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Calie, ma nièce

Chapitre 1

Inceste
Ma nièce Calie est une belle petite blonde d’1m60, mince, avec un petit cul rond et une poitrine juvénile et ferme. Elle a un visage angélique et de jolis yeux verts. On a toujours été très proche et j’ai toujours été protecteur avec elle, car elle vit seule avec sa mère, qui est ma sœur cadette, depuis que son père les a quittées. Mais depuis deux ans, je sens qu’elle est différente avec moi. Toujours à me taquiner avec des petits mots, des clins d’œil et des poses lascives pour me faire réagir. Elle a un petit copain et je sais qu’ils ont déjà couché ensemble, car ça l’avait fait beaucoup amuser de me le dire juste après leur premier rapport pour me demander conseil sur les moyens de contraception.
Et plus le temps passait et plus tous les prétextes étaient bons pour se coller à moi, me câliner à grand coup de "mon tonton d’amour", ou venir sur mes genoux. Enfin “genoux”, vite dit vu qu’elle était plutôt assise sur mon entrejambe. Ses leggings moulants me laissaient facilement deviner qu’elle ne portait plus que des strings. Je savais aussi qu’elle ne portait jamais de soutien-gorge et ça se voyait bien aux tétons qui pointaient sous ses T-shirts. Et au cas où j’aurais eu un doute sur le sujet, elle l’a glissé plusieurs fois dans nos conversations et elle se penche de plus en plus souvent face à moi.
Samedi dernier, elle est passée à la maison en fin de matinée comme ça lui arrive souvent vu que nous habitons assez près. Elle portait un leggings bien moulant et un T-shirt plutôt lâche avec une encolure large. Elle a d’abord fait la bise à sa tante qui était allée lui ouvrir la porte, puis s’est dirigée vers moi. J’étais dans le canapé et comme je ne faisais pas mine de me lever, elle est venue me faire la bise en se penchant sur moi, m’offrant dans cette position la vision tant attendue de ses petits tétons qui paraissaient bien durs. Puis elle nous a enfin annoncé qu’elle avait tenu à passer pour nous annoncer de vive voix qu’elle venait enfin d’avoir les résultats du bac. Elle avait réussi avec une mention “Bien“. C’était rassurant car elle l’avait raté de peu l’année dernière et avait été obligée de repiquer une année de terminale.
Nous l’avons félicitée et ma femme a suggéré qu’on boive un coup pour célébrer cette nouvelle. Pendant qu’elle allait à la cuisine pour chercher une bouteille au frigo et des verres, j’ai proposé à Calie de s’asseoir sur le canapé en face de moi. Ce qui lui a fait contourner la table basse et m’a permis de profiter de la finesse de son bas qui moule au plus près son petit cul qu’elle dandine en marchant. Mais contrairement à d’habitude, il n’y avait cette fois aucune trace de cordon ou d’élastique sous le tissu, ce qui laissait à penser qu’elle n’avait rien mis dessous. Cette idée m’émoustillait fortement.
Après avoir trinqué un premier coup, la discussion est venue sur nos projets immédiats et ma femme lui a révélé qu’elle devait partir toute la semaine prochaine pour son boulot. A cette annonce, j’ai vu les yeux de Calie s’allumer et en me regardant, elle m’a dit :— Mais du coup, tu vas être tout seul, mon p’tit Tonton” ?
Avant d’ajouter en venant sur mes genoux :— Si tu veux, Tata, je peux venir tenir compagnie à Tonton cette semaine. J’ai plus cours en attendant la rentrée à la fac et ça me permettra de profiter de votre spa !
Ma femme a donné son accord si ses parents l’étaient aussi. Ce qui a vite été réglé après un bref coup de téléphone. Toute contente, elle m’a serré dans ses bras et a discrètement fait bouger son bassin sur mon entrejambe. Je sentais ses fesses se frotter contre moi à travers le fin tissu de son leggings, me confirmant qu’elle n’avait effectivement même pas mis de string dessous. Ce qui me donnait forcément un début d’érection qu’elle ne pouvait pas ignorer vu qu’elle était assise dessus. Puis elle s’est levée, l’air contente d’elle avant de dire en me faisant un discret clin d’œil :— Je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux !
Nous sommes maintenant deux jours plus tard, et comme prévu, ma femme est partie tôt ce lundi matin pour toute la semaine. Elle doit rentrer vendredi soir. Elle a laissé samedi une clef à ma nièce pour qu’elle puisse aller et venir librement pendant que je suis au boulot.
En rentrant en fin d’après-midi, je passe la porte, je la referme et au moment où je me retourne, je vois Calie passer devant moi avec rien de plus sur elle qu’un débardeur blanc bien large et échancré qui ne descend même pas jusqu’au nombril et un string de bain orange de type bandeau. A cette vision, je reste bouche bée et mon sexe se réveille immédiatement. Elle se dirige vers moi comme si de rien n’était et j’ai même droit à un câlin serré qui me laisse sentir ses petits seins à travers son débardeur :— Bonjour Tonton !— Dis donc, jeune fille, c’est pas vraiment une tenue pour m’accueillir. Tu te balades souvent comme ça ?— A la maison, oui. Surtout qu’aujourd’hui, il a fait chaud.— Bon, OK. Alors tu peux rester comme ça si tu veux.— Et ça me rend sexy tu trouves pas ?
— Ouais...— Dis pas le contraire, ta braguette te trahit...
A ce moment, je sens que je vire au rouge de m’être fait surprendre à bander, mais pour ne pas me laisser déstabiliser, je lui dis avec un air un peu sévère :— Va au moins mettre un short ou un T-shirt plus long avant de poser tes fesses sur la chaise pour passer à table.
Et pour ne rien lui laisser passer, tout en lui disant ça, je passe à côté d’elle en lui mettant une tape sur les fesses. Par contre, je suis un peu surpris par le "hmmm" qui sort de sa bouche à ce moment-là et qui est plutôt un signe de contentement. Toutefois, elle s’exécute et revient avec un T-shirt ample qui lui couvre les fesses, mais dont les ouvertures généreuses en haut bâillent bien sur ses seins qui m’apparaissent dans ses mouvements.
Une fois le dîner terminé, je lui dis que je vais dans le spa pour me détendre. Ce à quoi elle me répond qu’elle va venir me rejoindre. Une fois dans l’eau, je commence à me relaxer de ma journée. J’ai les yeux fermés quand je l’entends rentrer à son tour un pied dans la vasque. Et en ouvrant les yeux, j’ai la surprise de la découvrir seins nus, simplement vêtue d’un string-ficelle vert qui ne recouvre pas grand-chose avec son triangle minimaliste et ses fines ficelles.
Je manque m’étouffer avec ma salive en la regardant. Quel corps magnifique ! Ses tout petits seins, à peine formés et bien fermes surmontés de tétons minuscules et foncés, me sont enfin révélés autrement que furtivement. Sous son ventre plat avec un tout petit nombril, on devine aussi à travers le tout petit bout de tissu les contours d’un bel abricot, ce qui suggère qu’elle n’a pas une grosse touffe de poils pour le cacher. Je me mets à bander comme jamais et reste sans voix un moment. Puis je la sermonne : — Décidément, tu enchaînes les tenues provocantes. Si j’étais pas ton oncle, ça passerait pour des avances très ouvertes.
Elle finit par s’asseoir en face de moi dans le spa après avoir pris soin de me tourner le dos le temps de me faire admirer la ficelle entre ses fesses et me dit :— Bon, j’avoue que ça m’amuse de provoquer et exciter. Désolée si ça t’a gêné.
Puis comme si elle s’empressait de démentir ses excuses, je sens un pied passer entre mes jambes et se poser sur ma bosse. Elle me regarde et ajoute :— Et apparemment, j’ai atteint mes objectifs. Hmmm...
Elle me caresse l’entrejambe avec son pied d’un air satisfait. Je lui intime :— Arrête ça tout de suite, je suis quand même le frère de ta mère…— Si tu voulais vraiment que j’arrête, t’avais qu’à enlever mon pied, et puis j’aime beaucoup ce que je sens sous mes orteils. De plus, c’est vrai que j’aime énormément Tata, mais j’y peux rien si je suis attirée par toi. T’en fais pas, ça sera notre petit secret. Et je te rappelle que je suis plus une gamine depuis quelques mois !
Jamais je n’avais eu la queue aussi dure. J’essaie de me calmer tant bien que mal en me disant qu’il faut que ça s’arrête, mais c’est difficile avec elle qui continue de plus belle et me branle à travers mon caleçon en pressant ma bite entre ses deux pieds :— J‘ai bien vu comment tu me regardes depuis quelque temps, Tonton et j’avoue que ça me plaît beaucoup. Et j’aime aussi beaucoup te taquiner.
Elle retire enfin ses pieds et je souffle enfin après cette torture exquise. Je bascule la tête en arrière en essayant de reprendre mes esprits.
Mais apparemment, Calie en a décidé autrement. Pendant que je me remets lentement, elle en profite pour se rapprocher et me chevaucher. Le contact de son entrejambe sur le mien me fait revenir à la réalité. Je me retrouve face à son regard. Elle a passé ses bras autour de mon cou et commence à onduler son bassin sur mon sexe en pleine érection à travers le tissu. Décidément, elle est douée. Je descends mon regard sur ses petits seins qui sont maintenant très proches de moi. Elle me demande :— Ils te plaisent malgré leur petite taille ?— Ben... oui. Au contraire d’autres, j’aime les petits seins et les tiens sont très mignons.
Je me rends compte que je ne contrôle plus ce que je dis ou fais. Je n’arrive plus à réfléchir clairement et ma queue me fait trop mal à force d’être tendue et d’être frottée.
Elle se rapproche encore et m’embrasse. Je ne résiste même plus. Nos langues se cherchent et s’entremêlent. Je suis bien et je me laisse aller. Mes mains se posent enfin sur ses fesses. Elles sont douces et fermes. Elle commence à gémir. Depuis le temps que je rêvais de les empoigner. Puis une de mes mains remonte sur ses seins qui me font tant envie. Ils tiennent facilement dans ma main. Je les caresse et fais rouler ses petits tétons qui durcissent.

Pendant que je la caresse en l’embrassant, je sens une de ses mains se glisser sur mon cou, descendre sur mon torse, puis le ventre et enfin sur mon sexe en érection à travers mon short de bain. Là dans un gémissement, elle me dit :— Mmm, j’aime beaucoup ce que je touche là.
Je me dis qu’il est maintenant trop tard pour regretter et autant en profiter. Je la repousse gentiment et me lève. On voit très bien mon érection. Elle est encore accroupie dans l’eau, le visage en face de mon entrejambe :— Tu m’as provoqué, maintenant il va falloir assumer.
Elle me lance un regard à la foi coquin et plein de défis. Et après m’avoir caressé à travers le tissu, elle prend le caleçon dans ses mains et le fait glisser jusqu’à mes chevilles, libérant mon sexe bandé devant ses yeux.
Elle le prend en main et commence à me branler doucement. Elle me fixe dans les yeux et c’est encore plus excitant. Enfin, elle rapproche son visage et commence à me lécher la queue de bas en haut en continuant de me branler. De l’autre main, elle passe de mes bourses qu’elle malaxe à ma raie qu’elle caresse en passant sur ma rondelle. Puis enfin, elle me prend en bouche. Ça a pour effet de m’arracher un râle de soulagement.
Je la regarde avec ma queue dans sa bouche, mon regard planté dans le sien. Ses lèves coulissent voluptueusement sur ma colonne de chair. Je sens sa langue tourner sur mon gland. Bon sang, pour son âge elle est vraiment douée.
Elle ressort ma queue de sa bouche pour reprendre son souffle :— C’est vraiment bon, Tonton, j’aime sentir ta queue dans ma bouche.
Je pose alors mes mains sur sa tête et lui renfonce mon gland dans la bouche :— Dans ce cas continue.
Ce coup-ci, je lui appuie sur la tête en donnant des coups de reins. Elle me maintient par les fesses. Je lui baise littéralement la bouche. Après quelques aller-retour de ce traitement, je me retire avant de jouir. Je veux profiter à fond du moment. Je la relève, la retourne et lui dis de poser les mains sur le bord du spa en se cambrant.
Elle ne se le fait pas dire deux fois et s’installe comme demandé en se cambrant le plus possible. Quelle belle chute de rein et son petit cul est vraiment parfait !Elle a vraiment un corps magnifique. Je la caresse, des cuisses à son cou en passant par ses petits seins dont je pince les tétons et son entrejambe que je frotte de mes doigts à travers le tissu, le tout en écoutant ses gémissements. Je m’arrête sur son cul, le caresse et lui assène une légère claque qui lui arrache un petit cri.
Je me mets à genoux et commence à embrasser chacune de ses fesses :— Si tu savais comme il m’a fait rêver ce cul. Le nombre de fois où j’en ai eu envie !— Fais-toi plaisir Tonton, il est tout à toi.
Je me remets à les embrasser et à les lécher puis c’est sa raie que je dévore, écartant de plus en plus ses globes et la ficelle de son string pour enfin déguster sa rosette. Sa respiration est de plus en plus rapide et une de ses mains passe sur ma tête pour la maintenir en place.
Elle écarte un peu ses jambes, ce qui me donne accès à son abricot. Je me dégage le temps de retirer son string. Je constate au passage qu’elle a éliminé tout poil de cette zone. Je replonge ma tête et ma langue passe de sa rondelle à son abricot qui est trempé d’excitation. Elle se manifeste encore :— Mmm oui, putain c’est bon Tonton. Continue, bouffe-moi le cul et la chatte.
Je continue de me délecter de ses jus et je passe mes doigts sur sa fente. Je commence à lui enfoncer un doigt puis deux pendant que mon pouce joue avec sa rondelle. Au bout d’un moment, j’ai trop envie d’être en elle. Je sors du spa et la fais sortir aussi. Je la fais mettre à quatre pattes sur le transat. Je me place derrière elle, je prends ma queue en main et frotte mon gland sur l’entrée de son abricot. Je fais deux trois passages et enfin je la pénètre. Elle me confirme son approbation :— Ah oui enfin, depuis le temps que je la voulais, Tonton.
Je la tiens par les hanches et commence gentiment mes va-et-vient. Je glisse mes mains jusqu’à ses seins et les cramponne fermement en la baisant :— Mmm ce que c’est bon, on est bien dans ta petite chatte serrée, ma chérie.
Elle tourne la tête pour m’embrasser. Elle me regarda et me dit :— Vas-y plus fort, prends-moi !
Mon sang ne fait qu’un tour. Une main sur ses hanches, de l’autre je lui tiens les cheveux et là, je me mets à la baiser avec force, lui arrachant des cris de plaisir. Elle gémit :— Oh putain, oui, oui, comme ça, baise-moi Tonton !
Elle y met tout son cœur et jouit bruyamment. Puis comme je n’ai pas encore éjaculé, elle se retourne et se repositionne devant ma bite. Elle se remet à me sucer comme si sa vie en dépendait, me malaxant les couilles en même temps. Elle garde son regard dans le mien et c’est terriblement excitant. Je sens qu’elle passe ses doigts près de ma raie, mais qu’elle hésite. Tout en la fixant, je lui dis :— Vas-y, tu peux, j’aime beaucoup ça.
Du coup, je sens son doigt me caresser la rondelle dans un premier temps. Puis comme elle sent que je n’attends que ça, elle pousse pour enfin l’enfoncer dans l’anus :— Mmm c’est bon, tu as vraiment un don pour ça, ma puce.
Et là, mes muscles se contractent. Je la préviens :— Attention je vais jouir, ma belle.
Elle accélère sans se retirer. Alors j’attrape sa tête et lâche ma semence au fond de sa gorge. Je la regarde avaler et nettoyer ma queue.
Elle retire enfin ma bite de sa bouche et il ne reste plus une trace. On s’allonge dans le transat tout les deux sans un mot, elle dans mes bras où je la serre. Quand on reprend notre souffle, on discute de ce qui vient de se passer. Elle m’explique avoir pris goût au sexe et avoir longtemps fantasmé sur moi, le fait que je sois bien plus vieux et l’interdit du fait que je sois son oncle. Pour ma part, je lui avoue je n’avais jamais été aussi excité et que son corps m’obsédait depuis longtemps. Elle me sourit et me dit qu’elle est flattée. Elle me demande pourquoi je ne lui avais pas pris le cul après y avoir mis mon doigt. Je lui réponds honnêtement :— Simplement parce que je n’ai pas osé, je ne savais pas où tu en étais par rapport à cet acte.— C’est dommage, je l’ai déjà pratiqué et j’ai beaucoup aimé.
Elle s’endort ensuite sur moi en me disant qu’on a toute la semaine pour se rattraper.
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