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Camille.

Chapitre 6

deux jeunes salopes soumises.

Inceste
Je me mets sur mon côté. Je la regarde, elle ne me quitte pas des yeux. Sa nudité, son corps de jeune femme m’émeuvent. Son sexe aux lèvres serrées m’attire. Ses seins bien ronds aux tétons si sensibles m’excitent. Je lui caresse son petit ventre plat, tourne autour de son nombril. Elle soupire d’extase, mais ne me quitte pas du regard.
J’ai eu une relation intense avec une nana plus âgée que moi. À l’époque, j’avais 30 ans, elle en avait 45. Elle était petite et menue, pas autant que ma nièce, et nos jeux se sont vite transformés en domination plus que sévère. Elle a dû déménager pour raison professionnelle. J’ai su qu’elle avait retrouvé un Maître.
Je me lève, me rhabille et je pars vers le bar. Le couple d’Allemands est assis à une table. Lui, la soixantaine, plutôt bien conservé. Grand, athlétique, les cheveux blancs et les yeux bleus. Il est habillé d’un short et d’un tee-shirt. Elle, la petite cinquantaine, blonde platine, très joli visage, des lèvres fines, une poitrine plus que généreuse et un ventre que j’imagine plat. Elle est habillée d’un paréo. Quand ils se lèvent, c’est avec un sourire, qui en dit long, qu’ils me saluent.
— Allez, les filles, on va à la plage.
On arrive à l’endroit où nous étions ma nièce et moi, lors de sa découverte du naturisme. Le coin est calme, peu de gens fréquentent ce lieu isolé. Je me mets en tenue d’Adam, ma nièce en tenue d’Eve. Gény hésite.
Une claque sur la fesse droite donnée par Camille la rappelle à l’ordre. Elle se déshabille lentement, bien vite, elle se retrouve nue. On étale nos serviettes, Camille a pris son siège. Je vais à l’eau, suivi de mes deux petites coquines. Elles batifolent dans l’onde claire de la Méditerranée. Je suis posé à genoux, l’eau jusqu’à ma poitrine. Je bande rien qu’à les regarder. Le petit cul de ma nièce et le plus formé de Geneviévre s’exposant à quelques mètres de moi, m’excitent au plus haut point. Les salopes l’ont vu. Elles s’embrassent à pleine bouche. Leur langue virevolte, les mains s’égarent sur les fesses. Je sors, elles me suivent du regard et se mettent à rire. Elles ont de quoi, je bande comme un âne. Je m’assois et me câline la bite. Entre mes jambes que j’ai repliées, ma queue est fièrement dressée. Mon gland coule. Elles remontent à leur tour.
— Gény, tu as pris ton bijou ?— Euh... Non, me répond-elle timidement.— Petite faute, mais pas grave.— Je les ai pris. Heureusement que je suis là ! dit Camille en fouillant dans son sac de plage.
Elle sort les deux rosebuds et la bouteille de gel. Je félicite Camille de cette initiative, je fais mettre Gény à quatre pattes et lui administre une fessée d’anthologie.
— Ça, c’est pour avoir oublié ton bijou, avant de lui administrer une seconde tout aussi forte que la première, Camille, si tu veux bien, en montrant l’anus de sa copine.
Elle se met entre les fesses de Gény et verse un peu de gel sur son anus et sur le gros bijou. Elle pousse en sortant la langue, l’objet est en place. Camille me regarde avec un air satisfait. Elle s’allonge sur le dos et me tend le sien.
— Parrain ?

Je le lui place. Elle se retourne et prend la même position que Gény. J’ai deux culs à ma disposition. Je me mets à genoux entre les cuisses de ma nièce, je m’enfonce sans aucune délicatesse. Pour la première fois, elle goutte à une pénétration. Deux-trois coups donnés dans sa petite chatte, je change de partenaire. Je rentre plus brutalement. Je sens son bijou.
— Han, oui, fait-elle en mordant son bras.— Reste bien droite, accepte ma queue. Tu veux m’être soumise, alors prouve-le.
Camille qui n’a rien loupé, se retourne et me sourit. Je change encore une fois de sexe. Hum, il est gluant. Chaud et gluant, un véritable délice.Je change ainsi plusieurs fois de chatte. Elle mouille, ça leur coule le long des cuisses. C’est dans la chatte accueillante de ma nièce que je me vide en plusieurs jets. Elle se retourne et me dit merci. Je lui lance une petite claque pleine d’amour.On part manger au resto, petit, mais agréable endroit. On prend chacun une salade. Ah, oui, j’allais oublier. Elles ne sont vêtues que d’un grand paréo, qui dévoile leur nudité.
— Alors, c’est ta soumise ?— Pas exactement... Plutôt ma muse.— Oui, avec ton aide, si tu le désires.
Elle me fixe dans les yeux et devient toute rouge, je lui souris.
— Réfléchis, on en reparlera.
On mange et notre retour se fait dans le calme le plus total. J’entre le premier, suivi de Camille.
— Tu sais parrain, j’ai envie d’être une muse pour toi. Je préfère, je ne veux pas lui faire de mal. Je l’aime trop.
Je lui tends la même enveloppe qu’à Gény. Sans même réfléchir, elle l’ouvre et lit. Elle blêmit. C’est à peu près le même contrat d’appartenance que sa copine. Elle me regarde et le signe.
— Me voilà belle...
J’éclate de rire. Gény nous rejoint. Camille lui montre la feuille.
— C’est pour toi qu’elle a accepté. Je vous laisse vous expliquer. J’ai un ou deux achats à faire.— On peut venir avec vous ? me questionne Gény.— Avant, petite sieste.
On se couche, à poil forcément, et je me retrouve coincé dans les bras et les jambes de mes deux coquines qui s’endorment très vite. Je ne tarde pas à en faire de même. J’ai mis un réveil. Sonnerie à 17 h 00.Je me réveille un quart d’heure avant mes deux marmottes. Camille dort toujours le cul en hauteur, nue, c’est bandant. Gény a les bras et les jambes en croix ,ce qui me laisse voir sa petite chatte rose fluo, c’est excitant. Je pars prendre ma douche, elle est la bienvenue.Je retourne à notre lieu de villégiature. Elles se réveillent. Je leur dis de filer se laver. Le décollage des hirondelles fait, je choisis nos tenues. Tee-shirt blanc et shorty bleu pour moi. Pour Camille, ce sera un petit short rouge et un petit marcel très, très court. Pour Gény, je sors de sa valise, un short jaune qui lui rentrera dans les fesses et j’emprunte à Camille le même marcel. Elle aura les seins presque à l’air. Elles reviennent toutes excitées.
— Enlevez vos bijoux, mais prenez-les avec vous. Habillez-vous et en voiture.
Une fois garé en bas du magasin, je remonte le short de Geneviévre dans la raie de ses fesses. On monte la vingtaine de marches et on entre. La jolie vendeuse vient à notre rencontre.
— Que puis-je pour vous ? — C’est un peu spécial. Mais commençons par les rosebuds... Qu’avez-vous en magasin ?— Hihihi, je vois, veuillez me suivre.
Les filles, surtout Gény, regardent toutes les tenues des portants, la vitrine avec les godes, celle avec les huiles de massage et lubrifiant. On s’arrête devant celle contenant les bijoux intimes.
— Vous voyez, vous n’avez que l’embarras du choix.— Sortez vos bijoux.
Elle ouvre toutes le deux leur sac à main et les montre à... Julie. (c’est sur son badge) Julie sourit en voyant la différence de taille.
— C’est parce que je suis une gentille vendeuse. Je vous conseille que Mademoiselle essaie celui de sa copine et pour sa copine, celui-là, me dit-elle en me montrant un rosebud beaucoup plus gros que celui qu’elle a l’habitude de porter. Il se finit par un strass jaune. Je le prends et enlève son emballage, je le tends à Gény qui est étonnée de son poids.— Ne t’inquiète pas. Il ne se sauvera pas, lui dit Julie. — Vous voulez du lubrifiant.— Non, on en a, dis-je en tendant la main.
Cette fois, c’est Gény qui me le donne. On poursuit notre visite, Julie est derrière nous.
— Elles sont très jolies, on en mangerait, me susurre-t-elle.
Je lui souris. Je la prends à part et lui demande.
— En fait, ce sont mes nouvelles muses que je dois éduquer... À leur demande.— Ah, je vois... Hihihihi.— Connaîtriez-vous un club libertin, un endroit où nous pourrions être tranquille pour commencer en douceur ?— Vous cherchez quoi exactement ? Une boîte à partouze ? Où les femmes ne sont que des objets pour des types pervers ? — C’est un bon début. — Je vous préviens, il y a aussi des femmes plus... Exigeantes. Ou alors il y a ce bar dans le cours Mirabeau. Il est sélect, mais à partir de minuit, l’ambiance s’échauffe. Tout le monde baise tout le monde. Je crois que c’est l’endroit idéal pour ne pas les effaroucher.
Elle va vers la caisse et me tend une carte de visite. Elle y griffonne son prénom et le signe. Mon passeport. Allez-y le vendredi. C’est la journée la plus "HOT".Je regarde les prix des paddles, fouets et autres martinets. C’est hors de prix, plus cher que sur Internet. De toute façon, je n’en ai pas besoin, j’ai tout ce qu’il me faut à la maison, dans ma cave... Dans un carton. Leur dressage commencera alors chez moi.Après avoir réglé, on retourne à ma voiture. Je leur demande ce qu’elles veulent faire. Camille est décidément la plus délurée, elle me demande si j’ai ma caméra. Je lui montre mon coffre. Elle s’allonge pour chopper mon sac. Elle en sort le double "dong".
— C’est pour qui ça ?— Devine.

Elle sort la caméra. Elle a jeté le gode sur les genoux de Gény qui s’empresse de le porter à sa bouche, imitant une fellation.
— Pffftttt, pas une pour rattraper l’autre. J’ai deux petites salopes dans ma voiture.
Heureusement que j’ai les vitres teintées, elles sont face à face en train de sucer la double bite factice. Je démarre en trombe, ce qui les fait basculer. Elles sont mortes de rire. Elles continuent en m’aguichant. Je roule vite, trop vite. Un motard de la gendarmerie me double et me fait signe de me mettre sur le côté.
— Connard, me dis-je, c’est bien le moment de me prendre une prune.
Le motard ne me calcule même pas et laisse passer un convoi officiel.
— Oufff, j’en ai fait pipi dans mon short, dit Camille.
On éclate de rire. Le motard m’aide même à reprendre la route en me faisant signe de ralentir. Je m’en tire à bon compte.
— On va à la plage ? Je leur demande.— Non on rentre, on mangera au bar, me répond Camille.
Elles se sont habillées plus soft, elles portent un paréo. Le patron nous dit que si on veut profiter de sa piscine, c’est avec joie. Lui est sa femme doivent partir quelques jours...Il me tend les clés donnant accès.On commande trois salades de gésiers de canard, une bouteille de rosé et en apéro, un Ricard pour moi, un rosé pamplemousse pour elles.On mange en se souriant. Le rosé de pays est excellent. On va se préparer pour aller à la piscine. Elles se mettent nues sous leur paréo, moi sous mon short. Le patron et sa femme sont partis depuis un petit moment. J’ouvre la grille. De hauts murs encadrent la piscine. Elles installent leur serviette sur les transats, se foutent à poil et plongent. Quant à moi, petit pervers que je suis, je mets ma caméra dans un coin du bassin. Je fais les derniers réglages et vais les rejoindre. Je nage un petit moment, elles s’embrassent. J’effleure leurs charmantes petites fesses. Je me cale derrière ma nièce et mets ma queue entre ses cuisses de grenouille. Je me cale bien et attire Gény contre ma nièce par les fesses. Elle pose sa tête sur mon épaule, et c’est un fougueux baiser à trois langues qui se lancent. On joue plus avec nos langues que l’on s’embrasse. On se tète nos langues, on se les mange.
— Vous êtes belles, mais profitez. Je vais vous dresser, petites salopes lubriques.
Elles s’acharnent dans leur baiser. Je les quitte à regret, mais j’ai d’autres projets, plus salaces. Je sors de la piscine en dandinant du cul. Elles éclatent de rire. Je prends une douche. Je leur demande de faire de même. Elles arrêtent leur étreinte et remontent par les escaliers en m’imitant. Elles éclatent de rire. Elles sont magnifiques. Je rapproche la caméra. Je leur demande chacune de se mettre en levrette, ce qu’elles font, sans un mot. Je sors les bijoux achetés un peu plus tôt. Elles me regardent en train de les lubrifier. Ça rigole moins, surtout lorsque je masse leur petit anus. Camille tremble, Gény se trémousse. Beau tableau qui se présente à moi.
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