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Camille.

Chapitre 4

première exib.

Inceste
Le lendemain à mon réveil, je suis surpris par Camille qui dort le cul relevé et Geneviévre en train de téter ma bite. Ma réaction matinale se fait sentir. Je commence à bander. Les bruits qu’elle émet ressemblent à ceux faits par un bébé s’acharnant sur sa tétine. Amusant et terriblement bandant. Je me libère et je vais prendre ma douche. Je prends mon café au bar du camping, j’achète deux croissants et deux chocolatines. J’aperçois mes deux coquines partir prendre leur douche. Je me plonge dans le canard du jour. Quand elles sortent, je les appelle. Elles sont enrubannées dans des serviettes. Elles s’installent en face de moi. A leur demande, je leur prends deux chocolats froids, des "cacolac". Elles sont toutes guillerettes quand elles découvrent les croissants, qu’elles avalent avec gourmandise.
— Plage ou balade ? — Je ne sais pas, faire les boutiques... me répond Camille. La plage, ça va un moment...— Euh, j’ai pas de de sou, lui rétorque Gény, alors doucement dans les dépenses.— Pas grave, mon père m’a donné 500 euros et ma mère deux cent. On a de quoi faire.— Allez vous habiller, les filles. On mange ici et après, je vous dépose au centre commercial, j’ai à faire dans ce secteur. On se lève et on se dirige vers la tente. Geneviévre s’est pendue à mon bras et me dit tout doucement :— J’espère que votre gland est soigné, que ma méthode africaine a été efficace.
J’explose de rire. Camille ne comprend pas, pas grave. La petite black en connaît un rayon sur les relations hommes-femmes. Elle me plaît cette petite.Les voilà enfin prêtes. Elles ont vêtu toutes les deux, un petit short en jean pas très sage et un marcel blanc qui laisse deviner la naissance des seins de Gény.On mange rapidement et on part, direction "Grand-Var", LE centre commercial à l’entrée de Toulon. Je les dépose et leur donne rendez-vous à 16 h 00 à la cafette. Elles se donnent la main en s’entrecroisant les doigts. Elles sont amoureuses, c’est certain.
Je me dirige vers le sex-shop visité par ma nièce et moi. J’y achète un rosbud pour Gény, bien plus volumineux que celui de Camille, du lubrifiant et de l’huile de massage. Je m’arrête devant les godes. Un double dong attire mon attention. Une vendeuse, mignonne et sexy à souhait, me dit qu’il est très pratique, qu’il se plie pour une double pénétration. Je le prends. Je passe devant le rayon SM, ce sera pour plus tard, mais deux petits colliers, un blanc et un noir, me caressent l’œil. Je les prends. A la caisse se trouvent des sucettes en forme de pénis, j’en prends deux. Mes emplettes finies, je redescends à ma voiture et je croise un couple d’Allemands qui sont en vacances au camping.
— Guttentag, me dit l’allemand.— Heu... Bonjour.
Ils me sourient et gravissent les marches. Apparemment, eux aussi ont des envies, comme quoi... Je remonte en voiture et m’en vais flâner un peu dans la galerie commerciale. Je vois, en m’installant en terrasse d’un bar, que les jeunes filles sont plus délurées qu’à mon époque. Elles ont toutes des tenues plus aguicheuses les unes que les autres. Même celles qui ont des formes sont habillées sexy. Je regarde ma montre, j’ai le temps de m’envoyer une petite bière. Même la serveuse s’y est mise. Petite jupette noire et chemisier blanc qui baille sur une énorme poitrine, retenue par un soutien-gorge en dentelle noire.
15 h 45, je me dirige vers la cafétéria. Je vois deux culs se dandiner devant moi. C’est Camille et Geneviévre. Elles se tiennent par la main d’un côté, de l’autre elles traînent de lourds paquets. Elles s’installent au fond. Je les y rejoins. Elles ont pris deux Cocas et une bière pour moi. J’ai beau leur demander, les questionner sur leurs achats. Mystère, je verrais bien ce soir.
— On va en discothèque, ce soir, me dit Camille, toute excitée.— Pas vraiment une discothèque, plutôt un bar loundge... la ravise sa copine.
On part se préparer. Re-douche pour tout le monde. On est tous dans la même cabine. On se savonne, elles se battent à qui aura ma queue. Je les arrête, elles insistent. La petite Gény m’a plaqué contre la cloison, Camille s’est mise à me sucer. Quelle bande de furie ! J’arrête ma jolie petite nièce et lui explique qu’il faut me préserver. Elle quitte sa position à regret.Une fois sous la tente, elles refont notre lit en y plaçant trois oreillers. Elles me disent qu’elles vont m’offrir ma tenue de soirée, qui est composée de :
— Une chemise en lin écru.— Un pantalon noir en coron.— De petits baskets en toile très légère.— Et un boxer, moulant, sexy avec de quoi ranger mon paquet.
Une fois ainsi accoutré, elle me chasse de la tente en me disant d’attendre au bar. Après une demi-heure, je vois arriver deux jeunes femmes légèrement maquillées, coiffées et joliment habillées qui s’approchent de moi.
— Alors, disent-elles en cœur.— Piouffff, vous allez en faire tourner des têtes. Tous les jeunes mecs vont vouloir vous sauter...— Ne soit pas jaloux. On est avec toi et on est fidèle à notre belle queue. J’en aime qu’une et c’est la tienne.— Oui, elle nous suffit... clôture Gény.
Ces paroles me vont droit... A la bite. Il faut dire que leur tenue est des plus provocantes, si on sait poser son regard aux bons endroits. Camille porte un ensemble jupette ouverte de chaque côté vert en soie. Un chemisier en soie également, blanc. Je remarque que ses tétons sont bandés et on les voit par la transparence du tissu. Elle a chaussé des espadrilles vertes,
Gény, quant à elle, c’est une jupette ouverte sur le devant, jaune et un chemisier jaune tout aussi transparent que celui de sa copine. Elle porte des espadrilles noires.Elles sont toutes les deux... Bandantes. Heureusement que j’ai pris mes précautions... Toujours dans ma pochette.En montant dans ma voiture qui est une deux portes, je peux constater qu’elles portent des strings, blanc pour Gény, noir pour ma nièce. Ma nièce s’installe à l’arrière. Geny ouvre largement ses cuisses. Je peux constater que son bout de tissu est ouvert sur sa chatte. Je me retourne et vois que Camille porte le même genre. Ça promet !
Je me concentre sur ma conduite, pas facile, Gény a posé sa main sur ma bite. Je vous épargne les tours et détours que l’on a dû faire, mais il est là, le fameux petit -bar de la banlieue de Toulon, à la Garde. Je me gare. Très peu de voitures.
Je descends, les filles se réajustent, le moment que je choisis pour leur passer leur collier. Le blanc pour Gény, le noir pour Camille. Elles sont toutes les deux étonnées, mais elles sont heureuses. Elles se regardent dans le reflet d’une des vitres de ma voiture. Elles touchent leur collier, je décide de mettre le paquet. Je leur donne leur bijou anal et la bouteille de lubrifiant...
— Allez vous équiper, les filles, je surveille les alentours... (Tu parles, Charles. Je vais me rincer l’œil)
Elles remontent toutes les deux en voiture et s’installent confortablement sur la banquette. La plus délurée des deux, Gény, prend une noisette de lubrifiant, écarte le string de Camille et lui oint son joli petit trou. Elle se saisit de l’objet et lui insère avec la plus grande délicatesse. Pendant que ma nièce s’habitue à être gentiment violée par son bijou, Gény répète l’opération avec le sien. Elle grimace, ce que j’escomptais bien. Une fois leur bijou en place, elles redescendent ; non sans difficulté. Une tape amicale sur leurs fesses, nous voici devant le bar d’où émane une douce mélopée, je reconnais "Mylène Farmer".
Je laisse renter les filles, je sais, ce n’est pas très galant, mais elles sont si charmantes vues de dos. Elles dodelinent des fesses, suite à la pose de leur bijou intime. On s’installe dans une alcôve au bout de la salle, on commande après avoir compulsé la carte des cocktails. Deux "baby-bottles" et un jus d’orange. La serveuse, fort charmante, revient très vite avec nos consommations. Deux biberons et un grand verre de jus. Elles sont mortes de rire et prennent les tétines en bouche.
Après un moment à se tortiller, elles vont danser. Ce que je craignais, ce produit. Elles sont vite entourées par des jeunes mâles en rut. Leur tenue en est pour quelque chose. A chaque mouvement, leur jupe s’entrouvre et laisse apparaître leurs fesses, leur sexe sous leur string ouvert. Deux petites chiennes en chaleur, des nymphos en puissance. Ce soir, c’est sûr, je leur éclate leur petit conduit.
Elles reviennent s’abreuver, je retiens la petite black par un bras, elle s’affale sur moi, toute pantelante.
— Tu es belle, lui dis-je.— Vous êtes pas mal, non plus.
Elle me sourit et part se dandiner pas trop loin de moi. Elle me nargue. Camille la prend dans ses bras et l’embrasse à pleine bouche, ce qui a pour effet d’éloigner pas mal de jeunes puceaux. Je me gausse. Ce n’est pas de la jalousie, car Camille m’offre sa copine en dansant lascivement derrière elle en lui palpant les seins. Elles sont belles. Je bande. Je sirote mon verre tout en regardant mes deux charmantes salopes. Camille vient s’asseoir à côté de moi, Gény restant à quelques mètres de nous, et me demande :
— Pour qui tu bandes ? Pour elle ou pour moi ?— Je n’ai pas encore fait mon choix...— Hihihi. Elle est tombée amoureuse, et c’est la première fois...— Arrête tes conneries...— Non, je t’assure, dit-elle avant de m’embrasser.
On part dans une longue discussion. Où et comment elles se sont rencontrées, au collège. Depuis combien de temps a-t-elle une relation avec Geneviévre, depuis la première nuit passée ensemble, elles se sont déflorées avec un petit gode. Elle l’aime ? Oui. Serait-elle prête à la partager ? Avec moi, oh que oui. Suis-je amoureux de Gény ? Trop tôt pour le dire. Et d’autres choses banales.
— Regarde-la danser, tu devrais la rejoindre pour marquer ton territoire. Allez, viens... me dit-elle en me prenant par la main.
C’est un slow, c’est chaud. Je me retrouve coincé entre Gény et Camille. Elles se frottent à mes cuisses, je les sens excitées comme jamais. Mes mains s’aventurent sur les petites fesses rebondies de ma nièce. Elle me les enlève et les place sur le cul de sa copine. Gény me regarde avec envie, elle m’embrasse. Camille s’est déplacée et vient nous rejoindre dans notre baiser. Je ne sais pas où ni comment elles ont appris ça, mais j’aime et la preuve est dans mon pantalon. Gény me caresse la bite sans se cacher, Camille se pince les lèvres. Je remarque les regards envieux des jeunes mecs qui dansent dans les bras de leur copine. Certains se font gentiment rembrouer, d’autres embrasser avec passion. Ça chauffe sur la petite piste de danse, il y a même une nana en train de tailler une pipe à trois mecs. Elle a l’air d’aimer ça. Gény tente d’ouvrir mon futal.
— Ne sois pas impatiente, plus tu me chauffes, meilleur sera le final.
Mais elle s’en fiche, elle me caresse la bite à travers mon boxer, vite rejointe par la petite main de ma nièce. Elles se battent pour déboutonner ma chemise. Elles me caressent le torse, me sucent chacune un téton. Gény est passée sous mon sous-vêtement. Elle ne me branle pas, elle me caresse le sexe. On s’embrasse à nouveau, tous les trois. Elles me poussent lentement vers notre banquette, m’obligeant à m’asseoir. On reprend nos baisers à trois. Elles ne touchent plus à ma queue. Je sors de cette embrassade. Je vois la petite langue rose jouer avec celle de Camille. Elles sont jolies. Prétexant une envie pressante, je pars vers les toilettes. Là, c’est un lieu de débauche. Ça baise de partout, même dans les urinoirs. Je pousse un mec et sa nana. Elle a la gueule à 20 centimètres de ma bite. Je me lâche et vide ma vessie. Une vision, un flash. J’imagine mes deux salopes, la bouche grande ouverte en train d’attendre leur pitance. A réfléchir...
Je range mon paquet et pars rejoindre mes deux petites. Gény est entre les cuisses de Camille. Le petit bijou intime scintille avec les lumières, elle a enlevé celui de Camille et elle lui lèche sa petite rondelle. Camille a l’air d’apprécier, elle a les poings serrés, la tête posée en arrière sur la têtière et elle se cambre. Je m’assois à côté et je commence à travailler ses tétons. Avec mes doigts, au début, mais ils sont trop appétissants. Je lui suce, les mordille, les étire. Camille ne dit rien, trop à ses sensations. Je lui mets deux doigts et cherche son point G. Grâce au string fendu, l’accès est direct. Il est là. Camille ouvre grand les yeux et regarde mes doigts s’activer sur cette zone hautement érogène.
— Putain, trop... Bon... Ouiiiiii... HAN !
Gény est en train d’enculer ma nièce avec sa langue. Elle remet le bijou en place et vient me rejoindre pour téter un téton. Je n’en peux plus.
— Finissez vos biberos, on se casse.
Elles se réajuste en lissant leur petite jupette, Gény replace sa poitrine. Les tétons des jeunes filles pointent fort. Je m’en régale d’avance. En voiture, elles sont montées toutes les deux à l’arrière et continuent leur jeu saphique. Je mate ces deux petites salopes en train de s’embrasser dans le rétro d’intérieur. Elles sont magnifiques.
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