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Un caleçon trop serré

Chapitre 4

Inceste
La porte d’entrée claque violemment. Ça y est, Aurélie est de retour à la maison. Ça fait déjà longtemps que nous nous sommes quittés et que je suis rentré, mais elle n’a pas l’air plus calme que tout à l’heure. Je n’aurais pas dû la laisser en plan dans l’appart, elle m’en veut, c’est sûr... Depuis ma chambre, j’entends ma mère, rentrée elle aussi, l’accueillir :
— Salut ma chérie.
Ma grande sœur grogne pour seule réponse et monte de suite à l’étage. Soirée agréable en perspective... Je reste dans ma chambre et tâche de me faire aussi petit que possible. Je ne pense pas qu’elle ait envie de me voir.
— Aurélie, ça va ? demande Maman, inquiète.
Pas de réponse. Des pas résonnent dans l’escalier, c’est elle qui monte à son tour et entre dans la chambre d’Aurélie en fermant la porte derrière elle. J’imagine qu’elles parlent toutes les deux, mais je n’entends rien. J’ai peur de ce qu’elle pourrait dire à Maman, vu ce qui s’est passé tout à l’heure, mais il faut que je sache. Je quitte ma chambre et me rapproche à pas de loup. Je vais lentement pour que personne n’entende le plancher craquer sous mon poids. Je tends l’oreille contre la porte.
— ... que du papier toilette pour tout nettoyer. Ça m’a pris tellement de temps que j’ai pas pu m’essuyer le corps. J’ai dû rendre les clefs et rentrer à la maison dans cet état, à moitié couverte de foutre. Le proprio a dû croire que je sortais d’un gang-bang, regarde ça !
Je glisse un œil à travers le trou de la serrure et distingue le dos nu de ma grande sœur, exposant son haut détrempé au regard de son interlocutrice.
— Oh mon Dieu... Qu’est-ce que c’est ?— Je viens de te le dire Maman, explique Aurélie, c’est Damien qui m’a éjaculée dessus, sur le visage, sur les seins, partout...— Ma pauvre chérie, c’est vrai que ton frère a de bonnes réserves, tu ne pouvais pas savoir.— Euh, oui, mais toi, comment tu le sais ?
Merde, je n’y crois pas... Maman a parlé un peu trop vite. Pas de réponse de sa part, seulement un silence gêné. Aurélie comprend :
— Non tu déconnes ?? Tu as baisé avec Damien ! C’est pour ça que tu lui fais du gringue et que tu t’habilles comme une salope à la maison.— Eh ! Tu m’as appelée comment, là ? répond Maman, faussement outrée par le langage de sa fille.— Fais pas l’innocente, tu joues les chaudasses pour te faire sauter par ton propre fils.
Je suis surpris par la façon de parler de ma grande sœur, elle s’emporte un peu. Maman la prend par les épaules et enchaîne :
— Tu m’en veux, ma chérie ?— Non non non, faites ce que vous voulez, vous êtes tous les deux des adultes... Et puis, je l’ai branlé, je serais mal placée pour juger. Alors si tu veux te faire plaisir sur son gros chibre, vas-y.— Merci ma puce, ça me soulage beaucoup ce que tu me dis ! Maintenant, va te doucher, débarrasse-toi de tout ce jus séché, décompresse et on ira parler avec ton frère plus tard.
La conversation arrive à son terme, je m’éclipse et regagne ma chambre en douce avant d’être pris en flagrant délit d’espionnage. J’espère qu’Aurélie va se calmer un peu, sinon je ne donne pas cher de ma peau. Il ne faut pas jouir sur sa grande sœur, mauvais plan... Il faudrait que je m’excuse auprès d’elle, mais je ne sais pas comment m’y prendre.
La soirée poursuit son cours. Ma mère frappe à la porte, je crois que c’est le moment. Je vais passer un sale quart d’heure. Je la suis dans la chambre de ma sœur. Celle-ci est en peignoir à son bureau, en train de travailler sur son PC. Je suis un peu nerveux, pas tant parce que je vais probablement me faire engueuler, mais parce qu’il est question de cul, et je ne suis pas très à l’aise avec ce sujet en famille. Maman m’invite à m’asseoir sur le lit et fait de même.
— Bon chéri, je t’ai fait venir par rapport à ce qui s’est passé aujourd’hui avec ta sœur.— Oui je m’en doute, m’adressant directement à Aurélie, je voulais justement m’excuser de t’avoir laissée comme ça et de ne pas être resté après le shooting pour t’aider à nettoyer. Je suis vraiment désolé...— Et de m’avoir joui à la gueule aussi peut-être ? rétorque-t-elle sèchement.— Mais je t’ai déjà dit que c’était un accident !— C’était trop compliqué de faire comme aux toilettes : tenir ta bite pour guider ton jet !?— J’avais mal au bras, je pouvais pas...— Ben voyons, c’est assez dur à avaler !
À propos de dur à avaler, ce simple souvenir et la façon dont Aurélie l’évoque suffisent à me mettre en émoi et mon sexe durcit, je dissimule cette excroissance entre mes jambes. Maman nous interrompt :
— On se calme, les enfants. Aurélie, tu as pu récupérer ta caution ?— Oui.— Bon, l’argent a été récupéré et ton frère s’est excusé de lui-même, Maman poursuit, alors maintenant vous faites la paix. Damien, tu vas faire un bisou à ta sœur pour vous réconcilier.
Elle croit qu’on a encore cinq ans. Aurélie bougonne, mais je m’exécute. Je me dresse devant son bureau. Son regard ne quitte pas l’écran du PC. Je me penche pour l’embrasser sur la tempe.
— Allez ma chérie, à ton tour.
Non sans avoir levé les yeux au ciel avant, Aurélie tourne la tête et pose ses lèvres sur ma joue une fraction de seconde. Alors que je me redresse, elle remarque la proéminence qui déforme mon jean le long de ma cuisse.
— Bouge de là, râle-t-elle, j’ai pas envie que tu repeignes aussi mon ordi.— Qu’est-ce qu’il y a ? demande Maman.— Ton fils est un animal en rut, voilà ce qu’il y a.— Montre-moi ça, Damien.
Je n’ai pas le temps de montrer ni même de cacher quoi que ce soit. Ma mère bondit dans mon dos et me glisse la main au paquet sans prévenir.
— Oh non, tu vas encore être tout serré.
Elle ouvre ma braguette et baisse mon pantalon à mi-cuisses. Ma sœur, aussi perplexe que moi clairement, l’interroge :
— Euh... Maman, tu fais quoi là ?— Je te montre ce dont je t’ai parlé.— Maman, je suis pas sûr que ce soit nécessaire... ajouté-je, gêné.
Mais elle ne m’écoute pas. Aurélie tâche d’ignorer ce qu’elle voit tandis que la main intrusive caresse la bosse qui ne cesse d’augmenter en taille désormais libérée de mon jean. Ma verge s’allonge jusqu’à ce que le gland dépasse largement du boxer. Maman prend en main la partie émergée de l’iceberg et commente :
— Regarde chérie, c’est presque la moitié qui sort. Regarde.
Aurélie s’en fiche, elle lève tout juste les yeux sans un mot.
— Non, mais regarde vraiment, on peut...— Oui, il a une énorme bite ! admet ma sœur, irritée. On a compris, pas la peine d’en faire tout un plat !— Tu pourrais un peu te soucier du problème de ton frère, Aurélie.
Celle-ci ricane avec dédain. Disons que moi je vis plutôt bien avec ce « problème », mais Maman a l’air de prendre ça très à cœur, alors je me laisse faire sans rien dire. De toute façon, dès qu’elle a une idée en tête... Ma sœur soupire avant de suggérer :
— En magasin, il existe des sous-vêtements adaptés pour les pénis hors norme.— Mais il en porte déjà, la taille maximale !— Euh... C’est vrai ? demande Aurélie dubitative.— Bien sûr, c’est même moi qui les ai achetés l’autre jour.
Elles parlent comme si je n’étais pas là. Et c’est vrai que je suis un peu absent, envoûté par ma mère et sa main qui me masse la trique avec doigté. Le tissu se décolle de ma peau sous la raideur de mon organe.
— Dans ce cas, il faut arrêter de bander Monsieur, propose Aurélie avec ironie.— Plus facile à dire qu’à faire...— Hum, si c’est le seul moyen ! s’exclame Maman, saisissant la perche tendue (littéralement).
Elle tombe à mes pieds, approche son visage et prend l’extrémité de mon sexe dépassant du caleçon entre ses lèvres. Ses mains me chatouillent la cuisse tandis que sa bouche s’occupe de mon membre tendu. Ce spectacle inattendu ne manque pas de faire réagir ma sœur :
— Attendez, vous allez vraiment faire ça ici ?
Pour seule réponse, Maman gémit avec insistance pour signifier qu’elle se délecte du goût de ma queue. Elle exagère, mais ça me fait vraiment de l’effet. Ses talents de suceuse se confirment. Elle me fixe du regard et m’adresse un sourire du coin des lèvres malgré ma verge qui lui encombre la bouche. Elle me suce le bout de la bite quelques instants puis me recrache, attrape l’élastique de mon boxer et le baisse d’un coup avec force. Mon pénis jaillit devant son visage satisfait.
— Ta queue est magnifique. Tu veux goûter, ma puce ?— Ça ira merci, répond Aurélie, exaspérée.— Tant pis, je la garde pour moi seule, hihi !
Maman m’embrasse une dernière fois le gland avant de se relever, retirer son pantalon et sa culotte et s’allonger au bord du lit de sa fille. Elle ouvre les jambes, m’offrant sa chatte.
— Viens t’occuper de moi, chéri.
Aurélie commente :
— Je rêve... Sur mon lit en plus ?
Après tout ce qui s’est déjà passé, je ne me pose même plus de questions. Je finis d’enlever mon jean, mon boxer ainsi que mon t-shirt. Elle soupire profondément au moment où je glisse mon sexe à l’intérieur du sien. Sa chatte est bouillante et trempée, je rentre sans le moindre mal. J’attrape ses cuisses écartées et commence des allers-retours en elle. Maman apprécie, son visage se crispe avec mes va-et-vient. Elle gémit de plus en plus, pour ma plus grande satisfaction. J’adore voir une femme prendre du plaisir.
Je décide d’augmenter la cadence. Je me penche sur elle, m’appuyant avec mes bras sur le lit au niveau de ses épaules et accélère le rythme de mon bassin. Son corps entier est ballotté par mes coups de reins. Je réalise que je suis en train de sauter ma mère sur le lit et sous les yeux de ma grande sœur. Cette idée m’excite un max.
Je continue de travailler Maman de mon mieux, alternant les assauts rapides et les moments plus doux pour contrôler sa jouissance et surtout la mienne, je veux faire durer le plaisir. Sa main glisse vers son bas-ventre, elle se caresse les lèvres et le clitoris. Je sens la pression de ses doigts à travers son pubis, mais je veux la faire jouir moi-même. Alors j’attrape ses deux bras et les lui plaque contre le lit, l’immobilisant. Maman crie de surprise :
— Non Damien, laisse... Qu’est-ce que tu... Hummm...
Je continue à la charger de plus belle. Elle ne finit pas sa phrase, les gémissements reprenant le relais. C’est la deuxième fois que je la désarçonne en prenant le contrôle sans prévenir. Ce genre d’initiatives a l’air très efficace sur elle.
Je sens qu’elle est proche, elle se tend comme un arc et balance sa tête en arrière. Je ne suis pas loin non plus, mais je ne veux pas jouir tout de suite. Je vais la faire venir avec un cunni, je la libère de mon étreinte et me retire pour laisser redescendre la pression. Sans laisser davantage de répit à ma mère, je me mets à genoux sur la moquette. Sa chatte est béante après avoir reçu ma queue. Je glisse mon index et mon majeur en elle. J’y vais sans détour et lui caresse le point G de la pulpe des doigts tout en suçant son clitoris gonflé. Le résultat ne se fait pas attendre et Maman est prise de spasmes incontrôlables et crie :
— C’est si bon, je jouis !
Du liquide coule sur mon menton, je colle ma bouche contre son vagin pour boire son jus. Je continue à jouer avec ma langue sur la vulve. Maman finit par se détendre. Elle glisse aux pieds du lit, à côté de moi. Elle me caresse le torse et pose ses lèvres sur les miennes. Je lui rends son baiser tandis qu’une de ses mains descend vers mon abdomen, se perd entre mes cuisses jusqu’à buter contre ma bite dressée.
— Toujours aussi dur mon chéri ? Je suis peut-être trop vieille pour satisfaire un étalon comme toi.— N’importe quoi, m’indigné-je, tu es une vraie bombe Maman, bien meilleure que beaucoup de pétasses de mon âge.— Oh mon bébé... Tu es adorable.
Elle m’embrasse à nouveau tout en caressant mon membre du bout des doigts. Elle me titille le frein, le gland, le méat et étale le jus qui perle au bout. Je ne pourrai jamais débander entre ses mains. C’est drôle de se dire que ma mère se donne tant de mal pour calmer mes érections alors qu’elle en est responsable la plupart du temps. Mais je ne vais pas m’en plaindre !
Le bruit des touches du clavier qui rythme nos ébats disparaît. J’entends la chaise de bureau rouler sur la moquette. Je décolle mes lèvres de celles de Maman et vois Aurélie bondir et se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle tire son peignoir qui glisse dans sa chute de reins, dévoilant son petit cul.
— Damien, viens essayer la pétasse.
Je jette un œil à Maman qui a le regard qui pétille.
— Ma chérie, tu as changé d’avis ?— Bah oui, à force de vous voir et de vous entendre baiser comme des animaux, je peux pas me concentrer et j’ai trop envie d’essayer.
Je me redresse et lui caresse les fesses, sa peau est très douce, puisqu’elle sort de la douche. Elle a les hanches plus étroites que sa mère, mais avec sa taille de guêpe, ça lui fait un cul de malade.
Je repense à ce que je voulais lui faire ce matin. Je dépose ma queue dans son sillon et commence à coulisser doucement entre ses fesses que je presse de part et d’autre de mon organe. Elles sont bien fermes, le yoga a l’air de porter ses fruits ! Du présperme s’échappe de ma verge et lui coule dans la raie. Maman me caresse les abdos en guise d’encouragement.
On m’a souvent chambré vis-à-vis de ma sœur, pas tant parce que tout le monde veut se la taper, mais parce que je suis le seul à ne pas pouvoir le faire, a priori. Pourtant ce soir, c’est bien moi qui vais la déglinguer. Il y a une certaine fierté. J’en ai tellement rêvé que ça semble irréel.
— Bon tu me baises ou quoi ? Je vais pas attendre toute la nuit.— Oui pardon...
Je suis prêt, je peux tenir encore. Maman lui écarte les grandes lèvres avant d’empoigner la base de mon pénis et d’introduire le gland délicatement en elle, comme si je ne savais pas le faire. Je lui fais remarquer :
— Maman, je suis capable de faire ça moi-même, tu sais.— OK mon chéri, mais vas-y doucement. Ta sœur n’a jamais eu un zizi de cette taille en elle alors...— Maman tais-toi !! crie Aurélie agacée.
Waouh, je sais bien qu’elles sont proches et qu’elles se disent beaucoup de choses, mais pas à ce point.
— Eh ! Je suis ta mère.
Argument très pertinent dans cette situation.
Je m’insère avec précaution en elle. Elle est bien plus étroite. Son corps se tend à mesure que mon membre la traverse. Maman, agenouillée sur le lit, la maintient par le ventre et les lombaires, soucieuse d’aider. Elle lui fait des bisous sur le dos pour la réconforter.
— Détends-toi ma puce, ça va aller.
Ma grande sœur pousse des complaintes à chaque petit à-coup en elle. Une fois l’orifice entièrement rempli, je remue le bassin de haut en bas pour bien lui élargir la gaine. Quand j’estime qu’elle est assez dilatée, je commence de longs et profonds va-et-vient. Elle continue de geindre, mais elle a voulu « essayer » alors elle va être servie ! Je la tiens fermement par les hanches et pénètre jusqu’au fond, laminant ses fesses sous mon poids, forçant son col de l’utérus. Je reste planté comme ça quelques instants qui doivent paraître longs pour Aurélie, qui hurle :
— Aaaaaaaah... Putain...— Damien arrête ça, tu lui fais mal !
C’est ma petite vengeance parce qu’elle m’a énervé, et pour toutes ces fois où elle a agité sa boule ou ses seins sous mon nez. C’est un peu mesquin, mais j’ai fini, je ne veux pas lui faire plus mal. J’essaie de me justifier :
— Ça va, entre frère et sœur on se chamaille...— T’inquiète Maman, tout va bien. Mais je préfère être au-dessus, je pourrais mieux gérer la pénétration.
N’ayant pas d’objection, je m’allonge sur le dos, le sexe à la verticale, et laisse les filles prendre le relais. Après avoir retiré son peignoir, dévoilant encore sa merveilleuse poitrine, Aurélie s’assied sur mes cuisses et plaque ma verge contre son ventre.
— T’as vu ça Maman ?— Elle cache ton nombril, imagine dedans !— C’est surtout la largeur qui m’inquiète.
Ma sœur se redresse pour poser sa vulve humide contre mon gland puis se laisse lentement tomber, le faisant disparaître entre ses lèvres, suivi par ma hampe jusqu’à ce que son pubis épilé touche le mien. Elle contrôle la descente à l’aide de ses bras appuyés sur le lit. Maman, juste derrière, lui soutient les fesses et les hanches pour la guider.
— Ça va, ma chérie ?— Oui ça va, c’est beaucoup mieux. Tu peux lâcher... soupire Aurélie, mais tiens-moi les seins s’il te plaît, ou ils vont se balancer dans tous les sens.
Ça annonce la couleur, elle veut y aller fort. Maman s’exécute alors que sa fille débute des allers-retours, d’abord timides, puis de plus en plus rapides et amples. Elle s’habitue, prend de l’assurance et finit par retirer les bras, préférant porter ses mains à son crâne pour tenir ses cheveux humides qui doivent lui fouetter le dos.
Aurélie commence à prendre du plaisir et à gémir, Maman semble rassurée. De mon côté aussi, c’est divin. Voyant que ma sœur est plus détendue, je prends ses hanches en mains et donne des mouvements de bassin. Elle grimace et se met à couiner. Ça me fait rire.
— Ben dis donc sœurette, tu fais moins la belle gosse dès que tu te prends une grosse bite !
Aurélie lève la jambe droite et m’assène un grand coup de pied dans le flanc. OK je l’ai pas volé, je n’ai pas la meilleure répartie aujourd’hui... Maman intervient :
— Ne vous battez pas, les enfants. Et toi Damien sois gentil, utilise ta langue autrement, dit-elle en quittant Aurélie pour m’enjamber la tête.
J’achète mon pardon en faisant un cunni à ma mère. Je fais pénétrer ma langue le plus loin possible dans son vagin pour en laper les parois. Je ne vois plus rien, je devine seulement ma mère qui retire son haut avant de reprendre en main la poitrine de sa fille.
On baise tous les trois dans cette position pendant quelques minutes, assez pour que j’aie le temps de penser à cette soirée qui a pris une sacrée tournure et me dire que nous passons un bon moment en famille.
Maman jouit rapidement dans ma bouche, bien excitée par les ébats de ses enfants, et se retire. Aurélie en profite pour s’étendre sur moi, pressant sa poitrine contre la mienne. Ses cheveux mouillés me caressent la peau. Elle me laisse la bourrer aussi fort que possible, et je ne compte pas la décevoir. Elle jubile de plus en plus fort, alors je l’embrasse pour la faire taire un peu. Nos bouches se séparent uniquement pour respirer à travers sa tignasse brune. Ses cris masquent presque le claquement de mes cuisses contre ses fesses. Je suis au bord de l’orgasme et ma sœur tressaille de plaisir.
— J’en peux plus Damien. Continue, je vais jouir...— Moi aussi ça monte !— J’ai l’implant, remplis-moi, vas-y.
J’éclate immédiatement dans le corps de ma sœur, mon sperme inonde ses entrailles. Au même moment, Aurélie se crispe et hurle de bonheur, son souffle haletant me réchauffe le torse. Je gicle encore et encore en elle. Nous sommes tous les deux terrassés par la jouissance. On reste dans cette position quelques instants. Mon sexe finit par retrouver une taille plus séante, laissant le jus de notre amour s’échapper de son antre, ruisseler le long de ma verge et sur mes couilles. Je lui dis tout bas :
— Je suis désolé pour la salle de bain...— Je crois que ce sont les meilleures excuses de toute ma vie. Tout est oublié.
On s’embrasse à nouveau tendrement. Je crois bien que cette dispute est terminée, je retrouve ma grande sœur ! Maman, qui nous observe en silence depuis un moment, finit par nous interrompre :
— Vous êtes si beaux, mes amours !
On rit tous les deux. Aurélie se redresse et retire mon sexe de sa chatte dégoulinante. Elle couvre sa vulve avec sa main pour garder mon sperme en elle. Mais sa cavité doit être trop dilatée après mon passage, car le mélange de cyprine et de foutre coule entre ses phalanges et se répand le long de ses jambes. Elle porte ses doigts à sa bouche pour avaler l’excédent, mais ça continue.
— Je suis bonne pour retourner à la douche...
Jambes serrées, mains entre les cuisses, elle court à petits pas vers la salle de bain sous le rire de Maman.
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