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Camille.

Chapitre 7

la partouze annoncée.

Inceste
Ça rigole moins, surtout lorsque je masse leurs petits anus. Camille tremble, Gény se trémousse. Beau tableau qui se présente à moi.
— Par qui je commence, le rouge ou le jaune? En faisant allusion à la couleur des strass.
Camille, de ses deux mains posées sur ses fesses, m’offre l’accès. J’appuie le bijou sur son anus, je joue avec son sphincter. Il se détend et gobe la totalité de l’intrus. Camille souffle, mais ne dit rien.Avec Geneviévre, c’est pas la même limonade. C’est du lourd que je lui enfonce dans son anus.
— Ahhh, putain que c’est gros.— Hummm, l’accès à ton cul sera un régal ensuite, une fois habitué, ton conduit va accepter les plus gros calibres.— Han, c’est lourd. Dit-elle une fois l’objet en place.
Je me place derrière ma petite nièce et la pénètre.
— Hum, toujours aussi chaude et mouillée, ma chérie... Tu es plus serrée que d’habitude.— Ah oui, j’te sens bien, parrain. Tu me remplis bien... C’est... Plus jouissif... Han, hum, bien à fond... Là ! ! ! Oui ! ! !
Je change de chatte. Gény, elle aussi s’écarte. Je la pénètre lentement pour goutter aux nouvelles sensations que me procure l’objet dans ses fesses. Là aussi, je le sens au travers de la fine cloison qui nous sépare. Je suis en butée.
— Ça va ma puce ?— OUI... Il me semble que t’es plus gros. Han, hum, putain que c’est bon...
Je me retire, laissant mon gland bien au chaud. Je la prends par les hanches et la pénètre à en faire claquer ses fesses sur mon pubis, ou inversement. Je sors et vais voir ma Camille. Aux mêmes maux, les mêmes remèdes. Ça claque fort. Elle gémit, se mord les lèvres. Je la burine un petit moment, je retourne vers la belle black. Je la défonce en accompagnant notre accouplement de fessées, plus ou moins appuyées. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps.
— A genoux, vite...
Elles sautent de leur transat, elles ont compris. Elles sortent leur langue et attendent. Hors de question d’en perdre comme la dernière fois. Je me branle sur la langue rose de Gény. Je balance mon bassin en avant, comme pour accompagner mon premier jet, qui atterrit directement dans sa gorge. Elle toussote. Je change de bouche. Le deuxième est puissant et va se perdre dans la cavité buccale de Camille.3, 4, 5, 6 jets avant que la source se tarisse. Elles avalent tout en s’embrassant. Qu’elles sont belles. Gény récupère les dernières gouttes en me pressant la queue. Elle ne doit pas être à sa première pipe. Je les laisse s’embrasser, je filme tout.
De retour à la tente, je leur parle du bar recommandé par Julie. Elles me disent qu’elles n’ont pas trop envie d’y aller, elles préfèrent profiter de notre soirée commune ensemble, tous les trois. Ça me touche, je les embrasse, on s’embrasse... Je rebande, elles s’en amusent. Ma nièce me prend la bite dans la main et me l’effleure en formant un anneau de ses petits doigts. Je sens la chaleur qui m’irradie. Où ont-elles appris tout ça ? J’apprends qu’elles se sont instruites, avec leurs copines, sur un célèbre site de vidéo porno, "COQNU".C’est en cherchant la recette de coq au vin que Camille avait frappé "COQNUVIN".
— À propos de vidéos, j’en ai deux à envoyer à vos copines.
Elles hésitent. Je leur montre un site où les vidéos et photos sont éphémères. Elles acceptent. On se met à l’extérieur, sur la table. Je leur montre les vidéos. Elles sont surprises par la qualité des images, du semi-pro. J’envoie les vidéos et on attendra demain pour le résultat.Elles se servent un Coca, une bière bien fraîche pour moi.Elles ont décidé que demain, on passerait la journée à la plage. C’est vendredi, et Geneviévre doit retourner ce samedi chez sa tante et son oncle, et chez sa mère le lundi. Elles sont un peu tristes.
— On sera vite tous les trois. On rentre mardi.
Leurs visages s’illuminent. Je les laisse seule, mais c’était sans compter sur leur attachement à ma personne. Elles viennent se lover contre mon corps nu. Je pense qu’à Lille, notre ville, je vais avoir du boulot. Elles prennent ma queue entre leurs doigts et s’endorment. Je ne suis pas long à en faire de même.
Elles se sont levées avant moi. Je sors de la tente et le petit-déjeuner est servi. Elles ont dû aller à la douche, leurs serviettes ont disparu. Je m’installe et me sers un café. Je les entends arriver, mortes de rire. Elles se mettent nues, dos à la table et écartent leurs jolies fesses. Les bijoux sont à poste, et le conduit anal propre, rajoutent-elles. Je souris devant tant d’espièglerie.
Elles vont ensuite laver la petite vaisselle et préparent notre pique-nique. On part par la départementale, les cahots que fait mon gros 4X4 ne font qu’accentuer leur gène. Je suis mort de rire et fais exprès de prendre tous les trous qui se trouvent sur ma voie.
C’est avec un plaisir non dissimulé qu’elles sortent de la voiture. Camille touche son postérieur. On en rigole, Gény et moi.Notre petite place discrète est libre. On s’y installe, on se met à... poil. Camille commence à avoir la peau dorée, sans aucune marque. Elle est belle ma jeune nièce. Leur bijou scintille sous les rayons du soleil. Elles vont pourtant se baigner, je les suis. Elles m’enlacent. Gény par-devant, et Camille par-derrière, évidemment. Elles me tripotent la queue qui se tend sous leurs doigts. Camille m’embrasse le cou, Gény s’occupe de ma bouche.
— Tu es notre Maître du sexe... on t’aime... me dit Camille.— Oui, on aime ta grosse queue, renchérit Geneviévre.— Je vous préviens, dis-je sur un air plus que sérieux, samedi prochain vous allez peut-être le regretter.
On a passé ainsi une bonne partie de la journée à se toucher, se tripoter, mais rien de vraiment sexuel. Bien qu’elles dégoulinent d’envie, elles se retiennent. Je sais, par expérience, qu’il y a anguille sous roche. Que m’ont-elles préparé ?
On s’est rincés aux douches de la plage, et c’est une fois de retour à la voiture que je commence à comprendre. Elles se dénudent entre ma voiture et une fourgonnette. Elles se passent mutuellement une crème hydratante et Camille me dit d’en faire autant. Devant mon immobilisme, c’est à quatre mains que je suis déssapé, crémé et branlé. Elles font calla consciencieusement, je crois même avec un peu de zèle. Elles sourient, Camille passe même la langue.
— Parfait. On s’habille ? Demande Gény.— Oui, à moins que tu veuilles y allez dans cette tenue ?— Ça ne me dérangerait pas... Répondis-je.
Les sourires qu’elles me font sont empreints d’une perversité sans nom. Elles remontent dans ma voiture pour se changer, s’habiller. Elles me tendent ma tenue pour la soirée. Mon pantalon léger et ma chemise qui m’ont été offerts par ma nièce, et bien évidemment, aucun dessous. J’enfile mon futal, je passe ma chemise. Une main noire me donne mes espadrilles.Quand elles sortent "enfin", elles sont resplendissantes. Elles portent le même style de jupettes minimalistes que lors de notre sortie au "bar-lounge", mais blanche pour Gény et noire pour Camille. Elles portent leurs petits colliers. Je sens que le séjour de Geneviévre va se terminer en apothéose. Elles remontent leurs jupettes, elles sont nues et les bijoux sont en places.
— Alors, où va-t-on ? Bande de coquines.— On va là, me dit Camille en montrant son "waze" sur son smartphone. Roule ma poule.
On roule pendant une bonne demi-heure et on ne se retrouve pas très loin de notre camping, devant un camping naturiste. Il doit y avoir une soirée, j’entends de la musique langoureuse. Camille appelle.
— Coucou, Frantz... Oui, oui, on vient d’arriver. OK, on se gare et on toque, c’est ça ? OK, à tout de suite.
Une fois garé, je demande des explications à ma nièce. C’est Gény qui s’en charge.
— Ce matin, lorsque l’on a été à la douche, on a rencontré Frantz et sa femme, Irma. Ils étaient en train d’attendre qu’une douche se libère, il n’y avait que la cabine réservée aux handicapés de libre. On s’est regardés tous les quatre. On a rigolé. Frantz a exploré la douche et nous a demandé si nous voulions les rejoindre, qu’il y avait assez de place pour nous quatre. Camille et moi, on s’est regardées. Irma m’a pris par la main et m’a entraînée dans la large cabine. Camille et Frantz nous ont suivis. On s’est foutus à poil. En voyant nos bijoux, Frantz s’est mis à tripoter sa femme. Il bandait. On s’est lavé mutuellement. Quand on a enlevé les "rosebud", ils nous ont plaquées contre la paroi et nous ont léché l’anus. C’était divin. Ils ont ensuite procédé à leurs lavements intimes et aux nôtres. Ils nous ont donné rendez-vous ici. Voilà, voilà, vous savez tout, Monsieur.— C’est pour ça que vous étiez mortes de rire en rentrant des douches ?— Tu as tout compris, mon parrain d’amour. Et ils savent pour nos relations. Ils nous ont entendus plus d’une fois.— Bien, il va falloir assumer, vous et moi. Vous êtes mes chiennes pour la soirée, OK. Vous allez connaître pour la première fois la pluralité masculine. Pour ce qui est des femmes, vous connaissez déjà. Bien que je sache que les nanas d’un certain âge sont parfois plus perverses que les mecs.
Camille tape à la porte faite de tôles ondulées, c’est Frantz qui nous accueille.
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