Pourquoi Linda et Romain avait accepté cette invitation ? Ils ne le savaient pas... Cela faisait longtemps qu’ils n’avaient pas été invités à une crémaillère surtout par des gens un peu plus jeunes qu’eux. Ils avaient une trentaine année alors que leurs hôtes avaient à peine une vingtaine d’année. Mais bon, ils étaient là, entourés de jeunes gens qui avaient l’air de s’amuser. Un peu gênés, ils se jetaient sur la boisson tout en essayant de garder une certaine contenance. Les heures passant, ils se sentaient de plus en plus détendus. Les lumières, la musique, les personnes autour d’eux : tout ressemblait à leurs fêtes lorsqu’ils étaient plus jeunes. Ils se laissaient vraiment aller. Mais toute bonne chose ayant un fin, les invités commençaient à partir. C’est à ce moment-là que Linda s’aperçut que Romain était vraiment dans un drôle d’état. Il devait être un peu ivre car il avait du mal à marcher droit. « Romain, Romain... tenta Linda— Vous voulez qu’on vous aide ? lança un garçon de l’assistance.— Je ne sais pas trop...— Ne vous inquiétez pas, on va s’occuper de vous, répondit un autre— Bon d’accord » A deux, ils relevèrent Romain et l’entraînèrent hors de la fête. Quelques minutes plus tard, ils étaient tous chez Linda et Romain. Ils installèrent Romain dans un fauteuil du salon. Linda s’assit en face de lui. C’est alors qu’un des garçon passa derrière Linda. Ses mains vinrent se poser sur les épaules de la jeune femme. « Mais qu’est-ce que vous faîtes ? » Elle tenta de se soustraire à ce contact mais elle n’était plus vraiment en état elle-même. Elle n’avait plus assez de force pour repousser son assaillant. Celui-ci fit glisser ses mains dans le corsage de Linda. « Non, balbutia Romain— S’il vous plaît, laissez-moi, implora Linda » Mais cela n’y faisait rien. Les mains inquisitrices finirent par atteindre la poitrine de Linda. Elles malaxaient cette poitrine. Romain se mit à pleurer en silence. Deux autres garçons vinrent se mettre de part et d’autre de Linda. 4 nouvelles mains commencèrent à parcourir les jambes de la jeune femme. Malgré les supplications du couple, les mains remontèrent loin sous la jupe et les jambes de Linda furent écartées laissant à la vue de son homme sa culotte noire. L’homme derrière Linda commença à défaire un à un les boutons du chemisier de cette dernière. Très vite, elle se retrouva en soutien-gorge. La tête rejetée en arrière, Linda semblait avoir déclaré forfait. Elle savait qu’elle ne pourrait pas échapper aux trois hommes et que son mari, trop ivre ne pourrait pas l’aider. Aussi, quand une main glissa sous sa culotte et caressa son sexe, elle se décida à se laisser faire pour qu’ils finissent vite. « Mais tu mouilles ! », lança l’un des garçon. Linda ne s’en était même pas rendu compte mais les 6 mains avaient fini par éveiller en elle du désir. « Je vous l’avais dit que cette bourgeoise avait l’air d’aimer ça.— C’est sûr— Une bonne petit cochonne— On va lui en donner pour son envie. »
Les trois garçons avaient l’air sûrs d’eux et Linda ne savait plus si elle voulait qu’ils arrêtent ou qu’ils continuent. Tout à coup, une verge tendue apparut devant son visage. « Non, pas ça... supplia Linda— Quoi ? Elle te plaît pas ma queue ? demanda le garçon— Je ne fais pas trop ça. C’est sale, expliqua Linda— Eh ! L’alcoolo ! elle te suce à toi ? Demanda-t-il à Romain » Il ne répondit que par des pleurs. Effectivement, son mari, elle ne le suçait que peu souvent. Elle trouvait ça avilissant, dégradant et honteux. Mais quand le gland se posa sur ses lèvres et qu’une voix lui intima l’ordre d’ouvrir la bouche, elle ne résista pas. Le gland passa le lèvres et glissa dans sa bouche qu’elle ouvrait malgré elle. Sa langue commença son action autour de ce bâton de chair. Deux mains et une bouche avide s’occupaient de ses seins. Elles léchaient, mordillaient, malaxaient avec peu de douceur. Plus bas, sa culotte était un lointain souvenir et, entre ses jambes écartées, des doigts exploraient son intimité bouillante. Linda sentait le plaisir l’envahir. Elle bougeait son bassin pour aller à la rencontre des doigts, ses tétons pointaient fièrement vers son tortionnaire et sa bouche allait et venait le long de la verge. Linda se rendit compte soudain qu’elle ne connaissait même pas les noms des trois garçons. Cette information, même complètement désuète, éclaboussa Linda qui eut envie de pleurer. Elle, femme fidèle et peu portée sur le sexe, était prise devant son mari par trois garçons qu’elle ne connaissait même pas. Son mari ? Il était toujours là, les yeux remplis de larmes, fixant sa femme brutalisée par trois jeunes garçons dans leur salon. « Lâchez-la les mecs. Toi, viens te mettre là. Montre ton cul à ton homme ! » Celui qui était dans sa bouche était visiblement le leader de ce petit groupe. Linda qui ne portait plus que sa jupe troussée autour de ses hanches obéit. Le leader vint se mettre derrière Linda et lui glissa des doigts le long de sa fente humide. Il se permit alors des commentaires bien salaces à l’attention de Romain. « C’est une bonne salope ta femme », « Elle aime la bite », « Elle mouille comme un fontaine » Romain avait arrêté de pleurer mais il regardait toujours la scène devant lui avec beaucoup de tristesse. Le garçon commença à doigter Linda puis il glissa sa langue dans la fente de Linda pour déguster sa liqueur de femme. Devant Linda, la garçon qui lui léchait les seins pointa son sexe à l’entrée de la bouche de Linda. Elle l’emboucha mécaniquement et suça cette nouvelle verge comme la précédente. Le troisième se mit de côté comme s’il attendait son tour. Le plaisir qu’elle prenait de la bouche d’un garçon, elle le rendait au deuxième garçon dans sa bouche. Quand le premier garçon sentit que Linda était prête, il se mit un préservatif et présenta son sexe à l’entrée du sexe de Linda. En l’agrippant par les hanches, il s’enfonça en elle brutalement. Linda poussa un cri de surprise puis elle reprit en bouche le sexe devant elle. Sous l’impulsion des deux jeunes hommes, Linda allait d’avant en arrière s’enfonçant alternativement une verge entre les cuisses ou dans la bouche. Elle poussait de petits cris semblant être des cris de plaisir mais elle n’en était pas sûre elle-même. « Sors de sa bouche, je veux l’entendre crier, cette truie ». Son copain obéit et le leader agrippa plus fort les hanches de Linda. Il commença à accélérer et à brutaliser ces allées et venues dans le sexe de Linda. Celle-ci se mit effectivement à crier. Il semblait à Romain que ces cris étaient des cris de douleur. Linda murmurait entre ces cris des ’Non’ autant à l’attention de son assaillant qu’à son attention à elle pour s’interdire de prendre du plaisir de cette relation à demi-consentie. Puis le leader se fixa en elle et râla bruyamment. Il avait joui en elle. Il se retira et claqua les fesses de Linda en disant « Elle est à vous. Je l’ai bien préparée, vous pouvez y aller franchement » Celui qui était de côté s’approcha des fesses de Linda et en leur donnant une bonne claques comme pour signifier sa présence. « Laissez-moi tranquille, sanglota Linda — On te laissera quand on en aura fini avec toi, salope, lui répondit le leader, inflexible » Le garçon qui avait mis un préservatif, s’enfonça alors d’un coup entre les cuisses de Linda. L’autre repris sa place dans la bouche de la jeune femme. Ils la pistonnaient l’un comme l’autre. Les cris de Linda étaient bien audibles même étouffés par la verge qui lui obstruait la bouche. Ils la baisaient comme des animaux ajoutant à l’insulte faite à son corps des insultes salaces. Pendant ce temps, le leader attachait solidement Romain au fauteuil pour s’assurer de sa complète tranquillité. « Sors de sa bouche, j’adore entendre les putes comme elle jouir, lança-t-il à celui qui était dans la bouche de Linda. Et toi, finis-toi. Elle est super bonne, n’est-ce pas ?— C’est sûr qu’on y est bien dans cette salope, répondit celui qui la prenait. » Il attrapa alors à pleine main les cheveux de Linda et accentua encore ses coups de boutoir en lui claquant les fesses de sa main libre. Linda hurlait et pleurait. Le garçon finit lui aussi par jouir entre les cuisses de la jeune femme. Très vite, il fut remplacé par celui qui était dans la bouche. C’était visiblement le plus sensible et le moins violent des trois. Il prit Linda mais sans sauvagerie. Il se contenta de profiter de cette femme rendue faible par l’alcool et le plaisir que lui avait donné les deux autres. Au bout d’un petit moment, Linda fut prise de tremblements et ces cris se transformèrent en gémissements. « Eh mais elle jouit ! », lança le leader visiblement fier de cet exploit. Et il était vrai de Linda était en train de jouir. Les contractions de son vagin eurent raison de celui qui était en elle et il jouit lui aussi. « C’est bon, vous avez fini ?, sanglota Linda ». Cette question fut accueillie par les rires du leader, faisant comprendre à Linda qu’ils allaient encore se servir d’elle. « Mets-toi à quatre pattes par terre! » Linda obéit et le leader vint se mettre derrière elle. Il passa sa main devant sa bouche puis la colla entre les fesses de Linda. Elle sentit la salive lui humidifier l’anus. Puis un doigt força l’entrée. « Qu’est-ce que vous voulez faire ? Balbutia Linda— Je veux ton cul, ricana le leader— Non, pas ça...— Et pourquoi, on laisserait ce joli cul tranquille ?— J’ai... Ja... Jamais...— Oh, putain, une vierge du cul les gars ! » Avec son doigt, il ouvrit de plus en plus le conduit anal de Linda. Puis, quand il trouva que Linda était assez ouverte, il décida d’y glisser un doigt de plus. « Aïe ! » Visiblement Linda n’était pas encore prête mais ce premier cri ne ralentit pas le leader du groupe. Il lima avec ses doigts l’anus de la jeune femme qui cirait régulièrement et implorait qu’on laisse son anus en paix. De sa main libre, le garçon avait mis un préservatif et s’était remis en forme. Une fois qu’il a été prêt, il a présenté son sexe à l’entrée du petit trou ouvert de Linda. Elle le supplia encore en vain. Il posa une main sur les rein de la jeune femme. Son autre main tenait fermement son sexe tendu. Le gland posé entre les fesses, il commença à pousser vers Linda qui se crispa. Elle cria de toute ses forces quand le gland passa l’entrée de son anus étroit. Puis elle se mit à pleurer à chaudes larmes en sentant chaque centimètre du sexe du leader s’enfoncer entre ses fesses. Lorsqu’il fut bien au fond, le leader s’arrêta un peu, comme pour profiter. « Elle est super serrée, c’est trop bon... » Il agrippa les hanches de Linda et entama une série de va-et-vient entre ses fesses arrachant des cris de douleur à Linda. Cette pénétration fut de courte durée et le leader se fixa très vite en râlant. Il avait de nouveau joui. Il se retira, contemplant son œuvre et lança un « Au suivant » lourd de sens pour Linda. Un second garçon, le plus violent des trois, se présenta alors derrière Linda toujours à quatre pattes. Il empoigna les cheveux de Linda et présenta son sexe à l’entrée de l’anus rougi de la jeune femme. Il s’y enfonça d’un coup, sauvagement. Il commença à lui besogner les fesses en lui tirant la tête en arrière. Des larmes coulaient sur les joues de Linda alors que sa bouche laissait échapper des cris de douleur et des sanglots. « Tu aimes que je t’encule? Lui lança-t-il— Non...— C’est pas grave, moi, j’aime ça » Et il accentua ses mouvements pour atteindre l’orgasme. Quelques secondes plus tard, il se crispa et joui entre les fesses. Puis il se retira laissant la place au troisième. D’ailleurs ce dernier ne fut pas long à se présenter derrière Linda. Mais, contrairement à ses copains, il se plaça dans le sexe de Linda qui mouillait encore. Il se pencha à l’oreille de Linda: « Fais comme si je te prenais les fesses— Pourquoi ?— Pour qu’ils te laissent en paix, après, peut-être... » Alors, pendant que le garçon allait et venait dans son vagin, Linda continuait à pleurer et crier mais le plaisir qu’elle prenait de cette pénétration était plus fort et un orgasme commençait à pointer le bout de son nez. Et malgré elle, l’orgasme fut plus fort. Et elle jouit bruyamment alors que le garçon en elle était aussi emporté par le plaisir. Les trois garçons voulurent alors continuer dans la chambre, ils transportèrent Romain, toujours attaché jusque dans celle-ci puis il fut rejoint par Linda solidement tenue par deux des garçons. Ils la jetèrent sur le lit pour vinrent l’encercler. Six mains se posèrent alors sur son corps. Elles tripotèrent tout ce qui pouvait être tripoté sur une jeune femme nue allongée jambes largement écartées sur le dos. Puis le leader du groupe invita un de ses copains à s’allonger sur le lit. Fermement, il plaça Linda sur le copain afin qu’il insère sa verge dans le sexe de Linda. Il se mit alors derrière la jeune femme et poussa sur son anus déjà distendu. Il n’eut aucun mal à entrer. Pour la première fois de sa vie, Linda était prise en même temps par deux hommes. « Baise-toi sur nos bites ! lança le leader de ce petit groupe— Allez, bouge ton cul, renchérit son copain— Bourre-lui la bouche, ordonna le leader au dernier garçon. » Ce dernier se plaça alors devant Linda et enfourna sa verge dans la bouche de la jeune femme. Ainsi prise de toute part, Linda commençait à ressentir des choses nouvelles, dérangeantes et attrayantes à la fois. Et les trois garçons changèrent de place, ne laissant que peu de repos à la jaune femme résignée à prendre du plaisir de ces rapports à moitié forcés. Une nouvelle verge entre ses cuisses, une autre entre ses fesses et, surtout, une odeur et un goût écœurants dans sa bouche, rien ne lui aura été épargné. Les trois garçons échangèrent à plusieurs reprises leur position, se reposant à tour de rôle pour faire retomber leur pression. Lorsque chacun eut envie d’avoir un orgasme, ils agenouillèrent Linda. Le leader attrapa fermement ses cheveux pour lui pencher la tête en arrière tout en continuant de se masturber devant son visage. « On va tout te mettre dans la tronche.— Oui, de bonnes rasades de purée pour toi ma jolie. » Très vite, le premier vint, lui faisant connaître pour la première fois la sensation du sperme sur son visage. Puis le second ajouta sa semence au premier et le troisième vint compléter le tableau. Sans que le couple ne s’en rende compte, les trois garçons avaient quitté l’appartement non sans promettre à Linda de revenir la voir de temps en temps. Celle-ci finit par fondre en larme. « Pardon, finit-elle par balbutier— Ce n’est pas ta faute, tu n’as rien fait, lui répondit Romain, encore pris dans sa torpeur alcoolisée— Je suis désolée.— Mais pourquoi ? Tu n’es pas responsable, c’est plutôt de ma faute— Je m’excuse.— Pourquoi ?— J’ai aimé ça... »
