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Camille.

Chapitre 9

Inceste
Je me réveille à 10 h 45. Camille a encore les fesses relevées, Gény dort sur son côté droit avec le drap coincé entre les jambes. Je sors le plus discrètement possible et m’habille léger. Je prends ma serviette et pars à la douche. Il n’y a personne, c’est tant mieux. Une fois séché, je me dirige vers le bar, personne, pas de patron ou de patronne.
— Ouhou ! Il y a quelqu’un ?— Oui, j’arrive, je n’arrive pas à changer, ce fût... me répond une voix fluette.
Curieux, je m’avance vers le bar et j’aperçois une midinette blonde en train de se battre avec le fût de bière. Je m’avance vers elle pour l’aider. Elle sursaute et me regarde.
— Attends. Je vais le faire. Pendant ce temps, va me faire un café.
Je change le fût et vais retrouver ma place. Elle est mignonne, grande, mince, un joli cul et une poitrine plus que généreuse. Elle doit avoir la petite vingtaine. C’est pieds nus qu’elle m’apporte mon café. Elle repart, c’est pas un cul qu’elle a, mais un énorme fessier. On entame une discussion anodine. J’apprends qu’elle a 18 ans depuis deux mois. Elle se fait un café et vient s’installer à côté de moi. Elle porte une minijupe et dans sa position, je peux apercevoir qu’elle porte un joli string rose. Elle me raconte sa vie, je m’en fous un peu, mais par politesse, je l’écoute. Elle est la fille d’un couple d’amis des patrons, elle fait ses études à Lille, en faculté de médecine. Je lui dis que nous sommes aussi de la capitale des Flandres. Elle me sourit, elle est craquante, je bande.
Mon désir est encore plus fort lorsque je vois apparaître les deux plus jolies filles du camping apparaître. Elles ont toutes les deux un drôle d’air et s’engouffrent dans le bloc sanitaire. Je souris. La jolie blonde me dit qu’elle s’appelle Julie, banal, mais ça lui va bien.
Mes deux amantes arrivent enfin, elles s’installent avec leur "smart phone" en mains. Elles attendent toutes les deux un appel de leur mère. Je leur commande deux "cacolac", leur boisson préférée, et deux croissants. Julie arrive avec les boissons, les pose et repart.
— C’est qui ? m’interroge Camille.— Une fille d’amis du patron, elle aide au bar.— Hihihi... Et tu la dragues.
Mon regard noir suffit à ce qu’elle se reprenne.
— Pardon, Monsieur, j’ai été bien curieuse.— Les filles, que voulez-vous faire ? Il est midi. — On peut manger ici ? demande Gény.
Julie, qui a tout entendu, nous dit qu’il n’y a pas de problème, le camping est vide. Oui, le concours de boules de fin de mois. J’ai complètement zappé. Pas grave, de toute façon, avec la nuit que l’on a passée, aucun regret. Julie me dit qu’ils ne seront pas de retour avant 23 h 00. Gény se lève et s’en va en traînant Camille derrière elle. Elle se retourne et me fait un petit clin d’œil. Elle n’est pas folle la guêpe, elle a compris que Julie m’intéresse. Elles vont en direction de la tente.Julie demande ce que l’on va manger. Elle me tend la carte. Je choisis quatre salades niçoises.
— Quatre ?— Oui, tu vas manger avec nous ? Non ?— OUIIII... s’exclame-t-elle en partant derrière le comptoir en sautillant, j’ai l’impression de voir Camille.
Justement, elles reviennent. Elles ont leur tenue flashy, mais si rappelez-vous, les petits hauts et les jupettes ouvertes. Non, pas la blanche et la noire. Celle de notre soirée dans le "bar-loundge". Oui voilà, l’ensemble vert et blanc pour Camille et jaune pour Geneviévre. De plus, elles sont légèrement maquillées. Julie est sans voix, elle ne sait que dire.
— Mademoiselle, il fait soif...— Oui, oui, tout de suite, Monsieur.
Les deux coquines se rapprochent et me disent qu’elles ont enlevé leur bijou pour ne pas choquer et qu’elles sont nues dessous leur jupette. Je leur souris. Julie nous demande ce que nous voulons boire. Un Ricard pour moi, trois Martinis blancs pour les filles. Elle repart vers son comptoir. Mes deux salopes me préparent quelque chose, elles se parlent en messes basses. Quand Julie apporte nos consommations, elle est kidnappée par mes deux petites furies. Elles s’en vont vers la tente. Je sirote mon apéritif anisé quand elles reviennent, je reste un petit moment pour réaliser. Elles ont fait mettre à Julie un mixte de la soirée d’hier, à savoir le haut blanc de Gény et la microjupe noire de ma nièce. Julie est émue, je propose de trinquer à notre rencontre.
— Elle est comme nous, nue, me susurre ma tendre nièce.
Pour le service, Julie se fait aider par ma nièce et sa copine. Elle nous a même servi un excellent rosé. La glace est vite avalée. Sous la proposition de Camille, on ferme le bar et on part direction... Inconnue. Julie est montée à côté de moi, les filles étant en pleine discussion. Vu leur tenue, on ne va pas aller en centre-ville. Je comprends vite la destination. Le Gapeau, petite rivière aux endroits propices aux baignades naturistes. J’engage ma voiture dans un chemin caillouteux, sous les indications de Julie. On arrive sur un endroit charmant. Personne ne pourra venir troubler notre baignade, ma voiture est garée de façon à faire la queue. On descend de mon 4X4 et les deux filles se mettent nues sous le regard de Julie. Elles ne disent rien et vont se baigner. Je regarde Julie qui se déshabille timidement. J’enlève mon tee-shirt et mon short. Évidemment, je suis en érection, merci les pilules. Elle est bouche ouverte, bloquée.
— Tu as peur ?— Non, non... C’est que je...— Tu es vierge ?  ?  ?— Oui...— Alors ?— C’est ma première fois... Avec un homme, un vrai. Vous m’impressionnez.— N’aie crainte, je n’ai jamais forcé personne. Si je te fais peur, pas de soucis...— Non ! Mais j’en ai jamais vu d’aussi belle, d’aussi grosse.— Je vais t’avouer que si tu ne veux pas, il y en a deux qui ne s’en plaineront pas.— Quoi ! Vous couchez avec elles... Vous leur faites l’amour ?— Pas l’amour, on baise.
Je lui enlève sa jupette. Elle est magnifique. Ses seins opulents, mais qui se tiennent bien avec des tétons durs et des mamelons roses. Son cul volumineux, mais ferme. Son sexe savamment tondu aux grandes lèvres serrées. Je la regarde dans les yeux.
— Allez, viens. On va rejoindre les furies.
On entre dans le courant de la rivière, l’eau est bonne, fraîche, mais bonne. Les filles ne nous approchent pas, elles sont en train de "jouer" entre elles. Elles s’embrassent.
— Cela te choque ?— Non, elles sont belles, tellement épanouies.— Va les rejoindre. Tu verras, elles n’ont jamais mordu personne.
Elle s’avance timidement. Camille et Gény arrêtent leurs jeux. Elles attendent qu’elle soit à portée de bras. Elles la tirent et la néguent. Elles sont mortes de rire. Moi, en vieux pervers, je m’allonge et me touche la queue. Quel mec ne rêverait pas d’avoir trois filles, trois jolies petites jeunes filles à disposition, aucun. Elles sortent de l’onde telles des déesses. Camille me surprend de plus en plus. Elle stoppe sa marche et embrasse Julie. Gény s’allonge à mes côtés et me vire la main, remplacée par la sienne.
— Je t’aime, me dit-elle doucement à mon oreille. On va t’offrir une petite blonde. Je crois que tu aimes ça, les blondes, en sortant une Heineken de la glacière.
Je m’approche et lui saisis la nuque. Ma bouche touche la sienne, nos langues se mélangent." Non, ma grande... Tu te trompes, je préfère les cochonnes." pensais-je. Notre baiser au goût de bière dure, dure...Tout en sirotant ma bière, Camille approche Julie qui se retrouve très vite au-dessus de mon rostre. Elle descend, lentement. Je la saisis par les hanches et l’empale. Son fourreau est doux, je sens une petite résistance. Elle est vierge. Je la stoppe dans sa descente.
— J’ai envie, me susurre-t-elle à l’oreille, j’ai envie que tu me fasses femme.
Elle poursuit sa descente, elle est empalée. Elle ferme les yeux et se mord les lèvres. Je force son conduit doucement. Je ne veux pas lui faire mal.
— Ça y est, je suis femme. Merci, Hervé.
Je le ramone un peu plus fort, plus gaillardement. Elle se touche sa poitrine, elle jouit... Moi aussi. Je l’inonde de ma semence. Elle s’affale sur moi et m’embrasse.
— Humm, humm... Vas-y... féconde-moi...
Après une courte pause :
— Hihihihi... Je prends la pilule.
Sa bouche rencontre la mienne, puis celle de Camille et de Gény. Notre communion est... Divine. Imaginez, trois gueules grandes ouvertes en train se bouffer. Nos quatre langues s’amusent, virevoltent. Je rebande à l’intérieur de Julie... Trop bon. Je donne des petits coups de reins, profonds, et je me vide une seconde fois dans la chatte de la jolie blonde. Elle apprécie autant que moi. Camille et Geneviévre ont quitté nos bouches et se désaltèrent de nos jus à la source.
— La vache... Elles vont me tuer...— Douce mort...
Je la serre contre moi et l’embrasse pendant que les deux salopes récupèrent nos jus d’amour.
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