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Camille.

Chapitre 10

Inceste
Je suis bien, trois bouches à me lécher le corps, me sucer... Je suis pieds et jambes en croix à me laisser faire.
— Adorez votre Maître... Oui, comme cela...
Je tombe sous une douce torpeur.
Je reprends connaissance une heure plus tard. Mes trois gonzesses se sont endormies comme suit : Camille, ma douce Camille, s’est assoupie avec mon gland dans la bouche; Gény, avec un testicule, et Julie avec l’autre. Je les réveille en leur disant qu’il est temps de rentrer. C’est à regret qu’elles quittent leurs positons en bavant.
Une fois rentrée au camping, Julie nous demande si elle peut dormir avec nous. Réponse collective, c’est un OUIIIII. On se couche. Ce n’est que tendresse, câlins et attouchements de mon corps, de ma queue. Elles s’endorment toutes les trois, je ne suis pas long à les suivre.
À mon réveil, je suis seul. Je me lève et vais prendre ma douche. De retour à la tente, toujours personnelle. Je pars donc au bar pour y prendre un café. Je lis "Var-matin". Camille et Gény arrivent en courant. Elles ont été raccompagnées Julie, elle repart aujourd’hui.
Le jour du retour arrive, on range tout le matériel de camping et leurs sacs et ma petite valise, bien gavée par les tenues achetées. J’imagine ce que diraient leurs parents en trouvant toutes ces tenues.
On dit au revoir aux patrons, je règle la note et on s’en va. Le trajet est silencieux et triste.
Je dépose Gény chez sa mère, Camille chez son père. Je me retrouve seul chez moi.
Je décide de descendre à ma cave la remettre en ordre. J’y retrouve avec bonheur tout mon matériel. Pas grand-chose, juste une table de massage avec ses sangles d’immobilisation, un cheval d’arçon, un carton avec divers sangles, colliers et bracelets. Un autre contenant des roulettes à aiguilles, une pompe à chatte et d’autres godes. Je bande rien qu’à penser à Camille.
On est déjà le samedi suivant, ma cave est en ordre et je reçois un texto de Camille.
— Salut Hervé ! Je peux passer, mon père est parti une semaine en Grèce et ma mère est sortie chez son mec pour le week-end. Je suis dans ta rue.
— Passe.


Dix minutes plus tard, Camille frappe. Elle est resplendissante avec son bronzage. Elle saute au cou pour me rouler une pelle. Je la laisse faire. Je lui ai manqué, elle aussi.
— Mets-toi à poil et suis-moi.
Comme en vacances, elle est nue sous ses vêtements, je souris. Je descends le premier. J’ai allumé les éclairages. Ils sont rouges et jaunes. Elle regarde l’endroit avec appréhension.
— C’est ici que je vais t’éduquer à devenir une femme que tous les mecs et gonzesses envieront. Soit tu acceptes, soit tu ramasses tes affaires et tu dégages.
— Je peux te poser une question ?
— Tu peux poser toutes les questions que tu veux.
— Est-ce que tu vas me fouetter ou frapper ?
— Non, je n’ai pas ce genre d’instrument.
— Tu me veux soumise et obéissante ?
— Oui, au début.
— Quand est-ce que l’on commence ?
— Maintenant. Lui dis-je, en lui passant un large collier en cuir noir autour du cou. Es-tu prête?
— Oui, Monsieur.
Je lui demande de passer les bracelets à ses poignets et ses chevilles. Une fois fait, j’attache ses mains à une chaîne qui pend depuis une poutre en bois et la soulève. J’écarte ses cuisses et caresse sa chatte glabre. Elle ferme les yeux. Une petite claque tombe sur sa fesse.
— Tu dois garder les yeux ouverts. Regarde tout ce que je vais te faire.
— Oui, Monsieur.
Je passe une barre d’écartement entre ses chevilles. Elle est offerte.
— Penses-tu que Gény aimerait te voir ainsi immobilisée ?
— Je ne sais pas, Monsieur... Peut-être.
— Si on l’appelait ?
Je prends mon portable et appelle Genevriévre en vidéo. Elle n’est pas longue à me répondre.
— Bonjour, Gény, j’ai une surprise pour toi. Veux-tu la voir ?
— Mais tu es où ?
— Chez moi, dans ma cave.
— C’est bizarre comme cave.
— Alors ? Veux-tu voir ma surprise ?
— Euh... Oui...
Je fais pivoter mon smartphone et elle découvre sa chérie entravée. Elle est sous le choc. Je me mets à côté de Camille.
— Elle n’est pas belle ?
— Oui, très... Maître.
Elle reprend son rôle de soumise, cela me plaît. Je lui demande si elle veut nous rejoindre, sa réponse est oui. Je coupe la vidéo et lui envoie mon adresse. Camille n’a pas pipé mot.
— Je vais remonter pour l’accueillir. Toi, tu ne bouges pas et pas un mot.
— Bien, Monsieur.
Cela fait un quart d’heure que j’attends Gény. On toque à ma porte.
— Entre, c’est ouvert.
Elle me découvre nu, assis dans mon fauteuil, bandant comme un taureau. Elle me sourit de satisfaction, baisse les yeux et me dit :
— Bonjour Maître. Heureuse de vous revoir. Où est Camille.
— En bas, elle nous attend. Avant de descendre, j’ai quelques objets que j’aimerais que tu passes.
Je lui montre les mêmes que j’ai passés à Camille. Elle comprend vite et se met nue, passe le collier et les bracelets. Je prends une laisse et le passe à son cou. Je caresse son minou glabre et humide.
— Tu as bien lu ton contrat ?
— Oui, Maître, et je l’accepte.
Je la tire et descends. Elle est subjuguée par l’endroit, et elle frissonne déjà pensant aux sévices qu’elle va devoir subir. Elles n’ont pas le temps de se dire quoi que soit, je place Gény face à Camille.
— Jouez avec vos langues, je reviens.
Je remonte quatre à quatre les escaliers. Je prends ma caméra et son trépied. À mon arrivée, elles sont en train de se bouffer la bouche.
— Non ! Là vous vous embrassez comme des amoureuses ! Je veux un baiser de salope...
Je les embrasse en jouant avec ma langue, putain que c’est bon. Ma queue tressaille.
— Il faut vous embrasser en pensant à moi, aux autres qui vous observeront. Plus vous serez salopes et meilleure sera votre récompense.
Je les laisse jouer avec leurs langues. Elles ont compris et je peux voir les lavettes de mes deux petites coquines s’enrouler, jouer entre elles.
— Vous comprenez vite.
Je les détache et les mets à genoux, cuisses écartées, et les mains sur leurs chevilles.
— Vous voulez devenir des salopes, mes salopes ?
— Oui, répondent-elles en cœur.
— Accepteriez-vous de vous faire percer ?

Elles se regardent et acquiescent de la tête. Je prends mon téléphone et demande à mon amie esthéticienne quand elle peut passer.
— Cet après-midi, le temps que je prenne tout à la boutique.
— Prends une dizaine d’anneaux, je choisirai.
Elle arrive plus vite que prévu. En grande professionnelle, elle pique avec dextérité les tétons, les lèvres et le capuchon clitoridien de mes deux petites. Étonnamment, elles n’ont pas trop souffert.
— Et toi, toujours pas décidé ? Tu sais qu’un Maître doit au moins en avoir un ?
— OK, choisis l’endroit et l’anneau.
Elle me place un gros anneau en or sur le bas de mon prépuce. Les filles ne disent rien, elles admirent ma queue ainsi ornée.
— Voilà mon chou. Voici un désinfectant et une crème protectrice. Tu me paieras à l’occasion.
Elle repart aussi vite qu’elle était arrivée, nous laissant tous les quatre admirer nos bijoux.
— Je vous conseille de porter des vêtements amples et des jupes pour que vos parents ne remarquent rien. Pour l’instant, on va rester à poil.
J’embrasse mes deux petites soumises. Je leur montre leur chambre qui est attenante à la cave. Elle est grande, procède une douche à l’italienne avec pommeau et canule, un grand lit avec des barreaux et une caméra de vidéosurveillance. Elles ont chacune trois étagères où j’ai pris soin d’y ranger leurs tenues. Je leur montre aussi deux tenues de soubrettes.
— En dehors de la cave, vous porterez ces jolies tenues.
Je leur dis de s’habituer à ce lieu, je reviens.
Je suis dans ma chambre et transmets les vidéos, celles des vacances et celle prise dans ma cave. Je les transmets en fichier éphémère à plusieurs de mes anciens amis et amies. Ce sont tous des soumis ou soumises et avides de mes pratiques. J’espère que certains viendront pour l’apprentissage de mes deux élèves.
Je redescends, et trouve les deux filles habillées en soubrette. Charmante, cela leur va bien. Les seins bien remontés, sauf pour Camille, laissant accès à leurs tétons et leurs anneaux. Leurs fesses apparentes sont de toutes beautés.
— Bon, Camille, va me faire à manger, toi tu vas me servir l’apéro en terrasse.
J’ai deux adorables soubrettes à mon service, j’en use et en abuse. Elles courent à travers la maison pour satisfaire la moindre de mes envies.
20 h 00, mon portable sonne. J’ai un SMS. C’est Charlie et son colocataire du moment, ils ne sont pas ensemble, non, mais ils partagent leurs plans cul et s’enfilent de temps en temps. Charlie a 35 ans, son ami, Romain en a 20. Il m’a assisté plusieurs fois dans le dressage de jeune femme. Il est bien équipé et endurant. Romain, je ne le connais pas. Ils sont partants pour une baise sans retenue. Je l’appelle.
— Charlie ?
— Oui. Paul ? Hé bé, j’te croyais mort.
— Non, depuis le départ de mon ex, plus d’envie, mais j’ai trouvé deux salopes qui aiment le sexe. (Je leur cache mon lien de parenté)
— Et tu veux notre aide, hard ou soft ?
— On verra ce qu’elle supporte. C’est la première fois qu’elles vont être offertes à des inconnus.
— Quand ?
— De suite, si tu es dispos.
— OK, le temps de me raser la bite, le cul et on arrive.
Il raccroche. Camille et Gény ont entendu, mais ne disent rien. On descend à la cave. Elles se douchent et apparaissent nues, équipées des colliers et bracelets. J’allonge Camille sur la table et l’attache, jambes pendantes. Elle est offerte, soumise. Je mets Gény en appuis sur les avant-bras sur le cheval, jambes écartées et bloquées par la barre. Je leur passe à chacune un écarteur buccal "Spider" en métal. Elles sont prêtes. Je remonte attendre Charlie.
Il arrive accompagné de Romain. Ils se mettent nus, l’étant moi aussi. On se boit un petit whisky, tranquillement attablé dans la salle à manger. Je leur explique ce que j’attends d’eux, qu’ils les remplissent de leur semence. Tous les trous sont permis.
Je les invite à descendre. Charlie connaît très bien l’endroit, Romain découvre. Ils aperçoivent mes deux jolies soumises. Elles bavent. Charlie embroche Camille qui geint. Il invite Romain à pénétrer Gény. Ça couine. Je filme la scène tout en me faisant sucer par Gény, son écarteur laissant le passage, elle me lèche de sa charmante petite langue rose.
On va les prendre pendant plus d’une heure par tous les trous. Elles bavent, transpirent, jouissent à plusieurs reprises. Je décharge dans la bouche distendue de Camille. Elle me regarde avec amour, se délectant de mon nectar. Romain m’imite dans la bouche de Gény, Charlie se déversant dans la chatte de cette dernière. On remonte, non sans avoir détaché les filles.
— La petite black mérite, la petite blanche a encore beaucoup à apprendre, dit Charlie.
— Oui, elle est encore novice.
On déguste notre whisky avant de redescendre. Joli spectacle, elles sont au sol, à quatre pattes, en train de s’embrasser comme je leur ai appris. Romain s’agenouille et présente sa queue à ces deux bouches gourmandes. Elles la lèchent. Charlie encule Camille, moi, Gény. Et c’est reparti pour une cavalcade effrénée. Nos corps sont en ébullition. On y va fort. On jouit tous les trois de concert. Les filles, couvertes du sperme de Romain, s’embrassent et récupèrent la semence de ce jeune étalon qui n’en demandait pas tant. Charlie et moi on dé-cule. On remonte tous les trois, laissant les filles se gameller.
Ils repartent, en me disant que si j’avais besoin d’eux...
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