Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 70 J'aime
  • 6 Commentaires

La caissière et son patron

Chapitre 4

Hétéro
Ce chapitre fait suite au chapitre 2. Le 3 ayant disparu le dénouement de l’histoire a été remanié pour faire suite au n°2_____________________________
Chapitre 3 : délivrance
Cette situation commençait à être intenable. J’étais considéré comme une prostituée par mon patron tous les soirs où j’étais de fermeture. Il n’était pas rare que je parte m’enfermer dans les toilettes pour pleurer sur mon sort durant mon service. C’est lors d’un de ces moments de grande déprime que mon salut arriva. Je venais de me vider les glandes lacrymales et en sortant des toilettes je vis Roseline, ma chef m’observer avec mon rimmel coulant sur mes joues.
— Sarah ? qu’est ce qui ne va pas ? Tu as un problème ? — Rien qui ne te concerne.— Oui mais vu ton état je vois que quelque chose te tracasse. Si tu veux tu peux m’en parler. Ok je suis ta supérieure mais aussi ton amie.— Ecoute je ne veux pas t’attirer des ennuis en te mêlant aux miens.— M’attirer des ennuis ? ça a un lien avec le boulot ? Tu veux que je vois ça avec le boss ?— Non surtout pas. Ne le mêle pas à ça.— Ça a un rapport avec lui alors.— Ecoute s’il te plait n’insiste pas.
Devant l’insistance de Roseline je me remis à sangloter recroquevillée et assise sur le carrelage. Elle s’asseye à coté de moi et sa main sur mon épaule elle me dit :
— Je crois que j’ai deviné. D’une manière ou d’une autre il te fait du chantage et profite de toi.— Comment tu le sais ? lui répondais-je, étonnée de sa perspicacité.— J’ai commencé à m’en douté quand il a insisté pour que tu sois de fermeture. Il ne l’avait quasiment jamais fait et puis une fois où j’avais oublié mon sac, j’avais entendu du bruit derrière la porte du bureau du patron mais sans savoir vraiment ce qu’il s’y passait.— Ok mais j’ai comme l’impression que ça te touche plus que ça. Tu as deviné beaucoup trop rapidement.— Effectivement.
Là, Roseline se leva, me tourna le dos et inspira un bon coup.

— Il ….. Il m’est arrivé la même chose. Il y a 20 ans. Je venais d’arrivé en France clandestinement et il le savait. Il s’est servi de ça pour ma faire du chantage et il ….. il …..— Il t’a violé ? Comme il l’a fait avec moi ?— Oui …. mais je ne vois pas comment il te tient toi.
Après toutes ces confidences, j’entrepris de lui raconter mon histoire. Le vol dans la caisse la caméra de surveillance et l’infâme chantage qu’il exerçait sur moi.
— Ok, là c’est plus clair. Ecoute je te propose de venir à la maison ce soir. Moi il a fini par me laissé mais avec toi, il peut continuer encore longtemps. Tu viens à la maison ce soir et on voit ce qu’on peut faire. A l’époque je n’avais pas eu le courage de faire quelque chose. Mais cette fois on est 2, on devrait pouvoir faire en sorte de l’envoyé à l’ombre.
Après s’être mis d’accord le soir même, on se donna rendez vous chez elle pour dîner. En arrivant chez elle je fus accueilli par son fils. Un jeune homme de 19 ans, un peu rondouillard mais souriant et plutôt sympas. Toutefois, à le regarder, j’avais l’impression de le connaitre ou du moins de l’avoir déjà vu quelque part. Roseline arriva et son fils nous laissa parler seule.
— Avant de commencer je suppose que tu te demande pourquoi je reste à bosser avec lui. — Oui ça m’intrigue.— Disons qu’on a conclus un accord. Il arrêtait d’abuser de moi et je ne divulguais pas son petit secret en échange d’une paie bien juteuse.— Et ça t’a suffit ? Moi je n’aurais jamais supporté de le voir constamment, tous les jours.— Il me fallait cet argent. A l’époque j’étais jeune naïve et sans ressource. Et puis j’avais mon fils. En plus lui était marié. Ça plus un scandale, il ne le voulait pas.— Et c’est quoi ce secret ?— Il ….
A ce moment là le fils de Roseline arriva en annonçant à sa mère son intention de sortir avec ses copains de lycée. C’est là que je compris. De près je ne m’en étais pas aperçu mais de loin je remarquai de suite la ressemblance frappante entre le fils de mon amie et celui que j’avais deviné être son père : Le patron.
— Inutile de continuer je viens de comprendre.— …. Quand je me suis rendu compte que j’étais enceinte le délai légal pour avorter était déjà passé. A sa naissance, je n’ai pas eu le courage de l’abandonner. Même si la ressemblance physique est flagrante, c’est le seul point commun qu’il a avec son père. Il est tout ce qu’il n’est pas.— Et il sait qui est son père ? — Non et il s’en fout.— Tant mieux. Il ne nous en voudra pas si on arrive à l’envoyé en prison.— J’y ais réfléchi et je pense avoir une idée. Mais pour ça il va falloir le subir encore un peu.— Si c’est pour se débarrasser de lui je suis prête à tout.— Je te propose de le faire chopper en flag. Moi je pars voir les flics. Si ça viens de moi il ne verra pas le coup venir. Toi tu ne changes rien. Son attention est focalisée sur toi en ce moment. Il ne doit se douter de rien. — OK, Seule je n’aurais probablement jamais eu le courage de me rebeller. Merci— A 2, on sera beaucoup plus fortes.
Le temps que Roseline aille voire les gendarmes et planifie le flagrant délit, j’avais dû le subir 2 soirs de suite. A chaque fois il m’accueillait avec un sourire en total opposition avec la moue que j’affichais pour donner le change. En réalité j’étais partagé entre l’envie de l’étrangler moi-même de mes propres mains et la joie de savoir notre piège se refermer petit à petit sur lui. Le fait de savoir que je n’étais plus seule semblait me donner le courage qui me manquait.C’est le vendredi soir que l’intervention des gendarmes était planifiée. Comme tous les soirs il m’attendait derrière son bureau. Il avait encore prévue un délire tordu : J’étais sensé être une jeune et jolie stagiaire qui devait accepter les avances de son patron pour être embauchée. Bref ce n’était pas si loin de la réalité. Ce qu’il ne savait pas c’est que je portais un micro qui avait enregistré ses ordres et qui allait enregistrer la scène. Scène dont le thème allait parfaitement coller avec le piège. Sans le savoir il tendait le bâton pour se faire battre. Sur le parking, la camionnette des flics attendait le signal. Roselyne, en liaison radio avec eux, prêtes à leur ouvrir la porte et à les guider. Avant de monter le voir je voyais Roseline qui me disait « courage, c’est bientôt fini ».
— Bonjour monsieur le directeur,— Bonjour mon petit. Alors tu as réfléchi à ce que je t’ai dit ? Une place de caissière titulaire en échange de moments privilégiés avec moi. — Non, je ne suis pas une pûtes. Lui dis-je sachant pertinemment qu’il aimait casser ma résistance.— Très bien alors si tu veux pas coucher, t’es viré.— Vous ne pouvez pas faire ça. J’ai besoin de travailler.— Si tu veux bosser va falloir le prouver. Si a 3 tu n’es pas sous mon bureau. Je te vire. ….1 …..2 — C’est bon, J’accepte.
Là je me dirige sous son bureau à 4 pates et commence à le déculotter. Je savais que les gendarmes avaient besoin de plus de preuve. En l’absence d’image il fallait que je le fasse parler. Après l’avoir sucé, il me releva, allongé sur son bureau, m’arracha la panoplie qu’il m’avait fourni, me pénétra d’un coup sec et commença à me besogner en poussant des soupirs de satisfaction.
— Ah c’est toujours aussi bon. Je me souviens encore du jour ou je t’ai dépuceler sur mon bureau. Ta souffrance, à l’époque, était un met de choix.
Je voyais là l’enchaînement pour aborder mon viol systématique. J’allais fournir aux gendarmes qui nous écoutaient, tout ce qui leur fallait.
— Malheureusement je m’en souviens aussi. C’est depuis ce jour que vous me violez à chaque fois que je suis de fermeture de magasin. — Oui J’avoue que j’aime que tu sois mon jouet. C’est un vrai plaisir de pouvoir disposé de ton joli corps quelques soirs par semaine.
Après un discours pareil on entendit derrière la porte un bouquant pas possible dans l’escalier qui menait aux bureaux de la direction. Juste après quelqu’un frappa à la porte.
— Police nationale, ouvrez la porte.
Le patron, surpris de cette intrusion se mis à bégayer.
— Vous avez un manda ? qu’est ce qui se passe ?— On n’est pas en Amérique. Si vous n’ouvrez pas la porte dans les 3 secondes, on va la forcer.
C’est alors qu’il aperçu un sourire sur mon visage. Du coup c’était l’occasion rêvée de voir la terreur sur le sien.
— Au secours, a l’aide, il est en train de me violer.
A ce moment là un des gendarme, une armoire à glace, genre catcheur donna un grand coup de pied dans la porte et fit sauter la serrure. L’escouade de 5 gendarmes, accompagné de Roseline pouvait admirer la scène : Moi, nue, les vêtements déchirée au sol, allongée sur le dos sur son bureau, lui me recouvrant de toute sa masse, chemise ouverte et le pantalon sur les chevilles. Nous fumes très vite séparés. Roseline me recouvrit d’une couverture en me glissant un petit « c’est fini » à l’oreille. Lui nous regardait, il était plaqué au sol par les flics qui lui passaient les menottes.
Il fut très vite condamné et envoyé en prison. Durant toute la procédure de condamnation, je m’étais rapproché du gendarme qui avait défoncé la porte. Je le voyais comme un Zorro et on se voyait fréquemment. Il m’informait qu’il se faisait très souvent rudoyer par ses compagnons de cellule. Il faut dire qu’avec son poids, il donnait l’impression d’avoir des seins. Par pure vengeance sadique je l’imaginais devenir la chose d’autres détenus dans les douches. Je sais c’est méchant mais après avoir vécu ce qu’il m’avait fait subir, je pouvais me le permettre. Durant la procédure, avec Roseline, on avait du étalé au grand jour notre histoire. Le meilleur moment fut quand même la présentation du fils de Roseline. Voyant son père pour la 1ère fois, il trouva une occasion de lui envoyer son point dans la figure sous un tonnerre d’applaudissement.
Aujourd’hui on a changé de boulot, Moi comme Roseline. On a une vie bien rangée et on se voit très souvent. Je vis avec mon gendarme qui m’a soutenu et a su avec de la persévérance me réconcilier avec la gente masculine. Il a galérer avant qu’on ait pu avoir notre 1ère nuit. Il faut dire que ma 1ère fois était un viol assez brutal. Mais avec lui c’est douceur tendresse et respect mutuel.
Diffuse en direct !
Regarder son live