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Un caleçon trop serré

Chapitre 3

Inceste
C’est le matin, je me réveille. Ma mère et ma sœur travaillent, mais moi je suis toujours en vacances, quel bonheur ! Quelle joie de se lever et ne rien avoir à faire de la journée ! Je vais prendre mon petit-déjeuner. Étant seul à la maison, je descends en simple pyjama.
Arrivé dans la cuisine, je prends un bol que je remplis de mes céréales favorites. Je tombe lourdement dans le canapé du salon et allume la télé, je mange tout en scrollant sur mon portable. Rien de bien intéressant, ni sur l’une ni sur l’autre. De toute façon, je suis encore à moitié endormi.
— C’est à cette heure-là que tu te lèves ?
C’est Aurélie, ma grande sœur, déjà habillée et pimpante. En même temps, il est déjà 11h.
— Et toi, tu es pas au boulot ?
Elle a fini ses études de marketing et maintenant, à 22 ans, elle fait de la com dans une boîte de prêt-à-porter.
— Non, je commence cet aprèm. Tu regardes quoi de beau ? demande-t-elle en me rejoignant sur le canapé.— Rien.— Passionnant !
Elle m’en demande beaucoup pour un matin, alors que je suis encore dans le cirage. Elle s’absente un instant avant de revenir avec son tapis de gym. Elle le déroule et entame sa traditionnelle séance de yoga. C’est curieux, d’habitude elle fait plutôt ça dans sa chambre, et je ne pense pas que ce soit le programme à la télé qui la retient dans le salon. Ce n’est pas ce qui m’y retient non plus, à vrai dire.
Aurélie prend une position jambes écartées, un genou fléchi et les bras tendus à l’horizontale. Je n’y connais rien du tout, mais c’est rigolo à voir. D’après elle, ça aide à travailler la souplesse et à canaliser le stress, peut-être que j’essaierai un jour. Elle tient chacune de ses poses quelques instants en respirant profondément.
Elle pose les mains au sol, renversant ses cheveux châtains, et garde les jambes jointes et bien tendues, formant un triangle, mais surtout une vue imprenable sur ses superbes fesses. J’aperçois sa brassière rose remplie par sa lourde poitrine, me faisant regretter qu’elle ne soit pas tournée dans mon sens. Maintenant, Aurélie lève un bras en l’air tandis que sa jambe droite rejoint la main restée à terre. Son legging noir s’incruste entre ses fesses à mesure qu’elle tend ses membres, laissant deviner les contours de son string.
Woah, ça devient dur pour moi, au sens propre comme au sens figuré. Heureusement qu’elle garde les yeux fermés. Ce n’est pas fini, elle se met à genoux, coudes et torse contre le sol, comme si elle était allongée, mais avec les fesses en l’air. On dirait une invitation, j’ai envie d’attraper ce cul bien ferme pour caler ma verge gonflée dans sa raie !
Après de longues secondes, ma sœur se relève. C’est terminé, merci... Elle pivote dans ma direction. Je cache rapidement ma gaule terrible, mais en pyjama, c’est peine perdue. Aurélie pianote sur son portable et prend la pose, elle doit faire des selfies pour son Insta. #Yoga #Fitgirl #Pétasse #CulDeRêve. Elle me dit :

— Je vais à la douche.
Tant mieux, ce sera l’occasion de me soulager après ce numéro des plus attrayants. Je monte dans ma chambre.
Quelques instants plus tard, une fois mon forfait commis, je reviens dans le salon terminer mes céréales que j’ai un peu délaissées, trop occupé à baver sur le cul de ma grande sœur. Je tombe sur son portable, elle a dû l’oublier. Je le prends et me dirige vers la salle de bain pour le lui rendre, elle ne ferme jamais la porte et ça ne la dérangera pas de me voir entrer.
— Aurélie, j’ai...
Alors que je m’apprête à ouvrir la porte, le portable vibre. L’écran s’illumine et une notification apparaît.
[SMS, Tiffaine]< OMG c’est ton frère ça ?????? 🍆😱
— Oui ? demande Aurélie.
Je ne comprends pas, c’est quoi ce message ? Ma sœur parle de moi avec cette fille, mais je ne connais aucune Tiffaine.
— Euh... C’est qui Tiffaine ?— Hein ?
Elle entend mal avec le bruit de l’eau qui coule.
— Tu as reçu un message d’une certaine Tiffaine et elle d...— Quoi ? Non, non, non, ne regarde pas ça !!
Aurélie sort en trombe de la douche et court, ses pieds nus claquent contre le carrelage. Elle entrouvre la porte et se glisse dans le jour, les seins cachés par son bras. Elle est toute trempée. Elle m’arrache le téléphone des mains. Perplexe, je lui demande des comptes, mais son regard fuit à la recherche d’une réponse satisfaisante.
— OK... Je comptais m’y prendre autrement, mais tant pis, soupire-t-elle, je t’explique.
Elle s’enroule une serviette autour du corps pour être plus à l’aise.
— Tiffaine, c’est une copine et collègue. Cet aprèm, on est censées gérer le shooting photo pour la nouvelle ligne de sous-vêts, mais notre modèle homme nous a plantées. Du coup on cherche désespérément quelqu’un, j’ai pensé à toi et j’ai envoyé des photos à Tiff pour avoir son avis.
Elle jette un œil sur son écran et ricane avant de compléter :
— Et je crois que tu es validé !— Pourquoi moi ?— Parce qu’il nous faut un mec bien monté. Visuellement, c’est mieux et les études montrent que c’est très efficace sur le public masculin, ils pensent que le produit les mettra autant en valeur. Maman m’a parlé de tes boxers, et ce qui va avec, du coup je me suis dit...— Et tu as envoyé quoi comme photos ?— Bah... Je me doutais que tu serais tiède à l’idée, alors j’ai manigancé un plan machiavélique : j’ai fait mon yoga devant toi pour t’exciter un max et j’ai pris des photos de ton engin en scred, explique-t-elle dans le plus grand des calmes.
Je n’en reviens pas... Maman a osé lui parler des caleçons et maintenant ça. À croire que je suis le seul de la famille à encore avoir un peu de pudeur. Aurélie poursuit :
— Du coup ça t’intéresse ?— Euh...— Bien sûr tu seras payé. On ne verra même pas ton visage sur les photos. Et je te rassure, il n’y a rien de porno là-dedans.—...— Même si tu as ce qu’il faut pour, à mon avis, divague-t-elle avec une moue songeuse.
Je ne sais pas trop quoi penser, je n’ai jamais envisagé de faire ça un jour dans ma vie. Mais ça me ferait de l’argent et peut-être une expérience sympa, qui sait ?
— C’est vraiment urgent. J’ai pas envie de contacter un de mes ex, tu es notre seul espoir...— Bon d’accord.
Ses yeux s’illuminent. Elle se jette à mon cou, écrasant sa peau humide contre la mienne.
— Oh merci, merci, merci !! Tu gères ! Je t’envoie le rendez-vous.
Bon, moi qui ai cru passer la journée à glander dans la maison, me voilà catapulté dans un shooting photo. J’essaie de me faire à cette idée pendant que ma sœur termine sa douche et s’en va pour tout préparer. J’ai eu certes beaucoup de plaisir à me montrer un peu devant ma mère, mais là il s’agit de poser devant de parfaits inconnus et d’être publié ensuite, ce n’est pas la même chose. Dans quoi je me suis encore embarqué ?

C’est l’heure, je me rends sur place, Aurélie est censée m’y retrouver. Arrivé, j’ai l’impression qu’il s’agit d’un immeuble résidentiel, je vérifie plusieurs fois l’adresse qu’elle m’a donnée. Non, pas d’erreur. Je n’ose pas entrer avec le trac qui commence à m’envahir. Mais il est trop tard pour reculer, je ne peux pas décevoir ma sœur. Enfin, après quelques minutes d’attente, la voilà qui m’ouvre. Nous traversons le hall d’entrée et prenons l’ascenseur.
— Nerveux ? demande-t-elle l’air taquin.— Ça se voit tant que ça ?? En même temps, c’est pas évident de s’afficher comme ça...— Ne t’en fais pas, il n’y aura que des pros, et personne n’est là pour juger. Et puis c’est cool que tu te décoinces un peu.— Que je me décoince ?— Ouais, le tabou, la société, tout ça, tout ça... C’est nul. Il faut être libre et savoir s’assumer ! On ne peut qu’être mieux dans sa peau, tu verras.
Je pense à cette remarque, elle a sûrement raison. C’est vrai, de quoi j’ai honte après tout ? J’aimerais bien être aussi débridée qu’elle. Mais je pense que je suis sur la bonne voie, littéralement. Elle ajoute :
— En plus, tu es bien foutu, ça devrait être facile !— C’est gentil, mais tu te sentirais comment si c’était toi qu’on allait prendre en photo à moitié à poil ?— Plutôt bien, c’est assez rigolo. Je l’ai déjà fait deux ou trois fois, tu veux voir ?
Aurélie sort son portable, parcourt sa galerie photo et me montre les images en question. Woah, je ne m’attendais pas à ça. Autant je suis habitué à voir ma sœur en tenue légère à la maison, elle est loin d’être pudique, mais en photo c’est différent. Elle me fait le détail des collections, des articles, des modèles ou je ne sais quoi, mais je ne l’écoute plus vraiment. Tout ce que je vois à l’écran, c’est ma grande sœur super gaulée et quasiment nue. Autant dire que je n’ai pas grand-chose à foutre des vêtements qu’elle porte, je préfèrerais même ne pas les voir du tout. J’en profite pour me régaler de ces formes que je me suis toujours contenté de deviner, sa taille fine, ses hanches voluptueuses, ses jambes élancées... Elle m’arrache à mes rêveries :
— Eh oh ! Ravale ta salive petit frère, tu vas être à sec !— Pardon j’étais...—... en train de te rincer l’œil ? complète-t-elle avec un sourire coquin.— Euh ouais, elles sont pas mal.— Et sans la moindre retouche, Monsieur. Faut dire que la frangine, elle a ce qu’il faut où il faut ! Hé hé ! dit-elle en bombant et secouant fièrement sa poitrine, tout juste maintenue par son haut.
Elle a bien raison. Je suis confus, je ne rebondis pas sur Aurélie. Ses deux seins le font déjà très bien.
Mon tourment n’est que de courte durée, car nous sommes arrivés au quatrième. On descend de l’ascenseur et franchit le palier. Ma sœur ouvre la porte et me fait entrer. Il s’agit bel et bien d’un simple appartement d’habitation. Aurélie m’explique que pour un petit shooting, c’est plus intéressant de louer un Airbnb pour une demi-journée et déposer une caution que de payer les services d’un studio photo. On est vite accueillis par la fameuse Tiffaine :
— Entrez, entrez, installez-vous, on va pas tarder à commencer !
Aurélie me présente à l’assistance :
— Voici Damien, mon frère, il remplace Donovan qui n’est finalement pas dispo.
Je salue tout le monde et nous faisons les présentations. Il y a donc Tiffaine, la collègue de ma sœur, Jérôme le photographe et deux filles mannequins : Sarah et Juliette. Je suis un peu intimidé devant ces professionnels très assurés et pour qui tout ça est la routine. Heureusement, Tiffaine est très gentille et me met à l’aise immédiatement.
— OK je te brief : on fait le shooting ici dans le living, tu peux te changer dans la chambre à gauche, les filles sont dans celle de droite, et la salle de bain est là-bas au fond du couloir si tu as besoin. Alright ?— D’accord.— Tu changes de sous-vêt pendant que les autres passent devant Jérôme et on switch. L’idée c’est de pas perdre trop de temps, on l’a jusqu’à 16h, ça va être le rush. Il finit d’installer les lights et ça part, on commence par les filles et après c’est ton tour alors get ready !
Elle me tend mes uniques habits pour cet après-midi, l’ensemble de caleçons que je vais devoir porter. Il y en a une douzaine en tout. Je rejoins la chambre qu’elle m’a indiquée. Je quitte mes habits et enfile le premier boxer. Ça me comprime le paquet fatalement, après tout c’est la raison de ma venue, mais ça devrait le faire. Je sors.
Je me sens à nouveau nerveux à l’approche de la salle de séjour, à l’idée d’être la cible de tous les regards. Heureusement, l’attention est déjà focalisée sur Juliette qui a entamé sa session. Tiffaine et Aurélie sont aux côtés de Jérôme et donnent des indications de pose. Je reste dans un coin pour ne pas gêner et observe attentivement la scène puisque ce sera bientôt moi à la place de la jolie blonde. Les deux collègues ont l’air plutôt exigeantes, elles ont une idée claire des images qu’elles veulent.
Sarah prend la place de Juliette qui part se changer. C’est un sacré spectacle qui s’offre à moi, deux superbes filles en petite tenue qui se relaient et usent de leur corps de nymphe pour mettre en valeur les articles qu’elles portent. À moins que ce soient les articles qui mettent leur corps de nymphe en valeur ? Je crois que je comprends mieux la stratégie marketing.
— À ton tour, Damien.
Je succède à Juliette. La lumière des projos me chauffe la peau. Je me tiens debout, immobile devant l’objectif qui me fixe, je me sens un peu nigaud à attendre des indications.
— Mets-toi légèrement de trois quarts, ordonne Tiffaine.
Je m’exécute.
— Voilà nickel !— Tu peux contracter un peu tes abdos, ajoute Aurélie, mets-moi ça en valeur.— Yeah !— Là c’est vraiment top.
J’obéis sans trop réfléchir pendant que le photographe mitraille mon bas-ventre sous tous les angles. Je prends de plus en plus mes aises et commence à bien apprécier l’exercice, sous les encouragements des filles.
— OK je pense qu’on a ce qu’il nous faut pour ce modèle, tu peux changer.
Je regagne la chambre, me déshabille et enfile un autre boxer dans la seconde. Je crois que je me prends au jeu, j’ai hâte d’attaquer la manche suivante ! J’assiste à nouveau aux tirages de Juliette et Sarah. Elles sont douées, enfin j’ai l’impression. Je tâche d’en prendre de la graine, je réfléchis à comment faire aussi bien tout en y ajoutant la touche de masculinité.
La séance se poursuit, on passe à tour de rôle. Aurélie et Tiffaine ont allumé la musique pour mettre l’ambiance. Elles sont en effervescence et s’amusent comme des folles. Et c’est notre cas aussi. Hormis ces caleçons qui me serrent toujours autant, je passe un super moment et j’en fais part à ma sœur :
— En fait, je te comprends sœurette, c’est vraiment kiffant !— Contente que ça te plaise. Tu vois que j’avais raison, on rigole bien. En plus, je trouve que t’assures !! répond-elle, complice, allez en piste beau gosse !
Je prends place et continue mon show. Je suis chaud, en ébullition. La pression diminue et je finis même par oublier le photographe. Les filles n’y sont pas étrangères, elles m’aident bien.
— Essaie avec les mains sur les hanches.— Ouais comme ça Damien, continue !— Attends, mets bien en avant ton gros paquet.— Oh my god ! Montre-nous la bête !
Elles éclatent de rire, elles sont cinglées ! La température monte. Jusqu’à présent, j’ai bien géré l’excitation malgré les prestations de Sarah et Juliette. Mais je pense à Aurélie, à ses paroles, à ses photos, obtenues dans ce même cadre, ces deux filles qui me matent. Mon sexe commence à enfler et prend de la vigueur, mais je fais mine de rien et reste dans mon rôle en espérant que la protubérance entre mes jambes se fasse discrète.
— Vas-y, cambre-toi un peu comme ça.
Je m’exécute, ça me tire sur les muscles, les articulations et surtout le service trois pièces qui est bien à l’étroit, mais je tiens la pose, au plaisir de ces dames manifestement.
— Yes ça rend pas mal.— Est-ce que tu p...
CRAC ! Merde, une couture vient de lâcher ! Je fais comme si de rien n’était, peut-être que personne n’a remarqué. Mais je sens rapidement l’étreinte sur mon entrejambe se relâcher. Les commentaires disparaissent et les visages de l’assistance se figent : Aurélie prend une expression surprise, mais amusée, tandis que Tiffaine se mord la lèvre. Je pose finalement les yeux sur l’objet de tous les regards. C’est bien ce que je crains : le boxer se fend à vue d’œil sous la pression de mon pénis qui prend dangereusement du volume. Merde, si ça continue, je vais finir le sexe à l’air et elles vont vraiment voir la bête.
Par réflexe, je couvre mes parties et cours vers la salle de bain sous les messes basses et les gloussements de Sarah et Juliette. Je retire rapidement le sous-vêtement avant de me retrouver pris au piège dedans comme ça m’est si souvent arrivé. C’est tellement embarrassant, et moi qui m’enfuis comme un gamin, putain j’ai honte...
Mon sexe désormais libre finit de grossir et prend toute son amplitude. Bon, j’attends que ça passe. On toque.
— Ça va, Damien ?
C’est ma sœur. Je lui réponds à travers la porte :
— Ouais, ouais t’en fais pas, faut juste que je... me calme un peu.— Oui, on a bien vu, c’était dur à louper, ah ah !— Très drôle, continuez sans moi, j’arrive.— Ça va je rigole ! Dépêche-toi.
Je prends quelques gorgées d’eau au robinet et essaie de penser à autre chose. Je tourne en rond comme un fauve en cage. Le carrelage est froid sous mes pieds. Le miroir me renvoie l’image de mon corps, mon torse, mon abdomen et ma queue droite comme un I majuscule surplombant mes bourses.
Impossible de débander, et le stress et la congestion n’aident pas du tout. Pas le choix, il faut que je me branle, il faut que j’évacue toute cette pression. Je m’assieds sur la cuvette des toilettes, enserre mon membre dur comme du bois et commence le travail. Je m’astique de bas en haut à pleine vitesse, mais le plaisir peine à monter. Je mets toute ma force dans mon poignet, si bien que je peux entendre mon cœur frapper ma cage thoracique.
Ça fait bien quinze minutes que je me besogne, mais rien n’y fait, je ne jouis pas. Mon bras devient engourdi, c’est douloureux.
— C’est encore moi. Grouille-toi, les filles ont presque fini, et on a pas toute la journée.
C’est toujours Aurélie. Je lui avoue :
— J’y arrive pas...— Branle-toi, je sais pas.— Mais tu crois que je fais quoi, là ??— Bah mets-y plus d’énergie, personne va le faire à ta place !
Je reprends ma masturbation sous les conseils avisés de ma sœur. Ma respiration est haletante, elle entend forcément à travers la porte, en plus du claquement frénétique de ma main contre mon pubis.
— Alors ça vient ?— Non, j’arrive pas à jouir, gémis-je entre deux bouffées.— Bon, attends.
La poignée de porte tourne et Aurélie pénètre dans la salle de bain. Sans plus d’explications, elle écarte les bretelles de son petit haut jaune, glisse les mains dans son décolleté et en extirpe sa poitrine arrogante.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Je te donne un soutien visuel.
Sacré soutien ! Deux melons bien fermes légèrement rehaussés par le vêtement retroussé. Je poursuis ma branlette devant ma sœur qui se tient droite, mains sur les hanches, à attendre ma jouissance. Ses yeux sillonnent la pièce avant de s’échouer sur mon manche rougi par les assauts répétés de ma main.
— Je t’avoue que c’est mieux qu’en photo.— Je te retourne le compliment, réplique-t-elle avec un franc sourire.
Soudain, une douleur horrible s’empare de mon bras, là c’en est trop...
— Aaaah ! Je crois que j’ai une crampe.— Attends, tu te moques de moi ?— Si, je te jure, ça me lance.— J’le crois pas, râle-t-elle, on a pas le teeeemps...
Pendant que je me masse le poignet et reprends mon souffle, sans prévenir, Aurélie tombe sur ses genoux, attrape mon sexe et entame un va-et-vient très assuré. Ses mains sont fraîches, par rapport à la mienne et à mon organe bien congestionné. Elles montent et descendent pendant que son pouce presse méthodiquement la naissance de mon frein. Aurélie me branle à merveille, j’arrive à me détendre et me laisser aller au plaisir. Ma sœur amplifie et accélère son mouvement sur ma queue. Elle commente avec son flegme habituel :
— Ça devrait aller vite. Tu dois être bien excité vu comment ta bite est raide !— Euh... Je sais pas, elle est normale là.— Ah ouais ?? La vache... J’en ai branlé des mecs, mais je dois dire que j’ai jamais eu d’engin aussi dur que ça entre les mains. C’est ouf, surtout pour une taille pareille. Elle poursuit : en fait c’est sûrement ça le problème avec tes caleçons.
Ça se tient.
Le haut d’Aurélie glisse petit à petit sur son ventre, seules les bretelles maintenues par ses coudes le retiennent. Ses seins se balancent au rythme effréné de ses mains sur mon membre. Elle semble très concentrée sur la tâche qu’elle s’est attribuée. C’est évident qu’elle n’est pas novice et qu’elle sait y faire. Et ça porte ses fruits, car le plaisir monte rapidement cette fois. Je l’avertis :
— Ça vient Aurélie, ça vient !
Une de ses mains lâche ma bite, arrache trois ou quatre feuilles de PQ qu’elle présente devant mon gland, prêtes à recueillir ma semence. Le point de non-retour est franchi. La sève monte le long de ma verge et jaillit du méat dans une décharge de plaisir. La puissance du jet fait que le papier échappe immédiatement à ma sœur. Une deuxième giclée abondante vient zébrer son visage, elle a un sursaut de surprise et est contrainte de fermer les yeux. Elle se fige alors que mes décharges successives lui recouvrent le buste.
— Non, non, non, non, non !
Aurélie finit par lâcher ma queue et place ses mains devant son visage pour se protéger. Je n’ai aucune réaction, tétanisé à cause de mon bras endolori. Les spasmes de jouissance animent mon sexe de soubresauts, crachant son jus partout sur le mur, ses habits et ses mains, coulant au sol.
À bout de patience, elle attrape mon manche et me tire vers la douche. Mes jambes sont molles avec l’orgasme, je manque de basculer dans la cabine, mais parviens à me rattraper contre la faillance. Aurélie se tient à genoux entre mes jambes écartées, à orienter mon éjaculation vers le bac de douche. Ses mains suintantes de foutre poursuivent leur course sur mon membre dur. Le bruit de mon sperme s’écrasant contre le plastique se mêle à nos halètements. Je finis de me vider. Le plaisir arrive à son terme. Ma sœur continue de me traire quelques instants après les dernières salves, extirpant jusqu’à la dernière goutte de ma semence.
Elle lâche ma queue brûlante et tombe sur ses fesses, épuisée, mais soulagée. Je me retourne pour reprendre mes esprits. Aurélie est méconnaissable, du sperme coule partout sur ses joues, ses lèvres et entre ses seins, imbibant son haut retroussé. Je balaye la pièce du regard pour constater les dégâts : la tapisserie, le miroir et le sol sont maculés de foutre, sans parler de la cabine de douche. C’est un carnage. Là je me dis que j’aurais mieux fait de jouir dans sa bouche, comme pour Maman. Elle découvre le spectacle en même temps que moi. Elle bondit sur ses pieds.
— Oh merde, la caution ! Putain tu fais chier !— Eh, mais j’ai pas fait exprès !— C’est pas vrai... T’en as foutu partout !
Elle est vraiment en colère, dépitée. J’espère que personne n’a entendu.
— Je vais nettoyer. T’en fais pas, ça va partir.— Non, toi tu vas finir tes photos, ordonne-t-elle exaspérée, je m’occupe de... tout ça.
Après avoir essuyé mon sexe ramolli, je regagne la chambre discrètement, laissant ma sœur essuyer ma semence. Ça m’ennuie beaucoup, mais je préfère lui obéir, et ne pas l’énerver davantage. J’enfile un nouveau boxer et retourne sur le plateau, mine de rien. Je reprends la séance photo tout en lorgnant du côté de la salle de bain, guettant ou redoutant le retour de ma sœur.
Le shooting s’achève ainsi sans plus d’encombres, hormis quelques allusions. Heureusement, personne n’a semblé s’inquiéter plus que ça de l’absence prolongée d’Aurélie. Je me rhabille pour rentrer à la maison. Je crois que je suis dans de beaux draps...
Sur le départ, Tiffaine me glisse avec un sourire en coin :
— Je retiens le caleçon que tu as abimé sur ta paye, OK l’étalon ?
Je me dis que c’est mieux que la caution.
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