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Au café de mon copain Zac

Chapitre 1

Une égarée

Trash
— Petit café d’un petit quartier d’une petite ville qui ne paie pas de mine -
Un verre de bière à la main, mon regard embrumé se perd par une fenêtre mal lavée. Mes pensées, confuses, se perdent au fil de gouttes qui s’abattent avec fracas dehors. Le temps est à gerber, comme souvent, et même si c’est l’été. Tout laisse à croire que ce bout de terre désolé a échappé aux desseins du grand gars là-haut. Je ne me plaindrai pas de ce sale temps, ce n’est pas comme si j’étais le genre de mec à sortir une serviette de plage pour laisser ma carcasse brûler au soleil dans l’espoir de dorer ma peau blanchâtre afin de plaire à quelques stupides nanas.
Au comptoir se trouve Zachary, le propriétaire de ce bar miteux. Je me demande comment il s’en sort, seuls les ivrognes et les désespérés se rendent dans sa bauge. Si encore, ce dernier avait la présence d’esprit de passer un coup de balai de temps en temps, histoire de donner au plancher tâché une seconde vie. Mais pour lui, nettoyer est un métier qui ne convient pas à un vrai lascar. Du coup, ce génie incompris a eu une révélation ; engager une serveuse pour s’occuper du ménage et attirer une nouvelle clientèle composée de vieux gars à qui la vie n’a offert que des sourires édentés.
Et moi, dans tout ce merdier, je ne suis pas différent des autres. Je passe mes journées, accoudé au comptoir à m’enfiler des bières bon marché.
Le bruit d’une porte qui claque me sort de ma rêverie et je délaisse le merveilleux spectacle de la pluie qui rythme mes journées pour adresser un regard curieux à l’entrée. Mes yeux, à moitié fermés par l’alcool, repèrent la silhouette du fou qui a bravé l’orage pour trouver refuge dans cet établissement aux odeurs d’humidité. Le fou se révèle être une folle. Je passe une main sur ma face, comme si ce geste avait le pouvoir de lapider les grammes qui habitent mes veines fatiguées.
— Euh... bonjour, j’ai vu l’enseigne dehors. Vous cherchez une serveuse, c’est ça ?
Je pose un regard incrédule sur cette femme, ne voit-elle donc pas dans quel merdier met-elle les pieds ? Ou bien, celle-ci est-elle des nôtres, une désespérée, à court d’options, prête à ignorer où elle se trouve, prête à plonger dans la merde tant qu’on lui donne une pelle pour se sortir de ce pétrin. Je la dévisage sans pudeur, de la tête aux pieds. Elle n’est ni belle, ni moche, ni petite, ni grande. Elle est peut-être un peu grasse, le gras accumulé avec les années, car à en juger par sa peau, celle-ci n’est plus de première fraîcheur. Sa main habillée d’un bracelet aux couleurs criardes attire mon attention, et je remarque à son doigt l’anneau qui fait d’elle une femme mariée.
— Ouais, toi t’sais lire hein, c’est d’jà un bon point pour toi, répond Zac en se gaussant. — Euh... Oui. Ahahahah... ajoute-t-elle, d’un air forcé.

Leur discussion se poursuit, mais je suis concentré sur ses hanches larges qui abritent un cul épais. Le pantalon en pseudo cuir qu’elle porte moule ses formes. Il a vraiment l’air pas mal. J’aimerais bien lui claquer ses grosses fesses. Je commence même à bander dans mon jeans délavé. Je dois avouer que je n’ai pas pu aller me soulager aux putes la semaine passée. Suite à une malheureuse erreur de calcul, j’ai dépensé un peu trop de mon blé au café.
— Tu vas commencer par nettoyer par terre, t’as tout trempé en te ramenant en même temps que c’tte pluie. Ensuite, on verra pour ce qui est de t’engager ma chérie.
La gonzesse semble étonnée autant par la demande que par la façon dont Zac lui cause, mais sous le regard sérieux qui lui est adressé, elle répond par la positive et se lance à la poursuite de son futur patron qui entre déjà dans la réserve. Elle l’attend sur le pas de la porte, et ce con revient avec un torchon. Un torchon ? Je suis surpris que ce con en ait même un, mais soit. Je continue de la mater s’affairer, elle a l’air un peu conne cette femme. Elle n’est même pas payée, ni même engagée et pourtant, elle récure le sol crasseux avec une détermination presque fanatique.
A trop la mater remuer sa croupe dans tous les sens, j’ai la queue qui commence sérieusement à me brûler. Je n’ai pas d’autre choix que d’ouvrir ma braguette pour déballer la bête, c’est une question de vie ou de mort, vous comprenez. Libérée, délivrée, ma teub est aux anges et je commence à la soulager, d’un coup de poignet lent, les yeux posés sur cette femme, mais surtout sur son cul moulé. Arrive enfin le moment inévitable où la belle remarque que je m’astique en la matant, et ce avec un tel naturel qu’elle ne semble pas savoir que faire ni comment réagir pendant de longues secondes.

Le loquet de la porte grince en verrouillant le café, au même moment, la bonne femme sursaute, elle tient le balai fermement contre son corps, comme s’il s’agissait d’une boue de sauvetage qu’on lui aurait lancé dans une mer déchaînée.
— Ecoute ma mignonne, il est temps de montrer nous montrer tes qualités, à moi, et mon copain, si tu tiens à bosser pour moi, tu vois. Il est encore temps de te tirer, j’ouvre la porte, et tu te casses, par contre, si tu restes, tu vas passer à la casserole, tu me comprends ? dit Zac.

Elle devient blême et lance un regard apeuré vers la sortie, mais reste immobile et silencieuse.
— Oh, chérie, tu m’entends ? Fais un choix ou je prends une décision pour toi cocotte, continue Zac.— Euh... C’est... Euh... Mon mari m’attend dehors.— J’prends donc la décision pour toi.
Zac s’avance vers la gonzesse, celle-ci ne se dérobe pas. Il tend la main pour récupérer le balai, la voici désarmée, mais croyez-moi, on n’est pas des enfoirés, on va vite se charger de l’équipement de nouveau en lui présentant nos deux matraques à manipuler. Je quitte enfin ma chaise pour les rejoindre, le braquemart en main, je vois que mon pote m’a imité.
— Montre-nous tes nibards, dis-je enfin avec l’avoir longtemps observée en silence.

Tout en m’astiquant, je la regarde se désaper, déboutonner un à un les boutons de son chemisier blanc, le dernier rempart de sa peau. Je déglutis, elle a des seins lourds, aux aréoles larges et brunes, ses mamelons me toisent, tendus, érigés, qu’ils sont arrogants. Elle m’excite cette conne, et elle semble aussi apprécier la situation. De ma main libre, je l’attrape par la gorge et la force à avancer vers moi, je lui roule une pelle gourmande, sans élégance, je fourre ma langue dans sa bouche pour trouver la sienne à caresser. Elle gémit, mon pote a ouvert son pantalon pour aller tâter de ses doigts sales le cocon féminin dans lequel ses doigts se perdent en caresses appuyées.

Quant à moi, je délaisse sa gorge pour saisir entre mes doigts un téton que je tords doucement pour observer le délicieux frisson teinté de douleur qui traverse sa frimousse tantôt timide, son air troublé et incertain de plus tôt a laissé place à une moue volontaire, mais coupable ; coupable d’apprécier ce traitement soudain de la part de deux inconnus et coupable de faire cela alors que son mari l’attend sagement dans la voiture à quelques mètres du café.
Je crois bien qu’elle nous succombe, qu’elle s’abandonne totalement à nous, ou à ses vices, car sans rien lui demander, voici que la belle s’agenouille devant nous pour faire face à nos bites brûlantes qu’elle ne tarde pas à empoigner. Voir sa main, mais surtout son alliance autour de ma virilité m’arrache un sourire narquois. D’un ton fier, et triomphant, je lui dis :
— Suce nos teubs, salope.
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J’espère que vous avez apprécié ma première histoire. Je publierai la suite si vous la voulez !
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