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La cage dorée de Cathy

Chapitre 2

Hétéro
Elle faisait les cents pas dans sa chambre, troublée. Bientôt viendrait l’heure du dîner et elle devrait affronter du regard l’homme qui avait eu un comportement si abject tout à l’heure, dont elle était totalement sûre maintenant que c’était bien son oncle, sans nul doute. Un tel comportement ne pouvait être toléré que venant du maître des lieux, elle en était certaine. Elle repensa néanmoins à l’excitation dont elle n’avait pu se défaire une fois retournée à ses appartements, la forçant à se masturber une fois encore… Les cris de cette femme et soudain cette brûlure incandescente au bas ventre, signe qu’elle éprouvait du désir pour cet homme violent qui prenait un plaisir évident dans cet acte pervers.On toqua à la porte et elle alla ouvrir à Georges, le majordome, qui lui fit signe de la suivre. IL la mena à travers le gigantesque manoir, couloir après couloir, jusqu’à pénétrer dans une somptueuse salle à manger meublée d’une immense table de bois massif où deux couverts étaient dressés. Son oncle patientait face à la fenêtre. Lorsqu’il se retourna, elle peut le détailler à nouveau. C’était un homme de taille moyenne aux cheveux mi-longs et à la barbe taillée courte. Ses cheveux châtain étaient coiffés avec soin. Ses yeux étaient d’un bleu glacial jurant avec le sourire convivial qu’il arborait. Il se dirigea vers sa nièce et la prit dans ses bras.Il commença alors à la détailler sans un mot. Il l’invita à prendre place à table et ordonna qu’on serve le repas. La domestique qui s’était faite fesser quelques minutes plutôt, que Cathy n’avait pas remarquée jusque là, se dirigea vers la porte qui devait conduire aux cuisines. Elle ne semblait nullement troublée par les événements précédents. Elle revint rapidement avec deux autres domestiques, des hommes à la mine fermée. Le repas se fit dans le silence le plus total à la grande gêne de Cathy qui ne savait comment réagir. Une fois le dessert terminé, sans qu’un mot ne soit prononcé, l’oncle prit congé et Georges raccompagna Cathy à sa chambre. « Le maitre n’est pas d’un naturel bavard, vous l’aurez compris. Bonne nuit, mademoiselle Cathy » lui glissa-t-il avant de s’éclipser. Elle le salua et alla s’effondrer sur son lit, pensive.Rien n’était comme elle l’avait imaginé. Elle était troublée et réellement excitée. Avec le temps son appétit sexuel s’était développé et elle se trouvait aujourd’hui intriguée par le pervers qu’elle avait entrevu dans son oncle. Elle visualisa à nouveau la scène et, juchée à califourchon sur le traversin elle commença à caresser son bouton par en dessous. Elle se tordait doucement de plaisir, gémissant avec délice. Cela dura un certain temps mais elle fut soudain tirée de sa rêverie par un grincement de parquet et elle se retourna aussitôt. Un des deux domestiques qui avaient servi le souper se tenait là, sexe dressé en main, le regard fixé sur elle. Cathy vit la porte entrebâillée et compris son erreur. Il s’approcha lentement d’elle en posant un doigt sur ces lèvres. Elle obéit à son ordre silencieux et ne protesta pas lorsqu’il passa ses mains sur son corps doucement, la couvant d’un regard avide.Il la fit mettre sur le coté et releva son jupon. Il eut un moment de réflexion, alla finalement refermer la porte correctement et revint vers elle. Cathy voulut se retourner et protester mais elle était partagée entre la peur qu’il dévoile à son oncle qu’elle était en train de se caresser et l’envie dévorante de connaitre enfin le corps d’un homme. Elle en avait rêvée si souvent dans son orphelinat pour filles…Il caressa sa croupe, le lorgnant en propriétaire, probablement encore hésitant de la suite à donner à la situation. Il sembla se décider et la fit se mettre doucement sur le dos. Il grimpa ensuite sur le lit et monta à califourchon sur le torse de Cathy. Son sexe dressé était désormais à hauteur du visage de la jeune fille. Il lui releva la nuque pour l’inciter à le prendre dans sa bouche. Cathy ne comprit pas tout de suite, n’ayant jamais eu vent d’une telle pratique, mais finit par obtempérer. Elle fit de rapides va-et-vient, et encouragée par les gémissements de l’homme, elle fit fourcher sa langue sur le dessus de son gland, lui arrachant un petit soupir d’extase. Il semblait s’impatienter et attrapa la jeune fille derrière la tête et se branla rapidement avec sa bouche sans aucun égard pour les bruits de panique qu’elle laissait échapper. Il lâcha finalement son foutre en Trop chamboulée pour réagir, Cathy reste immobile jusqu’à ce que le sommeil l’emporte. Néanmoins, si quelqu’un s’était tenu dans la pénombre à se moment là, il aurait pu voir un sourire se dessiner lentement sur ses lèvres.
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