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Camille.

Chapitre 15

SM / Fétichisme
Elles rentrent comme des furies, se mettent à poil et viennent nous rejoindre au salon.
— Il est où ? me demande Camille.— Doucement, tout d’abord qui est la femme derrière vous ?
Je lui tends la photo imprimée.
— Euh... Merde, on n’a pas fait attention, poursuit-elle, c’est gênant pour elle. Il faut virer la photo de suite.— Pas si vite. Quand je pose une question, je m’attends à une réponse.— Oui, bon, bon, c’est la mère d’Aurélie, Béatrice,
me dit-elle en me montrant du doigt une très belle jeune fille aux seins imposants.
— Et elle s’amuse avec vous ?— Oui, elle nous a surprises il y a quelque temps. Pour faire bref, elle a craqué et depuis, elle participe à nos séances photo.— Nue ?— Bien oui. C’est une naturiste et bouffeuse de chatte hors pair. Bon, où il est ?— Qui ?— LUI ! dit-elle en montrant les photos sur mon ordi. Sergio, le petit jeune serveur !!! Je suis sûr qu’il est là. — Tout d’abord, vous allez ranger vos affaires. Ensuite, vous passerez ces accessoires, lui dis-je en montrant les bracelets et les colliers.
Camille prend les siens, Geny aussi. Elles ramassent leurs affaires et descendent, quatre à quatre, les escaliers. Quant à nous, on rejoint Sergio.
— Douche, lui dit Badgi, tu laves ton fondement et rinces bien ta queue. Tu remets ton bijou.
Il se déshabille et passe à notre salle de bain. Badgi lui dépose les bracelets, le petit collier. Elle change de marcel, elle en avait pris deux tout comme le tanga, le second est rose pailleté, fendu comme le premier. On l’attend devant une petite bière bien fraîche. Il arrive bandant comme l’aime Badgi, mais elle n’en profite pas. Elle lui dit de s’asseoir sur le tabouret. Il grimace.
— Je vais voir où elles en sont, ne faites pas de bêtises.
Je descends et trouve mes deux salopes à quatre pattes en train de jouer de la langue. Ma queue me démange, mais j’ai d’autres projets. Badgi arrive et me prend, de dos, dans ses bras. Une main descend sur mon sexe. Quand elles voient le petit s’approcher d’elles, elles lui sautent dessus. Je suis obligé de les prendre toutes les deux par un bras et de les éloigner.
— Calmez-vous ou je vous attache ! Sergio, mets-toi sur ton tabouret.
Badgi, en bonne Maîtresse, lui retire son bijou, enduit le gode de lubrifiant et lui lèche le cul. Sergio ferme les yeux, ce qui lui vaut un coup de martinet sur sa queue. Il hurle.
— Eh oui, les yeux constamment ouverts.
Il s’installe avec une aisance déconcertante. On dit aux filles qu’elles en profitent. Elles se ruent sur ces couilles et sur cette bite tendue à l’extrême. Elles bavent dessus et inondent le tabouret. Camille se met dos à lui et s’empale sur ce pieu de chair. Je passe devant et me fais astiquer par sa bouche qui est devenue accueillante. Elle monte et descend en me gobant, pas encore à fond, mais elle fait des efforts. Badgi est en 69 avec sa fille. Elles se bouffent l’abricot avec entrain. Elles ont la gueule engluée par la mouille. Je ne vous raconte pas l’odeur.
J’arrête Camille et demande à Sergio de se retirer de son gode-ventouse. Il le quitte presque à regret. Je le fais s’allonger sur le dos face au miroir. J’empale sur cette bite qui palpite ma nièce et la fais s’allonger entre les jambes de Sergio. Je viens présenter ma bite, non pas sur son cul, mais sur sa chatte dégoulinante. J’y vais en douceur. Mon Dieu que la sensation est bonne. Elle a deux queues fichées en elle. Elle me regarde dans le reflet qui me revoit l’image d’une frêle petite fille prise en double vaginal. Sergio s’active en prenant la même cadence que moi. Elle a les yeux écarquillés, la bouche ouverte. À part sa forte respiration, aucun son n’arrive à sortir. Je la relève pour l’embrasser.
— C’est mieux que les godes, les mains de tes copines ?— HUMPH... Bande de salauds. Han, han...
Badgi et Gény nous regardent et rigolent. Ma négresse de copine se relève et attache fermement sa fille à la croix. Qu’elle est belle ainsi offerte, poitrine tendue et sexe dégoulinant. Badgi prend un paddle et lui caresse les points sensibles, à savoir, les joues, les aisselles, les seins, le ventre et l’entre cuisses. Gény gémit en regardant sa mère dans les yeux. Il y a une complicité entre ces deux-là, complicité retrouvée. Elle lui administre de petits coups secs et rapides sur l’intérieur des cuisses. Badgi s’avance et embrasse sa fille à pleine bouche avant de reprendre sa place. Un coup sec et puissant tombe sur son sexe. Un cri résonne, pas un cri de souffrance, mais de plaisir. Les coups s’enchaînent avec une certaine violence sur le clitoris de la suppliciée. Gény jouit. Elle hurle.
Sergio et moi, on s’est arrêté de limer ma nièce qui peut rependre son souffle. Puis, elle va à la rencontre de nos deux sexes fichés dans son vagin. Elle apprécie. On recommence nos allers-retours sous les cris excitants de sa copine. Sergio est le premier à craquer, je le suis de prés. Elle est pleine, remplie, ça déborde.
Je regarde Badgi. Elle est à genoux devant le clitoris de Geny qu’elle lèche amoureusement. On se retire de ma nièce et on lui présente nos queues qu’elle lèche avec dévouement. Badgi a détaché sa fille et elles s’allongent pour s’embrasser. Camille veut les rejoindre. Je l’en empêche.
— Laisse-les se retrouver.
Je n’en ai pas fini avec elle. Je l’allonge sur la table, mentonnière bien relevée et l’attache. Je lui écarte ses cuisses grâce aux étriers. Je lui enduis son petit cul d’un gel lubrifiant et chauffant. Sergio prend place devant son anus et l’embroche d’un coup jusqu’à la garde. Je me place devant sa bouche et la lui baise. Elle bave, rougit, devient écarlate. Elle m’accepte bien à fond. Elle jouit du cul, elle me prend en gorge profonde. Sa salive coule sur mes couilles et atterrit sur la moquette. Je bande comme un fou en voyant Badgi enfoncer sa main dans le con de Geny. Je crache ma purée dans le gosier de ma nièce. Elle s’étouffe. Je me retire quand Sergio lui inonde son petit trou. Je laisse Sergio détacher Camille, je vais prendre une douche. Ma Badgi me rejoint. Elle m’embrasse tout en nous savonnant.
— On va à la piscine ?— Si tu veux...
En repassant en haut de l’escalier, on entend que la fête n’est pas finie. On en rigole et je ferme la porte.
— Demain après-midi je pars avec Sergio, je veux le faire piercer. Tu m’accompagnes ?— Si tu veux.
On plonge dans le bassin. On s’enlace, s’embrasse comme deux adolescents.La tête des trois jeunes quand ils nous ont rejoints. Ébahis par la beauté du lieu, ils sautent tous les trois à la baille. Camille me demande depuis quand j’ai fait cette luxueuse piscine. Je lui réponds que cela fait deux ans. Elle se pend à mon cou et m’embrasse.
— Bon, c’est pas tout ça, mais il va falloir préparer un stratagème pour attirer ta copine et sa mère ici, lui dis-je discrètement à l’oreille.— Tu vas tenir le coup ?— T’occupe. Sergio sera là.
Elle se retourne vers Sergio et l’appelle. Sergio lâche, à regret, les deux femmes noires.
— Tu n’as pas un ou deux copains qui seraient heureux de participer à nos séances ?
Il baisse la tête. Je décide de faire participer tout le monde. On sort et on va tous dans mon salon. Je demande à Sergio de nous servir des bières. Pendant son absence, j’explique la situation, la gêne qu’a eue le petit en réponse à la question de Camille. Il est de retour et pose les bières devant chacun d’entre nous.
— Alors, j’attends ta réponse !— Oui, oui, mais c’est gênant...— Ne t’inquiète pas, plus rien ne nous choque.— Il y aurait mon oncle...— Ah bon ?— Oui. C’est un fieffé pervers... Je vais aller droit au but, il m’encule tous les soirs depuis qu’il m’a surpris avec un gode.— Ça m’étonne de Fabrizio... Il me paraît plutôt calme...— Depuis la mort de ma tata, il a changé. Il se tape tout ce qui bouge... Femme ou homme. Veut-il rattraper le temps perdu avec ma tante ? Je l’ignore.— Et tu aimes te faire prendre par ton oncle ?— Ouais... Si je ne tiens pas compte de sa pilosité, mais il est très endurant et bon éjaculateur.— Pas question que l’on accepte un poilu, dit ma douce. Tu te démerdes, mais tu le fais se raser... Ou tu l’épiles. Compris ?— Oui, Madame, lui répond-il en baissant les yeux.— Va te coucher, lui dit-elle, tu bosses demain.
Il nous quitte la queue entre les jambes. Camille et Gény sont reconduites dans leur chambre, attachées pour éviter qu’elles ne retrouvent Sergio. On repasse par la chambre d’ami, il dort profondément.
— Que vas-tu faire avec Sergio ?— Que vais-je faire avec vous deux, me répond-elle, tu le verras bien.
Elle m’embrasse et s’endort, la tête sur ma poitrine.
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