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Camille.

Chapitre 2

je dévergonde ma petite nièce.

Inceste
Le lendemain, on se réveille en pleine forme. On ne parle pas de ce qui s’est passé la veille au soir. On boit notre café, Camille est recroquevillée sur sa chaise.
— Ça va, Camille. Tu regrettes ?— Non, non... J’ai juste un peu honte.— Ah bon ?— Oui, de m’être comporté comme une pute...— Non, ne dis pas ça. Tu t’es très bien comporté. Une amante, une maîtresse merveilleuse. Tu sais, je ne suis pas un vieux libidineux qui veut profiter de toi. Si tu veux...— Oui, je le veux.— Attends, attends. Tout d’abord, on va parler sérieusement. Ta vidéo, tes photos ?— Effacées...— Dommage... — Tu en aurais fait quoi ?— Je ne sais pas, les regarder...
Elle me tend son iPhone. La petite garce n’a rien effacé du tout. Je la regarde, elle me sourit, je fonds. Je regarde la vidéo d’hier. L’image, bien que tremblotante, est parfaite. Je m’en vais brancher son portable sur mon ordi. Je télécharge les fichiers compromettants et efface tout de sa carte mémoire. Je retourne la voir et le lui rends.
— Ne joue pas avec ça. Tes parents pourraient m’envoyer en prison. Je vais prendre une douche, après, plage.
Au sortir de la douche, je regarde Camille en train de se sécher les cheveux. Elle est bandante cette petite, et elle le sait. Je prends mon petit sac de sport et mets l’huile de monoï, ma graisse à traire, une huile à faible indice UV et de l’huile de massage comestible... Ça peut servir, lol. Je sors, ferme ma chambre, Camille m’attend dans ma voiture. Je lance le V8.
Elle s’aperçoit que l’on ne prend pas la route de la plage, mais celle du centre commercial. Je m’arrête en bas d’un petit immeuble où se trouve un sex-shop. Pratique Internet. On gravit une vingtaine de marches et on entre. C’est comme prévu, clean et bien agencé. Je choisis dans le rayon des vêtements féminins, une minijupe à volant jaune et un marcel rose pastel. On va vers les cabines d’essayage. Pendant qu’elle se change, je lui prends des tenues plus hard. Deux jupettes en imitation cuir. Une noire et une blanche et deux bodies. L’un rouge, l’autre vert foncé. Je la force de rester habillée avec sa microjupe et de son haut. Je lui enlève son string et son haut de maillot. Inquiète, elle me regarde.
— Là où on va, tu n’en auras plus besoin.
Intriguée par le lieu où je l’emmène, elle est plutôt silencieuse. Elle regarde le paysage sans piper mot. Je la regarde. Elle me fait bander cette petite.

— Tu as envie d’apprendre ?— Apprendre quoi ?— A être toi-même... Te dévoiler face à une caméra ou d’autres personnes.
Je souris intérieurement. J’ai tout prévu. On s’arrête sur un petit chemin qui s’enfonce dans la pinède. On sera tranquille. Pour la mettre à l’aise, je suis le premier à me mettre à poil. Je sors les flacons d’huile, lui tends la jupette blanche et le body rouge. Je lui demande de se changer. Elle entre pudiquement dans la voiture et se change. Quand elle ressort, ce n’est pas une bite, mais une monstrueuse matraque que j’ai entre les cuisses. Je me retiens pour ne pas la prendre. Je lui demande de marcher sur le chemin. Avec son manque de forme, elle fait cinq ans de moins. Après l’avoir prise...
Sous tous les angles, je lui demande de se mettre à poil. Je filme toujours et son effeuillage n’est pas fait pour me calmer. Elle se prend au jeu, suçant son doigt, se caressant les tétons. Je réalise de gros plans sur chacun de ses gestes. J’aime particulièrement ses œufs sur le plat qui lui servent de seins. Elle a des tétons immenses. On dirait des petits fruits, prêts à être croqués. Elle descend sa main sur son sexe et écarte ses lèvres. Hier, je n’avais pas remarqué la taille de son clito, trop occupé à la fourailler. On dirait une bite de nouveau-né, c’en est presque indécent. Je le décalotte, elle tremble sur ses fines jambes. Je le titille sans arrêter de filmer. Elle tente de s’accroupir, une claque sur sa cuisse l’en ravit. Je me relève, je sens que je vais m’amuser.
— Tu te passes l’huile solaire sur tout ton corps. Je veux que ça brille.
Elle commence par sa petite poitrine. Elle se pince les tétons et lâche un "HAN" de contentement. Elle descend sur son ventre, sur son nombril, sur ses lèvres intimes, sur ses cuisses et ses mollets. Je l’aide pour le dos, elle est luisante. Le soleil joue avec sa peau. Je m’éloigne un peu, histoire de l’avoir dans l’intégralité de sa nudité. Mon érection me fait mal et des gouttes pointent bientôt leur nez.Elle prend des poses dignes des stars du X. Elle se caresse, prend appui sur le pare-buffle, se cambre, écarte ses fesses, sa chatte. Je sais que le groupe de copines qu’elle a formé sur son "smartphone" va se branler en matant cette vidéo. Elles sont trois, et d’après ce que j’ai vu, elles sont pas mal, surtout la blackette. J’ai pris l’adresse du compte, n’est pas ingénieur informaticien qui veut.
— Monte sur le capot et assois-toi face à moi, jambes ouvertes.
J’ai pris soin d’y mettre une serviette pour éviter qu’elle ne se brûle. Je me branle, elle me sourit et se pince les lèvres. J’ai envie d’elle et elle le sait, mais pas tout de suite. À sa propre initiative, elle enfonce la bouteille de monoï dans sa chatte. Elle se masturbe en me défiant du regard.
— Parle à tes copines...— Je vais prendre cher avec la bite du mec qui... Humph... Me filme. Il a une queue énorme, infatigable (euh... Pas trop), et il est vieux (Eh oh, pas si vieux que ça !), comme vous aimez. Branlez-vous, faites-vous jouir... Humph, Han...
J’arrête la caméra. Je lui dis de descendre et de remettre sa jupette et son marcel. On bouge. Elle m’obéit au doigt et à l’œil, elle sait maintenant que je suis assez pervers pour l’emmener vers des contrées inconnues.On roule pendant vingt minutes, on stoppe près de la mer azuréenne. On marche le long de la plage, plus on se rapproche du lieu, plus les gens sont... Dénudés. Je l’entraîne à l’abri des voyeurs indiscrets, sous des pins parasols. Elle met son siège de plage, sa serviette par-dessus et se met nue sans aucune gêne. Elle a vite compris. J’étends ma serviette, me mets à poil, la queue bandante. Elle en rigole.
— Tu bandes toujours ?— Souvent, surtout quand je suis avec une belle jeune fille.
Elle me sourit. Je suis bien. Elle me demande si l’on va se baigner. C’est main dans la main que l’on se dirige vers l’onde bleue. La fraîcheur nous fait le plus grand bien. Je la prends par-derrière, la bite bien calée entre ses fesses.
— J’ai quelque chose à te demander.— Oui.— Veux-tu devenir ma petite salope ?
Elle réfléchit et me répond :
— Je le suis déjà, non ?— Ma chose, mon objet ?— C’est à voir... Salope comment ?— Salope comme ça, lui répondis-je en plantant mon index dans son cul.
Elle bascule sa tête sur mon épaule, gémit et me dit :
— Oh oui...
Je la pousse violemment, on joue comme deux gamins, des jeux bien moins innocents qu’hier. Elle cherche ma queue, moi sa petite chatte. On se retrouve bien vite face à face, elle ma bite à la main, moi enfonçant deux doigts dans son sexe. On remonte. Elle s’allonge sur le ventre. Je lui écarte les jambes et m’accroupis entre celles-ci. Je masse ses deux petites fesses. Je me penche et commence un savant anulingus. Elle est étonnée de cette caresse. Elle me jette un regard interrogateur tout en gémissant.
— Tu aimes ?— Ça fait bizarre, mais oui, j’adore... Humpfffff.
Mon pouce caresse cette zone interdite par la morale. Elle ferme les yeux et remonte son joli derrière. Elle remue du cul. J’arrête mon massage. Elle se laisse tomber sur sa serviette. Le reste de l’après-midi est calme. Entre baignades, séances de bronzage et de farniente, il est bientôt 16 h 00. On s’en va avant la cohue des touristes. Elle s’installe comme d’habitude, ses pieds sur le tableau de bord, mais elle est en minijupe. Elle essaie de tirer dessus, c’est peine perdue. Elle découvre son abricot, mignon petit fruit. Ses grandes lèvres sont fermées... Mais ça suinte.
On n’est pas rentré par l’autoroute. Les départementales de la région sont moins fréquentées à cette heure-ci. Je bande comme un âne. Une fois arrivée, elle file directe à la douche. Heureusement qu’à cette heure, le camping est désert. Je fouille dans l’étagère qui lui sert de dressing. Je trouve un mignon short en jean frangé. Un marcel trop grand que je lui ferais nouer au-dessus de son nombril. Je me dirige vers les blocs sanitaires. Elle sort avec sa serviette nouée sur sa petite poitrine.
— Je t’ai préparé tes affaires sur ton lit. Ce soir, c’est resto.
Elle me saute au cou et dans sa manœuvre, sa serviette tombe. Elle est vive et la récupère in extremis. Elle rougit comme une gamine et j’aime la voir ainsi, sans défense. Je prends ma douche. Je repense à celle d’hier, je ne verrais pas la petite se donner du plaisir. Je suis assis avec mon PC portable sur les genoux. Je suis en train d’envoyer la vidéo de notre première fois à...
— Comment s’appelle ta copine, tu sais, la jolie black ?
Intriguée, elle se lève et vient derrière moi. Elle écarquille les yeux.
— Tu... Tu vas l’envoyer ?— Oui, en privé, pourquoi, ça te gêne ?— Euh, un peu... dit-elle en rougissant.— Pourquoi ?— C’est ma meilleure amie...— Tu as bon goût, elle est très belle... Tu as fait quelque chose avec elle ?— Non, non...— Tu me mens...— Oui, on s’est embrassé.
J’appuie sur la touche entrée, c’est parti. Je vais me préparer, elle reste bloquée devant l’écran de mon ordi, rouge de honte. Je me marre intérieurement. Je m’habille simplement, un pantacourt et une chemisette. Je regarde l’écran, sa copine a reçu le fichier. On part en direction de Toulon, j’ai quelques achats à y faire. Je lui laisse la surprise de mes emplettes, et à vous aussi. Quand je reviens à la voiture, elle est sagement en train de m’attendre. Je jette mon petit sac avec ses surprises à l’arrière et on part en direction du resto.Ce n’est pas long, on se gare au parking souterrain de la place d’armes. Je prends dans mon coffre son premier cadeau. Une paire d’escarpins rouges, avec un talon de dix centimètres. Elle rougit.
— Je n’ai pas l’habitude...— Mets-les...
C’est pile-poil sa taille, du 34. Elle traverse le parking et gravit les marches qui nous séparent de la surface en se tenant à la rampe. Elle marche d’un pas peu assuré vers le port. Des marins en guinguette la sifflent. Encore une fois, elle rougit. J’en rigole. Cette nana est aussi à l’aise avec moi, elle l’est beaucoup moins avec d’autres. Se sentirait-elle en sécurité auprès de moi ? J’ose l’espérer.On s’installe à une table de la terrasse un peu en retrait de la foule, car il y a du monde, énormément de monde, essentiellement des touristes. On commande nos apéritifs. Un Kir royal pour elle, un Ricard pour moi. Son téléphone sonne. Elle décroche sans même regarder son correspondant.
— Oui, fait-elle d’une voix timide, je te rappelle...— Eh bien, tu as l’air avoir envie de lui parler. Rappelle-la.
Elle met son téléphone à son oreille. Je m’approche d’elle et appuie sur le haut-parleur.
— Leçon N°1. Pas de secret entre nous.— Allo, Geneviévre, oui, c’est moi...— Putain. T’as pris cher... Il a une queue bien plus grosse que mes godes.— Oui, et à part ça, tes vacances ?— J’me fais chier sans toi.
Aïe, ma petite Camille. Je crois que je vais avoir des petites révélations.
— Moi aussi...— OUAIS, tu as un mec pour te sauter au moins. Moi, rien que des boutonneux. Et mes cousines ne sont pas prêtes pour que je m’amuse comme avec toi, ma chérie. HOULALA, que j’aimerais être avec toi.— Oui, moi aussi...
Elle n’est pas bête la petite Geneviévre, elle sait que je l’écoute, mais elle enchaîne.
— Tu me le prêterais ?— Euh... C’est pas mon mec.— C’est qui, si ce n’est pas ton mec ?— Mon parrain.— Quoi, ce beau vieux... Putain, j’y crois pas... Tu as dû le chauffer grave.— Oui, non... Je t’expliquerai... Allez, je t’embrasse.— J’ai hâte de goûter à ton minou tout lisse. Bonne soirée Monsieur. Bisous ma puce.
Camille regarde son téléphone, étonnée du langage de sa copine.
— Elle n’est pas farouche.— C’est un genre qu’elle se donne au téléphone. En vrai, elle est plus timide que moi.— Elle est où en vacances ?— Dans le Vaucluse, je crois. Du côté de Sénas, mais je ne suis pas sûr.— Si elle est à Sénas, c’est dans les Bouches-du-Rhône, à trois quarts d’heure d’ici.— C’est où les Bouches-du-Rhône ?
Dépité, je recommande deux apéros. Je ne lui réponds pas, elle doit situer le Var sur la côte atlantique... Mais que leur apprend-on en primaire et au collège... Je suis sauvé par l’arrivée de nos frites-moules que l’on mange avec délectation, accompagnées d’un excellent petit vin blanc. On parle de ses études, elle veut faire vétérinaire. Beau métier.
Une fois réglée l’addition, j’ai envie de m’amuser... Elle aussi. Je l’entraîne vers les lieux de débauche, prés de l’arsenal, rue Victor Micholet pour les connaisseurs. Il y avait pas mal de "bars à putes", mais à l’époque. On s’installe "aux cinq parties du monde". Ce n’est plus l’ambiance d’antan. On boit un verre, comme deux amoureux et on rentre.
Une fois au camping, je décide de contacter Geneviévre par Messenger. Ma nièce s’est changée, elle porte un long tee-shirt en guise de robe de nuit. Pas sexy pour un sou. Geneviévre ne tarde pas à me répondre. Pour faire vite et bref, je l’invite à passer une huitaine de jours avec nous. Après avoir demandé l’autorisation à son oncle et à sa tante, elle nous attend le lendemain, 11 h 37, à la gare de Toulon. Je me garde bien de l’annoncer à ma nièce.
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