Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 175 J'aime
  • 2 Commentaires

Le cadeau de la St Valentin

Chapitre 1

Hétéro
Pour la St-Valentin, j’essaie d’avoir toujours un petit cadeau à offrir devant les enfants et un petit cadeau coquin, pour notre soirée en tête-à-tête.   Je passe dans un sex-shop et j’y achète un soutien-gorge sans bonnets. Aucune taille n’est indiquée ; malgré les conseils de la vendeuse je l’achète quand même. En effet, ma femme fait un 85/90D avec une poitrine marquée par les grossesses qui ne se tient pas beaucoup ; moi, personnellement, j’adore la sentir balloter en levrette, l’avoir dans le visage quand elle me chevauche ou pour une bonne cravate de notaire pleine de gel lubrifiant : que du bonheur ! Cela dit, j’avoue que j’ai peur que cela ne lui plaise pas… Ce serait dommage de gâcher l’effet cochon souhaité.   Plus la date approche et plus je me dis que je devrais peut-être acheter un autre petit cadeau cochon… Un soir, je reçois un spam : une pub pour un site spécialisé dans les gros godes. Ma femme aime que je la prenne avec un autre gode dans la chatte. Elle aime se sentir ouverte. Le fist fucking ne marche pas parce que j’ai de trop grosses mains, mais parfois, excitée, elle essaie tout de même de s’empaler sur ma main. Du coup je me dis que cela pourrait être une bonne idée si le prix reste raisonnable… Je vais donc sur ce site et je vois défiler des godes, plugs ou autres gadgets vraiment balaises ! Mais j’avoue que cela m’excite de l’imaginer avec un pareil engin dans le minou.   J’en vois un pour lequel j’ai le coup de foudre. Un gros costaud pas trop long, ce qui convient au vagin de ma femme : 24 cm pour 8.5 cm de diamètre avec une grosse paire de couilles pour le poser et faire une base solide. Il est translucide, et l’idée de voir l’intérieur de ma femme me plaît bien. Il est en jelly, une matière souple que nous affectionnons. Saur la photo de présentation, un homme le tient à pleine main ; il est énorme. C’est le coup de foudre… Peu importe le prix, je le commande !   Quelques jours plus tard j’ai un paquet à aller chercher chez ma buraliste. J’arrive, je présente l’avis de passage, elle me tend un colis que je prends… Il est lourd, et je dois avouer qu’avec un poids pareil pour un seul gode, je sens une pointe d’excitation parcourir mon ventre…  Il passe la journée dans ma voiture, et le soir, discrètement… Waouh, je suis fan de ce jouet !   Il reste quatre jours avant la St-Valentin. Ils sont interminables. Je rêve de lui planter cette grosse pine dans sa chatte accueillante. J’en bande chaque soir…   Vient le jour J.   Je prépare un petit apéritif pendant que ma femme est à la danse. Je fais manger les enfants et les presse pour qu’ils aillent au lit. J’avancerais bien les pendules d’une heure, mais bon, soyons patient. Elle rentre, me dit qu’elle prend une douche et qu’elle sera à moi ensuite… À moi ! Cela dit, je l’accapare un peu. Comme les enfants veulent voir le cadeau, je lui offre un petit pendentif fantaisie et un bouquet. Ils sont contents et se couchent enfin.   Je rejoins ma femme dans la salle de bain et lui donne son premier cadeau – enfin, vrai cadeau de St-Valentin.   — Tu l’ouvriras pendant que je finis de préparer le repas.
   Je descends et m’affaire en cuisine. En guise de repas j’ai prévu un apéro dinatoire avec une bouteille de champagne.   Elle descend. Elle porte une chemise-tunique en jean avec une ouverture à boutons sur toute la longueur. Des chaussures à talons. Elle est joliment maquillée. On s’embrasse. Je nous sers une coupe de champagne et on discute de choses et d’autres : la journée, le boulot… Je vois les tétons de ma belle darder à travers le tissu. Je m’en amuse et lui manifeste mon intérêt :   — C’est joli, Madame, ce que vous montrez là ! — C’est bizarre et pas très joli, je trouve… — Je ne peux pas te dire, mais ce que je vois me plaît bien… — Bah oui ! On croirait que je n’ai rien dessous… Je ne porterai pas ça en public ! — Dommage ; comme ça, j’aime bien…   Elle déboutonne son vêtement et je vois ses deux beaux globes apparaître. Ils sont serrés par l’étoffe ; j’adore ! Je ne résiste pas à me pencher pour embrasser ces deux jolis tétons. Je les lèche, les suce, je les trempe même un peu dans le champagne avant de les téter à nouveau. Pendant ces petits jeux, je glisse ma main entre ses cuisses et constate qu’elle ne porte pas de culotte. Je pince son clito entre mon index et mon pouce et tire légèrement dessus.   — Non, attend un peu… On va manger et ensuite on monte dans la chambre. Et les enfants ne dorment pas encore. — OK, mais alors interdiction de refermer ta tunique. Laisse tes seins dehors.   Nous finissons la bouteille de champagne en grignotant. Chaque occasion est pour moi un prétexte pour toucher ou effleurer ses nichons qui me rendent fou. Je bande, et mon jean est une vraie contrainte. Je lui fais constater mon état. Elle me propose de monter avec une dernière coupe et le dessert.     Quelques instants plus tard nous sommes sur le lit. Je suis à peu près sûr que lorsqu’elle va voir l’engin que je lui réserve, elle va refuser de l’essayer. Je décide donc de lui couvrir les yeux avec un masque. Une fois masquée, j’ouvre sa tunique pour découvrir sa chatte taillée avec soin. Je la caresse, sans oublier le moindre recoin de son corps, m’attardant sur ses seins qui me fascinent ainsi exposés. Je sors mon sexe et l’approche de sa bouche. Toujours cette manie de devoir immortaliser ces moments, je sors mon téléphone et fais quelques photos. Je lui fais prendre la pose avec le gros gode que j’ai sorti mais qu’elle ignore encore.   Au bord de l’éjaculation je l’arrête et lui demande de s’allonger. Je plonge ma bouche sur son sexe. Je suce son clito comme une petite queue. J’aspire ses lèvres, les écarte avec mes doigts, puis enfonce d’abord deux doigts puis trois pour dilater son vagin en prévision de cette pénétration inhabituelle. Après une nouvelle série de clichés, je présente le gland de la grosse pine devant l’entrée de sa chatte dilatée par tant d’attentions. Je pousse doucement ; elle écarte les cuisses pour faciliter la progression.   — Ça va ? Je ne te fais pas mal ? — Non, pourquoi ?   Elle ne sourcille pas devant la taille imposante de cette énorme bite. Je la pousse un peu plus et commence de petits allers-retours. Elle ondule du bassin pour venir à la rencontre de ce corps qui n’est plus si étranger que ça. Ses lèvres s’écartent pour laisser le gode s’engouffrer. Cela laisse apparaître son clito qui est gonflé comme rarement je l’ai vu ! Je la baise avec ce gode en prenant soin de gagner un petit centimètre à chaque passage. Elle soupire et m’annonce :   — Oh oui, c’est bon ! — T’aime ça, hein ? — Oui. Approche que je te branle. — Tu aimes avoir une grosse queue comme ça dans la chatte ? Tu la sens bien, hein ! — Humm… — Tu es une cochonne ! — Non : ta cochonne ! — Tiens, prends-le et fais-toi jouir…   Je lui saisis en même temps le poignet pour poser sa main sur le gode et sa grosse paire de couilles.  Aussitôt elle commence se masturber avec. J’aime la regarder dans ces moments : non seulement elle est belle, mais en plus il y a plein d’indications sur ce qu’elle aime. Et d’ailleurs je constate qu’elle envoie le chibre bien plus profondément que j’osais le faire. Je me branle en la regardant. Je la filme aussi… Comme je sens son plaisir monter, je m’approche et je frotte mon gland sur son clito turgescent.   — Oh oui, tu vas me faire jouir ! — Vas-y, cochonne, branle-toi bien la chatte ! Baise-toi comme tu aimes être baisée !   C’est trop beau de la voir se planter ce pieu dans la chatte. Je me branle au contact de son clito, et très vite je l’arrose littéralement. Je constate que ça l’excite de plus belle et elle jouit sur deux ou trois poussées encore plus profondes. Je place mon genou contre la base du gode pour le bloquer tout au fond de son sexe et me penche pour l’embrasser sur les seins, puis sur la bouche ; un beau et long baiser langoureux et amoureux.   — Enlève-le, maintenant. — Tu aimes les grosses queues ? — Allez, enlève-le, cela commence à faire un peu mal. — Dis-le que tu aimes les grosses queues. — … Tu sais très bien que je ne te dirai pas ça ! — Attends, c’est toi qui vas le retirer, mais je veux que tu enlèves ton masque avant.   Elle l’ôte, et une fois qu’elle s’habitue à la lumière, je la libère de mon étreinte. Elle saisit les grosses bourses en plastique à pleine main et retire le gode en regardant l’objet du désir.   — Pouah ! Mais tu es malade : il est énorme ! — Oui, mais il rentre… — C’est beaucoup trop gros ! — Oui, mais il rentre… — Tu es vraiment un vicieux ! — Non seulement il rentre, mais je ne crois pas me tromper en disant que tu as bien joui.   Elle se lève en se tenant un peu le ventre. Elle retire sa tunique et part vers les toilettes.   — Hep, ma p’tite dame, vous oubliez vot’ vaisselle !   Elle me regarde, amusée, lui tendre le monstre phallique. Elle le prend par les couilles et se dirige vers les toilettes. Je la regarde partir, son petit cul à l’air qui se dandine, ses seins toujours présentés et érigés dans ce soutien-gorge sans bonnets, et surtout cette belle bite au bout du bras qu’elle balance. En attendant qu’elle revienne, je jette un coup d’œil aux vidéos et aux photos que j’ai prises ; je rebande presque. À son retour, elle me dira juste « Il est  quand même vraiment gros ! », et nous finirons la nuit, lovés l’un contre l’autre.   Encore une belle St-Valentin ; il faut que je trouve une idée pour la prochaine. Encore plus gros, je ne suis pas sûr que cela soit une bonne idée… mais qui sait ?
Diffuse en direct !
Regarder son live