ! dit Delphine, finissant sa besogne.
– Marc a toujours voulu boire l’urine d’une femme, que veux-tu ça fait parti de lui, il n’y peut rien. dit en ricanant Vanessa.
Voilà encore une découverte. « Mais c’est que moi aussi je ne suis pas allée aux toilettes depuis un moment, ce machin dans le cul commence à m’appuyer sur la vessie. » pense-t-elle au bord de l’explosion.
– Marc tu peux faire la même chose avec moi ! lance Marjorie, en se mordant les lèvres.
Tout le monde se met à rire bruyamment. La petite étudiante qui passe pour une oie blanche semble comprendre que les pulsions, si petites soit-elles ont besoin d’être satisfaites de temps à autre.
Son professeur de psycho, se retourne. Il ne répond rien et attend la bouche grande ouverte pour réceptionner le pipi jaunâtre. Que c’est bon ! Rien de tel pour calmer la soif. On dirait une sorte de soupe tiède. Son goût est tellement étrange d’une femme à l’autre. En tout cas, Marc semble se régaler.
– Il suffit ! viens voir ta femme maintenant, j’ai moi aussi envie de me libérer petit cochon d’amour ! dit Vanessa, avec un regard réprobateur.
Marjorie n’en revient toujours pas. Quelle humiliation ! Le voilà qui boit la pisse de sa femme et sans la moindre contestation. A vrai dire , c’est très agréable de voir son professeur, si sûr de lui en cours, se faire arroser de la façon la plus sale possible. Mais comment fait-il pour boire autant de pisse écœurante...
Les hommes commencent à être vraiment excités, attisés par cette scène abjecte pour le commun des mortels. Laurent se lève, pour aller chercher une carafe dans la cuisine. Habitué des lieux, il ne tarde pas à revenir en tenant fièrement le récipient en verre.
– Mesdames, on dirait que ça va être à votre tour ! dit-il, tout en plaçant sa bite dans le récipient pour se soulager.
Les autres mâles suivent son exemple à tour de rôle. Certains ont tellement bu de champagne, qu’ils se vident durant une bonne minute. La carafe enfin pleine, elle est posée au milieu de la table sur un petit napperon en dentelle de Calais.
Les invités en présence savent très bien quelle femme va faire honneur de boire la première. Marjorie sent les regards insistants se poser sur elle.
– Mais je ne peux pas faire ça voyons, enfin vous comprenez ? bafouille-t-elle, en baissant la tête.
Il faut jouer le jeu, c’est la règle ce soir. Pour l’occasion Vanessa le lève et ouvre l’armoire derrière elle. Elle y trouve une coupe en argent finement sculptée, posée sur une étagère de bois. Le précieux calice offert à Marc, par un homme d’église, semble tout à fait approprié.
– Boire sa propre urine est un principe connu en ayurveda... lance d’un seul coup, Vanessa, pour ne pas faire culpabiliser la jeune fille paniquée.
Malgré ce propos peu rassurant, Marjorie a l’impression qu’elle va subir la honte de sa vie. Alors qu’en fait il n’y a aucun mal à cela. Autant en France, le breuvage est banni, autant en Inde les habitants n’y prêtent guère attention.
– Aller, tu n’as rien à perdre, c’est vraiment délicieux, surtout en la buvant pense bien d’où elle provient : trois beaux mâles en rut rien que pour nous ! dit Delphine, tout en caressant la queue de Laurent qui commence à bander.
La jeune fille légèrement irritée de se sentir à part, rassemble son courage pour saisir le calice sacré de la main droite. Elle porte la coupe à ses lèvres tout en humant l’odeur, pas si désagréable finalement. Une première gorgée, puis une autre... le liquide tiède coule dans sa gorge. Le goût est un peu âcre au début, mais ça passe.
Les convives se regardent en souriant, saluant l’effort consenti par leur nouvelle amie. Désormais, il semble que la petite accepte le moindre caprice de l’ensemble du groupe. Cette fois elle marque un point précieux. Elle va même jusqu’à finir la coupe sans prononcer la moindre plainte. Tout le monde l’applaudit chaudement et l’embrasse sur la bouche, pour manifester leur approbation.
– Bon et bien puisque le repas touche à sa fin, je vous propose d’aller dans le salon pour prendre le dessert. Propose Marc, qui bande comme un jeune homme de vingt ans.
La maîtresse de maison se sert un grand verre d’urine, tout en regardant le petit groupe commencer à se caresser sur les fauteuils en cuir. Son mari, retrouvant la forme, n’est pas pour lui déplaire. Elle a bien envie de le voir baiser avec une autre femme, ça fait tellement longtemps.
– Eh Vanessa, viens j’ai envie de goûter ta petite chatte ! crie Florian, sortant sa langue sur toute la longueur.
– J’arrive mon poussin, j’ai juste un truc à prendre et je suis à toi !
La femme rousse monte dans sa chambre. Cette nuit elle veut sortir le grand jeu. En farfouillant dans un meuble vas, elle trouve l’objet de tout ses fantasmes. Un magnifique gode-ceinture. Facile à enfiler, les lanières de cuir s’ajustent parfaitement au niveau de sa taille. La voilà enfin prête.
Avant de redescendre Vanessa prend le temps de s’admirer dans la glace de la grande armoire, elle se trouve vraiment sexy, affublée ainsi. Qui va vouloir se faire empaler sur cet énorme sexe en silicone rose ? Un monstre de cinq centimètres de diamètre, pour une longueur totale de vingt deux jolis centimètres. Il viendra pénétrer la fente d’une femme, ou le trou d’un homme qui sait ? Tout peut arrivé ce soir.
En bas, la délicieuse partouze a déjà commencé. Vanessa a une petite idée pour pimenter l’orgie complètement désorganisée.
– Je vous arrête tout de suite ! On va faire un jeu si vous le voulez bien ! Propose-t-elle, se tenant au milieu du salon.
– Oh mais qu’est-ce qui te prends ? On était tellement bien partis ! se plaint Delphine, la bite de Florian toujours enfoncée dans sa chatte légèrement poilue.
– On va séparer les hommes d’un côté, et les filles de l’autre ! Ce sera ce que j’appelle la demie-heure gay...
Les femmes gloussent comme des folles et semblent satisfaites, contrairement aux mâles. Les voilà qui protestent, remplis d’animosité, prétextant qu’ils vont passer pour des homos, ce qui pour eux, est la pire des humiliations masculines.
Mais si la maîtresse en a décidé ainsi, il faut impérativement lui obéir. Les représailles de la rousse autoritaire peuvent mettre la vie professionnelle de ces messieurs en fâcheuse posture. Quelques photos diffusées sur le web, et tout s’effondre. Avec un peu de bonne volonté, on peut éviter d’en arriver là.
– Vous allez voir les filles, c’est tellement beau de voir des mecs s’empaler ! Quelqu’un peut-il baisser la lumière, je vais mettre une musique plus lounge. dit la femme de Marc, comblée de les voir se séparer en deux petits groupes.
Dans le canapé confortable, Vanessa entourée des filles, commencent gentiment à se faire caresser les seins, puis on la couvre de baisers sensuels. Delphine choisit un peu plus tard de sucer le gode en silicone en le pompant bruyamment. La scène est torride, rien de tel pour exciter le trio d’en face.
Déjà dépucelé depuis longtemps, Marc enduit son petit trou avec de la vaseline, son index branle délicatement son orifice tellement habitué à ce genre plaisir. Tout est bien lubrifié. C’est au tour de Laurent, son doigt s’enfonce plus maladroitement. Le mari de Vanessa, prête son service pour l’aider le mieux qu’il peut. Il branle et le branle encore, avec un doigt puis deux remplis de la substance graisseuse.
– C’est vrai que ça fait du bien, continue ! mon cul commence à aimer. dit Laurent, tout en se tortillant les fesses.
Un seul dans son coin fait plutôt la gueule. Le pauvre. Lui, toujours à saillir la moindre femme qui se présente à lui. Le projet de cette nuit était de défoncer dans toutes les positions la petite brune jusqu’à l’épuisement. Le voilà pris au piège de cette femme aux idées vicieuses.
– Relaxe mon vieux, on est entre nous ! lance Marc.
– Putain, c’est bien parce que c’est vous ! rechigne Florian, qui bande sérieusement en matant les filles se lécher l’entrejambe.
– C’est ça ! Regarde cette petite salope de Marjorie prendre son pied, ça te changera les idées. ricane Laurent.
Trêve de bavardages, il est temps de rentrer dans le concret. C’est justement ce que Marc est en train de faire. Sa queue de taille honorable, devenue dure raisonnablement, s’enfonce dans l’anus blanchâtre de son ami Laurent. A la moitié au départ, puis le professeur de psycho le pénètre jusqu’à la garde d’un coup sec. Un véritable délice, le trou est tellement serré que sa bite gonfle de plaisir.
– Et bien si on m’avait dit que...
– Ferme-la, laisse-toi prendre par mon mari comme une pute ! coupe sèchement la rouquine, n’en pouvant plus des palabres.
L’utilisation avec parcimonie du vocabulaire cru, produit toujours l’effet escompté pour celui qui verbalise. C’est le cas à nouveau. Laurent se sent comme une petite traînée possédée par un mâle. Cette sensation le bouleverse. Pendant ce temps, la scène lubrique comble de bonheur sa femme, qui regarde attentivement le cul son mec se faire prendre par Marc.
– Alors mon chéri, ça fait quoi de se faire bourré comme une salope ! lance Delphine, qui commence à se masturber pour de bon.
L’autre n’a pas vraiment le temps de répondre, et pour cause. Il prend un plaisir infini à sentir cette tige tellement dure le limer de plus en plus vite. Son étalon ne ménage pas ses efforts pour le pénétrer, avec la force d’un jeune homme de vingt ans. Ses couilles se balancent et viennent claquer bruyamment contre les fesses rebondies de son ami. Mon Dieu que c’est bon !
– J’ai envie de jouir sur ton cul ! crie subitement Marc, sortant son engin au bord de l’explosion.
Les femmes contemplent les trois puissants jets sortir du chibre de l’homme gémissant de plaisir. Le liquide gluant tapisse les fesses de son ami fort déçu de n’a pas reçu cette petite crème dans son intimité.
– A ton tour Florian, regarde comme son petit trou n’attend qu’une seule chose : ta grosse queue de baiseur invétéré ! ordonne Vanessa, comblé par le petit intermède masculin.
Le jeune sportif décide de s’asseoir dans le fauteuil. Laurent s’empale sur son pieu de chair, non sans faire une petite grimace. Le changement brutal de diamètre provoque une douleur intolérable, il ne sent pas capable de continuer à coulisser dessus. Mais le public est là pour l’encourager.
– Tu vas voir ça va passer, c’est pas ce que tu me disais le jour de notre nuit de noces. se moque Delphine, se faisant lécher avidement la fente par Marjorie.
– Vas-y bon sang, c’est pas si terrible ! dit Vanessa, avec un pointe d’agacement.
Après cinq minutes de souffrance, les deux hommes ont commencé à trouver leur rythme. Florian le pilonne doucement, comme il le ferait avec une jeune fille vierge. Puis son partenaire commence à trouver l’expérience tellement merveilleuse, qu’il s’active de bas en haut jusqu’à la garde en couinant légèrement.
– Alors ma petite salope tu commences a te faire du bien ? lance sa femme, caressant les cheveux de la petite brune qui en a plein la bouche.
– Ouf, c’est que, sa queue me remplie tellement, je, enfin tu comprends ? répond son mari, en se tortillant dans tous les sens.
Florian caché par le dos de son partenaire n’est pas en reste. Il découvre le plaisir inavouable de baiser un homme, et ne veut le montrer à personne. Étonné, Laurent sent même à certains moments de discrètes caresses sur sa croupe ruisselante de sueur.
– Vous êtes tellement belles toutes les deux ! dit Marjorie, se retournant, la bouche luisante, ayant fini de faire jouir sa copine.
– Un vrai petit couple, tu dis rien Florian? Je ne t’ai jamais vu bander comme ça ! ricane Vanessa, les yeux émerveillés.
Le coach sportif reste muet. Comme dit l’adage « qui ne dit rien consent ». Sans prévenir, il explose dans le petit trou de Laurent, sur le point de hurler. Jamais de toute sa vie il n’a joui autant. Sa bite est prise de convulsions et décharge une quantité de sperme inhabituelle.
– Je te sens en moi ! Ouh ! c’est si chaud ! crie l’autre, qui n’a qu’une solution : se branler sur le champ comme un fou, pour décharger à son tour sur le tapis du salon.
Ils restent collés ensemble pour savourer cet instant si extraordinaire. Laurent aime sentir cette bite se dégonfler en lui, et prie pour qu’elle reste encore un peu dans son anus dégoulinant.
– Montrez-moi vos talents de suceuses maintenant, après je vous libère ! ordonne la femme de Marc, en se caressant le bout des seins.
En quelques secondes, le groupe de femmes incrédules, n’en croit pas ses yeux. Laurent et Florian les nouveaux complices entament un langoureux soixante neuf devant elles à même le sol. Delphine regarde son mari avec stupéfaction engloutir la bite tiède de son partenaire, presque jusqu’à s’étouffer.
– Mais c’est une vraie petite cochonne refoulée que nous avons là ! dit-elle, prenant conscience d’un seul coup que Laurent possède toutes les qualités d’une véritable pédale.
Marc, un peu délaissé, s’active avec sa langue experte dans l’anus de Laurent pour une petite toilette, et n’hésite pas à exercer ses talents bien en profondeur. Tout en léchant le petit orifice rosé, il se caresse la queue repartie à gonfler, pour sa plus grande joie.
– Si ça continue, on va vous laisser terminer la soirée entre vous ! lance Vanessa, légèrement jalouse de voir ce fabuleux trio en pleine action.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, les mâles asthéniques finissent par s’écrouler chacun dans un fauteuil. Les filles sont dépitées. C’est malin, comment vont-elles faire pour les remettre sur pied maintenant.
– Florian ! Ce n’est pas le moment de dormir, approche un peu ! dit la femme de Marc, jamais à court d’initiatives.
Péniblement le coach sportif se présente à elle debout en traînant l’allure, le dos légèrement voûté. La femme rousse enlève son gode-ceinture, et regarde Marjorie en lui adressant son plus beau sourire. La petite brune vient de comprendre, et se sent tout à fait prête à réaliser le nouveau défi qui s’offre à elle ce soir.
Prestement, Vanessa fixe à la taille de la jeune fille les lanières de cuir noir. La sensation d’être un homme semble terriblement lui plaire. Ce phallus entre les jambes, certes artificiel, trouble son esprit, mais très vite elle commence à caresser l’engin comme si il s’agissait de son propre sexe.
– Aller ma chérie, encule ton petit prince charmant, vous êtes si bien ensemble ! murmure la rouquine, tout en caressant les fesse la jeune fille.
– Mais j’ai jamais ! rétorque Florian, complètement désemparé.
– Justement il faut un début à tout, attends je vais te mettre un peu de vaseline, sinon tu risques de souffrir le martyr petit puceau du cul !
– Cambre-toi comme il faut ! quelle merveilleuse paire de fesses, tu ne trouves pas Marjorie ?
– Oh si ! j’ai tellement hâte de lui mettre ce truc dans son joli trou tout neuf !
La jeune étudiante décide de le baiser debout, l’assemblée pourra ainsi profiter sur spectacle. La position semble mieux lui convenir, elle veut en avoir plein le vue. Avant de le pénétrer, elle préfère branler le petit orifice presque fermé, histoire de le mettre en conditions.
C’est sale, terriblement sale, mais aussi tellement excitant. Son index coulisse, monte puis redescend de plus en plus vite. Puis elle rapproche son doigt pour le renifler, ça sent vraiment l’odeur de la...
Nous arrivons au moment crucial, le phallus en silicone s’engage lentement. Le gland de cinq centimètres de diamètre, dilate la chaire rose et tellement serrée. Florian sent ses jambes trembler, il sert les dents, la douleur est inimaginable. Mais le jeune homme cherche courageusement à dissimuler son horrible souffrance. Une fois encore, sa fierté masculine lui permet de résister, mais pour combien de temps.
– Tu vas pas pleurer quand même, ressaisis-toi mon poussin ! Quand tu seras défloré je te jure que tu seras accro, tu en redemanderas crois-moi ! dit Vanessa, avec un ton presque compatissant.
– Il y a du sang, c’est normal ? demande Marjorie, un peu inquiète tout à coup.
– Mais oui, ça rondelle n’est pas encore faite, il va survivre !
Quelques minutes plus tard, enfin le plus dur semble passé. Le gode est rendu à la moitié, un vrai miracle. L’anus dilaté fait ressortir des petites veines violacées palpitantes. Les parois intimes commencent à s’habituer aux mouvements répétés du phallus artificiel. Après la violence du début, désormais Florian goûte à la douceur des frottements intrusifs de l’engin.
– Voilà je suis à fond ! glousse Marjorie, toute fière de sa performance.
– Il est prêt pour la baise ! dit Delphine, qu’on avait presque oublié.
La blonde plantureuse s’avance pour caresser les fesses musclées du sportif se faisant empaler. Elle ne veut pas en rater une miette, ses yeux ne quittent plus le petit trou qui commence à suinter de traînées blanches et visqueuses.
– Viens Vanessa, on va se gouiner devant lui, ça va l’exciter à mort ! propose-t-elle, ramenant un large fauteuil en face de Florian.
La jeune étudiante se sent désormais dans la peau d’un homme. C’est si bon de posséder ce macho en le bourrant de toutes ses forces. Le pauvre va vraiment avoir de mal à s’asseoir demain matin en sortant du lit, qu’importe.
Les deux petites cochonnes s’embrassent sur la bouche avec une lenteur exagérée. Toutes deux se caressent les seins brûlants de désir. Elles aiment voir l’autre se faire pilonner à outrance, leurs chattes se trempent peu à peu d’un liquide translucide et odorant.
– C’est trop bon ! lâche Florian, à la grande surprise générale.
– Tu va enfin savoir ce que c’est de jouir du cul petit salaud ! répond Vanessa, tout en léchant le bout des seins de Delphine.
Pendant ce temps, Marc a décider de sucer la bite encore toute molle de Laurent. C’est sa petite gourmandise. Le mari de Delphine ne dit pas non, il faut dire que le suceur sait s’y prendre peut-être mieux que sa propre femme. La bouche sait exactement quand pomper le gland gonflé, et lécher les points sensibles du sexe tendu à l’extrême.
Dans un concert de gémissements sans équivoque, tout le monde commence à jouir à tour de rôle. Laurent remplit le bouche de son partenaire une dernière fois dans un râle bestial. Vanessa crie à son tour deux doigts fourrés dans sa fente humide comme une fontaine italienne. Quant à Florian, lui ne résiste pas à se masturber et décharge son jus visqueux presque sur les pieds de Delphine.
Il est presque 3 h 00 du matin, chacun s’étend où il peut pour récupérer des ébats fougueux de cette soirée exceptionnelle. Marjorie retire son gode-ceinture pour retrouver ses vêtements restés dans la salle de bain.
Sa chatte lui brûle à tel point qu’une douche rapide semble primordiale. La voilà allongée dans la baignoire, jambes bien écartées juste en face du robinet d’eau chaude. Le jet puissant ruisselle sur sa fente, l’effet est immédiat. Son cœur bat à tout rompre, son corps se contorsionne pour se rapprocher de la source délectable. Elle tourne un peu la température avec son pied, pour arriver presque au niveau le plus chaud.
– Putain oui ! Souffle-t-elle, les cuisses levées au maximum.
Sa fente supplie pour accueillir ses doigts qui ne viendront pas cette fois. Le plaisir n’en sera que prolongé. Elle continue de lutter contre la chaleur de l’eau qui monte peu à peu. Ses parties intimes sont devenues rouge vif, c’est trop, mais elle résiste jusqu’au bout.
– ça y est je viens ! crie-t-elle, en s’écroulant dans le fond de la baignoire.
En petite espionne, Vanessa ouvre la porte et découvre la jeune femme haletante. Elle est tellement belle quand elle a joui. Son visage est si lumineux. Sa petite chevelure reste collée sur ses seins encore tout gonflés.
– Eh bien ma chérie, on a fait sa petit douche ? rie-t-elle en lui caressant la nuque.
En bas les invités sont déjà partis. Enfin seuls tout les trois. Marc monte à leurs rencontre les yeux remplis de fatigue. Il n’attend qu’une seule chose : aller se coucher au plus vite.
– Tu ne vas partir seule dans la nuit, reste dormir ici. propose Vanessa, commençant à l’essuyer tendrement.
– Je n’ai pas envie de vous déranger. répond timidement Marjorie, baissant un peu le regard.
– Le lit est assez grand pour trois, on l’avait acheté en Norvège. Tu verras on s’y sent vraiment très bien.
Arrivés dans la chambre à coucher, Marjorie prend place au milieu du couple complètement nu. Ils discutent un peu, et retrace la soirée mouvementée. Une dernière lumière s’éteint, la jeune fille sent quelque chose la gêner entre les fesses.
– Mince j’avais oublié le plug ! murmure-t-elle.
– Retire-le ! Et fais-le moi sentir. ordonne Vanessa.
Marjorie libère son orifice, et donne l’objet ovale et pointu à la femme toute excitée. Elle renifle l’odeur du vice, puis commence à le mettre dans sa bouche.
– Maintenant que tu es prête, ça te dirait que mon mari te prenne ?
Au même moment, un ronflement sourd se fait entendre. Le pauvre Marc dort profondément et risque de ne pas faire grand chose de plus. On dirait que ce ne sera pas pour ce soir. Dommage, il reste peut-être une solution.

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