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Un caleçon trop serré

Chapitre 2

Inceste
Quelques jours ont passé depuis euh... l’expérience au magasin. Je suis troublé par ce qui s’est passé au magasin. Enfin, je ne suis pas dégoûté ni consterné (bien au contraire !), mais je me demande ce qui va se passer maintenant. Est-ce que ça va s’arrêter là ? Est-ce qu’on va entamer une relation incestueusement torride ? Bon OK ça c’est mon fantasme, je ne peux pas m’empêcher d’en avoir ! Mais comment je pourrais faire autrement ?Je n’ai aucune idée de ce que Maman pense de tout ça. Ni elle ni moi ne faisons allusion à ce qui s’est passé dans la cabine. J’aimerais bien qu’il se passe un truc, mais je n’ose pas me montrer plus entreprenant...
Aujourd’hui, il fait bien chaud, je me balade torse nu dans la maison. Truc de fou, bah ouais, mais je suis pudique et je n’ai pas l’habitude d’être si peu habillé à la maison, et ma mère et ma sœur me voient rarement comme ça, alors je m’en justifie auprès de Maman :
— Pfiou... J’enlève mon t-shirt, j’ai trop chaud.— Tu as bien raison mon chéri, me dit-elle en souriant.
Ses yeux glissent sur mon buste, le long de mes abdos. Je ne suis pas extrêmement baraqué, mais j’ai quand même les muscles assez dessinés. Ses yeux descendent jusqu’à mon paquet puis elle détourne aussitôt le regard, mais j’ai bien vu. Et j’avoue qu’elle m’excite pas mal.
J’ai toujours évité les regards indiscrets depuis que je suis ado, sans vraiment de raison, en fin de compte. Ma sœur Aurélie n’est pas comme ça bizarrement, elle a toujours été très libérée, et maintenant, je comprends pourquoi. Ne pas avoir de complexes, c’est vachement agréable ! Je crois que l’épisode dans la cabine m’a bien désinhibé.
En même temps, j’ai joui dans la bouche de ma mère dans un lieu public, normal que mes barrières volent en éclats.Je vois bien que cet épisode n’a pas laissé Maman indifférente non plus, son attitude a changé. Elle se montre vachement plus tactile à mon égard, ses mains se perdent souvent sur mon torse, mes abdos, mes cuisses et même mes fesses. Avec la chaleur, elle s’habille aussi de façon bien plus légère, presque provocante, ce qui a tendance à m’exciter. Dès que je passe plus de dix minutes dans une pièce avec elle, je me retrouve toujours avec une bonne demi-molle. Et ça attire toujours son regard. Ma mère a aimé ma queue, ou au moins le peu qu’elle en a vu. Je pourrais en jouer, mais je ne peux pas lui agiter mon chibre sous le nez pour la faire baver. J’ai ma pudeur, enfin je pense surtout que je n’en ai pas le cran.
C’est soirée télé, Maman regarde le prime de sa série avec de la romance cucul (et aussi du cul). D’habitude, je ne regarde pas, mais je ne trouve rien de mieux à faire. En plus, Aurélie est sortie avec des copines. Autant dire qu’il ne se passe rien à la maison, alors je décide de rejoindre ma mère au salon. Les lumières sont éteintes, la pièce est seulement éclairée par la télé. Il fait encore bien chaud, je porte juste mon boxer, ce qui surprend Maman.
— Dis donc Damien, tu laisses tomber les vêtements ou quoi ?— J’ai trop chaud... Et puis quand j’ai des fringues neuves, j’aime bien les arborer fièrement, ahah, dis-je d’un air pompeux.
Je m’assois au bout du canapé. Maman est absorbée par l’écran, j’en profite pour l’épier du coin de l’œil. Elle porte le débardeur très ample avec lequel elle dort. J’imagine qu’elle n’a rien en dessous. Je suis conforté dans cette idée par le col très lâche qui révèle la longue fente entre ses seins, je vois presque tout.
— Tu mates ?— Hein ? Quoi ??— La série, tu mates la série ?

Je ne voudrais pas être pris la main dans le sac (ou le nez dans son décolleté).
— Oui, je veux passer du temps avec ma Maman chérie !— Ooooh mon bébé...
Elle me rejoint au bout du canapé et m’enlace, à demi allongée contre moi, la tête sur mes abdos. Ses cheveux me caressent le ventre. Pourquoi elle fait ça, avec cette température ? En tout cas, j’ai maintenant une vue imprenable sur sa poitrine. En effet, pas de soutien-gorge. J’ai trouvé plus intéressant à regarder que la télé...Je commence à être excité. Je détourne le regard du décolleté pour ne pas me retrouver avec la gaule de la décennie à dix centimètres du nez de ma mère. J’essaie de me concentrer sur la télé pour oublier un peu que je suis acculé entre un accoudoir et un 95D.
Bon, ça parle d’amour, je crois. C’est une meuf et un mec qui parlent ensemble. Monsieur et Madame Parfait, beaux comme des acteurs de comédie romantique. C’est évident qu’ils vont finir ensemble, pas tellement de suspense... Je ne connais pas leur histoire alors je ne comprends pas grand-chose à la conversation. Apparemment, la fille s’appelle Miranda et le mec c’est Rick. Ah ils s’embrassent (je l’avais dit), se déshabillent et... Euh, la nana est seins nus à l’écran. On peut vraiment montrer ça à la télé ? Si j’avais su, j’aurais suivi toute la série, sans faute !
Bon bah je suis à nouveau bien excité et ça ne va pas en s’arrangeant, le mec est à présent en train de prendre la fille en levrette. Enfin, on ne voit pas tout, mais c’est assez explicite. C’est presque du porno, parfait... Je me concentre pour penser à autre chose, un truc pas sexy, vite... Je ferme les yeux, mais impossible d’ignorer le son de la télé. La meuf gémit...
Eh merde, je n’arrive pas à penser à autre chose. Je sens mon pénis durcir, mon caleçon se tendre. Heureusement, ma queue est le long de ma cuisse, alors j’évite le chapiteau visible à deux kilomètres à la ronde. Avec un peu de chance, elle ne remarquera rien dans le noir.
Maman remue.
— Attends, je bouge un peu, je ne vois plus l’écran.
En se redressant, elle se fige, comprenant que ce qui lui masque la vue, c’est mon érection. Raté...
— Woah c’est la scène qui te met... dans cet état ?
Je me perds à nouveau entre ses seins.
— Oui, excuse-moi...— C’est pas de ta faute, Miranda est plutôt jolie... et elle a une belle poitrine !— Pas autant que toi Maman, réponds-je bêtement.— Oh, mes nichons ne sont pas aussi gros que les siens, hihi ! dit-elle en les soupesant tout en faisant la moue, mais merci, mon bébé !
Putain ce qu’elle est bandante...Elle approche son visage du mien et me fait un bisou sur la tempe. J’ai littéralement le nez entre ses nibards et le col est si large que je les vois aussi bien que si elle était entièrement nue en face de moi. Elle s’installe à nouveau contre moi, la tête dans le creux de mon épaule cette fois-ci, pour mieux voir. Sans prévenir, sa main se pose sur la bosse que forme mon boxer. J’ai un sursaut de surprise.
— Toi aussi tu es pas mal mon chéri. C’est bien rempli là-dedans hihi !
Elle me masse le paquet à travers le tissu, me pressant avec sa paume ou me taquinant du bout des doigts. Elle joue tantôt avec mes bourses, tantôt avec la base de ma verge. Je suis tétanisé par l’audace de ma mère, mais c’est très agréable, mon sexe continue de s’allonger. Il essaie même de s’échapper de mon caleçon, mon prépuce et mon gland commencent à sentir l’air frais, comparé à la chaleur étouffante qui règne sous le bout de tissu. Je regarde la télé comme si de rien n’était, je me retiens de jouir sous ses caresses.Après un bon quart d’heure de caresses, sa main commence à s’aventurer plus loin sur ma bite maintenant aussi raide qu’un gourdin. Elle progresse le long de ma hampe jusqu’à ce qu’elle réalise que ce n’est plus le tissu de mon boxer sous ses doigts, mais la peau de mon sexe.
— Dis, tu es sûr que ces nouveaux caleçons te vont bien ? demande-t-elle.— Euh... oui, pourquoi ?— Bah il y a une grosse partie de ta zigounette qui n’est plus dedans.— Ouais c’est normal. Enfin ça a toujours été comme ça.— Moi, je ne pense pas que ce soit normal. Il faut demander à ta sœur.— T’es malade, je vais pas parler de ça à Aurélie ! Et c’est pas parce qu’elle bosse dans la mode qu’elle s’y connaît en sous-vêtements masculins.— Mais ce sont des caleçons adaptés aux gros pénis, comme le tien. Ils devraient pouvoir le contenir entièrement.— Euh bah... Je sais pas, mais en tout cas avec celui-là, je peux être en érection sans le déchirer et je peux même l’enlever...— Montre-moi ça.— Quoi ? Je vais pas te montrer ma bite.
Ironique, après m’avoir sucé...
— Damien, ne recommence pas, il faut vérifier que la taille est la bonne, sinon je vais les échanger.— Parce que tu crois que le magasin va reprendre des sous-vêtements déjà portés ?— Bien sûr !
Je ne sais décidément pas sur quelle planète elle vit, mais bon, je m’exécute. Je soulève mon bassin et fais glisser tant bien que mal mon unique vêtement jusqu’à mes genoux. Mon sexe épilé, à demi décalotté, se dresse fièrement à la verticale et apparaît à Maman, visiblement troublée par la vue de mon membre érigé.
— Oh mon Dieu... Bon, OK ça a l’air d’aller, dit-elle, tu peux le remettre.— Non, ça je peux pas.— Ah bon ? Comment ça ?— Avec une érection, j’arrive à l’enlever, mais après, je ne peux pas le remettre, c’est comme ça.
Maman est incrédule, encore une fois, elle semble ne pas vouloir me croire. Elle remonte mon boxer, je surélève mes hanches pour l’aider. Elle attrape mon sexe à pleine main et tente désespérément de le guider dans le vêtement : le long d’une cuisse, entre les deux, vers le côté, contre mon ventre, rien à faire, ça ne passe pas. J’avoue que je trouve ça marrant de voir ma mère me manipuler la queue comme si c’était un jouet. Elle finit par abandonner.
— C’est un vrai casse-tête ton truc... Comment tu fais ? me demande-t-elle.— Il faut attendre que je débande.
Maman reprend place pour poursuivre son feuilleton. Elle cale sa tête contre mon épaule, pose sa main sur mes abdos et me les caresse. Elle est sérieuse ?? Non seulement elle me laisse avec un barreau de chaise monumental entre les jambes, mais en plus elle ne m’aide absolument pas pour qu’il diminue. Là, je pourrais fermer les yeux, me boucher les oreilles ou penser à n’importe quoi, ça n’y changerait pas grand-chose. Elle m’a brandi ses énormes seins sous le nez, peloté la bite pendant vingt bonnes minutes, et elle espère que je vais me calmer alors qu’elle continue de me tripoter.
Et ce manège dure dix, vingt minutes, trente minutes... quarante minutes et ma trique ne baisse pas d’un millimètre. Je bande si fort que c’en est douloureux. J’aimerais tellement décalotter mon gland pour le libérer ou au moins essuyer le liquide pré-séminal qui s’écoule le long de ma verge. J’ai mal aux couilles tellement elles sont pleines. Et cette série qui n’en finit pas... J’en peux plus, je crois que je vais faire une syncope si je ne me branle pas. Il faut que je remonte dans ma chambre.Ah, c’est la pub, je vais peut-être trouver un prétexte pour m’extirper de là, je réfléchis... Il y a la pub pour des croquettes avec le chat qui parle.
— Il est vraiment plus gros que je pensais, dit Maman.— Ahah, il a dû s’enfiler tout le paquet de croquettes depuis le dernier spot !— Je parle de ton engin, hihi ! Tu sais, au magasin, j’ai bien remarqué que tu étais gâté par la nature, mais je n’avais pas réalisé à quel point. Maintenant que je le vois vraiment, je le trouve très impressionnant.
Maman m’empoigne le membre comme un levier de vitesse. Là, je frôle la syncope.
— Et il a l’air toujours aussi dur, ajoute-t-elle.— Euh, ouais pardon. J’arrive pas à me calmer tout seul, je... je comprends pas ce qui se passe.
En fait, j’ai ma petite idée.
— Tu as besoin d’aide, mon chéri ?
Elle change de position et se met à quatre pattes sur le canapé, et saisit ma queue à deux mains sans même attendre de réponse. En même temps, elle n’a jamais demandé de permission pour me toucher la queue. Maman me décalotte doucement, mon gland peut enfin respirer. Elle joue avec son pouce sur mon frein, elle fait des ronds pendant quelques instants. Puis elle commence de lents allers-retours avec ses deux mains. Je ne crois pas qu’elle cherche à me faire jouir au plus vite.
La série reprend, Maman pivote pour être à peu près en face de l’écran et continuer son visionnage tout en me masturbant. Son buste est désormais sur moi, je sens ses seins contre mon abdomen. Je ne peux plus voir ce qu’elle me fait, mais j’ai accès à ses fesses moulées dans son short de jogging gris clair. Elle a une grande tache humide, elle est bien émoustillée la coquine !
Je pose ma main sur son splendide cul et lui malaxe. Je m’arrête sur sa chatte que je caresse vigoureusement. Je devine ses grandes lèvres à travers le jogging, je glisse mon index dans sa fente et insiste davantage dessus. Je cale mes caresses sur le rythme des va-et-vient de ma mère. Celle-ci réagit en intensifiant sa masturbation. Je comprends qu’elle apprécie mon initiative.
Je m’arrête un instant pour baisser son short et découvre son sexe, je titille son clitoris du bout du doigt. Maman réplique : je sens le bout de sa langue qui joue autour le méat de ma bite. Elle a l’air de répondre à tout ce que je lui fais. Alors je lui chatouille les petites lèvres, elle lèche les bords de mon gland. J’insère mon index dans son vagin et elle me prend en bouche. Oh ce que c’est bon ! Vu la façon dont elle m’a épié jusqu’à présent, je déduis que Maman n’a pas peur d’avoir quelque chose de large en elle ! Alors je n’hésite pas longtemps avant d’ajouter un deuxième, puis un troisième doigt en elle. Et j’ai vu juste, elle gémit un peu plus à chaque doigt et intensifie sa succion sur ma verge. Sa bouche est tellement chaude et sa langue si douce. Elle alterne entre fellation et branlette. Je ne vois que son crâne monter et descendre lentement sur ma tige. Quel bonheur... Ça valait le coup de bander pendant une heure !
Maman lâche ma queue à mon plus grand regret et se lève pour retirer son short. Elle m’enjambe afin de se retrouver agenouillée sur le canapé, au-dessus de moi, toujours face à la télé. Ma mère prend ma verge et la guide vers l’entrée de son vagin. Mon gland entre dans sa vulve. Elle interrompt sa pénétration pour enlever son débardeur. Cette image se grave dans mon esprit : dessinée par la lumière de l’écran, la silhouette de Maman, dos à moi, qui retire son haut, dévoilant les contours de sa poitrine, avec mon sexe dans le sien. Putain c’est officiel : je baise ma mère ! Elle plie les genoux et s’empale petit à petit sur mon pénis en soupirant :
— Mon chéri... ce que tu es gros !
Sa chatte est brûlante. Après une descente interminable, nos pubis se rencontrent et Maman marque l’arrêt. On reste figés dans cette position quelques instants, imbriqués l’un dans l’autre. Puis elle imprègne des mouvements du bassin d’avant en arrière, courts mais puissants. J’essaie de l’accompagner en donnant des petits coups de reins malgré ma mère assise sur moi et mon boxer qui m’entrave les jambes au niveau des genoux.Je jette un œil à la télé : la Miranda est en train de se faire démonter par un autre gars. C’est une vraie chaudasse celle-là. Et Maman n’en perd pas une miette. Je ne sais pas si les couinements viennent de l’actrice ou d’elle.
Histoire de ne pas juste être le gode sur laquelle Maman fait de la balançoire, je pose mes mains sur ses flancs, glisse et lui attrape la poitrine à pleines mains. La vache, elle n’a rien à envier à mes copines qui ont la vingtaine ! Je la tire en arrière pour la faire basculer sur le dos et je la maintiens fermement contre moi par ses seins. Elle est surprise.
— Oh mon bébé... lâche-t-elle entre deux soupirs.
Maintenant, c’est moi qui mène la danse. Je commence à lui donner de grands coups de bite. Je retire mon sexe jusqu’à n’avoir plus que mon gland en elle, puis je m’enfonce jusqu’à buter contre son col de l’utérus et je continue encore et encore. Elle veut se faire prendre par un gros manche, la voilà servie ! Elle geint à chacun de mes passages. La lumière rasante trahit la sueur qui perle et coule sur sa peau. Au bout de quelques minutes, son corps se raidit et elle commence à haleter. Je sens qu’elle va jouir, je diminue la cadence de mes coups de boutoir pour la faire languir. Elle s’avoue vaincue, sa tête tombe contre mon torse. J’en profite pour la libérer de mon étreinte. Ce n’est plus qu’une poupée désarticulée, empalée sur ma queue. Elle se tend d’un coup et retient sa respiration. Elle pousse de longs cris de jouissance avant de s’écrouler à nouveau sur moi.
— Je t’aime Damien, dit-elle à bout de souffle.
Pour seule réponse, je reprends mes va-et-vient dans ma mère. Elle a des spasmes dus à son orgasme, je sens son vagin se contracter autour de mon sexe. Je passe encore quelques minutes à lui besogner la chatte et je sens le plaisir monter.
— Maman, je vais jouir...— Attends ! Pas ici, tu vas tacher quelque chose, viens dans ma bouche.
Elle se retire de moi et s’agenouille par terre, je bondis du canapé, je me dresse devant ma mère, nue à attendre la semence de son fils. Je me branle vigoureusement en visant son gosier. Maman me masse les boules pour m’encourager. Après quelques minutes, je sens le jus monter le long de ma verge.
— Ça vient !
Elle tire la langue et j’éjacule enfin. Mes salves de sperme sont copieuses. Ma jouissance est interminable et je jute encore et encore dans sa bouche. Après la cinquième giclée, Maman commence à être perplexe, elle rentre sa langue pour faire de la place et essaie d’ouvrir la bouche le plus grand possible. Je me concentre pour viser au mieux malgré mes jambes qui faiblissent après cet orgasme dévastateur. Huitième giclée, le gosier de Maman commence à être sérieusement rempli, elle panique, mais je lui attrape le menton pour la tenir en place et je continue de me vider. La douzième giclée est finalement la dernière. Ouf...La bouche de Maman est quasi pleine à ras bord de mon foutre. Elle paraît furieuse, elle est incapable de parler, mais ses yeux en disent long. Elle déglutit à quatre reprises puis reprend son souffle.
— Non, mais ça va pas Damien ?? J’ai failli m’étouffer, et au moindre accident, il aurait fallu changer la moquette !— Je suis vraiment désolé... mais c’est pas ma faute. C’est toi qui m’as chauffé toute la soirée et qui m’as dit d’éjaculer dans ta bouche.
Elle prend quelques secondes pour se calmer.
— Tu as raison, c’est ma faute, excuse-moi. C’est juste que je ne m’attendais pas à une dose pareille...
Mon pénis ramollit enfin. Maman lape les dernières gouttes de sperme qui coulent de mon gland. Elle remonte mon caleçon et réussit tant bien que mal à y faire rentrer mon sexe. Elle sourit.— Et voilà, ton gros machin est maintenant à l’abri ! dit-elle en caressant mon paquet. Oh zut, on a raté la fin de l’épisode...
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